Septième ciel de Janet Evanovich

Septième ciel de Janet Evanovich
( Seven up)

Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers

Critiqué par Mademoiselle, le 15 octobre 2005 (Inscrite le 29 mars 2004, 36 ans)
La note : 8 étoiles
Moyenne des notes : 6 étoiles (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : 4 étoiles (50 508ème position).
Discussion(s) : 1 (Voir »)
Visites : 4 273  (depuis Novembre 2007)

Loufoquerie à plein régime

Eddie De Chooch a plus de 80 ans. Cet ex-mafieux, bigleux, dépressif donne pourtant bien du fil à retordre à Stéphanie Plum, censée le ramener au tribunal. Surtout qu’Eddie De Chooch sort avec sa grand-mère. Deux amis de De Chooch ressemblants à Laurel et Hardy s’incrustent régulièrement dans l’appartement de Stéphanie pour savoir où elle en est. Sa sœur débarque avec ses 2 filles chez ses parents parce que son mari est parti avec la baby-sitter en la laissant sur la paille. Valérie est encore plus folle que le reste de la famille. Lorsque les ex-camarades de classe aux cerveaux ressemblants à deux œufs sur le plat qu’elle avait retrouvé dans « Six appeal » disparaissent sans laisser de trace, Stéphanie se sent coupable. Elle se tourne vers Ranger qui est bien décidé à profiter de la situation. S’il arrête De Chooch, Stéphanie et lui passeront une nuit ensemble. Juste au moment où Joe Morelli s’efforce de convaincre Stéphanie de l’épouser !

L’intrigue est absolument impossible mais hilarante. Je regrette que Mamie Mazur soit de plus en plus vulgaire, cela devient trop. La guerre Joe-Ranger est à présent bel et bien ouverte et Stéphanie ne sait toujours pas lequel choisir car les deux lui fichent la frousse par certains côtés. On assiste à différentes scènes de ménage entre Joe et Stéphanie, celui-ci ne supportant plus sont métier de chasseuse de prime et qu’elle travaille avec Ranger.

Il faut absolument lire la série dans l’ordre car les personnages changent et leurs relations évoluent :
« Je me relaxai dans mon siège en songeant à Ranger. La première fois que je l’avais vu, il était tout en muscles et roulait des mécaniques. Il parlait et marchait selon le plus peu style ghetto Hispano, s’habillait en treillis et en noir style SWAT. Et voilà que, tout à ocup, il s’habillait en cachemire, écoutait du classique et s’exprimait davantage comme un professeur de Harvard que comme Coolio.
-Tu n’aurais pas un frère jumeau, par hasard ? lui demandai-je.
-Non, murmura-t-il d’une voix douce. Je suis un modèle unique. »

Un tome dans la droite ligne de la série.

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5 étoiles

Critique de Baspial (, Inscrit le 4 juin 2005, 66 ans) - 16 avril 2006

Et bien je suis arrivé au bout ! 318 pages...
De nombreux arrêts, donc des passages lus et relus..

Je préfère de vieilles choses comme Simenon par exemple..

Le livre.. disons quelques bonnes caricatures.. Benny et Ziggy, Joe Moretti, Ranger, Vinnie, DeChooch... l'un ou l'autre bon fil conducteur (mariage probable et robe de mariée de la chasseuse de primes) ... et quelques moments agréables (coiffure de Art Garfunkel, combat dans la boue)

J'avais oublié avant de lire le sept, il est préférable de lire les 6 premiers volumes... La prime, A la une, à la deux, à la mort, Deux fois n'est pas coutume, Quatre ou double, Cinq à sexe, Six appeal... Beaucoup de courage donc !

Voire ...

4 étoiles

Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 67 ans) - 22 novembre 2005

Peut être pas une bonne idée que d’attaquer un personnage récurrent, Stéphanie Plum en l’occurrence, par un ouvrage qui n’est pas le premier de la série. Septième ciel semble être le numéro sept puisque le précédent, le sixième c’était Six Appeal et le cinquième de Cinq à Sexe …
J. Evanovitch s’est peut être trompée de public avec moi ! Un peu dans la veine Armistead Maupin, qui lui fait « dans » San francisco et ses indigènes. Sauf que Maupin a beaucoup plus de fond, de réflexions, de recul.
J. Evanovitch, c’est un peu premier degré quand même. Un peu nunuche, un peu (tout petit peu) politiquement incorrect, pas le grand frisson quand même.
Très facile à lire, ça doit s’écrire un peu aussi au kilomètre. Les personnages sont hyper simplistes, du prêt à consommer. Une sorte de Mac Do de la littérature.
Aux amateurs d’Evanovitch je dis, voyez Armistead Maupin, c’est le cran au dessus. Enfin, quelques crans.

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  Aujourd'hui, peut on encore rire en lisant ? 17 Eva 29 décembre 2005 @ 10:55

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