Prince, je crois que le nombre 40 dans l'ancien temps était symbolique et signifiait une grande multitude.
Mais, de toutes façons, il s'agit de 40 mille saints. Tous ceux qui sont au paradis ne sont pas proclamés saints.
Les saints autrefois étaient désignés par leurs contemporains, un peu comme on dit aujourd'hui : c'était un saint homme.
A mon avis c'était beaucoup mieux comme ça.
Aujourd'hui on mène toute une enquête sur la vie de l'intéressé, je n'en vois pas très bien l'intérêt.
Un saint est tout simplement un modèle proposé à la chrétienté.
Il me semble qu'il n'y a pas besoin d'enquête pour dire que Mère Térésa et l'Abbé Pierre, par exemple, sont des saints.
En réalité, comme dit Provis, et comme disait la petite Sainte Thérèse, l'enfer existe mais il n'y a personne dedans ! Je crois que Dalida chantait aussi : "nous irons tous au paradis, mais ouiiiii" Alors, si ils le disent... ;-))
Mais, de toutes façons, il s'agit de 40 mille saints. Tous ceux qui sont au paradis ne sont pas proclamés saints.
Les saints autrefois étaient désignés par leurs contemporains, un peu comme on dit aujourd'hui : c'était un saint homme.
A mon avis c'était beaucoup mieux comme ça.
Aujourd'hui on mène toute une enquête sur la vie de l'intéressé, je n'en vois pas très bien l'intérêt.
Un saint est tout simplement un modèle proposé à la chrétienté.
Il me semble qu'il n'y a pas besoin d'enquête pour dire que Mère Térésa et l'Abbé Pierre, par exemple, sont des saints.
En réalité, comme dit Provis, et comme disait la petite Sainte Thérèse, l'enfer existe mais il n'y a personne dedans ! Je crois que Dalida chantait aussi : "nous irons tous au paradis, mais ouiiiii" Alors, si ils le disent... ;-))
Saint Wolfgang, notre saint du jour,
Ah ben mince alors... Et saint Quentin alors, c'était pas le 31 octobre? L'année prochaine, SJB, tu nous feras le topo sur Quentin, please?
« Comme on connaît ses saints, on les honore » ;-))
J'espère que je ne louperai pas Saint Germain des Prés, Saint Patron de notre site favori
;-)), ...après avoir loupé Saint Quentin.
Les Quentin, de Quintus - le cinquième fils de la famille - sont fêtés le 31 octobre, comme nul ne devrait l'ignorer.
Les Quentin ont de la chance de porter un si beau prénom et les parents ont raison de ne pas attendre le cinquième pour le donner à leur fiston.
Mais leur vraie chance est d'avoir un Saint Patron parmi les plus prestigieux du Paradis.
Quentin était né à Rome aux environs de l'année 150, au temps de l'Empereur philosophe Marc Aurèle, au temps de la « Pax Romana ». La paix régnait sur l'Empire au point que l'historien Aélius Aristide, venu d'Orient, pouvait dire : - Il n'a jamais rien existé de plus beau dans les annales de l'humanité. Une même citoyenneté unit tous les citoyens du monde civilisé.
Après l'exécrable Empereur Domitien, mort en 96, les persécutions des chrétiens s'étaient fortement atténuées à Rome.
Dans les années 110, Pline le Jeune écrivait à l'Empereur Trajan : La superstition chrétienne a envahi les bourgs et les villes de tout l'Empire, mais ces chrétiens sont de bons citoyens, ils ne causent aucun trouble, au contraire, ils partagent leurs biens et pratiquent la philanthropie.
Le vrai "tort" des chrétiens était, probablement, de ne pas sacrifier aux autels des dieux païens - ce qui contrariait l'économie domestique.
Quand mourut Marc Aurèle en 180, son successeur, Commode - celui que Dion Cassius appelait : «le fléau pire que la pire des pestes» - reprit les persécutions des chrétiens et les jeux des arènes.
C'est alors que Quentin, pour échapper aux massacres, quitta Rome avec quelques disciples pour annoncer la Bonne Nouvelle dans la Gaule Chevelue. On les vit arriver, dans les dernières années du siècle, sur les bords de la Somme dans le beau pays du Vermandois, qu'occupaient les Bellovaques et les Véromanduens, les ancêtres de nos Picards.
Saint Quentin et ses disciples n'étaient pas les premiers évangélisateurs de ces régions.
(Depuis le 25 septembre, nous savons que Saint Firmin fut le premier Évêque de Amiens). Mais ils amenaient avec eux ce regain de chrétienté qui ferait éclore cette belle civilisation qui est la nôtre aujourd'hui.
Saint Quentin mourut un 31 octobre, sous les coups de la soldatesque de Commode, dans la ville de Augusta Vermandorum, qui fut rebaptisée Saint-Quentin, en souvenir de son martyre.
Bonne fête aux Quentin et, pourquoi pas, aux papas et aux mamans des Quentin ! ;-))
C'est une bonne fête avec 360 jours d'avance... ;-))
Saint Jean Baptiste, tout cela ne me dit pas où tu as trouvé ce chiffre de 40 000 saints !
dans l'apocalypse, Jean parle d'une foule portant des palmes... ce qui indique le martyre, non ?
à propos de l'Enfer, afin de ne pas faire de notre désir, une vérité confortable , il est necessaire de revenir aux sources :
"les âmes se perdent comme des flocons de neige " (ste therese de lisieux)
"combien d'âmes descendent tous les jours dans l'enfer, il verrait qu'il y en a plus que du sable dans la mer et que de petits cailloux au rivage" (sainte brigitte de Suede)
"II en est aujourd'hui comme sous l'Ancien Testament : Dieu ne se plait pas dans le grand nombre : beaucoup d'appelés, peu d'élus." (saint irénée)
et surtout , les évangiles :
" luttez pour entrer par la porte étroite
ils sont nombreux ceux chercheront à entrer au Paradis et ils ne le pourront pas" Luc 13-24
dans l'apocalypse, Jean parle d'une foule portant des palmes... ce qui indique le martyre, non ?
à propos de l'Enfer, afin de ne pas faire de notre désir, une vérité confortable , il est necessaire de revenir aux sources :
"les âmes se perdent comme des flocons de neige " (ste therese de lisieux)
"combien d'âmes descendent tous les jours dans l'enfer, il verrait qu'il y en a plus que du sable dans la mer et que de petits cailloux au rivage" (sainte brigitte de Suede)
"II en est aujourd'hui comme sous l'Ancien Testament : Dieu ne se plait pas dans le grand nombre : beaucoup d'appelés, peu d'élus." (saint irénée)
et surtout , les évangiles :
" luttez pour entrer par la porte étroite
ils sont nombreux ceux chercheront à entrer au Paradis et ils ne le pourront pas" Luc 13-24
Nous fêtons aujourd'hui les nombreux Zacharie et les nombreuses Élisabeth qui ont bien de la chance de porter un si beau prénom. Leurs Patrons, Saint Zacharie et Sainte Élisabeth, ne pouvaient être que des saints... ils étaient les parents de Saint Jean-Baptiste.
On connaît leur histoire : la bonne Élisabeth et le brave Zacharie formaient un vieux couple qui n'avait pas d'enfant.
Un jour, un beau jour, Zacharie entendit une voix qui lui disait :
- Zacharie tu vas avoir un fils !
- Allons ! allons ! je suis trop vieux pour ça, répondit Zacharie, qui es-tu, farceur ?
- Je suis l'ange Gabriel, l'annonceur des bonnes nouvelles, répondit la voix.
Le brave Zacharie en resta muet de stupéfaction !
Après cinq mois, nous disent les Écritures, Élisabeth se rendit compte qu'elle attendait ! Un pareil phénomène ne pouvait qu'engendrer un homme phénoménal : ce fut Saint Jean-Baptiste !
Huit jours après la naissance, nous disent toujours les Écritures, Zacharie, remis de ses émotions, retrouva la voix. Ce qu'il mit à profit pour dire :
- Notre fils s'appellera : Jean.
Six mois plus tard, devait naître son célèbre cousin ; quand il le baptisa dans le Jourdain, lui-même se vit rebaptisé : Jean le Baptiste, qui devint plus tard, Saint Jean-Baptiste.
Il se dit généralement que cette sympathique petite famille est la plus accueillante du paradis.
Bonne fête aux Zacharie et bonne fête aux Élisabeth !
On connaît leur histoire : la bonne Élisabeth et le brave Zacharie formaient un vieux couple qui n'avait pas d'enfant.
Un jour, un beau jour, Zacharie entendit une voix qui lui disait :
- Zacharie tu vas avoir un fils !
- Allons ! allons ! je suis trop vieux pour ça, répondit Zacharie, qui es-tu, farceur ?
- Je suis l'ange Gabriel, l'annonceur des bonnes nouvelles, répondit la voix.
Le brave Zacharie en resta muet de stupéfaction !
Après cinq mois, nous disent les Écritures, Élisabeth se rendit compte qu'elle attendait ! Un pareil phénomène ne pouvait qu'engendrer un homme phénoménal : ce fut Saint Jean-Baptiste !
Huit jours après la naissance, nous disent toujours les Écritures, Zacharie, remis de ses émotions, retrouva la voix. Ce qu'il mit à profit pour dire :
- Notre fils s'appellera : Jean.
Six mois plus tard, devait naître son célèbre cousin ; quand il le baptisa dans le Jourdain, lui-même se vit rebaptisé : Jean le Baptiste, qui devint plus tard, Saint Jean-Baptiste.
Il se dit généralement que cette sympathique petite famille est la plus accueillante du paradis.
Bonne fête aux Zacharie et bonne fête aux Élisabeth !
Merci SJB pour ce petit retour en arrière de quelques jours (ou ce bond en avant d'une année)...
Saint Jean Baptiste, tout cela ne me dit pas où tu as trouvé ce chiffre de 40 000 saints !
ils sont nombreux ceux chercheront à entrer au Paradis et ils ne le pourront pas" Luc 13-24
Prince
Je ne sais pas moi même où j'ai trouvé ce nombre de 40.000.
C'est un nombre qui est souvent cité, selon une tradition orale, et probablement qu'il faut comprendre : une foule innombrable.
Mais réflexion faite, ça paraît un peu beaucoup : ça ferait plus de 100 par jour de calendrier.
Plus probablement qu'il existe aux environs de 10.000 saints "homologués", dirons-nous.
Je crois que c'est Paul VI qui a voulu remanier les calendriers traditionnels des saints. Il en a retenu plus ou moins 180, reconnus dans toute l'Eglise, auxquels chaque pays ajoute les siens. Et il en a supprimé qui n'en n'étaient pas : Sainte Jeanne d'Arc, Saint Charlemagne, etc...
Quant à la quantité des élus dans le paradis, on verra bien si on y arrive... ;-))
Aujourd'hui avec Saint Léonard, nous retrouvons de vieilles connaissances :
Léonard était le filleul de Clovis, le neveu de la Reine Clotilde, le grand ami de Saint Remi (que nous connaissons très bien depuis le 2 octobre) et l'ennemi intime du Duc d'Aquitaine.
Il était né en 466, aux environs de Tournai (Belgique), et la Reine Clotilde l'avait engagé à la Cour pour apprendre à son mari Clovis quelques rudiments de religion et aussi le beau langage.
Clovis était, paraît-il, un élève un peu grossier, mais appliqué. Léonard était un bon maître.
Un jour la Reine Clotilde dut accoucher mais le bébé ne voulait pas sortir, il se trouvait bien où il était. On fit appel à Léonard qui délivra la mère. Sa vocation était trouvée, il irait désormais aux secours de tous les prisonniers.
En 496, Clovis, comme chacun sait, fut baptisé par Saint Remi, et Léonard estima qu'il avait terminé sa mission ; il quitta la Cour pour suivre sa vocation.
Il se rendit dans toutes les prisons du royaume de France, où il annonçait la Bonne Nouvelle, il apprenait le beau langage aux prisonniers, il priait pour leur pardon, et les réconfortait dans leur infortune.
En 506, il quitta la France pour le Limousin et c'est là qu'il se pocharda avec le Duc d'Aquitaine. Ce Duc était un homme sauvage et belliqueux ; il mit Léonard en prison. Or il advint qu'un jour la Duchesse dut accoucher ; on fit venir Léonard à la rescousse et tout se passa pour le mieux.
En récompense, Léonard reçu une forêt près de Limoge avec une auberge pour les pèlerins qu'il exploita avec sagesse.
Voilà pourquoi Saint Léonard est le Patron des aubergistes.
Il est aussi le Patron des prisonniers et des enseignants des prisons.
Bonne fête aux prisonniers, aux enseignants des prisons, aux aubergistes et aux Léonard !
Léonard était le filleul de Clovis, le neveu de la Reine Clotilde, le grand ami de Saint Remi (que nous connaissons très bien depuis le 2 octobre) et l'ennemi intime du Duc d'Aquitaine.
Il était né en 466, aux environs de Tournai (Belgique), et la Reine Clotilde l'avait engagé à la Cour pour apprendre à son mari Clovis quelques rudiments de religion et aussi le beau langage.
Clovis était, paraît-il, un élève un peu grossier, mais appliqué. Léonard était un bon maître.
Un jour la Reine Clotilde dut accoucher mais le bébé ne voulait pas sortir, il se trouvait bien où il était. On fit appel à Léonard qui délivra la mère. Sa vocation était trouvée, il irait désormais aux secours de tous les prisonniers.
En 496, Clovis, comme chacun sait, fut baptisé par Saint Remi, et Léonard estima qu'il avait terminé sa mission ; il quitta la Cour pour suivre sa vocation.
Il se rendit dans toutes les prisons du royaume de France, où il annonçait la Bonne Nouvelle, il apprenait le beau langage aux prisonniers, il priait pour leur pardon, et les réconfortait dans leur infortune.
En 506, il quitta la France pour le Limousin et c'est là qu'il se pocharda avec le Duc d'Aquitaine. Ce Duc était un homme sauvage et belliqueux ; il mit Léonard en prison. Or il advint qu'un jour la Duchesse dut accoucher ; on fit venir Léonard à la rescousse et tout se passa pour le mieux.
En récompense, Léonard reçu une forêt près de Limoge avec une auberge pour les pèlerins qu'il exploita avec sagesse.
Voilà pourquoi Saint Léonard est le Patron des aubergistes.
Il est aussi le Patron des prisonniers et des enseignants des prisons.
Bonne fête aux prisonniers, aux enseignants des prisons, aux aubergistes et aux Léonard !
Hello ! Shelton : ce samedi 10 novembre, c'est un Pape : Léon le Grand (440-461)
À toi de jouer... ;-))
À toi de jouer... ;-))
Puisque tu le dis... :)
Je crois qu'il ne faut pas confondre le calendrier et le martyrologe.
je m'appel Vital, ce prénom a ete retiré du calendrier des postes il y a qq années, alors que le martyrologe romain fait etat de plus de 10 Saint Vital.
je t'assure que Saint Jeanne d'Arc est une authentique sainte.
elle fut déclarée Martyre par le pape Calixte III , 25 ans apres son assassinat, puis béatifiée en 1909 et canonisée en 1920.
malheureusement, l'image de cette jeune fille , vierge sublime, est salie par un parti politique français, elle est Sainte Patrone de la France.
Il faut lire le 'decouverte gallimard' de Regine Pernoud "j'ai nom Jeanne la pucelle"
je m'appel Vital, ce prénom a ete retiré du calendrier des postes il y a qq années, alors que le martyrologe romain fait etat de plus de 10 Saint Vital.
je t'assure que Saint Jeanne d'Arc est une authentique sainte.
elle fut déclarée Martyre par le pape Calixte III , 25 ans apres son assassinat, puis béatifiée en 1909 et canonisée en 1920.
malheureusement, l'image de cette jeune fille , vierge sublime, est salie par un parti politique français, elle est Sainte Patrone de la France.
Il faut lire le 'decouverte gallimard' de Regine Pernoud "j'ai nom Jeanne la pucelle"
Willibrord !
Ce n'est pas une insulte, c'est le charmant prénom de notre saint du jour.
Willibrord était capucin et portait bien son prénom. Il était né en 658, en Northumbrie dans ce pays sauvage du nord de l'Angleterre, peuplé par les inquiétants Brigantes.
Pourtant c'était un homme de grande culture ; un homme affable et enjoué.
C'était surtout un voyageur infatigable et un chrétien convaincu. En 675 il est en Irlande où il parfait son instruction religieuse. Puis il débarque chez les Frisons de la Hollande où il est mal reçu - ce qui ne doit pas étonner, puisque les Frisons parlent une langue que personne ne comprend.
Il se rend ensuite à Herstal, faubourg de Liège, pour faire la connaissance de Pépin le Bref, le père de Charlemagne. Il commence par le baptiser, puis il le convainc d'aller conquérir les Frisons pour qu'il puisse leur apprendre une langue civilisée et leur annoncer la Bonne Nouvelle.
En 690, la Frise est conquise. Willibrord fait venir des moines irlandais, fonde un monastère à Utrecht et en 695, le Pape Serge Ier le nomme Évêque des Frisons.
Cinq ans plus tard, Notre ami Willibrord part en Alsace et y fonde un monastère. Puis de nouveau, il s'en va. Cette fois-ci, c'est au Luxembourg et plus précisément à Echternach, où il fonde encore un monastère et, en plus, un Évêché. Puis, cet homme infatigable repart de nouveau ; cette fois, au nord, toujours plus au nord, chez les Jutes, les Angles, les Saxons, les Thuringiens, et la aussi, il fonde des monastères.
Tous ces monastères ont été habités par des moines irlandais. C'était des centres religieux et culturels de première importance pour l'épanouissement de notre civilisation pendant tout le Moyen-Age.
A 80 ans, il revient à Echternach, où il meurt le 7 novembre 739.
En son honneur, tous les ans, le mardi de la Pentecôte, on organise une curieuse procession à Echternach : cinq pas en avant, trois pas en arrière, sur un rythme de clopin-clopant. C'est parce que, paraît-il, Willibrord est arrivé au paradis en clopinant.
On participe à cette procession pour se guérir de la folie douce... Qui vient avec moi cette année ?
Willibrord est le Patron du Bénélux (Belgique, Nederland, Luxembourg) et des fous.
Bonne fête au Bénélux, aux fous et aux Willibrord !
Ce n'est pas une insulte, c'est le charmant prénom de notre saint du jour.
Willibrord était capucin et portait bien son prénom. Il était né en 658, en Northumbrie dans ce pays sauvage du nord de l'Angleterre, peuplé par les inquiétants Brigantes.
Pourtant c'était un homme de grande culture ; un homme affable et enjoué.
C'était surtout un voyageur infatigable et un chrétien convaincu. En 675 il est en Irlande où il parfait son instruction religieuse. Puis il débarque chez les Frisons de la Hollande où il est mal reçu - ce qui ne doit pas étonner, puisque les Frisons parlent une langue que personne ne comprend.
Il se rend ensuite à Herstal, faubourg de Liège, pour faire la connaissance de Pépin le Bref, le père de Charlemagne. Il commence par le baptiser, puis il le convainc d'aller conquérir les Frisons pour qu'il puisse leur apprendre une langue civilisée et leur annoncer la Bonne Nouvelle.
En 690, la Frise est conquise. Willibrord fait venir des moines irlandais, fonde un monastère à Utrecht et en 695, le Pape Serge Ier le nomme Évêque des Frisons.
Cinq ans plus tard, Notre ami Willibrord part en Alsace et y fonde un monastère. Puis de nouveau, il s'en va. Cette fois-ci, c'est au Luxembourg et plus précisément à Echternach, où il fonde encore un monastère et, en plus, un Évêché. Puis, cet homme infatigable repart de nouveau ; cette fois, au nord, toujours plus au nord, chez les Jutes, les Angles, les Saxons, les Thuringiens, et la aussi, il fonde des monastères.
Tous ces monastères ont été habités par des moines irlandais. C'était des centres religieux et culturels de première importance pour l'épanouissement de notre civilisation pendant tout le Moyen-Age.
A 80 ans, il revient à Echternach, où il meurt le 7 novembre 739.
En son honneur, tous les ans, le mardi de la Pentecôte, on organise une curieuse procession à Echternach : cinq pas en avant, trois pas en arrière, sur un rythme de clopin-clopant. C'est parce que, paraît-il, Willibrord est arrivé au paradis en clopinant.
On participe à cette procession pour se guérir de la folie douce... Qui vient avec moi cette année ?
Willibrord est le Patron du Bénélux (Belgique, Nederland, Luxembourg) et des fous.
Bonne fête au Bénélux, aux fous et aux Willibrord !
Prince, tu me fais plaisir en me disant que Jeanne d'Arc est toujours sainte.
(Je ne sais pas si les Anglais seront d'accord.) ;-))
Bien avant qu'elle ne soit récupérée par de vils politicards,
je l'avais découverte ici :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4590
Et puis là :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/12146
Je vois que tu fais partie, toi aussi, de ses fervents admirateurs...
Et tu dis vrai : on a toujours raison de lire Régine Pernoud.
Je me demande pourquoi on a chamboulé le calendrier des saints.
J'ai des vieux almanachs et des vieux bouquins sur la vie des saints, qui me viennent de ma grand-mère, c'était ses livres de chevet ...et on prétend maintenant que certains saints n'ont jamais existés...
Comme disait une amie du site : « on ne sait plus à quel saint se vouer » ! ;-))
(Je ne sais pas si les Anglais seront d'accord.) ;-))
Bien avant qu'elle ne soit récupérée par de vils politicards,
je l'avais découverte ici :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4590
Et puis là :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/12146
Je vois que tu fais partie, toi aussi, de ses fervents admirateurs...
Et tu dis vrai : on a toujours raison de lire Régine Pernoud.
Je me demande pourquoi on a chamboulé le calendrier des saints.
J'ai des vieux almanachs et des vieux bouquins sur la vie des saints, qui me viennent de ma grand-mère, c'était ses livres de chevet ...et on prétend maintenant que certains saints n'ont jamais existés...
Comme disait une amie du site : « on ne sait plus à quel saint se vouer » ! ;-))
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je m'appel Vital, ce prénom a ete retiré du calendrier des postes il y a qq années, alors que le martyrologe romain fait etat de plus de 10 Saint Vital.
Prince, je vois un saint Vital le 11 janvier et un autre le 28 avril.
Mais pour te dire : par exemple le 28 avril il y a Saint Vital, mais encore Sainte Valérie, Sainte Théodora et Saint Didyme. Saint Pierre-Marie et Saint Louis. Saint Cronan, Saint Lucius, Saint Luchesio, Sainte Bonna-Dona, Saint Probe, Sainte Germaine, et encore Saint Paul de la Croix...
Quand je te disais qu'il y a du monde, la haut... ;-))
Ils étaient quatre frères et s'appelaient Sévère, Séverin, Carpophore et Victorien.
Mais on n'est pas très sûr de leurs noms. D'après d'autres traditions, ils s'appelleraient : Claudius, Nicostrate, Simpronianus et Castor. Mais peu importe, tous ces prénoms sont très beaux. D'ailleurs, pour mettre tout le monde d'accord, on les a appelés : les Quatre Couronnés.
Ce qu'on sait avec certitude, c'est qu'ils étaient de bons sculpteurs, et c'étaient surtout de bons chrétiens.
Ils avaient installé leur atelier d'artistes sur la belle côte Dalmate et vivaient au temps de l'Empereur Dioclétien, qui gouverna Rome de 284 à 305. Rome vivait des heures difficiles et les chrétiens, de plus en plus nombreux, étaient toujours de plus en plus persécutés.
Un jour, Dioclétien commanda aux quatre frères une statue de Jupiter.
Mais nos sculpteurs ne voulaient pas parjurer leur art et sacrifier sur l'autel des dieux païens. Pour les vrais artistes, l'art est un langage par lequel ils s'expriment ; ce n'est pas un décor.
Ils refusèrent la commande. Mal leur en prit !
Car un beau jour, ils virent arriver des soldats de l'Empereur déguisés en marchands. Ils furent capturés et conduits à Rome où ils subirent le martyre dans les jeux des arènes.
Bonne fête aux Sévère, Séverin, Carpophore et Victorien, aux Claudius, Nicostrate, Simpronianus et Castor !
Mais on n'est pas très sûr de leurs noms. D'après d'autres traditions, ils s'appelleraient : Claudius, Nicostrate, Simpronianus et Castor. Mais peu importe, tous ces prénoms sont très beaux. D'ailleurs, pour mettre tout le monde d'accord, on les a appelés : les Quatre Couronnés.
Ce qu'on sait avec certitude, c'est qu'ils étaient de bons sculpteurs, et c'étaient surtout de bons chrétiens.
Ils avaient installé leur atelier d'artistes sur la belle côte Dalmate et vivaient au temps de l'Empereur Dioclétien, qui gouverna Rome de 284 à 305. Rome vivait des heures difficiles et les chrétiens, de plus en plus nombreux, étaient toujours de plus en plus persécutés.
Un jour, Dioclétien commanda aux quatre frères une statue de Jupiter.
Mais nos sculpteurs ne voulaient pas parjurer leur art et sacrifier sur l'autel des dieux païens. Pour les vrais artistes, l'art est un langage par lequel ils s'expriment ; ce n'est pas un décor.
Ils refusèrent la commande. Mal leur en prit !
Car un beau jour, ils virent arriver des soldats de l'Empereur déguisés en marchands. Ils furent capturés et conduits à Rome où ils subirent le martyre dans les jeux des arènes.
Bonne fête aux Sévère, Séverin, Carpophore et Victorien, aux Claudius, Nicostrate, Simpronianus et Castor !
Faut-il qu'on vous présente Saint Mathurin, le Saint Patron des femmes qui ont un mari insupportable ! ...Un des saints les plus implorés du paradis !
Il était né dans la belle forêt de Fontainebleau, au sud de Lutèce, en 286. Ses parents étaient placés très haut dans l'estime de l'Empereur Hercule Maximien, car ils martyrisaient volontiers les chrétiens. Mais leur fils Mathurin voulait connaître ce Dieu pour lequel les chrétiens acceptaient le martyre. Il alla à l'école de son Évêque Saint Polycarpe où il reçut la Bonne Nouvelle comme du bon pain.
Il devint le meilleur des chrétiens et convertit ses parents. En récompense, le Très Haut lui donna le pouvoir de calmer les énergumènes, de consoler les femmes qui ont un mari insupportable et de chasser les démons.
Faut-il le dire, il était demandé partout !
Sa réputation parvint jusqu'à Rome, jusqu'aux oreilles de la belle Célestina la fille de l'Empereur. Cette malheureuse était tombée amoureuse d'un malotru qui n'en voulait pas. Elle voulait guérir de son amour parce qu'elle s'imaginait - à tort ou à raison - qu'un démon la possédait.
Mathurin lui fit avaler de la cervoise en quantité puis lui donna du bicarbonate de soude concentré. Après quelques instants il lui tint la nuque et le front, et ce qui devait arriver arriva : la belle Princesse remit cœur sur carreau - et son démon avec le reste. Mathurin renvoya le démon en enfer et releva la petite qui se retrouva dans ses bras...
Elle était guérie. Elle était charmante. Mathurin n'était pas de bois. La suite serait trop longue à raconter...
Quand il mourut, son corps fut découpé en mille morceaux parce que, disait-on, ses reliques calmaient les énergumènes, consolaient les femmes qui ont un mari insupportable, et chassaient les démons.
Bonne fête aux Mathurin !
Il était né dans la belle forêt de Fontainebleau, au sud de Lutèce, en 286. Ses parents étaient placés très haut dans l'estime de l'Empereur Hercule Maximien, car ils martyrisaient volontiers les chrétiens. Mais leur fils Mathurin voulait connaître ce Dieu pour lequel les chrétiens acceptaient le martyre. Il alla à l'école de son Évêque Saint Polycarpe où il reçut la Bonne Nouvelle comme du bon pain.
Il devint le meilleur des chrétiens et convertit ses parents. En récompense, le Très Haut lui donna le pouvoir de calmer les énergumènes, de consoler les femmes qui ont un mari insupportable et de chasser les démons.
Faut-il le dire, il était demandé partout !
Sa réputation parvint jusqu'à Rome, jusqu'aux oreilles de la belle Célestina la fille de l'Empereur. Cette malheureuse était tombée amoureuse d'un malotru qui n'en voulait pas. Elle voulait guérir de son amour parce qu'elle s'imaginait - à tort ou à raison - qu'un démon la possédait.
Mathurin lui fit avaler de la cervoise en quantité puis lui donna du bicarbonate de soude concentré. Après quelques instants il lui tint la nuque et le front, et ce qui devait arriver arriva : la belle Princesse remit cœur sur carreau - et son démon avec le reste. Mathurin renvoya le démon en enfer et releva la petite qui se retrouva dans ses bras...
Elle était guérie. Elle était charmante. Mathurin n'était pas de bois. La suite serait trop longue à raconter...
Quand il mourut, son corps fut découpé en mille morceaux parce que, disait-on, ses reliques calmaient les énergumènes, consolaient les femmes qui ont un mari insupportable, et chassaient les démons.
Bonne fête aux Mathurin !
de calmer les énergumènes, de consoler les femmes qui ont un mari insupportable et de chasser les démons.
Mais SJB, c'est un peu pareil tout ça, non ??
Bon, il est tard, faut que j'y aille..
Bonne soirée à tous, et surtout à toutes.. :o))
Au fond oui, c'est vrai, c'est un peu pareil tout ça...de calmer les énergumènes, de consoler les femmes qui ont un mari insupportable et de chasser les démons.
Mais SJB, c'est un peu pareil tout ça, non ??
.. :o))
Et on comprend que ce soit très demandé.
;-))
On a raconté avec beaucoup de détails comment certains cardinaux ont acheté leurs élections pontificales… Argent, pressions amicales, violences, y compris physiques… Tout y passé ! Mais, dans le cas de notre pauvre ami Léon, ce fut très différent, à tel point qu'on a du mal à y croire : il aurait été élu en son absence !
Diacre, envoyé en mission en Afrique et en Gaule, conseiller des papes Célestin I et Sixte III, cet homme originaire de Toscane, connaît très rapidement une grande popularité. A quoi était du son prestige ? Aucune trace précise si ce n’est les allusions à son charisme, il parlait, réfléchissait beaucoup, écrivait très bien, mais ne voulait pas se limiter à la réflexion. Si l’homme est ce qu’il fait, alors, aucun doute, Léon fut un grand…
Il quitte la Gaule pour rentrer dans sa « patrie », nom qu’il aime donner à la ville de Rome. D’ailleurs, sa première fonction sera d’être l’évêque de la ville éternelle. Il se veut énergique, combatif, efficace et près de ses ouailles et c’est en 452 qu’il entre dans l’histoire par la grande porte. Un certain Attila, fléau de Dieu, arrive vers la ville et « souhaite » la piller, la ravager et la réduire en cendres… tout simplement !
Montant à cheval, escorté de quelques prélats, du moins si on se réfère à la fameuse fresque de Raphaël qui n’a rien de réaliste ou d’historique, il va au devant du « monstre » et le dissuade de se diriger vers Rome. Le siège pontifical est sauvé et le pape devient, encore un peu plus, un chef temporel tare qui se prolongera trop longtemps…
C’est sous la pression des évènements que Léon va jouer ce rôle politique laisser libre par un empereur faible et sans consistance, Valentinien III. L’entrevue, fictive ou réelle, va ébranler les imaginations. Son succès confère à Léon une popularité et une légitimité dont aucun pape depuis Pierre, le premier, n’avait pu se prévaloir.
En 455, Léon obtient du roi Genséric et ses Vandales qu’ils ne mettent pas en danger la vie des Romains, même si la ville est pillée durant de nombreux jours, quatorze d’après les textes de l’époque. Petit à petit, il s’impose comme le père des Romains. Il prend le titre de Pontife suprême que les empereurs ne voulaient plus porter. Le chef spirituel est devenu chef temporel et fait officialiser ce changement par des mots qui vont rester en vigueur jusqu’au souverain pontife Jean XXIII qui commencera le grand ménage…
Notre empereur, la loque de Valentinien III, par un rescrit confortera le pape dans ses visions : les décisions de l’évêque de Rome ont désormais force de loi dans tout l’Empire dans le domaine religieux… Léon va en profiter pour tenter d’éliminer toutes les versions qu’il trouve déviante du christianisme. Ils en feront les frais les adeptes du gallicanisme, du manichéisme, du pélagianisme, du priscillianisme ou des monophysismes… Le débat est de savoir, une bonne fois pour toutes, qui est ce personnage mystérieux du Christ… Mais la question continue de se poser…
L’activité de Léon est inlassable. Il écrit de nombreux sermons et lettres où il se montre plus moraliste que théologien. On lui doit le premier missel connu sous le nom de sacramentaire léonin.
Son activité n’est pas appréciée de tous les chrétiens et les conciles d’Ephèse (449) et de Chalcédoine (451) montrent très clairement que les premiers siècles de l’Eglise furent souvent très houleux. A cette époque ont voulait que tout le monde pense de façon identique et on s’excommuniait facilement… Pas comme aujourd’hui…
Lui-même, vivait en paix et dans la sérénité car sa foi était très grande et solide. Sa pensée pourrait se résumer avec ces mots, ces concepts : Jésus, vrai Dieu et vrai homme, fils de Dieu et gouffre infini d’amour, fils de Marie, qui nous a promis le salut par son amour…
C’est Benoît XV, en 1754, qui le proclamera docteur de l’Eglise ! On le nomme Léon le Grand et toute sa vie illustre cet adjectif même si parfois on aurait souhaité qu’il soit plus discret et modeste… « Pierre a parlé par la bouche de Léon ! » mais ce n’est pas lui qui le disait seulement ses proches…
Alors, les Léon, bonne fête !!!
Diacre, envoyé en mission en Afrique et en Gaule, conseiller des papes Célestin I et Sixte III, cet homme originaire de Toscane, connaît très rapidement une grande popularité. A quoi était du son prestige ? Aucune trace précise si ce n’est les allusions à son charisme, il parlait, réfléchissait beaucoup, écrivait très bien, mais ne voulait pas se limiter à la réflexion. Si l’homme est ce qu’il fait, alors, aucun doute, Léon fut un grand…
Il quitte la Gaule pour rentrer dans sa « patrie », nom qu’il aime donner à la ville de Rome. D’ailleurs, sa première fonction sera d’être l’évêque de la ville éternelle. Il se veut énergique, combatif, efficace et près de ses ouailles et c’est en 452 qu’il entre dans l’histoire par la grande porte. Un certain Attila, fléau de Dieu, arrive vers la ville et « souhaite » la piller, la ravager et la réduire en cendres… tout simplement !
Montant à cheval, escorté de quelques prélats, du moins si on se réfère à la fameuse fresque de Raphaël qui n’a rien de réaliste ou d’historique, il va au devant du « monstre » et le dissuade de se diriger vers Rome. Le siège pontifical est sauvé et le pape devient, encore un peu plus, un chef temporel tare qui se prolongera trop longtemps…
C’est sous la pression des évènements que Léon va jouer ce rôle politique laisser libre par un empereur faible et sans consistance, Valentinien III. L’entrevue, fictive ou réelle, va ébranler les imaginations. Son succès confère à Léon une popularité et une légitimité dont aucun pape depuis Pierre, le premier, n’avait pu se prévaloir.
En 455, Léon obtient du roi Genséric et ses Vandales qu’ils ne mettent pas en danger la vie des Romains, même si la ville est pillée durant de nombreux jours, quatorze d’après les textes de l’époque. Petit à petit, il s’impose comme le père des Romains. Il prend le titre de Pontife suprême que les empereurs ne voulaient plus porter. Le chef spirituel est devenu chef temporel et fait officialiser ce changement par des mots qui vont rester en vigueur jusqu’au souverain pontife Jean XXIII qui commencera le grand ménage…
Notre empereur, la loque de Valentinien III, par un rescrit confortera le pape dans ses visions : les décisions de l’évêque de Rome ont désormais force de loi dans tout l’Empire dans le domaine religieux… Léon va en profiter pour tenter d’éliminer toutes les versions qu’il trouve déviante du christianisme. Ils en feront les frais les adeptes du gallicanisme, du manichéisme, du pélagianisme, du priscillianisme ou des monophysismes… Le débat est de savoir, une bonne fois pour toutes, qui est ce personnage mystérieux du Christ… Mais la question continue de se poser…
L’activité de Léon est inlassable. Il écrit de nombreux sermons et lettres où il se montre plus moraliste que théologien. On lui doit le premier missel connu sous le nom de sacramentaire léonin.
Son activité n’est pas appréciée de tous les chrétiens et les conciles d’Ephèse (449) et de Chalcédoine (451) montrent très clairement que les premiers siècles de l’Eglise furent souvent très houleux. A cette époque ont voulait que tout le monde pense de façon identique et on s’excommuniait facilement… Pas comme aujourd’hui…
Lui-même, vivait en paix et dans la sérénité car sa foi était très grande et solide. Sa pensée pourrait se résumer avec ces mots, ces concepts : Jésus, vrai Dieu et vrai homme, fils de Dieu et gouffre infini d’amour, fils de Marie, qui nous a promis le salut par son amour…
C’est Benoît XV, en 1754, qui le proclamera docteur de l’Eglise ! On le nomme Léon le Grand et toute sa vie illustre cet adjectif même si parfois on aurait souhaité qu’il soit plus discret et modeste… « Pierre a parlé par la bouche de Léon ! » mais ce n’est pas lui qui le disait seulement ses proches…
Alors, les Léon, bonne fête !!!
Merci Shelton, passionnant !
"qui est ce personnage mystérieux du Christ"
On n'imagine pas combien cette question a divisé l'Eglise.
Maintenant ce serait plutôt, me semble-t-il, les questions de morale, plus que les questions de théologie, qui divisent le monde chrétien.
Enfin, maintenant, nous savons qui était Léon le Grand.
"qui est ce personnage mystérieux du Christ"
On n'imagine pas combien cette question a divisé l'Eglise.
Maintenant ce serait plutôt, me semble-t-il, les questions de morale, plus que les questions de théologie, qui divisent le monde chrétien.
Enfin, maintenant, nous savons qui était Léon le Grand.
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