Madame :
Carpaccio de saumon, crème de citron parfumée à l’aneth
Risotto aux courgettes et curry jaune de madras
Pavlova aux fruits rouges
Monsieur
Crème d’asperges de Malines, huile de basilic
Filet de lieu jaune, sauce aux crevettes grises, écrasé de pommes de terre aux fines herbes
Pavlova aux fruits rouges
Carpaccio de saumon, crème de citron parfumée à l’aneth
Risotto aux courgettes et curry jaune de madras
Pavlova aux fruits rouges
Monsieur
Crème d’asperges de Malines, huile de basilic
Filet de lieu jaune, sauce aux crevettes grises, écrasé de pommes de terre aux fines herbes
Pavlova aux fruits rouges
Coucou les amis!
Je pointe mon nez depuis l’Angleterre où je suis encore en Honeymoon.
Je viendrai sans mon mari et voici mon choix:
Entrée : crème d’asperges
Plat: lieu jaune
Dessert: pavlova
Merci pour cette belle organisation!
Kisses
Je pointe mon nez depuis l’Angleterre où je suis encore en Honeymoon.
Je viendrai sans mon mari et voici mon choix:
Entrée : crème d’asperges
Plat: lieu jaune
Dessert: pavlova
Merci pour cette belle organisation!
Kisses
Et zou !!
Et pour ceux a qui cela avait échappé (il y en a ??), c'est donc ce samedi !!
Pour rappel le RDV est donc a 12 h00 "pétantes" au restaurant :
- "Les Petits Oignons" 25, rue de la Régence B-1000 Bruxelles.
Pour ceux qui auraient besoin d'in itinéraire ...
https://restaurant-petits-oignons-bruxelles.be/……
Je vous dis donc RDV a samedi !!
Bonsoir,
pour ceux qui aiment arriver un peu en avance, je propose de nous retrouver au Café du Sablon, en face de l'église éponyme, à 160 m des petits oignons vers le palais, à partir de 11h30.
A bientôt.
pour ceux qui aiment arriver un peu en avance, je propose de nous retrouver au Café du Sablon, en face de l'église éponyme, à 160 m des petits oignons vers le palais, à partir de 11h30.
A bientôt.
Savez vous que c'est la fête des schtroumpfs à Bruxelles et que Rihanna sera sur le mont des Arts cet après-midi ? Septu, tu t'es surpassé !
J'arriverai à midi mais pas tout à fait tapant car mon train sera à Bruxelles central à 11h55.
A tout à l'heure, mes petits schtroumpfs!
J'arriverai à midi mais pas tout à fait tapant car mon train sera à Bruxelles central à 11h55.
A tout à l'heure, mes petits schtroumpfs!
Et comme discuté hier, pour ceux qui étaient venus en voiture, il vous reste 4 jours pour vous inscrire sur le site de la Zone a faible émission de la ville de Bruxelles...
L'amende encourue étant de 150.- Euros, je ne peux que vous conseiller de vous inscrire rapidement et de conserver une copie de la page de votre enregistrement.
Ici : Attention a bien remplir toutes les cases et a bien enregistrer vos documents sinon... Cela ne marche pas !! ;-))
C'est Ici :
https://lez.brussels/mytax/fr/
L'amende encourue étant de 150.- Euros, je ne peux que vous conseiller de vous inscrire rapidement et de conserver une copie de la page de votre enregistrement.
Ici : Attention a bien remplir toutes les cases et a bien enregistrer vos documents sinon... Cela ne marche pas !! ;-))
C'est Ici :
https://lez.brussels/mytax/fr/
Petit compte rendu de cette rencontre CL 2025.
Comme toutes les rencontres précédentes pour ma part ça commence par l'aventure qui consiste à arriver à bon port en train. Merci encore à la SNCB pour le train supprimé, le suivant en retard, bref "c'est déjà un goût de voyage" comme dit leur slogan...
Une fois en gare l'aventure n'est pas terminée, il faut en effet franchir un champs de schtroumpfs (et de vigiles -pas de Virgile - gardant les précieuses petites créatures) pour arriver "Aux petits oignons" avec seulement une demi-heure de retard.
Les convives sont déjà attablés devant des verres d'eau, ils ont eu la délicate attention de m'attendre pour prendre l'apéro, on voit directement qu'on est en bonne compagnie.
C'est alors que les choses sérieuses commencent, ça parle forcément littérature, poésie, prix nobel, les rafraichissements et les entrées arrivent, on continue à discuter, échanger les dernières nouvelles, quelques livres et le repas défile agréablement.
Une fois sustentés arrive la périlleuse épreuve de l'addition. C'est là qu'évidemment Bluewitch entre en scène et nous montre qu'elle maîtrise toujours la question, ouf, son mariage récent ne lui a pas ôté ce talent de comptable, merci à elle!
Il est temps de trouver un endroit où continuer les libations et les discussions, le choix se porte sur "La fleur en papier doré", ancien refuge des surréalistes dont les thés glacés, limonades, gueuzes et autres bières permettent (entre autre grâce à un service efficace et souriant) comme le veut la tradition de dire du mal des absents (qui ont toujours tort) et de continuer des débats aussi divers que divertissants, des anecdotes incroyables (où l'on apprend notamment que deux des présents ont été déclarés morts!), bref, une belle réunion de bons vivants!
Merci à Septularisen et à Ludmilla pour l'organisation sans faille, les fouilles archéologiques pour recontacter les anciens qui ne passent plus trop sur le site et à tous les convives pour les échanges sympathiques.
Au plaisir, vive CL! ^^
Comme toutes les rencontres précédentes pour ma part ça commence par l'aventure qui consiste à arriver à bon port en train. Merci encore à la SNCB pour le train supprimé, le suivant en retard, bref "c'est déjà un goût de voyage" comme dit leur slogan...
Une fois en gare l'aventure n'est pas terminée, il faut en effet franchir un champs de schtroumpfs (et de vigiles -pas de Virgile - gardant les précieuses petites créatures) pour arriver "Aux petits oignons" avec seulement une demi-heure de retard.
Les convives sont déjà attablés devant des verres d'eau, ils ont eu la délicate attention de m'attendre pour prendre l'apéro, on voit directement qu'on est en bonne compagnie.
C'est alors que les choses sérieuses commencent, ça parle forcément littérature, poésie, prix nobel, les rafraichissements et les entrées arrivent, on continue à discuter, échanger les dernières nouvelles, quelques livres et le repas défile agréablement.
Une fois sustentés arrive la périlleuse épreuve de l'addition. C'est là qu'évidemment Bluewitch entre en scène et nous montre qu'elle maîtrise toujours la question, ouf, son mariage récent ne lui a pas ôté ce talent de comptable, merci à elle!
Il est temps de trouver un endroit où continuer les libations et les discussions, le choix se porte sur "La fleur en papier doré", ancien refuge des surréalistes dont les thés glacés, limonades, gueuzes et autres bières permettent (entre autre grâce à un service efficace et souriant) comme le veut la tradition de dire du mal des absents (qui ont toujours tort) et de continuer des débats aussi divers que divertissants, des anecdotes incroyables (où l'on apprend notamment que deux des présents ont été déclarés morts!), bref, une belle réunion de bons vivants!
Merci à Septularisen et à Ludmilla pour l'organisation sans faille, les fouilles archéologiques pour recontacter les anciens qui ne passent plus trop sur le site et à tous les convives pour les échanges sympathiques.
Au plaisir, vive CL! ^^
Nous sommes bien rentrés chez nous. Bises à tout le monde !
Merci à Septularisen et à Ludmilla pour l'organisation sans faille, les fouilles archéologiques pour recontacter les anciens qui ne passent plus trop sur le site et à tous les convives pour les échanges sympathiques.
Avec plaisir et merci à toi pour ta présence !!
Merci Virgiles pour ce compte rendu bien vivant ! Content de voir que l'esprit CL est toujours la meme si il s'est assagit
Nous étions douze. Douze apôtres Céliens prêts à braver la canicule bruxelloise pour honorer cette rencontre annuelle, Grand Messe attendue entre toutes. Point de "Foire du Livre" en prétexte cette année, mais bien la "Fête des Schtroumpfs". La Belgique n'existerait pas sans ses références bédéïques et son surréalisme.
Bel aréopage cette année, onze "anciens" et un petit nouveau. Il y avait là notre grande prêtresse, Bluewitch, inoxydable pilier, présente à chaque rencontre depuis 25 ans, Ludmilla et Mr Ludmilla, le Maître des Bulles Shelton et sa gente Dame (Mrs Jones si je ne m'abuse ?), notre Débézed et Madame (en forme Olympique, private joke célienne), Virgile à la coupe de cheveux indémodable, Minoritaire et son vélo, Septularisen (mais sans sa fille cette fois !), votre humble(mais pas trop) serviteur et donc, pour la première fois, Eric Eliès, dont nous étions tous ravis de découvrir le visage. J'espère qu'il nous donnera ici son ressenti.
"Les Petits Oignons" nous accueillaient donc pour la 1ère fois, j'espère qu'ils y survivront, les derniers restos nous ayant accueilli précédemment ayant fait faillite juste après. Nous étions installés à l'étage et...seuls, ce qui nous permettait d'échanger tranquillement et de parler fort sans indisposer les tables voisines. On ne s'est donc pas privé. Nobel et Poésie furent bien sûr deux sujets très présents, mais pas que... On parla aussi de quelques icônes musicales (Bob Dylan, Bruce Springsteen, Antoine Hénaut ou encore Lou Deprijk/Plastic Bertrand), de quelque vieux souvenirs de rencontres passées avec des auteurs (presque tous morts maintenant), et quelques autres anecdotes savoureuses.
Nous mangeâmes très bien et bûmes avec modération (si ! si !), un charmant serveur sympathique et attentionné spécialement mis à disposition virevoltait autour ne nous prêt à combler tous nos désirs . Seul bémol, il ne pût nous éclairer sur l'origine de la Pavlova. Australie ou Nouvelle-Zélande ? Il n'a pas pu (ou voulu) trancher. Le mystère reste entier.
Il était déjà l'heure des comptes. Tous les yeux se tournèrent alors vers Madame Bluewitch (oui, c'est Madame maintenant, plus mademoiselle) ...
Mais il se fait tard... alors je vous raconterai la suite demain...
(fin du 1er épisode)
Bel aréopage cette année, onze "anciens" et un petit nouveau. Il y avait là notre grande prêtresse, Bluewitch, inoxydable pilier, présente à chaque rencontre depuis 25 ans, Ludmilla et Mr Ludmilla, le Maître des Bulles Shelton et sa gente Dame (Mrs Jones si je ne m'abuse ?), notre Débézed et Madame (en forme Olympique, private joke célienne), Virgile à la coupe de cheveux indémodable, Minoritaire et son vélo, Septularisen (mais sans sa fille cette fois !), votre humble(mais pas trop) serviteur et donc, pour la première fois, Eric Eliès, dont nous étions tous ravis de découvrir le visage. J'espère qu'il nous donnera ici son ressenti.
"Les Petits Oignons" nous accueillaient donc pour la 1ère fois, j'espère qu'ils y survivront, les derniers restos nous ayant accueilli précédemment ayant fait faillite juste après. Nous étions installés à l'étage et...seuls, ce qui nous permettait d'échanger tranquillement et de parler fort sans indisposer les tables voisines. On ne s'est donc pas privé. Nobel et Poésie furent bien sûr deux sujets très présents, mais pas que... On parla aussi de quelques icônes musicales (Bob Dylan, Bruce Springsteen, Antoine Hénaut ou encore Lou Deprijk/Plastic Bertrand), de quelque vieux souvenirs de rencontres passées avec des auteurs (presque tous morts maintenant), et quelques autres anecdotes savoureuses.
Nous mangeâmes très bien et bûmes avec modération (si ! si !), un charmant serveur sympathique et attentionné spécialement mis à disposition virevoltait autour ne nous prêt à combler tous nos désirs . Seul bémol, il ne pût nous éclairer sur l'origine de la Pavlova. Australie ou Nouvelle-Zélande ? Il n'a pas pu (ou voulu) trancher. Le mystère reste entier.
Il était déjà l'heure des comptes. Tous les yeux se tournèrent alors vers Madame Bluewitch (oui, c'est Madame maintenant, plus mademoiselle) ...
Mais il se fait tard... alors je vous raconterai la suite demain...
(fin du 1er épisode)
Et pour vous faire patienter, une petite chanson spécialement pour les participants à nos agapes de samedi :
https://www.youtube.com/watch?v=RgHkVkvyit0
... les autres, vous pouvez regarder aussi.
https://www.youtube.com/watch?v=RgHkVkvyit0
... les autres, vous pouvez regarder aussi.
Antoine Hénaut ? Celui qui voulait chanter avec son groupe... Oui, j'écoutait bien ! :)
Une bonne voix d'ailleurs !
Comme m'y invite Patman, me voilà bafouillant et cherchant mes mots pour témoigner, en tant que petit nouveau (ou "rookie" selon Septu) des agapes CLiennes, de la schtroumpfante magnificence de ce déjeuner aux petits oignons et au coeur de la belle ville de Bruxelles, sous un non moins beau et schtroumpfant soleil. Les jambes flageolantes à l'idée de me retrouver devant un aréopage des grands maîtres du site, j'avais, pour apaiser mon stress, pris le train dès jeudi matin depuis Paris afin d'être sûr de ne pas manquer le rdv. Après deux jours passés à papoter de choses sans intérêt à l'agence européenne de défense, j'ai enfin pris mon courage à deux mains, et aussi ma petite valise à roulettes tressautant sur les pavés, pour traverser la ville jusqu'au quartier des Sablons où la noble assemblée avait installé son banquet. Devant la façade du restaurant, j'hésitai quelques secondes mais il n'était plus possible de reculer. Je pris donc une profonde respiration et, au terme de la longue ascension d'un étroit escalier en colimaçon, je les vis... Oui, ils étaient là, comme des anges nimbés de lumière par le soleil qui ruisselait dans la vaste salle que Septu avait entièrement privatisée (ou alors le restaurant était désert et commençait déjà à ressentir les effets de la malédiction qui condamne - paraît-il - tout restaurant accueillant CL à péricliter dans l'année qui suit...). J'avoue que je ne reconnus pas d'emblée qui était qui car, contrairement aux autres qui découvrirent un nouveau visage, moi j'en découvris une douzaine et en plus chacun avait pris soin de ne pas ressembler à son pseudo ou son avatar : Bluewitch n'avait ni baguette de sorcière ni plume bleue sur la tête, Minoritaire n'a pas miaulé du repas, Patman s'est avéré n'être pas plus parisien que moi, Ludmilla n'est ni petite ni bleue (dommage, dans la ville des Schtroumpfs...), Mr Ludmilla a des bras, Septu n'est ni petit ni vert et ne porte pas de cape, M. et Mme Shelton parlent sans faire de phylactères, Virgile avait l'air en couleur... Seuls M. et Mme Debezed avaient l'air aussi vert et solide que le chêne de son avatar ! Que dire du repas qui suivit, sinon qu'il fut copieux, arrosé (avec modération...) et joyeux ? Et aussi qu'il fut suivi d'une virée vers un endroit que je ne connaissais pas, "La fleur en papier doré", encore plus merveilleux que le restaurant car nous eûmes l'honneur et le privilège de prendre une bière assis là où Magritte avait lui aussi posé ses fesses, avec ses copains surréalistes dont certaines oeuvres ornent encore les murs...
Quel bel endroit pour profiter du temps et nous rappeler que la vie c'est cool ...ainsi que le chante un certain Antoine Hénaut (j'avoue, je ne le connaissais pas avant samedi mais je ne regrette pas qu'un CLien ait pris la peine de nous le faire découvrir en partageant quelques anecdotes familiales et croustillantes sur le petit monde du show bizz !) :
https://www.youtube.com/watch?v=PuDIY4Js8Jc
Malheureusement, si la vie c'est cool, le temps lui s'écoule et, après avoir attendu le dernier moment, j'ai dû à nouveau me jeter sur ma valise et, après quelques au-revoir à la volée, j'ai traversé la ville d'un pas pressé pour arriver jusqu'à la gare de Brussels-Midi, où le train vers Paris m'attendait bien sagement car il avait un quart d'heure de retard.
Quel bel endroit pour profiter du temps et nous rappeler que la vie c'est cool ...ainsi que le chante un certain Antoine Hénaut (j'avoue, je ne le connaissais pas avant samedi mais je ne regrette pas qu'un CLien ait pris la peine de nous le faire découvrir en partageant quelques anecdotes familiales et croustillantes sur le petit monde du show bizz !) :
https://www.youtube.com/watch?v=PuDIY4Js8Jc
Malheureusement, si la vie c'est cool, le temps lui s'écoule et, après avoir attendu le dernier moment, j'ai dû à nouveau me jeter sur ma valise et, après quelques au-revoir à la volée, j'ai traversé la ville d'un pas pressé pour arriver jusqu'à la gare de Brussels-Midi, où le train vers Paris m'attendait bien sagement car il avait un quart d'heure de retard.
Ta relation de l'évènement, Eric, remue en moi des souvenirs du "rookie" que je fus ... la première fois, qui reste prégnante. C.L. reste C.L. !
Merci pour ces comptes-rendus, c’est comme si on y était.
L’esprit CL est toujours bien vivant.
On attend plus que le témoignage de notre Madame la Sorcière bleue.
L’esprit CL est toujours bien vivant.
On attend plus que le témoignage de notre Madame la Sorcière bleue.
Il était déjà l'heure des comptes. Tous les yeux se tournèrent alors vers Madame Bluewitch (oui, c'est Madame maintenant, plus mademoiselle) ...
Mais il se fait tard... alors je vous raconterai la suite demain...
(fin du 1er épisode)
Je vous avais laissé hier sur l'insoutenable suspense de l'heure des comptes, ce moment culte de toute rencontre célienne, cet instant où tout s'arrête et où l'on n'entend plus que le froissement des billets et le cliquetis des pièces entre les doigts agiles de Blue... Une fois de plus, elle s'acquitta de la tâche avec brio. Une experte on vous dit...
Comptes soldés, pourboire laissé, nous pouvions quitter les lieux, l'âme sereine et l'estomac plein. Mais la question se posait : "On va où ?" ... Du Sablon à la rue des Alexiens, la promenade est courte et plaisante, je proposai donc "La Fleur en Papier Doré", estaminet fondé en 1929 et qui fut le repaire avant guerre de la faune des surréalistes belges, Magritte et Scutenaire en tête. Le lieu est classé monument historique depuis 1997. Il ne pouvait que plaire au "rookie" et aux autres membres de notre auguste assemblée. En chemin, nous rencontrâmes quelques Schtroumpfs en goguette. Le ton était donné.
La Fleur, pour moi, a un parfum particulier. J'y ai passé de longues heures de ma vie entre 1981 et 2006. J'étais donc heureux de pouvoir la faire découvrir à d'autres Céliens, qui plus est amateurs de poésie. On s'attabla, on commanda quelques breuvages fleurant bon la vieille Belgique d'autrefois. M. Ludmilla, toujours aventureux, se risqua même sur un verre de Faro, cette bière deux fois bue comme disait Baudelaire (toujours la poésie...) Et les discussions reprirent de plus belle. On évoqua l'intelligence artificielle (Chat GPT a-t-il du second degré ?), les absents (provisoires ou définitifs), Et le temps s'écoula. Et l'heure des trains approchait. Quelques uns partirent, les autres restèrent pour un verre encore et s'accrocher encore un peu à ces instants privilégiés des rencontres.
Nous prîmes finalement le chemin de la sortie. Quelle heure était-il ? Je ne sais, je n'ai pas regardé. On s'en allait tous.
Tous ? Pas vraiment. Moi je suis resté.
Je voulais juste prendre un dernier verre accroché à ce bout de comptoir qui était ma place autrefois.
Un dernier verre, puis un autre dernier verre, et la conversation qui se noue avec les deux serveuses; elles sont Françaises, étudiante en bédé à l'ESA Saint-Luc;
et un autre dernier verre; et elles qui me posent des questions sur la Fleur d'autrefois, un verre offert cette fois et les souvenirs qui remontent, les belles soirées du Grenier Jane Tony, l'accordéon de M. André, les spectacles, les expos, la marmite de bolognaise qui mijote sans fin dans la cuisine.
Un dernier dernier verre. Et un autre encore.
La soirée avance... Une soirée à la Fleur en Papier Doré. Ma première depuis presque 20 ans. C'est aussi ça CL.
Belle première pour Eric ! C’est très curieux de voir des gens avec qui on communique depuis des ans sans jamais se voir. Dans la vraie vie, on commence par se voir et puis on communique.
Le jour où on a vu Tistou pour la première fois, je me souviens que nous regardions tous qui entrait dans le resto et quand Tistou et entré nous avons tous dit : voila Tistou !
C’était dans un resto africain où on mangeait avec ses doigts mais ça remonte à longtemps…
Mon Dieu que le temps passe vite !
Le jour où on a vu Tistou pour la première fois, je me souviens que nous regardions tous qui entrait dans le resto et quand Tistou et entré nous avons tous dit : voila Tistou !
C’était dans un resto africain où on mangeait avec ses doigts mais ça remonte à longtemps…
Mon Dieu que le temps passe vite !
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