et puis j'avoue que l'idée d'avoir tous ces livres sur soi d'un coup, ça me tente à mort pour les voyages.
Tout tes livres? Est-ce bien raisonnable? Et utile?
La fonction première d'un reader n'est pas d'être une bibliothèque ambulante, mais de te permettre de lire dans des conditions plus confortables. Un reader, dans sa housse, c'est un petit bouquin de 11X15 cm, qui pèse 200 g, quelle que soit la taille du livre en cours.Et si tu emmènes 50 bouquins en voyage, il pèsera toujours 200 g!
Plus confortable aussi, car tu choisis la taille de police adaptée à ta vue, et même, pour certains readers, la police.
- l'autonomie d'avoir tous ses livres avec soi, c'est bien... mais du coup, tu dépends de l'alimentation du lecteur. C'est de cette dépendance électronique que j'essaie aussi d'un peu me détacher, donc...
Ta bibliothèque d'ebooks, ce n'est pas sur ton reader que tu la stokes, mais sur ton PC, dans un logiciel comme Calibre, ou autre, à partir duquel tu alimentes ta liseuse.
Mon rêve serait, comme je l'ai fait pour ma discothèque, de numériser ma bibliothèque. Mais impossible à faire sans dépiauter l'original!
Quelle tristesse que ces machines hélas sûrement promises à un bel avenir.
Un livre se déguste, un fichier sur reader se consomme. Consommation de masse de textes indifférenciés. Partir en vacances avec 75 bouquins, c'est fantastique ? Je n'arrive pas à m'en convaincre.
Borgès déplorait que l'imprimerie ait permis de multiplier les textes inutiles. On entre maintenant dans leur exponentialisation.
Je suis bien d'accord avec Beigbeder
http://lexpress.fr/culture/livre/…
Un livre se déguste, un fichier sur reader se consomme. Consommation de masse de textes indifférenciés. Partir en vacances avec 75 bouquins, c'est fantastique ? Je n'arrive pas à m'en convaincre.
Borgès déplorait que l'imprimerie ait permis de multiplier les textes inutiles. On entre maintenant dans leur exponentialisation.
Je suis bien d'accord avec Beigbeder
http://lexpress.fr/culture/livre/…
Un livre se déguste, un fichier sur reader se consomme.
Rien de nouveau sous le soleil!
« Est virgo hec penna, meretrix est stampificata », "la plume est une vierge, l'imprimerie une putain." écrivait à Venise au 15ème siècle, le dominicain Filippo della Strada, condamnant sans appel l’imprimerie.
Borgès déplorait que l'imprimerie ait permis de multiplier les textes inutiles.
Parlait-il de son œuvre? Il est certain que sans l'imprimerie, je ne l'aurais jamais rencontrée.
Tant qu'il y aura des bibliothèques bien garnies, je ne me poserai pas trop la question. On verra bien !
Tout tes livres? Est-ce bien raisonnable? Et utile?
Oui, vu la quantité de livres que j'ai, le nombre de déménagements que j'ai faits (et pas toujours faciles: un déménagement à 2000 km, un déménagement à 500 mètres, mais sans voiture), la taille de mon appart, etc. si je pouvais me contenter de fichiers virtuels pour TOUS mes livres, pour le même confort et plaisir, je le ferais peut-être...
Enfin, dans l'absolu, hein, je ne pense pas pouvoir y retrouver le même plaisir et les mêmes sensations, comme je l'ai expliqué plus haut ;-)
La fonction première d'un reader n'est pas d'être une bibliothèque ambulante, mais de te permettre de lire dans des conditions plus confortables. Un reader, dans sa housse, c'est un petit bouquin de 11X15 cm, qui pèse 200 g, quelle que soit la taille du livre en cours.Et si tu emmènes 50 bouquins en voyage, il pèsera toujours 200 g!
ça m'a l'air totu à fait contradictoire, là. Parce qu'une fois que tu es en train de le lire, ton livre, que ce soit sur papier ou sur liseuse, le poids est sensiblement le même, non? Le gros avantage, c'est justement d'avoir à disposition une quantité énorme de livres dans le même format/poids. Donc, si je devais avoir un reader, ce serait pour l'emmener et avoir la liberté de choisir sur le moment à quel livre je vais m'attaquer...
Ta bibliothèque d'ebooks, ce n'est pas sur ton reader que tu la stokes, mais sur ton PC, dans un logiciel comme Calibre, ou autre, à partir duquel tu alimentes ta liseuse.
Je sais bien, je connais un peu quand même ;-)
Ce que je voulais dire (mais c'est vrai que c'est pas évident à comprendre si on ne me connait pas un peu et si on ne voit pas comment je vis :p), c'est que chez moi, le PC est "la machine au centre de tout", on essaie de se passer du reste. Pas de chaine Hifi, on a copié tous nos CD sur le disque dur et on n'achète plus qu'en ligne. Pas de télé, lecteur DVD, etc.: on regarde les films sur le PC. On n'est pas des rétrogrades, on ne pourrait pas de passer d'un PC, mais on essaie de limiter ce qu'il y a autour, donc dans mon opinion, une liseuse serait "un gadget". Mais je comprendrais parfaitement que ça ne le soit pas pour un autre, et que mon ustencile de cuisine préféré et indispensable (qui transforme les courgettes, carottes, patates douces, etc. en spaguettis) soit un gadget pour plein de monde ;-)
Un livre se déguste, un fichier sur reader se consomme.
Rien de nouveau sous le soleil!
« Est virgo hec penna, meretrix est stampificata », "la plume est une vierge, l'imprimerie une putain." écrivait à Venise au 15ème siècle, le dominicain Filippo della Strada, condamnant sans appel l’imprimerie
Oui, mais il ne faut pas oublier le temps d'adaptation nécessaire. Avant, les progrès techniques et technologiques se "digéraient" sur des générations et des générations. Aujourd'hui on demande à un être humain de la même espèce qu'il y a 5 siècles de tout digérer sur une vie. Si c'était déjà compliqué pour Filippo della Strada, imagine pour Guigomas :p
Aujourd'hui on demande à un être humain de la même espèce qu'il y a 5 siècles de tout digérer sur une vie. Si c'était déjà compliqué pour Filippo della Strada, imagine pour Guigomas :p
Mallollo, tu as bien raison. Je me dis souvent la même chose de mes grands-parents, nés en sabots dans une ferme chauffée au bois et éclairée au pétrole lampant et morts à l'heure d'Internet.
Ils avaient un album photo avec des clichés rares mais précieux, souvent un peu ratés. Album d'une grande valeur sentimentale pour leurs enfants. Moi, quand je mourrai, j'aurai deux disques durs de 500 Go avec des dizaines de milliers de photos que personne ne prendra le temps de regarder. J'écris ça parce que Sapo compare le "reader" avec l'appareil photo numérique. Il a raison, dans les deux cas c'est la quantité (on devrait parler de surquantité) qui compte. On vit une époque qui amasse.
Et puis n'oubliez pas que ces machins marchent avec des piles (ou batteries, ne chipotons pas) ! La pile, c'est l'ennemie de la disponibilité. On en reparlera quand, au moment de lire le nom de l'assassin, votre reader vous lachera en rase campagne !!
et que mon ustencile de cuisine préféré et indispensable (qui transforme les courgettes, carottes, patates douces, etc. en spaguettis) soit un gadget pour plein de monde ;-)
Tu oublies le concombre!
Des spaghettis de concombre, crème fraîche, jus de citron et saumon fumé en lamelles. Hum...
Viva Spirelli!
et que mon ustencile de cuisine préféré et indispensable (qui transforme les courgettes, carottes, patates douces, etc. en spaguettis) soit un gadget pour plein de monde ;-)
Tu oublies le concombre!
Des spaghettis de concombre, crème fraîche, jus de citron et saumon fumé en lamelles. Hum...
Viva Spirelli!
Ah, voilà en fin connaisseur en e-readers ET cuisine bizarre :) Je n'ai pas le Spirelli, mais un gros taille-crayon qui fonctionne pareil... et je t'assure que la courgette crue est plus fine que le concombre, à tester, surtout en salade ;)
Et puis n'oubliez pas que ces machins marchent avec des piles (ou batteries, ne chipotons pas) ! La pile, c'est l'ennemie de la disponibilité. On en reparlera quand, au moment de lire le nom de l'assassin, votre reader vous lachera en rase campagne !!
Guigomas! Si tu lis un polar en rase campagne, pense au moins à prendre 3 jeux de piles (ou 3 batteries) de rechange, diantre!!!
J'ai essayé le Ipad d'un collègue (c'est la fameuse tablette tactile de Apple), et aussi un smart phone basé sur Android (du même collègue, qui est un geek). Bonne nouvelle : le site critiqueslibres fonctionne parfaitement dessus, aussi bien sur le smartphone que sur l'IPad.
Pour lire, je préfère un e-book reader spécialisé (Kindle), à cause de l'encre électronique. C'est très difficile de faire comprendre ça à mon collègue, il me prend pour un débile. Cependant, les vrai lecteurs forment une niche, il faut être dans le cas pour le savoir. Et pour nous, il faudra quand même un outil spécialisé, même si pour à peine plus cher on pourrait avoir l'Ipad.
Pour lire, je préfère un e-book reader spécialisé (Kindle), à cause de l'encre électronique. C'est très difficile de faire comprendre ça à mon collègue, il me prend pour un débile. Cependant, les vrai lecteurs forment une niche, il faut être dans le cas pour le savoir. Et pour nous, il faudra quand même un outil spécialisé, même si pour à peine plus cher on pourrait avoir l'Ipad.
Pour lire, je préfère un e-book reader spécialisé (Kindle), à cause de l'encre électronique.
Tout à fait d'accord avec toi.
Le seul avantage de l'iPad est de lire confortablement les PDF, éventuellement en double page.
Rien de nouveau sous le soleil!
« Est virgo hec penna, meretrix est stampificata », "la plume est une vierge, l'imprimerie une putain." écrivait à Venise au 15ème siècle, le dominicain Filippo della Strada, condamnant sans appel l’imprimerie.
Je crois vraiment que la comparaison ne tient pas.
Le passage de la plume à l'imprimerie enlève peut-être un peu de sa noblesse à l'écriture, l'uniformise et la massifie (déjà...), mais finalement, le procédé reste le même : on écrit toujours des caractères sur du papier.
Avec le Kindle (dans lequel je suspecte Sapo d'avoir investi toutes ses économies), on assiste à une véritable dématérialisation de l'écriture et ça, c'est nouveau pour l'écrit.
Vous me direz alors que le parallèle peut-être fait avec la musique, sauf que non. Parce que dès lors que le piano n'est pas dans le salon, la musique, qu'elle soit sur vinyle, bande ou CD est dématérialisée. Avec le passage au MP3, c'est uniquement le support qui a été dématérialisé.
Et puis, enfin, la musique sur support, ça a quoi ? 100-150 ans à peine ? Et il y a déjà eu plusieurs changements de support tous plus immatériels les uns que les autres. Avec l'écriture sur un support quelconque (pierre, papyrus, papier), on parle de milliers et de milliers d'années, c'est elle qui fait que débute l'histoire de l'humanité.
Bref, back to the trees ! Je garde mon gros bouquin qui m'encombre et mon stylo pour le griffoner dans la marge !
Avec le Kindle (dans lequel je suspecte Sapo d'avoir investi toutes ses économies), on assiste à une véritable dématérialisation de l'écriture et ça, c'est nouveau pour l'écrit.
Pas de Kindle, mais un Cybook Opus. Le Kindle est un produit fermé, qui n'accepte pas le format ePub. Quant à mes économies, vrai, elles ont pris une sacrée claque. Bien simple, depuis février, je ne mange plus que des pâtes à l'eau, sans beurre!
Avec l'écriture sur un support quelconque (pierre, papyrus, papier), on parle de milliers et de milliers d'années, c'est elle qui fait que débute l'histoire de l'humanité.
C'est à pied que durant des dizaines de milliers d'années, l'homme a conquis et peuplé la Terre. Et seulement depuis un siècle qu'il la parcoure en voiture, en train ou en avion.
Mais je le répète, rien de nouveau sous le soleil!
Que disait Arago en 1838 du chemin de fer:
"On rencontrera dans le tunnel une température de 8 degrés Réaumur, en venant d'en subir une de 40 à 45 degrés. J'affirme sans hésiter que, dans ce passage subit du chaud au froid, les personnes sujettes à la transpiration seront incommodées, qu'elles gagneront des fluxions de poitrine, des pleurésies, des catarrhes."
Le e book est l'une des pires inventions de l'homme car cela met en marche le commerce interactif du livre. On peut alors prévoir à long terme la disparition du métier de bibliothécaire remplacé par des bornes électriques comme les dvd ou des troubles le secteur des éditions et des impressions.
Diffuser des œuvres classiques ou des livres rares est le coté clair de la "force" mais des déviances vont inévitablement apparaitre.
Le livre ne sont pas que des pages mais le symbole d'idées inscrites noir sur blanc que aucun système informatique ne doit ni ne peut troubler.
Diffuser des œuvres classiques ou des livres rares est le coté clair de la "force" mais des déviances vont inévitablement apparaitre.
Le livre ne sont pas que des pages mais le symbole d'idées inscrites noir sur blanc que aucun système informatique ne doit ni ne peut troubler.
Le e book est l'une des pires inventions de l'homme
Comme la langue d'Esope, il sera ce que nous en ferons, le pire ou le meilleur, ou le pire et le meilleur.
Le livre ne sont pas que des pages mais le symbole d'idées inscrites noir sur blanc que aucun système informatique ne doit ni ne peut troubler.
Je suis à relire la Recherche sur un reader. L'émotion est la même, inscrite toujours en noir sur blanc. Sauf qu'à 70 ans j'ai du mal à la relire dans la collection de la Pléiade sans lunettes.
Et en plus, j'ai les sept volumes dans la poche!
Ou as-tu pris ton édition e-book de la Recherche ? Sur un site d'e-book gratuit ?
Avoir les sept volumes en poche, à moins que tu ne partes sur une ile déserte, est-ce vraiment utile ?
Avoir les sept volumes en poche, à moins que tu ne partes sur une ile déserte, est-ce vraiment utile ?
Stavro, j'avoue que je ne comprends pas ton parallèle avec la musique. Avec le reader, c'est également seulement le support qui est dématérialisé : ce n'est plus du papier, mais un écran, c'est tout. Pour moi, la matérialité du texte n'en est pas profondément affectée (ou alors de façon positive, la bestiole offrant des possibilités supplémentaires).
Je trouve que c'est justement la dimension matérielle qui rend la lecture contraignante. Tu parles toi-même de gros bouquins encombrants. Transporter, voire conserver un livre sans l'abîmer relève souvent du casse-tête, c'est très fragile par rapport au reader. Je pense que débarrassé des contraintes matérielles, le rapport au texte doit être plus immédiat.
Je trouve que c'est justement la dimension matérielle qui rend la lecture contraignante. Tu parles toi-même de gros bouquins encombrants. Transporter, voire conserver un livre sans l'abîmer relève souvent du casse-tête, c'est très fragile par rapport au reader. Je pense que débarrassé des contraintes matérielles, le rapport au texte doit être plus immédiat.
Ou as-tu pris ton édition e-book de la Recherche ? Sur un site d'e-book gratuit ?
Là:
http://www.ebooksgratuits.com/ebooks.php
Avoir les sept volumes en poche, à moins que tu ne partes sur une ile déserte, est-ce vraiment utile ?
Utile? Je n'oserais dire. Mais agréable.
Je vais essayer un parallèle: je suis incapable de relire les Rougon-Macquart autrement que dans l'ordre chronologique.
Pour la Recherche, c'est différent. Je pioche au hasard des volumes et au hasard du volume. Et la petite musique est toujours là.
Un peu comme le Messie. Tu peux démarrer sur n'importe quelle piste, c'est toujours la grâce.
J'ai essayé plusieurs modèles de e-book au salon du numérique, et je dois bien dire qu'ils ne m'ont absolument pas convaincu, malgrès les paroles enthousiastes de la fille qui les présentait. Même sur le Kindle qui est censé être le plus pratique, on ne retrouve pas le confort de lecture que l'on a avec le livre papier. On m'a aussi présenté l'i-pad qui fait aussi figure de livre électronique, mais il est carément hors de prix, et me semble fragile. Mais pour lire un livre électronique, il faut aussi... le payer ! Logique après tout : les editeurs ne vont pas donner leurs livres, même sous format numérique. Sans quoi l'édition connaitrait le même sort que le cinéma et la musique téléchargés illégallement à fond la caisse.
Mais il faudra quand même me dire l'interêt de payer un livre aussi cher qu'en librairie et de payer en même temps un support à 200 € qui peut tomber en panne, se casser, alors que le livre papier, mis à rude épreuve sur la plage ou dans les malles résiste la plupart du temps sans problème.
Il y a aussi "l'affaire 1984" du kindle où les usagers qui avaient acheté ce livre l'ont vu disparaitre soudainement de leur appareil. En effet, amazon avait oublié de racheter les droits de diffusion et à donc été contrait de l'enlever de tous ses kindle. C'est comme si le libraire venait frapper à notre porte en nous disant que le livre qu'il nous a vendu illégallement un livre et le doit le reprendre. Hallucinant.
Que ce soit sur le plan technique ou "juridique", le e-book a quand même un long chemin à parcourir.
Mais il faudra quand même me dire l'interêt de payer un livre aussi cher qu'en librairie et de payer en même temps un support à 200 € qui peut tomber en panne, se casser, alors que le livre papier, mis à rude épreuve sur la plage ou dans les malles résiste la plupart du temps sans problème.
Il y a aussi "l'affaire 1984" du kindle où les usagers qui avaient acheté ce livre l'ont vu disparaitre soudainement de leur appareil. En effet, amazon avait oublié de racheter les droits de diffusion et à donc été contrait de l'enlever de tous ses kindle. C'est comme si le libraire venait frapper à notre porte en nous disant que le livre qu'il nous a vendu illégallement un livre et le doit le reprendre. Hallucinant.
Que ce soit sur le plan technique ou "juridique", le e-book a quand même un long chemin à parcourir.
L'histoire de 1984 est amusante : Amazon a vendu ce livre de Orwell via son "Kindle store", pour 99 cents. Puis ils se sont rendu compte que l'éditeur n'avait pas les droits sur le livre, donc ils ont supprimé le livre de leur "Kindle store" mais ils ont aussi effacé le livre sur le Kindle des acheteurs, en les remboursant. En effet, les Kindle sont connectés via le réseau de téléphone mobile à Amazon, et Amazon peut synchroniser les Kindles avec son serveur !
Ils ont reconnu que c'était une erreur d'avoir effacer sur les Kindle, et ont changé leur procédure pour une prochaine fois.
Pour le reste, je suis d'accord avec toi. J'aime la qualité de lecture du Kindle, mais je lis toujours en version papier car c'est meilleur.
Ils ont reconnu que c'était une erreur d'avoir effacer sur les Kindle, et ont changé leur procédure pour une prochaine fois.
Pour le reste, je suis d'accord avec toi. J'aime la qualité de lecture du Kindle, mais je lis toujours en version papier car c'est meilleur.
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