Quant-à trouver LE titre consensuel, effectivement, il y à de quoi nourrir des pages et des pages de discussions sur ce forum.Sans doute. Et pourtant, elle aurait offert un roman de Richard Millet, qui m'inspire la plus profonde antipathie, ça m'aurait moins choqué : au moins ça aurait eu de bonnes chances d'être un bon livre.
Et il est vrai que le choix de Marc Levy permet d'éviter toute polémique du genre "Dati offre le dernier roman d'un écrivain de droite".
Et si Me Dati avait justement offert le livre d'un écrivain "populaire" pour permettre à tous les ados de 15 ans, plus adeptes de séries genres loft/secret story ou de réseaux sociaux, d'ouvrir un livre en évitant qu'on le retrouve aussitôt sur le Boncoin ou Amazon ?
C'est partir du principe que les ados en question ne lisent pas de bouquins de qualité -ce que je ne crois pas. Les jeunes ne sont pas de complets crétins incapables de savourer de la bonne littérature; surtout considérant que, comme tu le soulignes toi-même :
On peut penser qu'après avoir étudié la littérature et un peu de philo, le choix aurait pu être plus exigeant.
C'est d'ailleurs tout le problème : le choix en question n'est pas plus exigeant parce que, Dati elle-même n'est pas plus exigeante en ce qui concerne ses propres lectures ('son écrivain préféré', mouais...). L'ironie est que, je suis certain que parmi les pauvres bambins ayant reçu ce cadeau beaucoup ont de meilleures lectures qu'elles !
L'ironie est que, je suis certain que parmi les pauvres bambins ayant reçu ce cadeau beaucoup ont de meilleures lectures qu'elles !Ça ne fait aucun doute. J'en vois régulièrement parmi les collégiens (et pas seulement parmi les "bons" élèves en français) ; a fortiori parmi les lycéens.
Ben Dati a regardé ce qui est en tête du box-office et elle s'est dit "si Levy est en tête c'est que les gens l'aiment " Ce qui est malheureusement vrai...Alors on peut s'en désoler, surtout pour la littérature, mais c'est dans la logique d'un système. A part les dicos ou les classiques je ne vois pas ce qui aurait pu faire concensus...En choisissant Lévy on ne peut faire l'accusation de prom, il n'en n'a vraiment pas besoin. Bien sûr on aurait pu choisir le dernier Goncourt mais certains diront que ce n'est pas forcément un gage de qualité...comme les classiques apparemment:-)
Comme Marvic je pense que le choix a été fait pour inciter à lire tout simplement et que le vrai mauvais choix concerne bien les lycéens. Les autres n'en mourront pas et ne pourront qu'améliorer leurs choix dans le futur grâce aux profs qui leur feront découvrir (j'espère) une autre littérature. Si ces derniers ne le font pas alors ça ne sert à rien de se lamenter c'est une situation désespérée et ce qu'a fait Dati ne s'inscrira que dans cette logique des choses...
Comme Marvic je pense que le choix a été fait pour inciter à lire tout simplement et que le vrai mauvais choix concerne bien les lycéens. Les autres n'en mourront pas et ne pourront qu'améliorer leurs choix dans le futur grâce aux profs qui leur feront découvrir (j'espère) une autre littérature. Si ces derniers ne le font pas alors ça ne sert à rien de se lamenter c'est une situation désespérée et ce qu'a fait Dati ne s'inscrira que dans cette logique des choses...
Je ne comprend pas du tout ce que tu veux dire Pieronnelle : "si les gens l'aiment" n'est certainement pas un critère pour promouvoir un peu la littérature auprès des jeunes. Sur cette base, elle aurait pu leur payer un hamburger de chez MacDo ou un casier de bières :-)
Comme Marvic je pense que le choix a été fait pour inciter à lire tout simplement et que le vrai mauvais choix concerne bien les lycéens. Les autres n'en mourront pas et ne pourront qu'améliorer leurs choix dans le futur grâce aux profs qui leur feront découvrir (j'espère) une autre littérature.
Oui mais :
- et d'une elle envoie un mauvais message sur ce qu'est la littérature;
- de deux, cela encourage le mercantilisme niais déjà plus que triomphant et non l'élitisme (je suis comme Saule, pour moi 'élite' n'est pas une insulte mais, quelque chose auquel aspirer -ne serait-ce que d'un point de vue humaniste);
- et, de trois, c'est contre-productif parce que, les pauvres profs qui se battent pour faire découvrir de la littérarure aux jeunes, ben, ils doivent bien se sentir abandonnés face a de tels politiciens -des élites dirigeantes dont la culture littéraire se résume à de la chicklit de gare, je veux dire.
Pareil.
D'autant plus qu'il faut avoir les félicitations aux 3 trimestres, la carotte, quoi...j'avais encore jamais entendu que ça se faisait, mais je ne cautionne pas du tout.
Le pire dans ce système, c'est que la clef USB est réservée aux élèves de 6ième ayant eu les félicitations aux 3 trimestres, et les cadeaux augmentent en valeur selon les années : si tu arrives en 5ième en ayant eu les félicitations aux 6 trimestres, je ne sais pas encore ce que tu as (on verra bien), si tu arrives en 4ième en les ayant eues aux 9 trimestres le cadeau sera "mieux", etc, bref peut-être que la boucle sera bouclée si les 3ième ayant eu les félicitations du conseil pendant tout le collège reçoivent un livre de Lévy? :)))
Moi qui essaie d'apprendre à mes enfants qu'on doit bien travailler à l'école non pas pour faire plaisir à ses parents ou en tirer une quelconque fierté mais pour soi-même, ça fait un peu mal aux fesses...
Sinon, je rejoins un peu Marvic : les élèves de terminale ont déjà étudié des ouvrages classiques imposés par le programme, et pourquoi pas des oeuvres contemporaines si leur enseignant les conseille bien; ils ont passé leur bac de français. Après avoir goûté à cela, je ne vois pas comment ils pourraient s'enthousiasmer pour Marc Lévy..?
Je pense que pour Dati, Lévy incarne la réussite, comme elle (à ses yeux). La question du talent littéraire ou de la compétence politique sont carrément annulées par le mirage de la réussite.
C'est bien tout le problème.
Mais il faut voir les choses en face; si Levy arrive en tête c'est que les parents ou futurs parents le lisent...Je ne m'en rèjouis pas mais comme le disait Stavro Lévy représente la réussite dans notre système, notion vers laquelle on pousse les enfants.J'ai même entendu qu'on allait dès les plus jeunes classes "former "les enfants au management et comment entreprendre !!! Le problème en choisissant un livre c'est de faire consencus car il y aura toujours des gens pour critiquer les choix : classique : démodé ; prix littéraires : trop intello ou pas assez selon certains...
Par exemple moi je serais pour proposer un jeune auteur de l'année ; mais qui sera choisi? Selon quels critères : popularité? ventes? passage aux émissions littéraires (souvent promotions déguisées). On n'en n'est plus malheureusement au stade de permettre de découvrir une "littérature" telle que la conçoive les "élitistes" mais de faire en sorte que les jeunes lisent, dispersés comme ils le sont parmi les divers médias et moyens de diffusion. Le but est de faire tenir entre les mains de jeunes UN LIVRE et qu'ils le lisent !! Alors le seul critére qui a été pris en compte c'est la popularité ET les ventes, tout ce qui caractérise Lévy et notre société...Alors le boulot sera à faire par les profs et les parents ; et comme le principe de comparaison a l'air de plaire aux intellectuels ça sera pas difficile de démontrer qu'on peut lire autre chose qu'une littérature à la Lévy.Je suis désolée mais la bibliothèque "rouge et or" avec ses romans à l'eau de roses mais bien Ecrits préparaient aussi à la lecture et au goût de la littérature.
Et si c'est une initiative de Dati je ne vois vraiment pas ce qu'elle aurait pu choisir d'autres dans la logique du système qu'elle défend...:-)
Par exemple moi je serais pour proposer un jeune auteur de l'année ; mais qui sera choisi? Selon quels critères : popularité? ventes? passage aux émissions littéraires (souvent promotions déguisées). On n'en n'est plus malheureusement au stade de permettre de découvrir une "littérature" telle que la conçoive les "élitistes" mais de faire en sorte que les jeunes lisent, dispersés comme ils le sont parmi les divers médias et moyens de diffusion. Le but est de faire tenir entre les mains de jeunes UN LIVRE et qu'ils le lisent !! Alors le seul critére qui a été pris en compte c'est la popularité ET les ventes, tout ce qui caractérise Lévy et notre société...Alors le boulot sera à faire par les profs et les parents ; et comme le principe de comparaison a l'air de plaire aux intellectuels ça sera pas difficile de démontrer qu'on peut lire autre chose qu'une littérature à la Lévy.Je suis désolée mais la bibliothèque "rouge et or" avec ses romans à l'eau de roses mais bien Ecrits préparaient aussi à la lecture et au goût de la littérature.
Et si c'est une initiative de Dati je ne vois vraiment pas ce qu'elle aurait pu choisir d'autres dans la logique du système qu'elle défend...:-)
Et puis on ferait mieux je trouve de s'interroger sur tout ce qui éloignent les jeunes de la littérature. Mais là souvent on ferme les yeux car les adultes sont plongés dedans :
jeux vidéos : pas touche
Bandes dessinées : pas touche! et pourtant même si elles sont de plus en plus d'excellente qualité c'est une sorte de cinéma sur papier qui supprime l'imaginaire lié à la lecture d'un livre traditionnel.
Télé : pas touche, trop pratique...
C'est là que se trouvent les vraies raisons et sans dévaluer bien sûr ce que ces moyens de diffusion peuvent avoir aussi de bien sur certains points.
Alors le bouc émissaire Lévy est bien pratique, pourtant on sait ce que c'est et ça n'a jamais eu la prétention d'être de la pure littérature, c'est une distraction...
jeux vidéos : pas touche
Bandes dessinées : pas touche! et pourtant même si elles sont de plus en plus d'excellente qualité c'est une sorte de cinéma sur papier qui supprime l'imaginaire lié à la lecture d'un livre traditionnel.
Télé : pas touche, trop pratique...
C'est là que se trouvent les vraies raisons et sans dévaluer bien sûr ce que ces moyens de diffusion peuvent avoir aussi de bien sur certains points.
Alors le bouc émissaire Lévy est bien pratique, pourtant on sait ce que c'est et ça n'a jamais eu la prétention d'être de la pure littérature, c'est une distraction...
Le but est de faire tenir entre les mains de jeunes UN LIVRE et qu'ils le lisent !!Les collégiens qui obtiennent les meilleurs résultats dans un des arrondissements les plus favorisés de la capitale lisent déjà, et bien mieux que du Lévy - sans parler des lycéens.
Et puis on ferait mieux je trouve de s'interroger sur tout ce qui éloignent les jeunes de la littérature. Mais là souvent on ferme les yeux car les adultes sont plongés dedans :
jeux vidéos : pas touche
Bandes dessinées : pas touche! et pourtant même si elles sont de plus en plus d'excellente qualité c'est une sorte de cinéma sur papier qui supprime l'imaginaire lié à la lecture d'un livre traditionnel.
Télé : pas touche, trop pratique...
C'est là que se trouvent les vraies raisons et sans dévaluer bien sûr ce que ces moyens de diffusion peuvent avoir aussi de bien sur certains points.
Pour les jeux vidéo, il y a du vrai, mais il y a aussi beaucoup de jeunes qui n'y jouent jamais (notamment des filles) et qui ne lisent pas non plus.
Je ne suis pas du tout d'accord pour les bandes dessinées. J'ai le sentiment que les jeunes en lisent de moins en moins ; les lecteurs de BD sont plutôt d'anciens jeunes largement adultes qui ont conservé leurs habitudes. En outre, il y a beaucoup de jeunes qui ont lu des milliers de BD et qui sont par ailleurs de gros lecteurs de littérature (il y en a plusieurs sur ce site et je m'y range). (Par ailleurs je ne trouve pas non plus qu'elles soient de plus en plus d'excellente qualité : il y a trente ou quarante ans ou encore davantage on avait déjà des auteurs de BD bien plus intéressants que bien des écrivains.)
Pour la télé, je me demande. C'était sûrement vrai, mais je ne suis pas sûr que les jeunes passent autant de temps qu'autrefois devant.
En revanche tu oublies ce qui occupe vraiment une majorité de jeunes aujourd'hui, notamment parmi ceux qui ne lisent pas : ce sont les réseaux sociaux, à commencer par Facebook.
Autre point : je ne suis pas sûr non plus qu'il faille viser en priorité les jeunes quand on parle d'une baisse de la lecture ; je crois que les adultes sont davantage concernés ; je crois que c'est d'abord eux qui ne lisent plus, ou en tout cas que c'est l'ensemble de la population.
Enfin Lévy n'est pas le bouc émissaire de mon billet ; comme je le disais plus haut, le lise qui veut. Mais je ne crois pas un instant que sa lecture puisse être une porte d'entrée vers la littérature. Une bonne BD est une bien meilleure porte (par exemple, moi, c'est par la BD que j'ai connu Borges.) Ce que je visais, c'est Dati, qui ne choisit pas Lévy "parce que les gens l'aiment" (il doit avoir assez peu d'amateurs dans un lycée du VIIe) mais parce que c'est son "écrivain préféré" et qu'elle croit que c'est un "écrivain", comme les écrivains dont il est question à l'école.
Pour les jeux vidéo, il y a du vrai, mais il y a aussi beaucoup de jeunes qui n'y jouent jamais (notamment des filles) et qui ne lisent pas non plus.
Vrai. Et inversement, il y a de gros joueurs (notamment des garçons) qui lisent en plus de jouer :-)
Pas forcément de relation de cause à effet, donc.
Bien d'accord avec tout le reste également, sauf pour la BD, qui me semble être très prisée par les jeunes, (mais vous connaissez mon grand intérêt pour le genre, donc cette impression est peut-être erronée.)
Je suis aussi d'accord avec toi Feint et effectivement j'ai oublié le principal, les réseaux sociaux. Je pense cependant que les BD sont quand même plus importantes que tu le dis auprès des jeunes. Je ne trouverais pas du tout ça regrettable s'il n'y avait le reste. Quand j'avais une dizaine d'années la bande dessinée était extrêmement attirante (petites BD comme les Aggie et Lili, celles des cow boys et indiens, pieds nickelés etc...) de la distraction pure car il y avait pas de télé chez tous. Je me suis même fait punir à l'école une fois parce que j'avais fait circuler une petite BD à l'eau de rose, trop "vulgaire" parait-il par rapport aux livres à lire:-) Et pourtant j'étais la première de la classe et lisait en même temps "Le crime de Sylvèstre Bonnard"...Mais maintenant les BD reprennent les oeuvres de la littérature et là j'ai des doutes...
Quant aux jeux vidéos si certains n'en n'abusent pas c'est bien grâce aux parents qui veillent...Je pense que les jeunes ne peuvent pas tout faire et surtout vraiment choisir. Ce que je regrette c'est que leur imaginaire est "dicté" en quelque sorte à cause de l'image qui est trop présente. C'est une autre manière d'appréhender la culture, il y a sans doute des choses meilleures mais je crois que c'est défavorable à la lecture et c'est vraiment dommage. Enfin si la fée électricité un jour pète un cable les livres pourront ressortir des malles...
Quant aux jeux vidéos si certains n'en n'abusent pas c'est bien grâce aux parents qui veillent...Je pense que les jeunes ne peuvent pas tout faire et surtout vraiment choisir. Ce que je regrette c'est que leur imaginaire est "dicté" en quelque sorte à cause de l'image qui est trop présente. C'est une autre manière d'appréhender la culture, il y a sans doute des choses meilleures mais je crois que c'est défavorable à la lecture et c'est vraiment dommage. Enfin si la fée électricité un jour pète un cable les livres pourront ressortir des malles...
Tu sais que je travaille avec des jeunes tous les jours. J'ai vraiment l'impression que je lisais dix fois plus de BD qu'eux à leur âge. Les seuls de mes élèves qui connaissent un peu la BD sont les meilleurs lecteurs - de littérature. Pour ceux qui ne liraient que de la BD (je n'en vois guère), pourvu que ce soit de la bonne, c'est toujours mieux que de lire Marc Lévy. Quant aux jeux vidéo, je t'assure que il y a vraiment beaucoup de filles (et même quelques garçons) que ça n'intéresse pas du tout : elles préfèrent se pâmer devant Justin Biber. (Pas toutes non plus, heureusement.) (Je pense plutôt à des 13/14/15 ans ; plus jeune, c'est différent.)
Feint c'est la première fois que je te vois faire une faute d'orthographe... et elle est tout à ton honneur (c'est Justin Bieber)(Biber est tentant, ça évoque biberon). Vos interventions sont vraiment intéressantes. En y réfléchissant, je me dis qu'en troisième recevoir le dernier livre de Marc Lévy m'aurait sans doute fait plaisir (parce que je n'achète jamais de livres, et que c'est typiquement le genre qu'il fallait attendre très longtemps avant de pouvoir espérer l'emprunter à la médiathèque... auteur prisé!). En terminale, j'aurais vu ça comme un affront, et un motif de tristesse. Le seul cadeau que j'ai eu dans ma scolarité (dont je me souvienne), ce sont deux petits dictionnaires à mon entrée en sixième (franco-allemand, franco-anglais).
Moi, comme Oburoni, je ne peux quand même pas m'empêcher de voir quelque chose de désespérant dans ce geste vis-à-vis des professeurs. C'est presque un camouflet. De la 6ème à la 1ère, les profs essayent d'éveiller leurs élèves à une certaine littérature, de leur faire goûter aux grands auteurs, de dépasser parfois les limites et les préjugés que les élèves eux-mêmes s'imposaient et comme récompense de leur travail, traduit par la réussite de certains de leurs étudiants, on offre à ceux-ci... du Marc Levy !
Y a quand même de quoi devenir dingue. C'est un peu comme si l'étude de toute la littérature d'Homère à Camus, en passant par Chrétien de Troyes, Flaubert, Stendhal, Voltaire, Balzac et Zola avait pour couronnement de pouvoir enfin, pour les plus méritants, apprécier pleinement l'oeuvre de Levy.
Y a quand même de quoi devenir dingue. C'est un peu comme si l'étude de toute la littérature d'Homère à Camus, en passant par Chrétien de Troyes, Flaubert, Stendhal, Voltaire, Balzac et Zola avait pour couronnement de pouvoir enfin, pour les plus méritants, apprécier pleinement l'oeuvre de Levy.
Feint c'est la première fois que je te vois faire une faute d'orthographe... et elle est tout à ton honneur (c'est Justin Bieber)(Biber est tentant, ça évoque biberon).Mince, il faut que je révise mes classiques !
Moi, comme Oburoni, je ne peux quand même pas m'empêcher de voir quelque chose de désespérant dans ce geste vis-à-vis des professeurs.Le fait est.
Je pense que Levy est vraiment un des auteurs préférés de Rachida Dati mais il ne faut pas oublier qu'elle a fait partie d'un gouvernement dont le Big Boss pensait que la Princesse de Clèves ne servait pas à grand chose.
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