PErso je n'ai utilisé que le kindle, il ne s'agit peut être pas du meilleur mais ilme convient parfaitement, facile d'utilisation, réservé à la lecture et non au surf. Aucun problème depuis 3 mois que je l'utilise. MA grande désillusion vient de ce que le catalogue ne suit pas le progrès. Simenon, Ed mac Bain, Fallet ne sont par exemple pas encore disponible en numérique, une honte tout simplement.
MA bibliothèque départementale propose l'emprunt pour 21 jours de Ebooks. Génial, pour le moment il y a 300 livres parus en 2011. Voilà une vraie avancée dans le domaine du livre. Moi qui suis au sud du département, nous ne recevions jamais les nouveautés, c'est terminé grâce à mon kindle.
Tu peux avoir Simenon en Pléiade maintenant. :-)
Tu peux avoir Simenon en Pléiade maintenant. :-)
La pléiade, je ne comprends pas, payer cher des livres illisibles, en tout cas la police ne me convient pas.
N'est ce pas une collection un peu snob ?
Tu peux avoir Simenon en Pléiade maintenant. :-)L'idée, c'était de mettre le plus possible de texte dans le plus petit volume possible - comme le Kindle, quoi.
La pléiade, je ne comprends pas, payer cher des livres illisibles, en tout cas la police ne me convient pas.
N'est ce pas une collection un peu snob ?
A bien y réfléchir, ce n'est pas si cher que ça, vu le nombre de pages et d’œuvres que comprend un volume. Et c'est vraiment le texte de référence, qui a fait l'objet d'un établissement sûr, pour les grands auteurs. Mais c'est vrai que la lecture n'est pas agréable. Et sur une liseuse, je ne pense pas que ce soit mieux (enfin, peut-être que si, l'écran est peut-être un poil plus grand :-)).
Le mieux serait que tu les voies en magasin, comme ça tu pourras te faire une idée de l'écran, de l'ergonomie, tout ça.
J'irais pas à Toulouse juste pour ça ! C'est le problème de vivre au diable vauvert !
A bien y réfléchir, ce n'est pas si cher que ça, vu le nombre de pages et d’œuvres que comprend un volume. Et c'est vraiment le texte de référence, qui a fait l'objet d'un établissement sûr, pour les grands auteurs. Mais c'est vrai que la lecture n'est pas agréable. Et sur une liseuse, je ne pense pas que ce soit mieux (enfin, peut-être que si, l'écran est peut-être un poil plus grand :-)).
Sur une liseuse on choisi la police et la taille et pour moi cela est vraiment important. Je ne crois pas qu'il y ait des éditions frelatées de Simenon !
En l'occurrence, on ne choisit ni taille ni police puisque les volumes de la Pléiade ne sont proposés qu'en PDF texte/image, une simple reproduction du livre physique donc.
Personnellement, dès que cela est possible, je lis en PDF : je télécharge un extrait sur ma liseuse pour voir ce que ça donne et si c'est assez grand, c'est bon. J'ai toujours l'impression de trahir l'éditeur avec l'epub puisque ce que j'ai sous les yeux est différent du bon à tirer.
Personnellement, dès que cela est possible, je lis en PDF : je télécharge un extrait sur ma liseuse pour voir ce que ça donne et si c'est assez grand, c'est bon. J'ai toujours l'impression de trahir l'éditeur avec l'epub puisque ce que j'ai sous les yeux est différent du bon à tirer.Choisir la police pour lire les Calligrammes d'Apollinaire, par exemple, ce serait... euh... Mais même sans aller dans des cas aussi extrêmes, je trouve choquant de ne pas respecter la mise en page de l'éditeur. (Je pense bien sûr aux grands formats, pas aux collections de poche.) Je suis très favorable au PDF, sauf pour des textes qui ont été pensés directement pour le numérique.
Le problème, très concret, c'est que sur un écran de 6 pouces, s'il y a trop de caractères sur la page, le PDF est parfois un peu limite.
Alors c'est que 6 pouces, c'est trop petit. Il y a des écrans plus grands ?
C'est le standard je crois.
Sgrumf.
Disons qu'à partir de 30 lignes par page, ça commence à devenir inconfortable.
La la ! Tous vos commentaires soulèvent des questions que je ne m'étais pas posées, woohaps, ça devient de plus en plus difficile !
Personnellement, dès que cela est possible, je lis en PDF : je télécharge un extrait sur ma liseuse pour voir ce que ça donne et si c'est assez grand, c'est bon. J'ai toujours l'impression de trahir l'éditeur avec l'epub puisque ce que j'ai sous les yeux est différent du bon à tirer.
Choisir la police pour lire les Calligrammes d'Apollinaire, par exemple, ce serait... euh... Mais même sans aller dans des cas aussi extrêmes, je trouve choquant de ne pas respecter la mise en page de l'éditeur. (Je pense bien sûr aux grands formats, pas aux collections de poche.) Je suis très favorable au PDF, sauf pour des textes qui ont été pensés directement pour le numérique.
Honnêtement le respect de la mise en page du texte m'importe vraiment peu, je ne vois pas ce que cela change au texte ! Incompréhension totale de ma part sur ce sujet là.
Dans 99,9% des cas ça ne change rien. Je pense que Feint et Palo ont en tête la fraction de pourcent pour lesquels c'est important.
Je suis gêné quand ce que j'ai sous les yeux est, entre autres, le résultat d'algorithmes. Pour moi, ce sont l'auteur et l'éditeur qui doivent décider, pas la machine. L'epub nie une partie de leur travail.
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