Aujourd'hui, j'ai revu Le diable s'habille en Prada (The Devil Wears Prada ; 2006), de David Frankel
David Frankel, pardon. Les correcteurs automatiques ne font pas toujours des miracles.
Je viens de revoir Casse-tête chinois (2013), de Cédric Klapisch, le dernier opus du triptyque commencé avec l'Auberge espagnole, après les Poupées russes. Les personnages approchent de la quarantaine, leur vie ne se simplifie pas, continue à frôler le charmant bazar. Cela reste un peu moins énergique que l'Auberge espagnole, mais c'est assez bien fait.
J'ai vu Calcutta de Louis Malle. Un court-metrage documentaire. Terrible
Ce matin, j'ai revu Mia madré, de Nanni Moretti, sensible, grave et drôle par moments, à son habitude, sur le sujet rude d'une mère malade, en fin de vie, ce qui perturbe la vie d'un entourage aimant et aidant. Il est bien vu et bien fait.
Je viens de revoir Volver ("Revenir"), de Pedro Almodovar. Cette histoire d'adultère, d'inceste et de revenante paraît hautement improbable, cette tragicomédie faisant passer un bon moment.
J'ai regardé Dunkerque (Dunkirk) sur Netflix, de Nolan. J'ai été bluffé par la réalisation, on s'y croirait. Il faudrait le voir sur un grand écran, ça doit être encore beaucoup mieux. Vraiment un bon film de guerre, sur un épisode que je ne connaissais pas (l'évacuation des troupes anglaises et françaises de Dunkerque alors qu'elles sont acculées par les allemands).
Je veins de voir "L'aventure des Marguerite", de Pierre Coré, d'après Vincent Cuvellier (livre non critiqué sur CL).
Comédie fantastique avec un excellent Clovis Cornillac et une non moins bonne Alice Pol. Mention spéciale à la jeune ado qui joue le rôle des deux Marguerite et au jeune comédien qui incarne le pote de Margot. Et revoir l'octogénaire Geneviève Casile en "guest star" est toujours un régal !
Comédie fantastique avec un excellent Clovis Cornillac et une non moins bonne Alice Pol. Mention spéciale à la jeune ado qui joue le rôle des deux Marguerite et au jeune comédien qui incarne le pote de Margot. Et revoir l'octogénaire Geneviève Casile en "guest star" est toujours un régal !
Vu : 'Lettre à Franco' d'Amenabar. Le personnage principal en est Miguel de Unamuno, l'écrivain et poète basque espagnol.
Ce film m'a d'autant plus touchée que Miguel de Unamuno était l'oncle maternel de mon grand-père Fransisco Aguirre Unamuno. La personnalité fantasque et intimidante que l'on découvre dans ce film colle parfaitement au récit familial à son sujet.
Ce film m'a d'autant plus touchée que Miguel de Unamuno était l'oncle maternel de mon grand-père Fransisco Aguirre Unamuno. La personnalité fantasque et intimidante que l'on découvre dans ce film colle parfaitement au récit familial à son sujet.
Hier soir, j'ai revu le Come back, de Mark Lawrence, avec Drew Barrymore et Hugh Brant. Le retour finalement gagnant de ce chanteur devenu ringard s'avère léger et drôle.
Je viens de revoir Spartacus, de 1960, par Stanley Kubrick, avec Kirk Douglas et Tony Curtis. C'est un grand classique, très dynamique, riche en rebondissement, en drames et en figurants, un tantinet longuet, mais instructif et enjoué.
J'ai revu, hier soir, Viens chez moi, j'habite chez une copine, de 1981, de Patrice Leconte. J'avais souvenir que ce n'était pas très fin, mais j'ai réussi à être déçu.
J'ai vu "La guerre des mondes" (version Spielberg). Pas un sommet du 7ème Art, mais je n'ai pu m'empêcher de penser en voyant la fin des vilains envahisseurs de faire un parallèle avec la situation que nous vivons actuellement... :-)
Hier, je suis allé voir Madre, film franco-espagnol de Rodrigo Sorogoyen,
Une jeune femme espagnole perd son fils qui disparaît sur une plage française, proche, dans des circonstances confuses, ce qui lui vaut, sur le coup, une crise d'hystérie, ce qui peut se comprendre. Dix ans plus tard, elle est serveuse dans un restaurant de plage, en France. Cette circonstance de fait invite déjà à réfléchir. Puis, rapidement, elle remarque un adolescent roux, un peu frisé, qu'elle suit jusqu'à chez lui. Il l'a remarqué et va la voir, pour lier de sympathie avec elle. Ils se voient de plus en plus fréquemment, vont à des soirées ensemble. Son mari à elle se pose des questions, comme la famille du jeune garçon, et cela tourne inévitablement de manière équivoque.
Ce drame psychologique s'avère dense, bien mené, comme il reste assez rude et un tantinet malsain. Il ressemble à une variante de Sous le sable, de François Ozon.
Une jeune femme espagnole perd son fils qui disparaît sur une plage française, proche, dans des circonstances confuses, ce qui lui vaut, sur le coup, une crise d'hystérie, ce qui peut se comprendre. Dix ans plus tard, elle est serveuse dans un restaurant de plage, en France. Cette circonstance de fait invite déjà à réfléchir. Puis, rapidement, elle remarque un adolescent roux, un peu frisé, qu'elle suit jusqu'à chez lui. Il l'a remarqué et va la voir, pour lier de sympathie avec elle. Ils se voient de plus en plus fréquemment, vont à des soirées ensemble. Son mari à elle se pose des questions, comme la famille du jeune garçon, et cela tourne inévitablement de manière équivoque.
Ce drame psychologique s'avère dense, bien mené, comme il reste assez rude et un tantinet malsain. Il ressemble à une variante de Sous le sable, de François Ozon.
Hier soir, j'ai revu le Beau mariage, de 1982, d'Eric Rohmer.
Une jeune femme, qui rompt une aventure avec un homme marié, jette son dévolu sur le cousin d'une amie artiste, avec lequel elle souhaite se marier. Or, c'est préjuger de ce qu'il en pense, ce qu'elle ne sait pas pour l'heure.
Ce nouvel exercice de badinage est ici ponctué de manière assez cinglante et toujours tout en finesse.
Une jeune femme, qui rompt une aventure avec un homme marié, jette son dévolu sur le cousin d'une amie artiste, avec lequel elle souhaite se marier. Or, c'est préjuger de ce qu'il en pense, ce qu'elle ne sait pas pour l'heure.
Ce nouvel exercice de badinage est ici ponctué de manière assez cinglante et toujours tout en finesse.
Aujourd'hui, j'ai revu Ridicule, de Patrice Leconte (1996), et la Belle époque, de Nicolas Bedos (2019). Les saillies verbales du premier, mettant en valeur la pureté morale face aux loups égoïstes de la Cour, et la mise en scène d'un passé sublimé pour mieux revivre au présent constituent deux belles idées, Fanny Ardant s'avérant magnifique dans les deux films.
J'ai vu aussi Madre. Tout le monde (une vingtaine à peine, mais le cinéma traverse une mauvaise pente) dans la salle l'a trouvé formidable. L'actrice est comme hantée et le jeune garçon est habité : curieuse histoire... Mise en scéne sublime.
J'ai vu aussi Madre. Tout le monde (une vingtaine à peine, mais le cinéma traverse une mauvaise pente) dans la salle l'a trouvé formidable. L'actrice est comme hantée et le jeune garçon est habité : curieuse histoire... Mise en scéne sublime.
Ce film reste très intrigant, avec de grandes interrogations psychologiques.
Hier soir, j'ai revu Aurore (2019), de Blandine Lenoir. C'est un petit film sympathique dressant le portrait d'une quinquagénaire libre, haute en couleurs et fière de l'être.
Hier soir, j'ai revu les Grandes manoeuvres, de René Clair (1955). C'est un film léger, un classique qui a vieilli, avec lequel on passe un bon moment.
Je viens de voir Les plus belles années d'une vie, de Claude Lelouch (2019). Evidemment, il exploite le filon d'Un homme et une femme, mais il y procède d'une manière assez émouvante, au travers des souvenirs sélectifs et brumeux d'un monsieur vieillissant qui perd la mémoire, avec l'importance des belles histoires d'amour, et ce n'est pas si mal.
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