Je m'empresse de répondre à l'appel de SJB pour contribuer par quelques mots à l'élégante description faite par mes amis Céliens.
Je m'arrête d'ailleurs un instant sur ce "Céliens", mot né un jour de la tête de je ne sais plus qui, et désignant les habitants que nous sommes de cette planète "far far away" but "so close" qu'est le site de Critiques Libres. Habitants cosmopolites, multifacettes, de tout âges et de toutes confessions, osant la mixité curieuse, les pensées virevoltantes, les audacieuses controverses... mais aussi les redondances, la nostalgie, les vieilles brouilles de famille et les voyages en train dans l'espace et le temps.
Que dire si ce n'est qu'être venue à cette réunion un peu en dilettante cette année fut un savoureux plaisir? Voir Septularisen et Ludmilla (que je remercie tous deux chaleureusement) s'affairer à concocter cette rencontre en bons élèves, dénichant les poussiéreuses photos de classe pour faire sortir de leur tanière les plus anciens, les plus discrets, les plus éphémères, voire les nouveaux... ce fut une vraie joie. Une forme de tendre gratitude s'est emparée de mon petit cœur : c'était comme de voir son enfant (que je n'ai pas) réussir enfin à rouler en vélo tout seul ! Quelle fierté.
Une rencontre CL en Juin, par beau temps, de jour : quel contraste ! Tout le monde avait bonne mine autour de la table! Tout le monde était content de se retrouver, de s'ébrouer en bras de chemise, de parler fort, de boire de l'eau minérale en attendant Virgile, d'avoir chaud, d'accueillir la poésie et les polars scandinaves dans les discussions.
Le ton était donné aux Petits Oignons: l'efficacité. A peine posés que le service était déjà en marche : pas de flânerie apéritive rue de la Régence. Les estomacs sont pris au sérieux, les couverts habilement disposés, et le serveur audible même pour les plus durs de la feuille.
Et parce que vous aimez les potins, en voici quelques uns (maintenant que je suis devenue Madame, ma place sociale est bien assise et ma réputation à l'abri de toute atteinte mesquine : je dis ce que je veux, même si c'est pas vrai !).
Virgile aime les groupes de Cover.
Mr Ludmilla avait commandé un Pavlova (dont l'origine est en fait sud-africaine) mais a piqué mon Brownie.
Patman est le Plastic Bertrand de la littérature luxembourgeoise (sans les cheveux)
Shelton et Mrs Jones vont lancer un AirBnB à Angoulême (et nous y inviter)
Débézed n'ose pas publier toutes ses lectures sur CL (je vous laisse imaginer pourquoi)
Mme Débézed a décidé d'ouvrir son propre profil sur le site (parce qu'elle est une petite souris de bibliothèque)
Eric Eliès est le fils spirituel d'Edgar Allan Poe (mais heureusement, il fait plus belle figure)
Septularisen est en fait le pseudonyme d'un voleur d'identité (il a voulu faire porter le chapeau à un brigand parti mourir en Suède mais qui sait vraiment qui est le vrai lui?)
Mino a toujours quelque chose sur le feu, c'est pour ça qu'il est parti le premier histoire de ne pas trop faire bouillir la marmite.
Ludmilla est une mère veilleuse sur le site et va lancer un appel à texte New Romance (ou de la Dark Romance pour les plus coquins d'entre nous) ce qui risque de faire de l'ombre à Tistou.
Il y a eu beaucoup plus de limonades et de thés glacés que de bouteilles de vin alignées en fin de soirée sur la table (et c'est là qu'on se rend compte qu'on vieillit), même si Patman et Virgile ont tenté de relever la moyenne.
Quant à moi, je n'ai peut-être pas de plume bleue sur la tête mais bien, en fidèle disciple de Tata Yoyo, plein d'oiseaux dedans.
25 ans à écouter vos rires et vos débats, à vieillir avec vous (mais vous serez toujours plus vieux que moi quand même) : je mesure la chance que j'ai.
Des années à écouter Patman raconter les mêmes histoires (mais au moins, je l'aurai connu dans sa période "skinny Julos") et y ajouter des nouvelles
Des années à tendre l'oreille pour comprendre tout ce que me raconte DBZ même quand ni lui ni moi n'avons encore bu de Sauvignon (quel drôle d'accent il a celui-là)
Des années à observer le regard vif de Mino qui veille comme un chat à chaque rencontre
Des années à regretter les absents
Des années à me dire que même les plus fervents et originaux lecteurs peuvent chanter dans une comédie musicale en portant des collants (pardon Virgile)
Des années à accueillir les nouveaux timorés en espérant qu'ils reviennent l'année suivante (d'abord on supplie, puis on menace, Eric Eliès, comme ça tu sais)
Des années à me dire que je devrais lire plus et travailler moins (mais bon...)
Des années à me rappeler que j'ai oublié ce que voulait dire Septularisen et avoir la flemme de chercher sur le site
Des années à sourire de nos vieilles rengaines qui résonnent comme un vieux livre du club des cinq (sauf qu'on est bien plus).
Promis, si on est toujours vivants, on se retrouve dans un an.
Je m'arrête d'ailleurs un instant sur ce "Céliens", mot né un jour de la tête de je ne sais plus qui, et désignant les habitants que nous sommes de cette planète "far far away" but "so close" qu'est le site de Critiques Libres. Habitants cosmopolites, multifacettes, de tout âges et de toutes confessions, osant la mixité curieuse, les pensées virevoltantes, les audacieuses controverses... mais aussi les redondances, la nostalgie, les vieilles brouilles de famille et les voyages en train dans l'espace et le temps.
Que dire si ce n'est qu'être venue à cette réunion un peu en dilettante cette année fut un savoureux plaisir? Voir Septularisen et Ludmilla (que je remercie tous deux chaleureusement) s'affairer à concocter cette rencontre en bons élèves, dénichant les poussiéreuses photos de classe pour faire sortir de leur tanière les plus anciens, les plus discrets, les plus éphémères, voire les nouveaux... ce fut une vraie joie. Une forme de tendre gratitude s'est emparée de mon petit cœur : c'était comme de voir son enfant (que je n'ai pas) réussir enfin à rouler en vélo tout seul ! Quelle fierté.
Une rencontre CL en Juin, par beau temps, de jour : quel contraste ! Tout le monde avait bonne mine autour de la table! Tout le monde était content de se retrouver, de s'ébrouer en bras de chemise, de parler fort, de boire de l'eau minérale en attendant Virgile, d'avoir chaud, d'accueillir la poésie et les polars scandinaves dans les discussions.
Le ton était donné aux Petits Oignons: l'efficacité. A peine posés que le service était déjà en marche : pas de flânerie apéritive rue de la Régence. Les estomacs sont pris au sérieux, les couverts habilement disposés, et le serveur audible même pour les plus durs de la feuille.
Et parce que vous aimez les potins, en voici quelques uns (maintenant que je suis devenue Madame, ma place sociale est bien assise et ma réputation à l'abri de toute atteinte mesquine : je dis ce que je veux, même si c'est pas vrai !).
Virgile aime les groupes de Cover.
Mr Ludmilla avait commandé un Pavlova (dont l'origine est en fait sud-africaine) mais a piqué mon Brownie.
Patman est le Plastic Bertrand de la littérature luxembourgeoise (sans les cheveux)
Shelton et Mrs Jones vont lancer un AirBnB à Angoulême (et nous y inviter)
Débézed n'ose pas publier toutes ses lectures sur CL (je vous laisse imaginer pourquoi)
Mme Débézed a décidé d'ouvrir son propre profil sur le site (parce qu'elle est une petite souris de bibliothèque)
Eric Eliès est le fils spirituel d'Edgar Allan Poe (mais heureusement, il fait plus belle figure)
Septularisen est en fait le pseudonyme d'un voleur d'identité (il a voulu faire porter le chapeau à un brigand parti mourir en Suède mais qui sait vraiment qui est le vrai lui?)
Mino a toujours quelque chose sur le feu, c'est pour ça qu'il est parti le premier histoire de ne pas trop faire bouillir la marmite.
Ludmilla est une mère veilleuse sur le site et va lancer un appel à texte New Romance (ou de la Dark Romance pour les plus coquins d'entre nous) ce qui risque de faire de l'ombre à Tistou.
Il y a eu beaucoup plus de limonades et de thés glacés que de bouteilles de vin alignées en fin de soirée sur la table (et c'est là qu'on se rend compte qu'on vieillit), même si Patman et Virgile ont tenté de relever la moyenne.
Quant à moi, je n'ai peut-être pas de plume bleue sur la tête mais bien, en fidèle disciple de Tata Yoyo, plein d'oiseaux dedans.
25 ans à écouter vos rires et vos débats, à vieillir avec vous (mais vous serez toujours plus vieux que moi quand même) : je mesure la chance que j'ai.
Des années à écouter Patman raconter les mêmes histoires (mais au moins, je l'aurai connu dans sa période "skinny Julos") et y ajouter des nouvelles
Des années à tendre l'oreille pour comprendre tout ce que me raconte DBZ même quand ni lui ni moi n'avons encore bu de Sauvignon (quel drôle d'accent il a celui-là)
Des années à observer le regard vif de Mino qui veille comme un chat à chaque rencontre
Des années à regretter les absents
Des années à me dire que même les plus fervents et originaux lecteurs peuvent chanter dans une comédie musicale en portant des collants (pardon Virgile)
Des années à accueillir les nouveaux timorés en espérant qu'ils reviennent l'année suivante (d'abord on supplie, puis on menace, Eric Eliès, comme ça tu sais)
Des années à me dire que je devrais lire plus et travailler moins (mais bon...)
Des années à me rappeler que j'ai oublié ce que voulait dire Septularisen et avoir la flemme de chercher sur le site
Des années à sourire de nos vieilles rengaines qui résonnent comme un vieux livre du club des cinq (sauf qu'on est bien plus).
Promis, si on est toujours vivants, on se retrouve dans un an.
Merci à vous tous pour vos comptes-rendus ! Avec un petit pincement au coeur de ne pas avoir été des vôtres pour ces rendez-vous inoubliables.
Belle première pour Eric ! C’est très curieux de voir des gens avec qui on communique depuis des ans sans jamais se voir. Dans la vraie vie, on commence par se voir et puis on communique.
Le jour où on a vu Tistou pour la première fois, je me souviens que nous regardions tous qui entrait dans le resto et quand Tistou et entré nous avons tous dit : voila Tistou !
C’était dans un resto africain où on mangeait avec ses doigts mais ça remonte à longtemps…
Mon Dieu que le temps passe vite !
Les grands anciens (nota : aucun rapport avec Cthulhu) des repas de CL ont déballé leurs souvenirs des anciennes rencontres et ce restaurant, où tout le monde s'est mis à manger avec les doigts dans un grand plat commun, a été évoqué comme un joli moment de partage qui a laissé de bons souvenirs ! Pour l'an prochain, si ça vous dit de faire un tour des cuisines du monde, je suis partant ! A titre personnel, j'ai découvert la cuisine éthiopienne à Djibouti, où j'ai fait escale à de nombreuses reprises. C'est sympa (notamment le cérémonial du café) et bon, même si pas très varié (toujours du wat + la galette d'injera) mais c'est aussi assez particulier et il faut avoir confiance en les personnes avec qui on mange : je me souviens d'une sortie restau à Djibouti où nous étions une dizaine et tous bien malades le lendemain. On n'a jamais su si c'était le restau (les boucheries de Djibouti ne sont pas aux normes UE - les normes, parfois, ça a du bon !!!) ou si l'un d'entre nous n'avait pas pris la peine de se laver les mains avant de manger...
C’est bien dit et c’est une belle chronique de plus. J’aime bien les potins et les souvenirs de 25 ans de retrouvailles, même si on ne vit pas de souvenirs, les bons souvenirs font du bien.
Promis, si on est toujours vivants, on se retrouve dans un an.
;-))
Tout d'abord merci à celles et ceux qui ont oeuvré pour que cette belle et agréable réunion ait pu se tenir dans de si belles circonstances même le soleil nous accompagné. J'espère qu'ils conserveront ce bel état d'esprit pour que l'an prochain nous nous retrouvions dans le même lieu, ou un autre, pour parler de tout et de rien mais surtout de livres et du souvenitr des temps anciens et de ceux qui les peuplaient. L'essentiel étant de ne pas laisser mourir la belle amitié qui nous relie autour de nos lecture et des repas que nous prenons ensemble.
Nous sommes rentrés lundi soir tard, notre train a été immobilisé en Gare de Lyon à cause d'un paquet suspect laissé par un voyageur lors du trajet précédent. je peux affirmer qu'il peut faire très chaud sur un quai de gare quand on poireaute 20 mn dans la fournaise sans nouvelle d'un évenutuel départ ou report.
Dimanche, nous avons fait une petite excursion à Namur où nous avons surtout visité la citadelle, monter des escaliers et grimper une belle côte bien pentue pour reprendre le téléphérique et tout ça sous un bon cagnard.. Mais après avoir dégusté, sur une jolie terasse ombragée, une petite planche avec une bière brassée spécialement pour l'établissement. Nous avons bu aussi une bière dans un bar tapissé de livres, c'est toujours enthousiasmant de savoir qu'il y a des livres et des lecteurs jusqu'au fond des bars.
J'ai éét très heureux de vous revoir, j'espère que d'autres nous rejoindront la prochaine fois. J'ai aussi beaucoup apprécié ce petit pèlerinage à La fleur en papier doré où nous avions déjà fait halte sous la conduite de Blue il y a déjà plusieurs années, c'était avant le covid (comme nos parents disaient avant la guerre).
Alors, Blue je voudrais préciser que tout ce que je lis est commenté sur CritiquesLibres même ce je recevais de chez Tabou ou Mélusine (1 seul pour cette maison où a travaillé Schiappa) et même de chez Le Poète du Pays noir comme il se désigne lui-même (Blue le reconnaîtra). il m'a encore adressé un texte que j'ai reçu ce matin. Je publie aussi les mêmes chroniques sur mon blog "Mes impressions de lecture" et sur celui de Kimbote "Les belles phrases" où en réunissant plusieurs chroniques j'évoque un thème chaque semaine. J'ai publié aussi sur le Blog d'une amie normande, "La plume et l'image" et sur Benzinemag, le site d'un Nancéen que septu connait peut-être mais sa ligne éditric eest trop différente de mes lectures.
Plaisir aussi de renconter un autre poète, les spécimens se font rares par les temps qui courent, Je lirai le recueeil de son épouse qui est Roumaine comme celle d'Eric ou comme Iocasta Huppen la spécialiste des haïkus (Roumaine réisdant en Belgique qui écrit de la littérature japonaise !). Je lirai le recueil d'Anka Eliès au cours de l'été quand ma pile aura baissé.
Mon épouse a bien apprécié cette journée, elle connaissait déjà nos amis bourguignons, Patman et Mino avec qui nous avions partagé des moules en 2023. Ellel m'avait déjà accompagné en 2009 alors que Septu lui l'était de son épouse et de sa toute petite fille qui dormait dans le restaurent sagement dans son couffin. Je me souviens qu'à nootre table, il y avait Blue (déjà ! Elle avait la permission de ses parents), Saint Germain des prés et Pendragon, Palorel et quelques autres dont j'ai oublié le pseudo et jamais connu le nom.
J'ai des souvenirs pour quelques pages de plus mais je vais m'arrêter là et remercier encore toutes celles et ceux qui ont particpé à cette journée d'amitié littairaire, gastronomique rt festive ...!
Nous sommes rentrés lundi soir tard, notre train a été immobilisé en Gare de Lyon à cause d'un paquet suspect laissé par un voyageur lors du trajet précédent. je peux affirmer qu'il peut faire très chaud sur un quai de gare quand on poireaute 20 mn dans la fournaise sans nouvelle d'un évenutuel départ ou report.
Dimanche, nous avons fait une petite excursion à Namur où nous avons surtout visité la citadelle, monter des escaliers et grimper une belle côte bien pentue pour reprendre le téléphérique et tout ça sous un bon cagnard.. Mais après avoir dégusté, sur une jolie terasse ombragée, une petite planche avec une bière brassée spécialement pour l'établissement. Nous avons bu aussi une bière dans un bar tapissé de livres, c'est toujours enthousiasmant de savoir qu'il y a des livres et des lecteurs jusqu'au fond des bars.
J'ai éét très heureux de vous revoir, j'espère que d'autres nous rejoindront la prochaine fois. J'ai aussi beaucoup apprécié ce petit pèlerinage à La fleur en papier doré où nous avions déjà fait halte sous la conduite de Blue il y a déjà plusieurs années, c'était avant le covid (comme nos parents disaient avant la guerre).
Alors, Blue je voudrais préciser que tout ce que je lis est commenté sur CritiquesLibres même ce je recevais de chez Tabou ou Mélusine (1 seul pour cette maison où a travaillé Schiappa) et même de chez Le Poète du Pays noir comme il se désigne lui-même (Blue le reconnaîtra). il m'a encore adressé un texte que j'ai reçu ce matin. Je publie aussi les mêmes chroniques sur mon blog "Mes impressions de lecture" et sur celui de Kimbote "Les belles phrases" où en réunissant plusieurs chroniques j'évoque un thème chaque semaine. J'ai publié aussi sur le Blog d'une amie normande, "La plume et l'image" et sur Benzinemag, le site d'un Nancéen que septu connait peut-être mais sa ligne éditric eest trop différente de mes lectures.
Plaisir aussi de renconter un autre poète, les spécimens se font rares par les temps qui courent, Je lirai le recueeil de son épouse qui est Roumaine comme celle d'Eric ou comme Iocasta Huppen la spécialiste des haïkus (Roumaine réisdant en Belgique qui écrit de la littérature japonaise !). Je lirai le recueil d'Anka Eliès au cours de l'été quand ma pile aura baissé.
Mon épouse a bien apprécié cette journée, elle connaissait déjà nos amis bourguignons, Patman et Mino avec qui nous avions partagé des moules en 2023. Ellel m'avait déjà accompagné en 2009 alors que Septu lui l'était de son épouse et de sa toute petite fille qui dormait dans le restaurent sagement dans son couffin. Je me souviens qu'à nootre table, il y avait Blue (déjà ! Elle avait la permission de ses parents), Saint Germain des prés et Pendragon, Palorel et quelques autres dont j'ai oublié le pseudo et jamais connu le nom.
J'ai des souvenirs pour quelques pages de plus mais je vais m'arrêter là et remercier encore toutes celles et ceux qui ont particpé à cette journée d'amitié littairaire, gastronomique rt festive ...!
(DBZ, c'était pour rire)
Aucun souci c'était juste pour préciser ! Je n'ai hélas pas le temps de lire et écrire encore plus !
Que dire si ce n'est qu'être venue à cette réunion un peu en dilettante cette année fut un savoureux plaisir? Voir Septularisen et Ludmilla (que je remercie tous deux chaleureusement)
Avec plaisir...
Septularisen est en fait le pseudonyme d'un voleur d'identité (il a voulu faire porter le chapeau à un brigand parti mourir en Suède mais qui sait vraiment qui est le vrai lui?)
C'est vrai que cela ferait une bonne trame de fond pour un polar
Des années à me rappeler que j'ai oublié ce que voulait dire Septularisen et avoir la flemme de chercher sur le site
Toujours l'anagramme presque parfaite de la phrase : "Sert plus a rien"... Et ce depuis... 21 ans !!
Promis, si on est toujours vivants, on se retrouve dans un an.
Si Dieu nous prête vie...
Merci pour vos comptes rendus, c'est toujours chouette de voir les différents ressentis si joliment exprimés. :-)
Mention spéciale à Bluewitch qui m'a bien fait rigoler, même si JE DETESTE LES GROUPES DE COVER je ne regrette pas de lui avoir filé un bout de mon brownie. En ces temps de fake news seuls les présents connaissent le fin mot des histoires, bref la prochaine fois ne ratez pas ça! ^^
Mention spéciale à Bluewitch qui m'a bien fait rigoler, même si JE DETESTE LES GROUPES DE COVER je ne regrette pas de lui avoir filé un bout de mon brownie. En ces temps de fake news seuls les présents connaissent le fin mot des histoires, bref la prochaine fois ne ratez pas ça! ^^
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