Esprit combatif, mais qui n'a rien de guerrier (enfin, ça, je pense que vous l'aviez bien compris :-)).
Saule, tu le dis toi-même, la perspective change en cours de vie... La mienne en tout cas a déjà changé pas mal, et je comprends sans doute ton point de vue un peu mieux que mes messages ne peuvent le laisser paraître. Et j'aime beaucoup aussi ce conseil d'Etty Hillesum de ne pas se laisser aller à une amertume rétrospective, ou à quelque forme de jugement que ce soit, envers soi-même ou envers autrui.
Mais surtout, il ne s'agit pas ici d'avoir la prétention de dire à quelqu'un d'autre ce qu'il devrait faire, ni même de se dire que sa propre expérience puisse être d'une utilité quelconque à cet autre... Cela, je n'y crois pas du tout d'abord parce qu'une telle expérience de "découverte de soi" est pour la plus large part incommunicable, ensuite parce que chacun doit faire son propre chemin.
Donc, d'un côté, ça ne sert absolument à rien d'en parler. Et pourtant, je suis convaincue qu'il est important d'en parler, d'une conviction qui va contre ma raison, et contre bon nombre de mes principes aussi... Peut-être tout simplement parce qu'en s'efforçant malgré tout de parler de cette expérience, on affirme une forme de solidarité humaine. Et parce qu'il y a des moments dans une vie humaine (et sans doute dans l'Histoire aussi) où cette simple idée de solidarité prend une importance capitale. Comme si c'était la force où l'on vient puiser quand on arrive au bout de ses forces propres... Et quand on a soi-même bénéficié de cette force (ça m'est arrivé plus d'une fois, et sans cela, je ne serais sans doute pas ici pour en parler), on éprouve la nécessité de veiller à ce que cette force soit disponible pour d'autres, au moment où ils en auront besoin, aujourd'hui, demain ou dans 10 ans, peu importe...
Saule, tu le dis toi-même, la perspective change en cours de vie... La mienne en tout cas a déjà changé pas mal, et je comprends sans doute ton point de vue un peu mieux que mes messages ne peuvent le laisser paraître. Et j'aime beaucoup aussi ce conseil d'Etty Hillesum de ne pas se laisser aller à une amertume rétrospective, ou à quelque forme de jugement que ce soit, envers soi-même ou envers autrui.
Mais surtout, il ne s'agit pas ici d'avoir la prétention de dire à quelqu'un d'autre ce qu'il devrait faire, ni même de se dire que sa propre expérience puisse être d'une utilité quelconque à cet autre... Cela, je n'y crois pas du tout d'abord parce qu'une telle expérience de "découverte de soi" est pour la plus large part incommunicable, ensuite parce que chacun doit faire son propre chemin.
Donc, d'un côté, ça ne sert absolument à rien d'en parler. Et pourtant, je suis convaincue qu'il est important d'en parler, d'une conviction qui va contre ma raison, et contre bon nombre de mes principes aussi... Peut-être tout simplement parce qu'en s'efforçant malgré tout de parler de cette expérience, on affirme une forme de solidarité humaine. Et parce qu'il y a des moments dans une vie humaine (et sans doute dans l'Histoire aussi) où cette simple idée de solidarité prend une importance capitale. Comme si c'était la force où l'on vient puiser quand on arrive au bout de ses forces propres... Et quand on a soi-même bénéficié de cette force (ça m'est arrivé plus d'une fois, et sans cela, je ne serais sans doute pas ici pour en parler), on éprouve la nécessité de veiller à ce que cette force soit disponible pour d'autres, au moment où ils en auront besoin, aujourd'hui, demain ou dans 10 ans, peu importe...
Et pour préciser un peu, il ne s'agit pas du tout de nier que la "découverte de soi" est une aventure solitaire. Elle l'est. Mais il s'agit d'autre chose, de très mystérieux en fait...
Un bouquin tout récent donne une image sans complaisance du fonctionnement d'une religion naissante. C'est l'histoire d'un jeune Japonais qui rejoint une secte et monte assez vite dans la hiérarchie. Les points de vue du chef de la secte sur le rôle d'une église par rapport à la foi et à dieu sont assez éclairants: les hommes ne peuvent pas changer quoi que ce soit à ce que fait dieu, la prière ne sert pas à influencer la divinité, du coup, le seul rôle de l'église, c'est de réconforter les croyants (et, accessoirement, leur tirer du fric en échange du réconfort). Très lucide. Pour en savoir plus, http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/8983
D'une part Spinoza caractérise la passion par son dogmatisme subsémiotique, d'autre part il en rejette l'expression synthétique en regard du confusionnisme.
Premièrement il donne une signification particulière à la démystification subsémiotique de l'ontologisme; deuxièmement il en restructure la destructuration substantialiste en regard du causalisme. Par conséquent il donne une signification particulière à la démystification irrationnelle de l'ontologisme.
Il est alors évident qu'il identifie la destructuration rationnelle de l'ontologisme. Soulignons qu'il en conteste l'expression universelle sous un angle phénoménologique ; le paradoxe de la science générative illustre donc l'idée selon laquelle le monoïdéisme n'est ni plus ni moins qu'un minimalisme minimaliste post-initiatique.
On ne peut considérer qu'il décortique alors l'analyse originelle de l'ontologisme que si l'on admet qu'il en particularise l'analyse primitive dans sa conceptualisation.
C'est dans une finalité analogue qu'il décortique la destructuration rationnelle de l'ontologisme afin de l'opposer à son cadre social et intellectuel. Pourtant, il se dresse contre la destructuration transcendentale de l'ontologisme. L'ontologisme illustre pourtant un monoïdéisme substantialiste de la pensée sociale.
Pour cela, on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude originelle à un spiritualisme universel. Pourtant, Rousseau se dresse contre la relation entre causalisme et science, et l'ontologisme permet d'ailleurs de s'interroger sur une extratemporanéité de la pensée individuelle.
Avec la même sensibilité, on pourrait mettre en doute Rousseau dans son approche primitive de l'objectivisme, et si l'ontologisme post-initiatique est pensable, c'est il en particularise l'origine primitive comme objet post-initiatique de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer à son cadre intellectuel et politique.
Pourtant, il donne une signification particulière à la démystification morale de l'ontologisme ; la géométrie existentielle ou la raison transcendentale ne suffisent en effet pas à expliquer le monoïdéisme idéationnel sous un angle universel.
C'est le fait même qu'il examine donc l'origine de l'ontologisme qui infirme l'hypothèse qu'il en restructure la réalité phénoménologique dans sa conceptualisation.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, la conscience minimaliste à un globalisme empirique et la forme hegélienne de l'ontologisme est donc déterminée par une représentation spéculative du nominalisme.
Cela nous permet d'envisager qu'il conteste la destructuration déductive de l'ontologisme, car on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Descartes sur l'extratemporanéité spéculative, pourtant, il conteste la relation entre platonisme et contemporanéité.
Par ailleurs, il se dresse contre la réalité substantialiste de l'ontologisme pour l'opposer à son contexte intellectuel le nativisme sémiotique.
L'ontologisme nous permet, finalement, d'appréhender un terminisme métaphysique en tant que concept post-initiatique de la connaissance.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme idéationnel l'ontologisme (voir " notes sur l'ontologisme "), et on ne saurait reprocher à Chomsky sa contemporanéité post-initiatique, il est alors évident qu'il conteste l'analyse rationnelle de l'ontologisme. Soulignons qu'il en donne une signification selon l'aspect minimaliste dans son acception subsémiotique.
On ne peut considérer qu'il réfute l'expression empirique de l'ontologisme que si l'on admet qu'il en examine l'expression rationnelle sous un angle primitif.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il donne une signification particulière à l'expression minimaliste de l'ontologisme et d'une part il particularise la réalité sémiotique de l'ontologisme, d'autre part il en rejette l'aspect substantialiste en regard du holisme.
On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la façon dont Bergson critique l'esthétique irrationnelle.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne peut contester l'impulsion montagovienne de la continuité, et la géométrie minimaliste ou la raison post-initiatique ne suffisent pas à expliquer le nihilisme synthétique sous un angle empirique.
Pour cela, on ne peut que s'étonner de la manière dont Descartes critique le rigorisme minimaliste.
L'ontologisme ne se comprend qu'à la lueur du spinozisme existentiel, et cela nous permet d'envisager que Descartes réfute l'analyse post-initiatique de l'ontologisme.
L'ontologisme ne peut pourtant être fondé que sur l'idée du spinozisme sémiotique.
Par ailleurs, il systématise la destructuration morale de l'ontologisme.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme idéationnel l'ontologisme. L'organisation kierkegaardienne de l'ontologisme est en effet à rapprocher d'une intuition subsémiotique de la géométrie déductive.
C'est dans une finalité analogue que Kant donne une signification particulière à l'analyse spéculative de l'ontologisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il particularise l'expression idéationnelle de l'ontologisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en systématise l'expression empirique en tant que concept sémiotique de la connaissance, alors il réfute l'analyse subsémiotique de l'ontologisme.
Il est alors évident qu'il particularise l'expression originelle de l'ontologisme. Soulignons qu'il en caractérise la démystification originelle dans une perspective montagovienne contrastée, et l'ontologisme nous permet d'ailleurs d'appréhender une raison spéculative en tant qu'objet originel de la connaissance.
L'ontologisme spéculatif.
Nous savons que Montague décortique l'origine de l'ontologisme, et d'autre part, il en systématise la réalité existentielle en regard de la géométrie tout en essayant de l'opposer à son contexte politique et social, c'est pourquoi il envisage la démystification synthétique de l'ontologisme afin de l'opposer à son contexte intellectuel et social.
Pourtant, il est indubitable qu'il systématise l'expression morale de l'ontologisme. Soulignons qu'il en conteste l'expression subsémiotique sous un angle idéationnel ; la liberté morale ou le syncrétisme ne suffisent ainsi pas à expliquer la science spéculative en regard du nativisme.
Le fait qu'il décortique, de ce fait, la relation entre antipodisme et syncrétisme signifie qu'il en décortique l'analyse transcendentale dans son acception primitive.
Dans cette même perspective, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche phénoménologique du finitisme afin de l'opposer à son cadre social. Notons par ailleurs qu'il interprète l'irréalisme rationnel de la pensée individuelle, car l'ontologisme nous permet d'appréhender un primitivisme génératif de l'Homme.
C'est dans cette même optique qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Hegel de critiquer le platonisme. Il faut cependant mitiger cette affirmation car Hegel conteste la destructuration sémiotique de l'ontologisme, et l'ontologisme s'oppose d'ailleurs fondamentalement à l'antipodisme moral.
Pourtant, il est indubitable qu'il restructure l'analyse sémiotique de l'ontologisme. Soulignons qu'il en spécifie l'analyse transcendentale en regard du synthétisme, et notre hypothèse de départ est la suivante : l'ontologisme ne se comprend qu'à la lueur de l'indéterminisme transcendental. C'est alors tout naturellement qu'il restructure la réalité empirique de l'ontologisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait reprocher à Kierkegaard sa dialectique déductive, et on ne saurait reprocher à Kant son nominalisme subsémiotique, néanmoins, il décortique la destructuration déductive de l'ontologisme.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il envisage la destructuration subsémiotique de l'ontologisme, et si d'autre part il en conteste la réalité irrationnelle dans son acception sartrienne alors même qu'il désire la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle, cela signifie donc qu'il conteste l'origine de l'ontologisme.
C'est dans une finalité identique qu'il s'approprie la destructuration morale de l'ontologisme et c'est le fait même qu'il systématise le monoïdéisme empirique de la pensée sociale qui infirme l'hypothèse qu'il en décortique l'origine générative dans sa conceptualisation.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Sartre, la contemporanéité à un finalisme moral.
Il est alors évident qu'il interprète la destructuration métaphysique de l'ontologisme. Soulignons qu'il en identifie l'origine morale comme concept spéculatif de la connaissance, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Chomsky envisage la démystification sémiotique de l'ontologisme, et si d'autre part il en décortique l'origine morale en tant qu'objet existentiel de la connaissance, alors il systématise l'expression déductive de l'ontologisme.
C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre la destructuration primitive de l'ontologisme, et on ne saurait reprocher à Spinoza son connexionisme métaphysique, il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il rejette la réalité déductive de l'ontologisme, c'est aussi parce qu'il en décortique l'origine rationnelle sous un angle idéationnel alors qu'il prétend l'opposer à son contexte politique.
C'est ainsi qu'on ne saurait ignorer la critique de la certitude rationnelle par Kierkegaard et d'une part il caractérise le criticisme par son mesmerisme irrationnel, d'autre part il en caractérise la démystification sémiotique comme objet synthétique de la connaissance.
Finalement, l'ontologisme illustre une immutabilité minimaliste dans une perspective kantienne contrastée.
Il est alors évident qu'il rejette la conception subsémiotique de l'ontologisme. Soulignons qu'il en donne une signification selon l'expression subsémiotique dans sa conceptualisation. Le paradoxe du suicide phénoménologique illustre alors l'idée selon laquelle la raison subsémiotique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme idéationnel.
On ne peut alors que s'étonner de la façon dont Chomsky critique le synthétisme idéationnel, et contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il interprète la démystification circonstancielle de l'ontologisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en interprète l'aspect rationnel comme concept transcendental de la connaissance.
L'ontologisme ne se borne en effet pas à être un distributionnalisme primitif dans une perspective spinozienne.
Néanmoins, il décortique la destructuration post-initiatique de l'ontologisme et l'ontologisme permet, par ce biais, de s'interroger sur un minimalisme comme objet originel de la connaissance.
Par ailleurs, on peut reprocher à Descartes son innéisme empirique, et on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le planisme substantialiste à un objectivisme, il faut cependant mitiger ce raisonnement car il particularise la réalité rationnelle de l'ontologisme.
Premièrement il décortique l'origine de l'ontologisme, deuxièmement il en interprète la destructuration rationnelle en tant que concept moral de la connaissance. De cela, il découle qu'il spécifie la conception circonstancielle de l'ontologisme.
De la même manière, il caractérise le monogénisme subsémiotique par son abstraction primitive pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.
On ne saurait, par déduction, écarter de notre réflexion la critique chomskyenne de la passion originelle.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne peut contester l'influence de Kant sur le terminisme universel, car l'ontologisme ne peut être fondé que sur le concept du causalisme idéationnel.
Par le même raisonnement, Sartre envisage l'aristotélisme de la pensée sociale.
On ne peut que s'étonner de la manière qu'a Nietzsche de critiquer l'irréalisme universel, et il est alors évident qu'il se dresse contre la réalité morale de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en spécifie la destructuration rationnelle en regard du syncrétisme.
L'abstraction primitive ou le suicide originel ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le monoïdéisme synthétique en tant que concept sémiotique de la connaissance.
Néanmoins, il systématise la relation entre pointillisme et dialectique afin de la resituer dans le cadre politique et intellectuel.
Pour un ontologisme synthétique.
La problématique de l'ontologisme n'est-elle pas analogue à celle de l'immoralisme ? On ne saurait écarter de cette étude l'impulsion kantienne de l'esthétique universelle, cependant, Descartes s'approprie l'expression minimaliste de l'ontologisme.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait reprocher à Chomsky son tribalisme primitif et on ne peut considérer qu'il particularise en effet la conception post-initiatique de l'ontologisme si l'on n'admet pas qu'il en caractérise l'expression phénoménologique dans son acception synthétique.
Finalement, la nomenclature kierkegaardienne de l'ontologisme est déterminée par une représentation synthétique du dogmatisme minimaliste. Dans cette même perspective, il conteste la réalité métaphysique de l'ontologisme, et on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion kantienne du pointillisme, pourtant, il est indubitable que Jean-Paul Sartre spécifie la réalité rationnelle de l'ontologisme. Notons néansmoins qu'il en examine la destructuration existentielle comme objet phénoménologique de la connaissance tout en essayant de le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
C'est ainsi qu'il restructure la destructuration minimaliste de l'ontologisme pour l'opposer à son cadre intellectuel et social.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Sartre, l'objectivité rationnelle à une extratemporanéité.
Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il interprète la réalité universelle de l'ontologisme, car l'ontologisme ne synthétise qu'imprécisément le finalisme post-initiatique.
C'est ainsi que Hegel se dresse contre le confusionnisme primitif dans son acception hegélienne. Néanmoins, il spécifie l'origine de l'ontologisme, et l'ontologisme s'oppose d'ailleurs fondamentalement à la consubstantialité spéculative.
C'est ainsi qu'il examine la conception rationnelle de l'ontologisme, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Nietzsche conteste la relation entre abstraction et syncrétisme, et que d'autre part il en interprète l'expression idéationnelle en regard de la raison alors qu'il prétend la resituer dans le contexte intellectuel, c'est donc il donne une signification particulière à l'analyse synthétique de l'ontologisme.
Si l'ontologisme primitif est pensable, c'est il en spécifie l'origine générative en tant que concept moral de la connaissance.
Il est alors évident qu'il donne une signification particulière à la conception rationnelle de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en rejette l'expression phénoménologique dans son acception idéationnelle ; le créationisme irrationnel ou le physicalisme rationnel ne suffisent alors pas à expliquer le tribalisme moral sous un angle originel.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'organisation leibnizienne de l'ontologisme est, par ce biais, déterminée par une représentation subsémiotique du maximalisme existentiel. Par conséquent il réfute le suicide déductif dans sa conceptualisation alors qu'il prétend l'opposer à son contexte politique et intellectuel.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le maximalisme spéculatif à un structuralisme génératif dans le but de le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.
Il est alors évident qu'il réfute la destructuration idéationnelle de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en systématise l'expression spéculative en regard de l'abstraction alors même qu'il désire l'opposer à son contexte intellectuel et politique, et le fait que Bergson envisage la destructuration minimaliste de l'ontologisme signifie qu'il en spécifie la démystification post-initiatique en tant que concept spéculatif de la connaissance.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il se dresse contre l'abstraction transcendentale de l'individu, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en identifie l'expression originelle en tant que concept phénoménologique de la connaissance, dans ce cas il se dresse contre l'expression métaphysique de l'ontologisme.
Cependant, il s'approprie l'analyse synthétique de l'ontologisme ; le physicalisme synthétique ou le tribalisme empirique ne suffisent ainsi pas à expliquer le maximalisme sémiotique comme concept substantialiste de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la vision hegélienne de l'ontologisme est alors déterminée par une intuition circonstancielle de l'objectivité synthétique. Cela signifie notamment qu'il particularise la conception post-initiatique de l'ontologisme.
Notons par ailleurs qu'on peut reprocher à Chomsky sa science générative afin de l'opposer à son cadre intellectuel et social.
Dans cette même perspective, il interprète la démystification déductive de l'ontologisme. L'ontologisme ne se borne néanmoins pas à être une esthétique en regard de la liberté.
Par le même raisonnement, Chomsky particularise la démystification générative de l'ontologisme.
On pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche métaphysique de la géométrie, et il est alors évident qu'il rejette la démystification synthétique de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en identifie l'origine transcendentale dans son acception sartrienne.
L'abstraction substantialiste ou l'irréalisme substantialiste ne suffisent pourtant pas à expliquer l'immutabilité morale dans sa conceptualisation.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme universel l'ontologisme (voir " critique de l'ontologisme ").
Contrastons cependant ce raisonnement : s'il réfute la conception rationnelle de l'ontologisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en systématise l'analyse sémiotique en tant que concept rationnel de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer à son cadre intellectuel et social. Le paradoxe du finalisme illustre pourtant l'idée selon laquelle le finitisme synthétique n'est ni plus ni moins qu'un criticisme métaphysique phénoménologique.
C'est ainsi que Leibniz interprète la conception transcendentale de l'ontologisme.
L'ontologisme pose la question de l'ultramontanisme dans son acception spinozienne, et de la même manière, on ne saurait ignorer l'influence de Montague sur le distributionnalisme originel.
Le paradoxe du modérantisme subsémiotique illustre donc l'idée selon laquelle l'universalisme n'est ni plus ni moins qu'un pluralisme universel.
Il est alors évident qu'il réfute la relation entre réalisme et consubstantialité. Soulignons qu'il en examine la démystification idéationnelle en tant qu'objet déductif de la connaissance et la perception kierkegaardienne de l'ontologisme provient ainsi d'une intuition post-initiatique du holisme.
Premièrement il donne une signification particulière à la démystification subsémiotique de l'ontologisme; deuxièmement il en restructure la destructuration substantialiste en regard du causalisme. Par conséquent il donne une signification particulière à la démystification irrationnelle de l'ontologisme.
Il est alors évident qu'il identifie la destructuration rationnelle de l'ontologisme. Soulignons qu'il en conteste l'expression universelle sous un angle phénoménologique ; le paradoxe de la science générative illustre donc l'idée selon laquelle le monoïdéisme n'est ni plus ni moins qu'un minimalisme minimaliste post-initiatique.
On ne peut considérer qu'il décortique alors l'analyse originelle de l'ontologisme que si l'on admet qu'il en particularise l'analyse primitive dans sa conceptualisation.
C'est dans une finalité analogue qu'il décortique la destructuration rationnelle de l'ontologisme afin de l'opposer à son cadre social et intellectuel. Pourtant, il se dresse contre la destructuration transcendentale de l'ontologisme. L'ontologisme illustre pourtant un monoïdéisme substantialiste de la pensée sociale.
Pour cela, on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude originelle à un spiritualisme universel. Pourtant, Rousseau se dresse contre la relation entre causalisme et science, et l'ontologisme permet d'ailleurs de s'interroger sur une extratemporanéité de la pensée individuelle.
Avec la même sensibilité, on pourrait mettre en doute Rousseau dans son approche primitive de l'objectivisme, et si l'ontologisme post-initiatique est pensable, c'est il en particularise l'origine primitive comme objet post-initiatique de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer à son cadre intellectuel et politique.
Pourtant, il donne une signification particulière à la démystification morale de l'ontologisme ; la géométrie existentielle ou la raison transcendentale ne suffisent en effet pas à expliquer le monoïdéisme idéationnel sous un angle universel.
C'est le fait même qu'il examine donc l'origine de l'ontologisme qui infirme l'hypothèse qu'il en restructure la réalité phénoménologique dans sa conceptualisation.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, la conscience minimaliste à un globalisme empirique et la forme hegélienne de l'ontologisme est donc déterminée par une représentation spéculative du nominalisme.
Cela nous permet d'envisager qu'il conteste la destructuration déductive de l'ontologisme, car on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Descartes sur l'extratemporanéité spéculative, pourtant, il conteste la relation entre platonisme et contemporanéité.
Par ailleurs, il se dresse contre la réalité substantialiste de l'ontologisme pour l'opposer à son contexte intellectuel le nativisme sémiotique.
L'ontologisme nous permet, finalement, d'appréhender un terminisme métaphysique en tant que concept post-initiatique de la connaissance.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme idéationnel l'ontologisme (voir " notes sur l'ontologisme "), et on ne saurait reprocher à Chomsky sa contemporanéité post-initiatique, il est alors évident qu'il conteste l'analyse rationnelle de l'ontologisme. Soulignons qu'il en donne une signification selon l'aspect minimaliste dans son acception subsémiotique.
On ne peut considérer qu'il réfute l'expression empirique de l'ontologisme que si l'on admet qu'il en examine l'expression rationnelle sous un angle primitif.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il donne une signification particulière à l'expression minimaliste de l'ontologisme et d'une part il particularise la réalité sémiotique de l'ontologisme, d'autre part il en rejette l'aspect substantialiste en regard du holisme.
On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la façon dont Bergson critique l'esthétique irrationnelle.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne peut contester l'impulsion montagovienne de la continuité, et la géométrie minimaliste ou la raison post-initiatique ne suffisent pas à expliquer le nihilisme synthétique sous un angle empirique.
Pour cela, on ne peut que s'étonner de la manière dont Descartes critique le rigorisme minimaliste.
L'ontologisme ne se comprend qu'à la lueur du spinozisme existentiel, et cela nous permet d'envisager que Descartes réfute l'analyse post-initiatique de l'ontologisme.
L'ontologisme ne peut pourtant être fondé que sur l'idée du spinozisme sémiotique.
Par ailleurs, il systématise la destructuration morale de l'ontologisme.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme idéationnel l'ontologisme. L'organisation kierkegaardienne de l'ontologisme est en effet à rapprocher d'une intuition subsémiotique de la géométrie déductive.
C'est dans une finalité analogue que Kant donne une signification particulière à l'analyse spéculative de l'ontologisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il particularise l'expression idéationnelle de l'ontologisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en systématise l'expression empirique en tant que concept sémiotique de la connaissance, alors il réfute l'analyse subsémiotique de l'ontologisme.
Il est alors évident qu'il particularise l'expression originelle de l'ontologisme. Soulignons qu'il en caractérise la démystification originelle dans une perspective montagovienne contrastée, et l'ontologisme nous permet d'ailleurs d'appréhender une raison spéculative en tant qu'objet originel de la connaissance.
L'ontologisme spéculatif.
Nous savons que Montague décortique l'origine de l'ontologisme, et d'autre part, il en systématise la réalité existentielle en regard de la géométrie tout en essayant de l'opposer à son contexte politique et social, c'est pourquoi il envisage la démystification synthétique de l'ontologisme afin de l'opposer à son contexte intellectuel et social.
Pourtant, il est indubitable qu'il systématise l'expression morale de l'ontologisme. Soulignons qu'il en conteste l'expression subsémiotique sous un angle idéationnel ; la liberté morale ou le syncrétisme ne suffisent ainsi pas à expliquer la science spéculative en regard du nativisme.
Le fait qu'il décortique, de ce fait, la relation entre antipodisme et syncrétisme signifie qu'il en décortique l'analyse transcendentale dans son acception primitive.
Dans cette même perspective, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche phénoménologique du finitisme afin de l'opposer à son cadre social. Notons par ailleurs qu'il interprète l'irréalisme rationnel de la pensée individuelle, car l'ontologisme nous permet d'appréhender un primitivisme génératif de l'Homme.
C'est dans cette même optique qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Hegel de critiquer le platonisme. Il faut cependant mitiger cette affirmation car Hegel conteste la destructuration sémiotique de l'ontologisme, et l'ontologisme s'oppose d'ailleurs fondamentalement à l'antipodisme moral.
Pourtant, il est indubitable qu'il restructure l'analyse sémiotique de l'ontologisme. Soulignons qu'il en spécifie l'analyse transcendentale en regard du synthétisme, et notre hypothèse de départ est la suivante : l'ontologisme ne se comprend qu'à la lueur de l'indéterminisme transcendental. C'est alors tout naturellement qu'il restructure la réalité empirique de l'ontologisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait reprocher à Kierkegaard sa dialectique déductive, et on ne saurait reprocher à Kant son nominalisme subsémiotique, néanmoins, il décortique la destructuration déductive de l'ontologisme.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il envisage la destructuration subsémiotique de l'ontologisme, et si d'autre part il en conteste la réalité irrationnelle dans son acception sartrienne alors même qu'il désire la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle, cela signifie donc qu'il conteste l'origine de l'ontologisme.
C'est dans une finalité identique qu'il s'approprie la destructuration morale de l'ontologisme et c'est le fait même qu'il systématise le monoïdéisme empirique de la pensée sociale qui infirme l'hypothèse qu'il en décortique l'origine générative dans sa conceptualisation.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Sartre, la contemporanéité à un finalisme moral.
Il est alors évident qu'il interprète la destructuration métaphysique de l'ontologisme. Soulignons qu'il en identifie l'origine morale comme concept spéculatif de la connaissance, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Chomsky envisage la démystification sémiotique de l'ontologisme, et si d'autre part il en décortique l'origine morale en tant qu'objet existentiel de la connaissance, alors il systématise l'expression déductive de l'ontologisme.
C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre la destructuration primitive de l'ontologisme, et on ne saurait reprocher à Spinoza son connexionisme métaphysique, il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il rejette la réalité déductive de l'ontologisme, c'est aussi parce qu'il en décortique l'origine rationnelle sous un angle idéationnel alors qu'il prétend l'opposer à son contexte politique.
C'est ainsi qu'on ne saurait ignorer la critique de la certitude rationnelle par Kierkegaard et d'une part il caractérise le criticisme par son mesmerisme irrationnel, d'autre part il en caractérise la démystification sémiotique comme objet synthétique de la connaissance.
Finalement, l'ontologisme illustre une immutabilité minimaliste dans une perspective kantienne contrastée.
Il est alors évident qu'il rejette la conception subsémiotique de l'ontologisme. Soulignons qu'il en donne une signification selon l'expression subsémiotique dans sa conceptualisation. Le paradoxe du suicide phénoménologique illustre alors l'idée selon laquelle la raison subsémiotique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme idéationnel.
On ne peut alors que s'étonner de la façon dont Chomsky critique le synthétisme idéationnel, et contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il interprète la démystification circonstancielle de l'ontologisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en interprète l'aspect rationnel comme concept transcendental de la connaissance.
L'ontologisme ne se borne en effet pas à être un distributionnalisme primitif dans une perspective spinozienne.
Néanmoins, il décortique la destructuration post-initiatique de l'ontologisme et l'ontologisme permet, par ce biais, de s'interroger sur un minimalisme comme objet originel de la connaissance.
Par ailleurs, on peut reprocher à Descartes son innéisme empirique, et on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le planisme substantialiste à un objectivisme, il faut cependant mitiger ce raisonnement car il particularise la réalité rationnelle de l'ontologisme.
Premièrement il décortique l'origine de l'ontologisme, deuxièmement il en interprète la destructuration rationnelle en tant que concept moral de la connaissance. De cela, il découle qu'il spécifie la conception circonstancielle de l'ontologisme.
De la même manière, il caractérise le monogénisme subsémiotique par son abstraction primitive pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.
On ne saurait, par déduction, écarter de notre réflexion la critique chomskyenne de la passion originelle.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne peut contester l'influence de Kant sur le terminisme universel, car l'ontologisme ne peut être fondé que sur le concept du causalisme idéationnel.
Par le même raisonnement, Sartre envisage l'aristotélisme de la pensée sociale.
On ne peut que s'étonner de la manière qu'a Nietzsche de critiquer l'irréalisme universel, et il est alors évident qu'il se dresse contre la réalité morale de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en spécifie la destructuration rationnelle en regard du syncrétisme.
L'abstraction primitive ou le suicide originel ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le monoïdéisme synthétique en tant que concept sémiotique de la connaissance.
Néanmoins, il systématise la relation entre pointillisme et dialectique afin de la resituer dans le cadre politique et intellectuel.
Pour un ontologisme synthétique.
La problématique de l'ontologisme n'est-elle pas analogue à celle de l'immoralisme ? On ne saurait écarter de cette étude l'impulsion kantienne de l'esthétique universelle, cependant, Descartes s'approprie l'expression minimaliste de l'ontologisme.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait reprocher à Chomsky son tribalisme primitif et on ne peut considérer qu'il particularise en effet la conception post-initiatique de l'ontologisme si l'on n'admet pas qu'il en caractérise l'expression phénoménologique dans son acception synthétique.
Finalement, la nomenclature kierkegaardienne de l'ontologisme est déterminée par une représentation synthétique du dogmatisme minimaliste. Dans cette même perspective, il conteste la réalité métaphysique de l'ontologisme, et on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion kantienne du pointillisme, pourtant, il est indubitable que Jean-Paul Sartre spécifie la réalité rationnelle de l'ontologisme. Notons néansmoins qu'il en examine la destructuration existentielle comme objet phénoménologique de la connaissance tout en essayant de le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
C'est ainsi qu'il restructure la destructuration minimaliste de l'ontologisme pour l'opposer à son cadre intellectuel et social.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Sartre, l'objectivité rationnelle à une extratemporanéité.
Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il interprète la réalité universelle de l'ontologisme, car l'ontologisme ne synthétise qu'imprécisément le finalisme post-initiatique.
C'est ainsi que Hegel se dresse contre le confusionnisme primitif dans son acception hegélienne. Néanmoins, il spécifie l'origine de l'ontologisme, et l'ontologisme s'oppose d'ailleurs fondamentalement à la consubstantialité spéculative.
C'est ainsi qu'il examine la conception rationnelle de l'ontologisme, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Nietzsche conteste la relation entre abstraction et syncrétisme, et que d'autre part il en interprète l'expression idéationnelle en regard de la raison alors qu'il prétend la resituer dans le contexte intellectuel, c'est donc il donne une signification particulière à l'analyse synthétique de l'ontologisme.
Si l'ontologisme primitif est pensable, c'est il en spécifie l'origine générative en tant que concept moral de la connaissance.
Il est alors évident qu'il donne une signification particulière à la conception rationnelle de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en rejette l'expression phénoménologique dans son acception idéationnelle ; le créationisme irrationnel ou le physicalisme rationnel ne suffisent alors pas à expliquer le tribalisme moral sous un angle originel.
Notre hypothèse de départ est la suivante : l'organisation leibnizienne de l'ontologisme est, par ce biais, déterminée par une représentation subsémiotique du maximalisme existentiel. Par conséquent il réfute le suicide déductif dans sa conceptualisation alors qu'il prétend l'opposer à son contexte politique et intellectuel.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le maximalisme spéculatif à un structuralisme génératif dans le but de le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.
Il est alors évident qu'il réfute la destructuration idéationnelle de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en systématise l'expression spéculative en regard de l'abstraction alors même qu'il désire l'opposer à son contexte intellectuel et politique, et le fait que Bergson envisage la destructuration minimaliste de l'ontologisme signifie qu'il en spécifie la démystification post-initiatique en tant que concept spéculatif de la connaissance.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il se dresse contre l'abstraction transcendentale de l'individu, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en identifie l'expression originelle en tant que concept phénoménologique de la connaissance, dans ce cas il se dresse contre l'expression métaphysique de l'ontologisme.
Cependant, il s'approprie l'analyse synthétique de l'ontologisme ; le physicalisme synthétique ou le tribalisme empirique ne suffisent ainsi pas à expliquer le maximalisme sémiotique comme concept substantialiste de la connaissance.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la vision hegélienne de l'ontologisme est alors déterminée par une intuition circonstancielle de l'objectivité synthétique. Cela signifie notamment qu'il particularise la conception post-initiatique de l'ontologisme.
Notons par ailleurs qu'on peut reprocher à Chomsky sa science générative afin de l'opposer à son cadre intellectuel et social.
Dans cette même perspective, il interprète la démystification déductive de l'ontologisme. L'ontologisme ne se borne néanmoins pas à être une esthétique en regard de la liberté.
Par le même raisonnement, Chomsky particularise la démystification générative de l'ontologisme.
On pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche métaphysique de la géométrie, et il est alors évident qu'il rejette la démystification synthétique de l'ontologisme. Il convient de souligner qu'il en identifie l'origine transcendentale dans son acception sartrienne.
L'abstraction substantialiste ou l'irréalisme substantialiste ne suffisent pourtant pas à expliquer l'immutabilité morale dans sa conceptualisation.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme universel l'ontologisme (voir " critique de l'ontologisme ").
Contrastons cependant ce raisonnement : s'il réfute la conception rationnelle de l'ontologisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en systématise l'analyse sémiotique en tant que concept rationnel de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer à son cadre intellectuel et social. Le paradoxe du finalisme illustre pourtant l'idée selon laquelle le finitisme synthétique n'est ni plus ni moins qu'un criticisme métaphysique phénoménologique.
C'est ainsi que Leibniz interprète la conception transcendentale de l'ontologisme.
L'ontologisme pose la question de l'ultramontanisme dans son acception spinozienne, et de la même manière, on ne saurait ignorer l'influence de Montague sur le distributionnalisme originel.
Le paradoxe du modérantisme subsémiotique illustre donc l'idée selon laquelle l'universalisme n'est ni plus ni moins qu'un pluralisme universel.
Il est alors évident qu'il réfute la relation entre réalisme et consubstantialité. Soulignons qu'il en examine la démystification idéationnelle en tant qu'objet déductif de la connaissance et la perception kierkegaardienne de l'ontologisme provient ainsi d'une intuition post-initiatique du holisme.
tu connais Fred Boucher Julius?
tu connais Fred Boucher Julius?
Si non, va faire un tour...
http://www.fredboucher.com/news.php?extend.21
et pour ceux qui ne voudraient pas lire tout l'article sur le site, allez juste à la toute fin de page, ça suffira.
Excuse moi Julius, j'ai lu et relu mais je n'ai absolument rien compris à ce que tu écris, mais vraiment rien, est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer?
Merci sahkti, maintenant moi aussi je pourrais briller en société;)
tu connais Fred Boucher Julius?
Si non, va faire un tour...
http://www.fredboucher.com/news.php?extend.21
Ben mince !
C'est pas mal :-)
Généré par le Janclodotron:
"Tu comprends, [sur un ton de mélopée] après il faut s'intégrer tout ça dans les environnements et on vit dans une réalité qu'on a créée et que j'appelle illusion et c'est très, très beau d'avoir son propre moi-même ! Et tu as envie de le dire au monde entier, including yourself. "
Généré par le Janclodotron:
"Tu comprends, [sur un ton de mélopée] après il faut s'intégrer tout ça dans les environnements et on vit dans une réalité qu'on a créée et que j'appelle illusion et c'est très, très beau d'avoir son propre moi-même ! Et tu as envie de le dire au monde entier, including yourself. "
T'es en train de me dire que j'aurais pu taper ça en 2s ? que je me suis galeré pour rien ? en tout cas une telle coïncidence entre les 2 propos ne peut qu'être d'origine divine ! c'est en effet troublant ... Dieu existerait il ? Je vous laisse méditer là-dessus.
généré par julius o tron ! ;-)
généré par julius o tron ! ;-)
Saule, si Yahvé fit l'interdiction à l'homme de manger le fruit de la connaissance du bien et du mal, c'est qu'il voulait le maintenir dans l'animalité? Excuse-moi si la question te semble débile, mais là, ça coïnce un peu pour moi.
Bonsoir Leura, bonsoir à toutes et à tous,
Me voilà de retour sur notre cher site après une longue absence : nous avons reçu beaucoup de famille et d'amis, et avons été jusqu'à quinze à table.
Ta question est très pertinente Leura. Dieu ne veut que notre bonheur. Or, notre monde crève d'orgueil. Les Saintes Ecritures nous annoncent la bonne nouvelle, que nous sommes tous frères et soeurs en Christ et que notre joie dépend aussi de notre dépendance à Dieu. Je sais bien que la pensée actuelle voudrait que nous trouvions notre épanouissement dans notre auto-suffisance ! Ecoute la prière scoute, elle te donnera une bonne illustration de ma pensée :
"Seigneur Jésus, apprenez-nous à être généreux, à vous servir comme vous le méritez, à me dépenser sans compter, à combattre sans souci des blessures, à n'attendre d'autre récompense que celle de savoir que nous faisons votre sainte volonté."
Leura, n'est-ce pas lassant d'aligner les poncifs (souverains poncifs) avec tant de régularité...
poncifs...et contre-vérités.
C'est ton droit de ne pas aimer l'église, même de la critiquer, mais essaye de garder le sens des nuances et l'esprit critique : Mordillat et Prieur ne sont pas infaillibles :-), restons sérieux.
ps; je ne pense pas que l'église devrait excommunier des gens, quoique je ne connaisse rien en la matière donc je n'entre pas dans une discussion. Ceci dit, si Degrelle frappe un curé, tu t'attendais à ce que le pape le félicite ?
Hahaha! La nouvelle bible, Mordillat et Prieur. Je suppose qu'ils en seraient flattés. Moi non plus, je ne pense pas que l'Eglise devrait excommunier des gens, mais il faut se placer dans le cadre de l'époque. J'ai vu hier soir un documentaire de la BBC, dans lequel témoignait un Polonais catholique que la résistance juive avait fait pénétrer dans le ghetto de Varsovie. Cet homme a été frappé par la profonde misère humaine qu'il y a vue, des cadavres partout des gens mourant de faim, etc. On lui a demandé de demander à Pie XII de faire un geste public, du type excommunication des nazis, ce qu'il n'a pas fait. Donc, pas d'excommunication de Hitler, mais bien celle d'un connard qui avait molesté un curé. Je n'approuve évidemment pas les coups donnés à ce pauvre curé, mais enfin, les faits parlent d'eux-mêmes: pas de désaveu public pour Hitler mais bien pour celui qui a frappé le curé. Il y aurait de quoi rire si...
Tu as raison, je n'aime pas l'Eglise du moins celle qui est dominée par les nouveaux pharisiens. Quant à celle de SGDP, de toi, de SJB, là c'est une autre affaire. Mais qu'on ne vienne pas réécrire l'histoire, et faire passer des kollabos pour des résistants, des pharisiens pour des saints, et la papauté pour le top.
Ceci dit, cette discussion m'ennuie souverainement, et je crois que nous ne serons jamais du même avis. Je n'ai rien contre la confrontation des idées, mon but n'est pas de convertir qui que ce soit, mais ça me fatigue.
Pie XII n'a pas excommunié officiellement les nazis, mais il a aidé de nombreux Juifs, les chrétiens aussi, au risque de leur vie. Le Saint Père MAXIMILIEN KOLBE n'a-t-il pas donné sa vie pour sauver celle d'une père de famille, par exemple ?
tu connais Fred Boucher Julius?
Ha ha ha ! Que serait le site sans Sahkti ,!!??
Ghislaine, comment t'as généré ton post ?!?!
dis moi pas que t'as trouvé le très recherché Prièrotron ! non dis moi pas que tu l'as trouvé !
Moi j'ai trouvé le jesus o matic :
Evangile de Jésus-Christ selon Saint Jean.
Dès le point du jour, Jésus fut accueilli par la foule tout en se dirigeant vers Jérusalem. Un pharisien nommé Mathias s'approcha et lui dit :
-- Un homme a-t-il le droit de divorcer d'avec sa femme pour une raison quelconque ?
Comme la foule écoutait ces paroles, Jésus lui répondit :
-- Malheur à vous quand tous les hommes diront du bien de vous, les anges vous précipiteront dans la fournaise ardente qui ne s'éteint jamais. Mais moi, je dis la vérité. C'est précisément pour cela que vous ne me croyez pas. C'est en fonction de vos propres paroles que vous serez condamnés.
Après quoi, Jésus s'adressa à ses disciples et poursuivit :
-- Si vous croyez en moi, alors votre récompense sera grande, vous serez les fils du Très-Haut. Si quelqu'un blasphème contre l'Esprit Saint, il ne lui sera jamais pardonné : il portera éternellement la charge de ce péché.
Nul ne fut capable de lui donner un mot de réponse et, à partir de ce jour-là, personne n'osa plus lui poser de question.
PS :
Non SJB et Sahkti, j'espère que vous ne vous gargarisez pas de penser que vous m'avez piégé. Je serais dans l'obligation de vous faire remarquer que dans le post "Si vous avez le temps..." j'avoue la supercherie avant même de la commettre. Ha ! ces petites victoires qui nous confortent dans nos certitudes, que c'est doux et bon ! :-)
et à la question "Que serait le site sans Sahkti ?" je répondrais un site avec moins de critiques ? j'ai bon ?
dis moi pas que t'as trouvé le très recherché Prièrotron ! non dis moi pas que tu l'as trouvé !
Moi j'ai trouvé le jesus o matic :
Evangile de Jésus-Christ selon Saint Jean.
Dès le point du jour, Jésus fut accueilli par la foule tout en se dirigeant vers Jérusalem. Un pharisien nommé Mathias s'approcha et lui dit :
-- Un homme a-t-il le droit de divorcer d'avec sa femme pour une raison quelconque ?
Comme la foule écoutait ces paroles, Jésus lui répondit :
-- Malheur à vous quand tous les hommes diront du bien de vous, les anges vous précipiteront dans la fournaise ardente qui ne s'éteint jamais. Mais moi, je dis la vérité. C'est précisément pour cela que vous ne me croyez pas. C'est en fonction de vos propres paroles que vous serez condamnés.
Après quoi, Jésus s'adressa à ses disciples et poursuivit :
-- Si vous croyez en moi, alors votre récompense sera grande, vous serez les fils du Très-Haut. Si quelqu'un blasphème contre l'Esprit Saint, il ne lui sera jamais pardonné : il portera éternellement la charge de ce péché.
Nul ne fut capable de lui donner un mot de réponse et, à partir de ce jour-là, personne n'osa plus lui poser de question.
PS :
Non SJB et Sahkti, j'espère que vous ne vous gargarisez pas de penser que vous m'avez piégé. Je serais dans l'obligation de vous faire remarquer que dans le post "Si vous avez le temps..." j'avoue la supercherie avant même de la commettre. Ha ! ces petites victoires qui nous confortent dans nos certitudes, que c'est doux et bon ! :-)
et à la question "Que serait le site sans Sahkti ?" je répondrais un site avec moins de critiques ? j'ai bon ?
Non
Comme ça, sans vérifier :
Saint Marc, (notamment ?), Ce que Dieu a lié au ciel ne peut être délié sur la terre. Les catholiques se basent là-dessus pour empêcher le divorce, les orthodoxes aussi pour l'accepter. Donc si un catholique veut divorcer il faut lui conseiller de se convertir à l'orthodoxie.
Je ne sais pas, je dirais Mathieu mais au hasard.
Jean
Jean aussi probablement
Mathieu, Marc, Luc (les trois ?) les pharisiens accusent Jésus de chasser les esprits grâce au pouvoir de Satan et Jésus dit que Satan ne peut pas travailler contre lui-même.
Parabole de l'homme riche qui demande à Jésus ce qu'il doit faire pour être parfait ?, dans Marc ?
J'avais compris.
-- Un homme a-t-il le droit de divorcer d'avec sa femme pour une raison quelconque ?
Saint Marc, (notamment ?), Ce que Dieu a lié au ciel ne peut être délié sur la terre. Les catholiques se basent là-dessus pour empêcher le divorce, les orthodoxes aussi pour l'accepter. Donc si un catholique veut divorcer il faut lui conseiller de se convertir à l'orthodoxie.
-- Malheur à vous quand tous les hommes diront du bien de vous, les anges vous précipiteront dans la fournaise ardente qui ne s'éteint jamais.
Je ne sais pas, je dirais Mathieu mais au hasard.
Mais moi, je dis la vérité. C'est précisément pour cela que vous ne me croyez pas. C'est en fonction de vos propres paroles que vous serez condamnés.
Jean
-- Si vous croyez en moi, alors votre récompense sera grande, vous serez les fils du Très-Haut.
Jean aussi probablement
Si quelqu'un blasphème contre l'Esprit Saint, il ne lui sera jamais pardonné : il portera éternellement la charge de ce péché.
Mathieu, Marc, Luc (les trois ?) les pharisiens accusent Jésus de chasser les esprits grâce au pouvoir de Satan et Jésus dit que Satan ne peut pas travailler contre lui-même.
Nul ne fut capable de lui donner un mot de réponse et, à partir de ce jour-là, personne n'osa plus lui poser de question.
Parabole de l'homme riche qui demande à Jésus ce qu'il doit faire pour être parfait ?, dans Marc ?
PS :
Non SJB et Sahkti, j'espère que vous ne vous gargarisez pas de penser que vous m'avez piégé. Je serais dans l'obligation de vous faire remarquer que dans le post "Si vous avez le temps..." j'avoue la supercherie avant même de la commettre. Ha ! ces petites victoires qui nous confortent dans nos certitudes, que c'est doux et bon ! :-)
J'avais compris.
Je pense que la question: que serait le site sans sahkti? s'apparente à : que serait l'homme sans la femme, ou encore que serait la terre sans le soleil, Sahkti, c'est une raison de vivre.
Que serait le site sans Sahkti
Que serait Colomb sans l'Amérique
Que serait le Mississipi sans lit
Que serait Huy sans Guinness
Que serait Sahkti sans Oui-oui
Que serait Oui-oui sans Pascal, Minos 6042, Descartes, Lyra et maintenant Satange et puis qui encore ? Grrrrr !!!
Que serait Colomb sans l'Amérique
Que serait le Mississipi sans lit
Que serait Huy sans Guinness
Que serait Sahkti sans Oui-oui
Que serait Oui-oui sans Pascal, Minos 6042, Descartes, Lyra et maintenant Satange et puis qui encore ? Grrrrr !!!
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