J’ai tout de même envie d’insister sur la contribution de Don Quichotte. Pour montrer à quel point le mot « classique » est polysémique, il convient d’ajouter le fait qu’il décrit au moins autant – et même plus à mon sens – le style de l’œuvre que l’époque qui l’a vue naître.
Ainsi, on dira effectivement que Racine est « classique » et que Corneille est « baroque » ; or, ils sont contemporains. De la même époque également, La Fontaine est à mon sens l’exemple même du style « classique », notamment en ce qui concerne l’étonnante économie des moyens mis en œuvre. Lorsqu’on dit « économie de moyens », on pense par exemple (mais pas uniquement) à la richesse du vocabulaire. J’imagine même qu’on pourrait tracer une frontière mathématique entre les « classiques » et les « baroques » en comptant les mots utilisés. Les premiers s’ingénient à faire le plus avec le moins, les seconds s’autorisent tous les débordements lexicaux.
C’est ainsi qu’on peut de nos jours encore distinguer chez nos auteurs actuels des tendances classiques ou baroques. D’un côté la rigueur un peu sèche, l’économie, la richesse de la nuance par touches légères et une propension à capter l’image fixe ou même éternelle. De l’autre la profusion, le plaisir des mots nouveaux ou rares, les effets appuyés et un tropisme vers les scènes de mouvement. Le classicisme est un lac aux reflets complexes, le baroque un torrent.
Est-ce que le néo-classique n'est pas une réaction au baroque ? Après les fantaisies et l'exubérance la mode est revenu à plus de sobriété.
Mais si je comprends bien Bolcho le classicisme et le baroque n'est pas lié à une période, c'est une manière d'écrire qui s'applique encore aux auteurs actuels. Ainsi Bolcho qualifiait "L'ombre du vent" de baroque (et il avait tellement bien dit ce qu'il fallait dire de ce livre que j'ai préféré me dispenser d'en faire une critique).
Mais si je comprends bien Bolcho le classicisme et le baroque n'est pas lié à une période, c'est une manière d'écrire qui s'applique encore aux auteurs actuels.Je crois que je vais me suicider.. Mais si, c'est bien lié à une période, et qui n'est pas n'importe quelle période. Le classicisme n'est pas apparu au hasard dans le temps, mais à la suite de la Renaissance : ce n'est pas un hasard, c'est une évolution naturelle..
Aujourd'hui plus personne n'écrit comme Racine, mais il reste des caractéristiques (que Bolcho explique très bien) chez certains auteurs ou certains textes qui s'apparentent au classicisme..
Oui, et pour moi il y des livres dont les caractéristiques sont encore plus proches du baroque, "Le Parfum" de Suskind en particulier..
Ainsi Bolcho qualifiait "L'ombre du vent" de baroque (et il avait tellement bien dit ce qu'il fallait dire de ce livre que j'ai préféré me dispenser d'en faire une critique).
Je crois que maître Provis, a tendance à un peu trop schématiser les choses...
Car en fait – comme aurait dit le Capitaine Hadock – c'est à la fois très simple et très compliqué.
Le baroque est né dans le Sud : ça a suivi la renaissance en Italie. C'est remonté au Nord chez les Habsbourg
Mais pendant ce temps là, en France, c'était Louis XIV, et Louis XIV n'était pas un rigolo. Il voulait de la rigueur, de la rationalité, de la symétrie – pas de fantaisie, s'il vous plait...
C'est le néo-classique du grand siècle.
Dès lors, il n'y a pratiquement pas de baroque en France. Sinon du baroque tardif qui est plutôt du rococo, genre Régence, Louis XV etc...
Car en fait – comme aurait dit le Capitaine Hadock – c'est à la fois très simple et très compliqué.
Le baroque est né dans le Sud : ça a suivi la renaissance en Italie. C'est remonté au Nord chez les Habsbourg
Mais pendant ce temps là, en France, c'était Louis XIV, et Louis XIV n'était pas un rigolo. Il voulait de la rigueur, de la rationalité, de la symétrie – pas de fantaisie, s'il vous plait...
C'est le néo-classique du grand siècle.
Dès lors, il n'y a pratiquement pas de baroque en France. Sinon du baroque tardif qui est plutôt du rococo, genre Régence, Louis XV etc...
merci SJB !
le baroque c'est pour l'architecture,la peinture, la musique, pas pour l'ecriture (de toutes façons le roman n'existe pas à cette époque là, en dehors de qq experiences).
le baroque c'est avant tout , le mouvement, c'est en cela qu'il s'oppose à la symétrie et à la rigidité du classicisme.
la france du XVIIeme siecle a refusé cette école par la volonté d'un monarque.
à Paris, la seule eglise baroque, avec un magnifique baldaquin du Bernin (comme à St Pierre de Rome) c'est la chapelle de l'hopital du val de grâce.
le rococo c'est une monstruosité qui est une vulgarisation de l'art baroque.
le baroque c'est pour l'architecture,la peinture, la musique, pas pour l'ecriture (de toutes façons le roman n'existe pas à cette époque là, en dehors de qq experiences).
le baroque c'est avant tout , le mouvement, c'est en cela qu'il s'oppose à la symétrie et à la rigidité du classicisme.
la france du XVIIeme siecle a refusé cette école par la volonté d'un monarque.
à Paris, la seule eglise baroque, avec un magnifique baldaquin du Bernin (comme à St Pierre de Rome) c'est la chapelle de l'hopital du val de grâce.
le rococo c'est une monstruosité qui est une vulgarisation de l'art baroque.
Je crois que maître Provis, a tendance à un peu trop schématiser les choses...Concernant l’avènement du baroque en France, ce serait simplifier abusivement que de parler du rôle de Louis XIV sans parler de celui de l’Eglise, non ?? (paf, ça t’apprendra ! .. :o)) ..)
Car en fait – comme aurait dit le Capitaine Hadock – c'est à la fois très simple et très compliqué.
Faut-il rappeler l’influence du religieux sur l’art, et tout particulièrement le rôle de l’Eglise sur le style baroque ??
Le baroque est né dans le Sud : ça a suivi la renaissance en Italie. C'est remonté au Nord chez les Habsbourg
Mais pendant ce temps là, en France, c'était Louis XIV, et Louis XIV n'était pas un rigolo. Il voulait de la rigueur, de la rationalité, de la symétrie – pas de fantaisie, s'il vous plait...
C'est le néo-classique du grand siècle.
Dès lors, il n'y a pratiquement pas de baroque en France. Sinon du baroque tardif qui est plutôt du rococo, genre Régence, Louis XV etc...
Qui est le plus légitime pour influencer l’art, le monarque ou l’Eglise ??
(en voilà un bon sujet bien chaud pour CL, et en plus, tout à fait en dehors du sujet initial .. :o) ..)
Tout à fait Provis. En Belgique le baroque est lié à la contre-forme; on a des églises baroques (aussi dites de style jésuite) dont la magnificence avait pour but de contrer les protestants et leur rejet de l'iconographie. Si vous allez à Anvers, il y a l'église Saint Charles Borromée qui était l'église de Rubens. C'est un joyau du baroque. Mais que dire de Viennes ! C'est un régal.
merci SJB !
le baroque c'est pour l'architecture,la peinture, la musique, pas pour l'ecriture (de toutes façons le roman n'existe pas à cette époque là, en dehors de qq experiences).
le baroque c'est avant tout , le mouvement, c'est en cela qu'il s'oppose à la symétrie et à la rigidité du classicisme.
la france du XVIIeme siecle a refusé cette école par la volonté d'un monarque.
à Paris, la seule eglise baroque, avec un magnifique baldaquin du Bernin (comme à St Pierre de Rome) c'est la chapelle de l'hopital du val de grâce.
le rococo c'est une monstruosité qui est une vulgarisation de l'art baroque.
Je partage ton avis... Le Baroque pour moi c'est de l'archi, de la musique ( des années de flûte à bec alto, ça laisse des traces ;o) .. Et le roccoca c'est une horreur! Je n'aime pas l'architecture baroque outre mesure, mais je lui trouve un sens, je comprends... le roccoco, je cherche toujours ( tout comme je cherche à chaque fois où mettre combien de "c" ...o)
Et pour répondre à la question initiale...
Le cid de Corneille!
Je l'ai lu "obligée" en 5 ° ... Nous l'avons épluché, retourné, compris et.. j'ai adoré!
Le cid de Corneille!
Je l'ai lu "obligée" en 5 ° ... Nous l'avons épluché, retourné, compris et.. j'ai adoré!
Je suis en train de lire "Les mystères d'Udolphe", de Ann Radcliffe.
C'est du XVII siècle finissant, et y'a marqué classique sur la tranche... ça va ?
En fait, c'est génial, ça parle de châteaux, de complots, d'amour... Un vrai régal !
C'est du XVII siècle finissant, et y'a marqué classique sur la tranche... ça va ?
En fait, c'est génial, ça parle de châteaux, de complots, d'amour... Un vrai régal !
Je suis en train de lire "Les mystères d'Udolphe", de Ann Radcliffe.
C'est du XVII siècle finissant, et y'a marqué classique sur la tranche... ça va ?
En fait, c'est génial, ça parle de châteaux, de complots, d'amour... Un vrai régal !
...un vrai régal ? Alors c'est un classique !
;-))
Provis : L'Eglise et le baroque en France ?
L'autel a dû faire allégeance devant le trône ...de Louis XIV.
...Et paf !
Et tant pis pour le baroque !
L'autel a dû faire allégeance devant le trône ...de Louis XIV.
...Et paf !
Et tant pis pour le baroque !
Je suis en train de lire "Les mystères d'Udolphe", de Ann Radcliffe.
C'est du XVII siècle finissant, et y'a marqué classique sur la tranche... ça va ?
En fait, c'est génial, ça parle de châteaux, de complots, d'amour... Un vrai régal !
Un "I" a dû sauter : c'est du XVIIIe finissant - et ce classique est un... gothique !
Critique prévue, j'espère ? Je me suis toujours demandé à quoi ce roman, cher à l'héroïne de Northanger Abbey, pouvait ressembler.
Je suis en train de lire "Les mystères d'Udolphe", de Ann Radcliffe.
C'est du XVII siècle finissant, et y'a marqué classique sur la tranche... ça va ?
En fait, c'est génial, ça parle de châteaux, de complots, d'amour... Un vrai régal !
c'est pas plutot un genre de Jane Austen ?
c'est plus sucré et fleur bleu que Classique, il me semble.
de la jolie litterature pour dame.
Je suis surpris que personne n'ait encore rappelé les 3 règles définissant le style classique, au théâtre au moins :
- Unité de temps
- Unité de lieu
- Unité d'action
Cette règle fut rompue notamment par le père Hugo ce qui déclencha la fameuse "Querelle d'Hernani"
- Unité de temps
- Unité de lieu
- Unité d'action
Cette règle fut rompue notamment par le père Hugo ce qui déclencha la fameuse "Querelle d'Hernani"
Je suis en train de lire "Les mystères d'Udolphe", de Ann Radcliffe.
C'est du XVII siècle finissant, et y'a marqué classique sur la tranche... ça va ?
En fait, c'est génial, ça parle de châteaux, de complots, d'amour... Un vrai régal !
c'est pas plutot un genre de Jane Austen ?
c'est plus sucré et fleur bleu que Classique, il me semble.
de la jolie litterature pour dame.
En fait, dans Northanger Abbey notamment, Jane Austen se moque de l'engouement de l'époque pour le "gothic novel" - et notamment Mrs Radcliffe.
Pour répondre à Feint et Prince Jean, en bloc :
Oui, ce livre de Ann Radcliffe est du XVIII siècle et non du XVII siècle ! Sorry !
Oui, Jane Austen y fait référence dans "Northamger abbey" mais non pour s'en moquer (comme le dit si bien la 4ieme de NA 10/18) mais pour défendre les écrits de Ann Radcliffe dont il me semble se son vivant Jane Austen avait fait la connaissance.
Jane Austen, de la littérature pour Dame ? De l'eau de rose !? Pas du tout ! C'est comme penser que Autant en emporte le vent c'est aussi de l'eau de rose ! Non, PJ, pas du tout, c'est assez psychologique et malheureusement sans doute bien révélateur de la position de la femme à ces époques, n'a pas de nom, d'existance si pas "fille de" puis "femme de".
Maupassant, qui prenait aussi le parti des femmes, n'a jamais vu sa prose qualifiée de littérature pour dame.
Bref, revenons aux Mystères d'Udolphe, pavé de 890 pages (en fait il y en a eu quatre volumes, aujourd'hui rassemblés). Cela peut se concevoir du coup comme de la littérature pour dame, car c'est bien moins psycho que Jane Austen, mais c'est délicieux ! Un peu poussif, avec ces château, les méchants vraiment pas gentils, les amours impoossible, contrariés...
Oui, F, j'en ferai une critique. Mais patience, je n'en suis au livre 3 et il me reste un bon bout avant d'en voir la fin !
Oui, ce livre de Ann Radcliffe est du XVIII siècle et non du XVII siècle ! Sorry !
Oui, Jane Austen y fait référence dans "Northamger abbey" mais non pour s'en moquer (comme le dit si bien la 4ieme de NA 10/18) mais pour défendre les écrits de Ann Radcliffe dont il me semble se son vivant Jane Austen avait fait la connaissance.
Jane Austen, de la littérature pour Dame ? De l'eau de rose !? Pas du tout ! C'est comme penser que Autant en emporte le vent c'est aussi de l'eau de rose ! Non, PJ, pas du tout, c'est assez psychologique et malheureusement sans doute bien révélateur de la position de la femme à ces époques, n'a pas de nom, d'existance si pas "fille de" puis "femme de".
Maupassant, qui prenait aussi le parti des femmes, n'a jamais vu sa prose qualifiée de littérature pour dame.
Bref, revenons aux Mystères d'Udolphe, pavé de 890 pages (en fait il y en a eu quatre volumes, aujourd'hui rassemblés). Cela peut se concevoir du coup comme de la littérature pour dame, car c'est bien moins psycho que Jane Austen, mais c'est délicieux ! Un peu poussif, avec ces château, les méchants vraiment pas gentils, les amours impoossible, contrariés...
Oui, F, j'en ferai une critique. Mais patience, je n'en suis au livre 3 et il me reste un bon bout avant d'en voir la fin !
Et sorry pour les fautes d'orthographe et de frappe ! Antinéa, relis-toi !
Je suis surpris que personne n'ait encore rappelé les 3 règles définissant le style classique, au théâtre au moins :C'est quand même bien ce que dit Bolcho : l'économie des moyens, c'est bien aussi le cadre étroit des "trois unités" ?
- Unité de temps
- Unité de lieu
- Unité d'action
Provis : L'Eglise et le baroque en France ?Trop simple , SJB !! :o)
L'autel a dû faire allégeance devant le trône ...de Louis XIV.
...Et paf !
Et tant pis pour le baroque !
En France à cette époque-là, l’Eglise et le monarque étaient du même côté du manche, et sans être vraiment cul et chemise (voir les conflits qui par Eglise de France interposée ont opposé le pape et le roi), ils ne se tiraient pas trop dans les pattes.. :o)
Il est vrai que Louis XIV, Sarko avant l’heure, s’occupait de tout, du gouvernement, de la guerre, de la paix, dans le menu comme dans les grandes lignes, de la vie privée des gens, de la littérature, de la musique, de la danse (lui au moins y connaissait quelque chose), mais il apparaît en revanche (suite en particulier à une courte discussion que j’ai eue ce matin avec quelqu’un qui s’y connaît beaucoup mieux que moi) que ce n’est pas parce que Louis XIV a préféré généralement le classique pour ces grandes oeuvres architecturales (pas particulièrement pour la musique), qu’il faut l’accuser d’avoir complètement rejeté le baroque.
Louis XIV n’avait pas d’a priori catégorique contre le baroque. Son intolérance s’est exercée beaucoup plus contre les austères jansénistes anti-baroques et contre les sévères protestants (révocation de l’Edit de Nantes),.. que contre un style qui lui aurait fondamentalement déplu parce qu'il n'aurait pas été assez strict et sobre.
Faut-il en déduire tout simplement que le baroque, qui a connu peu de succès en France, s’accorde assez mal avec l’esprit français ?
Oui, Jane Austen y fait référence dans "Northamger abbey" mais non pour s'en moquer (comme le dit si bien la 4ieme de NA 10/18) mais pour défendre les écrits de Ann Radcliffe dont il me semble se son vivant Jane Austen avait fait la connaissance.
Jane Austen, de la littérature pour Dame ? De l'eau de rose !? Pas du tout ! C'est comme penser que Autant en emporte le vent c'est aussi de l'eau de rose ! Non, PJ, pas du tout, c'est assez psychologique et malheureusement sans doute bien révélateur de la position de la femme à ces époques, n'a pas de nom, d'existance si pas "fille de" puis "femme de".
Maupassant, qui prenait aussi le parti des femmes, n'a jamais vu sa prose qualifiée de littérature pour dame.
Bref, revenons aux Mystères d'Udolphe, pavé de 890 pages (en fait il y en a eu quatre volumes, aujourd'hui rassemblés). Cela peut se concevoir du coup comme de la littérature pour dame, car c'est bien moins psycho que Jane Austen, mais c'est délicieux ! Un peu poussif, avec ces château, les méchants vraiment pas gentils, les amours impoossible, contrariés...
Oui, F, j'en ferai une critique. Mais patience, je n'en suis au livre 3 et il me reste un bon bout avant d'en voir la fin !
Je ne me souviens pas assez de Northanger Abbey pour argumenter moi-même (j'ai lu ce roman il y a un bon quart de siècle) mais en le rouvrant et en relisant la première phrase, (qui résonne encore, ça fait plaisir), "No one who had ever seen Catherine Morland in her infancy, would have supposed her born to be an heroine." ; j'y vois bien un désir de se démarquer d'emblée de la tradition gothique où, à ce qu'il me semble, les héroïnes précisément paraissaient nées pour être héroïnes, loin de toute vraisemblance. (D'ailleurs la 4e de couv de mon édition, Penguin, dit apparemment la même chose que celle de 10/18.) Le roman gothique, très populaire, était souvent moqué (par bien d'autres encore) pour ses invraisemblances, et il me paraît assez probable que J. Austen ait écrit contre - en fait c'est souvent que les auteurs écrivent contre leurs aînés immédiats (d'autres diraient "tuer le père"), et en effet c'est ça aussi qui fait les choses ne restent pas figées. Ce qui m'intéresse, c'est l'opinion d'une lectrice d'une XXIe siècle sur un roman d'Ann Radcliffe. Il est probable que les reproches qui pouvaient lui être faits au début du XIXe siècle n'ont plus lieu d'être : l'invraisemblance n'est pas un défaut en soi ; j'ai tendance à croire que c'est sûrement un bon roman, mais 890 pages, pour moi, surtout en ce moment, c'est beaucoup ! Alors bravo et merci à la courageuse lectrice.
(Sur Jane Austen, assez d'accord ; c'est peut-être un peu "cup of tea", mais ça ne manque pas de finesse et de psychologie. Le bon thé peut être assez complexe.)
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