Festival d’Angoulême 2011

Artistes au travail

Artistes au travail

Voilà, cette année c’était le trente-huitième festival international de la bande dessinée d’Angoulême. Il a maintenant fermé ses portes et c’est l’occasion de faire un petit bilan de cette grande manifestation que certains nomment le machin, le truc, le big bazar… tandis que d’autres parlent de grande messe, de réunion de la famille de la bédé. Nous, nous n’en parlerons que comme l’un des grands rendez-vous des passionnés de bulles, l’un des grandes occasions de rencontrer des auteurs qui ne se montrent que peu, des éditeurs confidentiels, d’assister à des avant-premières qui mêlent cinéma et bande dessinée et donc un temps de plaisir et de partage.
Coline et Alexandre en plein travail...

Coline et Alexandre en plein travail...

Cette année, comme les deux années précédentes, j’ai pu aller à Angoulême avec des étudiants pour réaliser une sorte de travail pratique grandeur nature. Nous avons rencontré une quarantaine d’auteurs, réalisé autant d’interviews, sonores ou vidéo selon le cas, et nous sommes rentrés avec plein de bulles dans la tête et le cœur. Reste, maintenant, à partager tout cela avec vous…

Baru concentré

Baru concentré

Un petit avant goût avec les auteurs croisés et qui nous ont fait le plaisir de nous consacrer un peu de leur temps : Alain Robet, Olivier Berlion, Blaise Guinin, Catel, Cécile, Ceppi, Charles Masson, Christophe Durieux, Eric Corbeyran, Stephen Desberg, Elisa Brants, Etienne Willem, Fabien Vehlmann, Francis Vallès, Griffo, Richard Guérineau, Guy Raives, Isabelle Dethan, Jame Martin, Julien Maffre, Mako, Marek, Mazan, Mathieu Sapin, Olivier Dauger, Pinelli, Davide Reviati, Sergio Salma, André Taymans, Michel –Yves Schmitt, Vincent Caut, Patrick Sobral, Benoît Sokal, Venanzi, Jean-Blaise Djian, Marc Jailloux, Baru, Geluck, Elodie Durand, Chloé Cruchaudet, Jimmy Beaulieu …

Comme chaque année, si la rencontre est passionnante, les discussions enrichissantes, il n’en reste pas moins que le plus fascinant est l’instant magique où la dédicace prend forme en quelques minutes sous nos yeux ébahis…

En admiration, tout simplement !

En admiration, tout simplement !