Et désolé pour les fautes, je poste depuis mon téléphone.
Pareil que mes deux prédécesseurs en ce qui me concerne: je préfère passer à côté de certaines phrases, certains passages ou certains mots et me laisser guider par le texte dans sa globalité, plutôt que d'être interrompue sans arrêt et avoir une lecture morcelée.
Je procède de la même manière quand je lis un texte dans une langue étrangère: je ne comprends pas tous les mots, mais si je comprends l'essentiel je ne m'attarde pas à les chercher tous dans le dictionnaire.
Je procède de la même manière quand je lis un texte dans une langue étrangère: je ne comprends pas tous les mots, mais si je comprends l'essentiel je ne m'attarde pas à les chercher tous dans le dictionnaire.
?????? pas de réaction ???????
Moi j’admire beaucoup, Eva, ta volonté de lire ces textes dans leur intégralité et d’essayer de tout comprendre sans rien laisser passer.
Mais il faut choisir : il y a des traductions très littérales qui reprennent presque le mot à mot du texte original. C’est probablement ce que tu cherches mais, à mon avis, c’est plus ennuyeux à lire. On doit tout le temps interrompre sa lecture pour lire les annotations.
Moi je te conseillerais les traductions plus littéraires qui respectent mieux l’esprit du texte et qu’on lit avec plus de plaisir parce qu’on comprend tout, sans lire des annotations.
Tu ne dois pas oublier que ce sont des comédies qu’on lit pour son plaisir.
Quand il s’agit de textes philosophiques ou sacrés, chaque mot a son importance et une traduction au mot à mot est parfois intéressante, mais ici pas.
Pour reprendre l’exemple que tu donnes avec la Farce de Maître Pathelin, je trouve que la traduction de Hatier-Poche-Collège est la meilleure.
Par exemple, « avocat à la noix » est certainement une traduction libre mais elle respecte bien l’esprit des comédies de Molière.
Si Molière écrivait aujourd’hui, c’est bien l’expression qu’il aurait employée.
Pour le plaisir de la lecture, je suis assez d'accord avec Saint Jean-Baptiste.
Pour une lecture universitaire ou très analytique, je pense qu'Eva est dans une bonne démarche.
Mais tout dépend ce que l'on cherche, pourquoi on lit ce texte, ce que l'on attend de la lecture...
Pour une lecture universitaire ou très analytique, je pense qu'Eva est dans une bonne démarche.
Mais tout dépend ce que l'on cherche, pourquoi on lit ce texte, ce que l'on attend de la lecture...
Il faut surtout pratiquer pour prendre l'habitude des tournures de phrase et des mots récurrents, le vocabulaire était, il me semble, plus restreint à l'époque,on retrouve souvent les mêmes expressions. A l'entraînement !
Eva, tu devrais nous dire ce qui t’intéresse tellement dans ces études du mot à mot des textes anciens. Tu as fait des études de philologie ?
Ou bien alors, tu prends ça comme un hobby ?
Je trouve que s’il fallait à tout prix apprendre une langue ancienne, plutôt que d’apprendre le wallon à l’école, ou le picard, ou le guaumais, ou n’importe quel patois, ce serait plus intéressant d’apprendre l’ancien français, il y a au moins une belle littérature dans cette langue là.
Eva, tu voudrais te lancer dans l’étude de cette langue là, peut-être ? Ça pourrait être intéressant, finalement.
Ou bien alors, tu prends ça comme un hobby ?
Je trouve que s’il fallait à tout prix apprendre une langue ancienne, plutôt que d’apprendre le wallon à l’école, ou le picard, ou le guaumais, ou n’importe quel patois, ce serait plus intéressant d’apprendre l’ancien français, il y a au moins une belle littérature dans cette langue là.
Eva, tu voudrais te lancer dans l’étude de cette langue là, peut-être ? Ça pourrait être intéressant, finalement.
C'est intéressant ton analyse comparative Eva. Mais tu ne peux pas les lire tous : choisis-en un et tant pis si tu passes à côté de l'une ou l'autre subtilité. Chaque traduction à ses avantages et ses inconvénients, cependant les extraits que tu donnes laissent penser qu'elles sont toutes bonnes (j'ai une réserve sur le jeux de mot Gri.. maire, grimoire dans le classique Hatier, je préfère la sobriété de Etonnants classiques GF, pour ce cas précis).
Pareil que mes deux prédécesseurs en ce qui me concerne: je préfère passer à côté de certaines phrases, certains passages ou certains mots et me laisser guider par le texte dans sa globalité, plutôt que d'être interrompue sans arrêt et avoir une lecture morcelée.
Je procède de la même manière quand je lis un texte dans une langue étrangère: je ne comprends pas tous les mots, mais si je comprends l'essentiel je ne m'attarde pas à les chercher tous dans le dictionnaire.
Je trouve l'exemple de Sissi très parlant.
Je lis pas mal de romans en anglais,mais, bien sûr, je ne connais pas la signification précise de chaque mot. Alors je les souligne pour aller plus tard sonsulter le dico (ou pas), mais jamais je ne suis assez gênée pour devoir interrompre ma lecture, qui, dans ce cas, deviendrait une corvée.
Dans mes études d'anglais, j'ai fait de la philologie anglaise et c'était absolument passionnant, mais très ardu par moments.
Je regrette maintenant de ne jamais avoir fait de philologie française, mais on ne peut pas tout faire !
Banque de données lexicales:
http://www.cnrtl.fr/definition/academie4/grimoire
+ trouvé ce site "bac français" -ici,en lien,la page détaillée "vocabulaire"-
http://www.bacdefrancais.net/voc.html
ou tu trouveras la plupart des oeuvres classiques en ligne en page d'accueil...sinon tape "études".
Bon,après,d'un point de vue perso,je rejoins Stavro et Sissi:je me demande si tu retires un véritable plaisir de tes lectures...?
http://www.cnrtl.fr/definition/academie4/grimoire
+ trouvé ce site "bac français" -ici,en lien,la page détaillée "vocabulaire"-
http://www.bacdefrancais.net/voc.html
ou tu trouveras la plupart des oeuvres classiques en ligne en page d'accueil...sinon tape "études".
Bon,après,d'un point de vue perso,je rejoins Stavro et Sissi:je me demande si tu retires un véritable plaisir de tes lectures...?
De mon point de vue, et pour rejoindre Eva, il est important d'enseigner le texte le plus authentique que possible à des élèves, ils se font leur point de vu sur quelque de brute.
Quitte à ce qu'ils le relisent à leur sauce, quelques années plus tard.
Quitte à ce qu'ils le relisent à leur sauce, quelques années plus tard.
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