" Voltaire ce coquin a un vice de plus que les autres: il a quelques fois des vertus." ( Marivaux )
« Le rassemblement des citoyens dans des organisations, mouvements, associations, syndicats est une condition nécessaire au fonctionnement de toute société civilisée bien structurée. » Vaclav Havel, in Méditations d'été
"Un matin, l'un de nous manquant de noir, se servit de bleu; l'impressionnisme était né."
Auguste Renoir
Auguste Renoir
Ma toute petite contribution à l'année Diderot:
"Le grand homme n'est pas celui qui fait vrai mais celui qui sait le mieux concilier le mensonge avec la vérité." (Denis Diderot)
"Le grand homme n'est pas celui qui fait vrai mais celui qui sait le mieux concilier le mensonge avec la vérité." (Denis Diderot)
"J'approuve par lassitude, je contredis par impatience." Jean ROSTAND
"Un matin, l'un de nous manquant de noir, se servit de bleu; l'impressionnisme était né."
Auguste Renoir
J'en doute un peu au fond, mais l'hypothèse ne manque pas de charme.
« Vous pouvez railler, mais n'oubliez jamais qu'un jour ou l'autre, c'est celui qui raille qui l'a dans le train. » Pierre Desproges, in Vivons heureux en attendant la mor
... avec un t.
« Ne peut s'interroger sur le sens de l'univers que celui qui est capable de s'étonner devant la marche des événements. » Max Weber, in Le Judaïsme antique
D'actualité:
"Seules les âmes vides sont attirées par les opinions extrémistes"
(Yeats, prix Nobel de littérature 1923).
"Seules les âmes vides sont attirées par les opinions extrémistes"
(Yeats, prix Nobel de littérature 1923).
C'est en effet inutile, ça n'en est que plus beau. (Saule)
"Mefiez-vous des gens blases: c'est contagieux.Ca vous prend comme la peste et ca vous met des bubons dans le coeur."
Baptiste Beaulieu-"Alors voila..."
Baptiste Beaulieu-"Alors voila..."
« Pourquoi nous haïr ? Nous sommes solidaires, emportés par la même planète, équipage d’un même navire. » Antoine de Saint-Exupéry, in Terre des hommes
D'actualité:
"Seules les âmes vides sont attirées par les opinions extrémistes"
(Yeats, prix Nobel de littérature 1923).
Certes.
Au passage, les âmes se videraient-elles en temps de crise ?
"Mefiez-vous des gens blases: c'est contagieux.Ca vous prend comme la peste et ca vous met des bubons dans le coeur."
Baptiste Beaulieu-"Alors voila..."
Oh, tu as acheté son livre? Où c'est tiré de son merveilleux blog? L'idée qu'il existe des médecins, et plus encore des individus, d'une nature si... est réconfortante.
"Mefiez-vous des gens blases: c'est contagieux.Ca vous prend comme la peste et ca vous met des bubons dans le coeur."
Baptiste Beaulieu-"Alors voila..."
Oh, tu as acheté son livre? Où c'est tiré de son merveilleux blog? L'idée qu'il existe des médecins, et plus encore des individus, d'une nature si... est réconfortante.
Oui, il a l'air vraiment..sympathique son blog!
J'ai noté le livre, mais il reprend tous les articles ou c'est autre chose?
Quant à la citation.. il a 27 ans. S'il était déjà blasé, ce serait plutôt grave..
"Mefiez-vous des gens blases: c'est contagieux.Ca vous prend comme la peste et ca vous met des bubons dans le coeur."
Baptiste Beaulieu-"Alors voila..."
Oh, tu as acheté son livre? Où c'est tiré de son merveilleux blog? L'idée qu'il existe des médecins, et plus encore des individus, d'une nature si... est réconfortante.
Oui, je l'ai achete quand, o belle surprise d'un jour sombre, j'entends a la tivi une interview de Baptiste avec son livre en toile de fond...!
Achete illico presto et savoure avec bonheur ses recits.
Tu y retrouveras Chef Viking...Frottis...la dame oiseau-de-feu...Chef Pocahontas...etc, etc, etc!
Sa bienveillance, son humanite si immensement genereuse que les jours de "flip", tu l'ouvres au hasard et la, ca l'fait xxx!
Oui, la tres grande majorite des textes sont la reprise de celles du blog mais quand on a de gros problemes de connex, le papier s'apprecie, alors, grandement!
Non, Paofaia: Baptiste, lui, n'est aucunement blase!
Lis son livre et tu decouvriras les raisons de ces mots-la.
Je vais le lire, Provisette, pas de souci, j'ai lu une partie de son blog, et il me plait beaucoup!
Merci pour la découverte!
Et, après l'avoir lu.. peut être va-t-il falloir qu'il se " blase" ou s'endurcisse un peu, il est jeune et va s'user:):)
Merci pour la découverte!
Et, après l'avoir lu.. peut être va-t-il falloir qu'il se " blase" ou s'endurcisse un peu, il est jeune et va s'user:):)
Je vais le lire, Provisette, pas de souci, j'ai lu une partie de son blog, et il me plait beaucoup!
Merci pour la découverte!
Et, après l'avoir lu.. peut être va-t-il falloir qu'il se " blase" ou s'endurcisse un peu, il est jeune et va s'user:):)
Oh! Je crois que Baptiste ne sera jamais blase!
Tu decouvriras, en le lisant et meme s'il ne l'evoque qu'en filigrane, qu'il est lui-meme un "rescape" d'une grave maladie et c'est cela qui le rend si "amoureux" de la vie et des autres.
Ses mots preferes, tires d'un titre de livre:"Tout est un."
Il te redonne envie.
" Tomber un jour.Se relever toujours."
Dans le correspondance de Flaubert
A Louis Bouilhet, 30 septembre 1855,
"Causons un peu, mon pauvre vieux. La pluie tombe à torrents, l'air est lourd, les arbres mouillés et déjà jaunes sentent le cadavre.(...)
Nous vivons dans un monde où l'on s'habille d'habits tout confectionnés. Donc tant pis pour vous si vous êtres trop grand; il y a une certaine mesure commune; vous resterez nu. (...)
Mais nous qui ne profitons de rien, nous sommes seuls, seuls, comme le Bédouin dans le désert. Il faut nous couvrir la figure, nous serrer dans nos manteaux et donner tête baissée dans l'ouragan. -Et toujours, incessamment, jusqu'à notre dernière goutte d'eau, jusqu'à la dernière palpitation de notre coeur.
Quand nous crèverons, nous aurons cette consolation d'avoir fait du chemin, et d'avoir navigué dans le Grand.
Je sens contre la bêtise de mon époque des flots de haine qui m'étouffent. Il me monte de la merde à la bouche, comme dans les hernies étranglées. Mais je veux la garder, la figer, la durcir. J'en veux faire une pâte dont je barbouillerais le XIXème siècle, comme on dore de bougée de vache les pagodes indiennes..."
A Louis Bouilhet, 30 septembre 1855,
"Causons un peu, mon pauvre vieux. La pluie tombe à torrents, l'air est lourd, les arbres mouillés et déjà jaunes sentent le cadavre.(...)
Nous vivons dans un monde où l'on s'habille d'habits tout confectionnés. Donc tant pis pour vous si vous êtres trop grand; il y a une certaine mesure commune; vous resterez nu. (...)
Mais nous qui ne profitons de rien, nous sommes seuls, seuls, comme le Bédouin dans le désert. Il faut nous couvrir la figure, nous serrer dans nos manteaux et donner tête baissée dans l'ouragan. -Et toujours, incessamment, jusqu'à notre dernière goutte d'eau, jusqu'à la dernière palpitation de notre coeur.
Quand nous crèverons, nous aurons cette consolation d'avoir fait du chemin, et d'avoir navigué dans le Grand.
Je sens contre la bêtise de mon époque des flots de haine qui m'étouffent. Il me monte de la merde à la bouche, comme dans les hernies étranglées. Mais je veux la garder, la figer, la durcir. J'en veux faire une pâte dont je barbouillerais le XIXème siècle, comme on dore de bougée de vache les pagodes indiennes..."
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