Up! et tout en "finesse"...
http://vimeo.com/61275290
Sans commentaires!...
Superbe chute !
On pourrait imaginer d'autres variantes pour la défense du papier mais celle-là est vraiment drôle.
Bonne pub en tous cas !
Les libraires se réveillent enfin, mais pour moi il est trop tard.
http://lefigaro.fr/livres/2013/…
J'ai passé en pré-commande un livre qui sera téléchargé sur mon kindle automatiquement, comment lutter contre çà, en plus il est moins cher !
http://lefigaro.fr/livres/2013/…
J'ai passé en pré-commande un livre qui sera téléchargé sur mon kindle automatiquement, comment lutter contre çà, en plus il est moins cher !
J'ai une tablette pour lire la nuit dans mon lit mais rien ne m'écartera de mes livres qui ne me coûtent pratiquement rien : gratuité à la bibliothèque et quelques euros dans les ventes de livres d'occasion, sans parler des livres qu'on me prête ou qu'on me donne. Mon budget livre est très mince eu égard à ce que je lis.
Est-ce vraiment l'idéal Debezed que les livres ne te coûtent rien? Comment peut-on faire vivre et les éditeurs et les librairies dans ce cas, et bien sûr les auteurs ? Finalement le livre électronique va rapporter plus, en dehors des classiques gratuits...Pouvoir lire est une chose, y avoir accès facilement également, mais si nous n'achetons plus rien, si les livres n'ont plus que la vocation d'aller dans des bibliothèques? Il me semble que tout bon lecteur se doit d'avoir un petit budget livres, ne serait-ce qu'en remerciement du plaisir qu'ils procurent non? Sinon je ne vois pas comment on va pouvoir sauver le livre papier...Cela dit sans aucun désir de polémique...
Piero, bien d'accord avec toi !
La réflexion de Dbz me laisse bouche bée.
Je suis à l'opposé : je suis heureuse de dépenser de l'argent pour avoir le plaisir de lire, car ça veut dire que d'autres livres naîtront et me procureront un plaisir différent.
Ce n'est pas une question de polémique, mais une façon d'appréhender la vie, surtout quand on en a les moyens. Pas de fringues, pas de restos, pas de bière, des livres !
Quand je serai rétablie, il y aura problème, car ma passion, ce sont les voyages. Sinon, pas grave, j'ai toujours voyagé à travers les livres.
La réflexion de Dbz me laisse bouche bée.
Je suis à l'opposé : je suis heureuse de dépenser de l'argent pour avoir le plaisir de lire, car ça veut dire que d'autres livres naîtront et me procureront un plaisir différent.
Ce n'est pas une question de polémique, mais une façon d'appréhender la vie, surtout quand on en a les moyens. Pas de fringues, pas de restos, pas de bière, des livres !
Quand je serai rétablie, il y aura problème, car ma passion, ce sont les voyages. Sinon, pas grave, j'ai toujours voyagé à travers les livres.
Ah non, on ne supprime pas les binouses!
Mais je suis un peu d'accord avec vous, les filles, je dépense beaucoup pour les livres, et je suis contente de le faire.
C'est ma petite contribution au "monde magique de la littérature", et aussi, comme le dit Piero, une espèce de remerciement pour tout ce qu'elle m'apporte.
Sans moyens, elle meurt....
Mais je suis un peu d'accord avec vous, les filles, je dépense beaucoup pour les livres, et je suis contente de le faire.
C'est ma petite contribution au "monde magique de la littérature", et aussi, comme le dit Piero, une espèce de remerciement pour tout ce qu'elle m'apporte.
Sans moyens, elle meurt....
Mais je suis un peu d'accord avec vous, les filles, je dépense beaucoup pour les livres, et je suis contente de le faire.
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C'est très bien, c'est très généreux. Mais, en même temps, c'est une approbation du « système » : tout s'achète et tout se vend !
Moi j'approuve et j'envie Dbz qui a trouvé un filon pour lire des livres sans trop dépenser.
Et pourtant, je ne suis pas systématiquement contre le système, faute d'en connaître un meilleur. Mais je trouve que l'accès aux arts et à la culture devrait être gratuit.
Je vais au musée le jour et l'heure où l'entrée est libre. J'essaye toujours d'avoir des livres de seconde main ou je les demande à prêter – et je les rend, moi (enfin, ça m'arrive...)
Parce que ceux que moi je prête, on ne me les rend jamais, et ça me fait râler. Mais, enfin, je me console parce qu'il arrive parfois que mon nez me chatouille et alors je me dis qu'un vieux copain du collège a mis la main sur un vieux livre de poche que je lui ai prêté il y a soixante ans et qu'il a vu mon nom écrit sur la page de garde et qu'il pense à moi...
Il n'est pas question d'opposer toutes ces solutions mais de faire simplement remarquer que si un livre n'est pas édité il ne pourra ni être lu ni être prêté...Dans un système "libéral" la culture ne peut être gratuite ; pour qu'elle le soit il faut que l'Etat la prenne en charge et donc subventionne et les éditeurs et les moyens de diffusion...Et se pose donc le problème de l'"indépendance" qui t'es si chère SJB :-))Je trouve ta position un peu contradictoire...Se prêter des livres fait partie de la vie sociale normale, les bibliothèques sont là pour mettre la culture accessible à tous mais ignorer le point de départ essentiel qui est la création et l'édition (qui ne peuvent exister par l'opération du Saint-Esprit :-))...!!!
Il n'est pas question d'opposer toutes ces solutions mais de faire simplement remarquer que si un livre n'est pas édité il ne pourra ni être lu ni être prêté...Dans un système "libéral" la culture ne peut être gratuite ; pour qu'elle le soit il faut que l'Etat la prenne en charge et donc subventionne et les éditeurs et les moyens de diffusion...Et se pose donc le problème de l'"indépendance" qui t'es si chère SJB :-))Je trouve ta position un peu contradictoire...Se prêter des livres fait partie de la vie sociale normale, les bibliothèques sont là pour mettre la culture accessible à tous mais ignorer le point de départ essentiel qui est la création et l'édition (qui ne peuvent exister par l'opération du Saint-Esprit :-))...!!!
Mouais ! C'est vrai ce que tu dis là, Pieronnelle... Mais il faudrait trouver autre chose, je vais chercher...
;-))
On compte sur toi !!:-)
(c'est tellement rare que tu sois d'accord avec moi que j'en suis toute perturbée :-)))
(c'est tellement rare que tu sois d'accord avec moi que j'en suis toute perturbée :-)))
Mais je trouve que l'accès aux arts et à la culture devrait être gratuit.
C'est une belle idée...mais qui dit art dit artistes (et tous les métiers qui en découlent), et il faut bien qu'ils vivent aussi.
Aurai-je effarouché les dames patronnesse de la paroisse célienne ? Damnation !
Une partie des livres que je lis n'est plus dans le commerce et j'adore fouiller dans les rayons de vieux livres pour extirper celui que je cherche depuis, parfois, plus de vingt ans. C'est probablement puéril mais c'est comme ça ! On ne se refait pas !
Et puis comment persuader mes amis de ne plus m'offrir, donner, demander de commenter des livres, leur livre parfois ? Pas simple ! Comment refuser la biographie de Magellan de Zweig offerte par Jean Baptiste même si elle ne lui a coûté que deux euros ! C'est un cadeau qui ne quittera jamais ma bibliothèque même si je ne garde presque aucun livre, seul le texte m'intéresse.
Mais pas d'angoisse j'achète aussi des livres neufs mais peu, souvent des auteurs peu ou mal diffusés.
Et puis pourquoi aurai-je des scrupules, j'écris pratiquement tous les jours et je n'ai jamais reçu même une seule cacahuète ! Alors mes dames mes scrupules se sont volatilisés aussi vite que vous avez posté vos indignations. A chacun son bénitier !
Une partie des livres que je lis n'est plus dans le commerce et j'adore fouiller dans les rayons de vieux livres pour extirper celui que je cherche depuis, parfois, plus de vingt ans. C'est probablement puéril mais c'est comme ça ! On ne se refait pas !
Et puis comment persuader mes amis de ne plus m'offrir, donner, demander de commenter des livres, leur livre parfois ? Pas simple ! Comment refuser la biographie de Magellan de Zweig offerte par Jean Baptiste même si elle ne lui a coûté que deux euros ! C'est un cadeau qui ne quittera jamais ma bibliothèque même si je ne garde presque aucun livre, seul le texte m'intéresse.
Mais pas d'angoisse j'achète aussi des livres neufs mais peu, souvent des auteurs peu ou mal diffusés.
Et puis pourquoi aurai-je des scrupules, j'écris pratiquement tous les jours et je n'ai jamais reçu même une seule cacahuète ! Alors mes dames mes scrupules se sont volatilisés aussi vite que vous avez posté vos indignations. A chacun son bénitier !
A chacun son bénitier !Et pan ! mesdames les patronnesses de la paroisse Clienne !
;-))
Et moi aussi je garderai précieusement mon Hammerstein ou l'Intransigeance généreusement offert par mon ami Dbz, et quand le l'aurai lu, il aura une place d'honneur dans ma bibliothèque auprès des belles couvertures NRF de la collection Gallimard.
;-))
;-))
Mine de rien c'est un problème. Moi je ne me plains pas parce que j'ai un autre métier, mais pour les auteurs qui n'ont que cette ressource c'est vraiment difficile (voire impossible). Et ça joue fatalement sur la littérature elle-même : dans un tel contexte, elle peut difficilement faire autrement que d'être plus ou moins bourgeoise, puisque écrite par des gens qui ont d'autres sources de revenus. (En même temps ça n'est pas une nouveauté - mais il y a eu quand même une époque où la situation des écrivains était moins précaire.)
Mais je trouve que l'accès aux arts et à la culture devrait être gratuit.
C'est une belle idée...mais qui dit art dit artistes (et tous les métiers qui en découlent), et il faut bien qu'ils vivent aussi.
Tu confonds bénitier et le panier de la quête Débézed !:-)))
Mais moi aussi je déniche des livres chez les bouquinistes ; j'en prends peu dans les bibliothèques car j'ai tendance à ne pas les rendre en temps voulu...:-) Je ne vois pas ce qu'il y a de patronnesse là dedans, il s'agit de bon sens non ? Il faut simplement savoir si on veut participer ou non à la création et à la survie des éditeurs et des libraires...Mais j'ai bien conscience que cette survie passe aussi par la lecture et sur le fait de faire connaitre les auteurs et livres oubliés...Mais Débézed ce qui m'a surprise c'est ta remarque sur ton "budget livre très mince" car même en retournant le problème dans tous les sens il n'en reste pas moins qu'à un moment donné il faut bien que quelqu'un les achète ces livres ! Et si chacun de nous ne participe pas...J'ai repensé après coup que tu avais dit ça suite à la remarque de 1971 sur le kindle qui laissait supposer que tout serait moins cher par ce moyen et que toi, même en lisant des livres papier tu avais aussi un budget économique grâce à certains moyens, ce qui est vrai.
Mais moi aussi je déniche des livres chez les bouquinistes ; j'en prends peu dans les bibliothèques car j'ai tendance à ne pas les rendre en temps voulu...:-) Je ne vois pas ce qu'il y a de patronnesse là dedans, il s'agit de bon sens non ? Il faut simplement savoir si on veut participer ou non à la création et à la survie des éditeurs et des libraires...Mais j'ai bien conscience que cette survie passe aussi par la lecture et sur le fait de faire connaitre les auteurs et livres oubliés...Mais Débézed ce qui m'a surprise c'est ta remarque sur ton "budget livre très mince" car même en retournant le problème dans tous les sens il n'en reste pas moins qu'à un moment donné il faut bien que quelqu'un les achète ces livres ! Et si chacun de nous ne participe pas...J'ai repensé après coup que tu avais dit ça suite à la remarque de 1971 sur le kindle qui laissait supposer que tout serait moins cher par ce moyen et que toi, même en lisant des livres papier tu avais aussi un budget économique grâce à certains moyens, ce qui est vrai.
Je viens de lire qu'un service presse propose quatre livres pour avril dont un qui m'intéresse.
Mais je trouve que l'accès aux arts et à la culture devrait être gratuit.
C'est une belle idée...mais qui dit art dit artistes (et tous les métiers qui en découlent), et il faut bien qu'ils vivent aussi.
Mine de rien c'est un problème. Moi je ne me plains pas parce que j'ai un autre métier, mais pour les auteurs qui n'ont que cette ressource c'est vraiment difficile (voire impossible). Et ça joue fatalement sur la littérature elle-même : dans un tel contexte, elle peut difficilement faire autrement que d'être plus ou moins bourgeoise, puisque écrite par des gens qui ont d'autres sources de revenus. (En même temps ça n'est pas une nouveauté - mais il y a eu quand même une époque où la situation des écrivains était moins précaire.)
Ne pas non plus oublier tous ceux qui ne seront jamais publiés et qui ne sont pas tous forcément mauvais, bien souvent moins que ceux qui sont empilés en grandes piles dans les lieux de ventes. Mais c'est un autre débat !
(Comment oublier celui que l'on a été pendant plus de vingt ans !) ;)
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