Poupi 11/07/2007 @ 00:18:18
Voila, une nouvelle bibliographie consacrée aux guerres napoléoniennes, et plus largement à l'Empire et tout ce qui touche à Napoléon. Romans, confessions, lettres... tout est bon dans l'Napoléon !

Saint Jean-Baptiste 11/07/2007 @ 10:28:16
Tout est bon dans Napoléon ! ;-)))))))) (bravo Poupi) !

Napoléon est l'homme à propos duquel le plus de livres ont été écrits...

Allez, Micharlemagne, on t'écoute ! ;-))

Poupi 12/07/2007 @ 11:00:55
Que de succès... :-)

Patman
avatar 12/07/2007 @ 13:46:33
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/5311

Je suppose qu'il y en a d'autres sur le site...

Patman
avatar 12/07/2007 @ 13:49:59
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/?l=1586 celui là c'est moi qui l'ai critiqué !

Patman
avatar 12/07/2007 @ 13:54:27
http://10-18.fr/bibliographie-auteur-15081.html/

Armand Cabasson et son officier de l'Empereur. Une super collection historico-policière (Grands détectives) chez 10-18... Très chouette !

Saint Jean-Baptiste 12/07/2007 @ 14:47:28
Tant qu'à faire, un peu d'auto-promotion, ça ne fait pas de tort... ;-))
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/7486

Saint Jean-Baptiste 13/07/2007 @ 12:09:44
Plus rien ?
Alors, je vous propose encore ceci : un livre exceptionnel !
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/6256
et pour ceux qui en voudraient encore :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/518

Saint Jean-Baptiste 13/07/2007 @ 12:37:15
Sans oublier le magistral Max Gallo :

http://www.critiqueslibres.com/I.PHP/vcrit/244http:

Et cette étude très controversée :

http://www.critiqueslibres.com/I.PHP/vcrit/11905

suivie d'une intéressante discussion CL

Saint Jean-Baptiste 13/07/2007 @ 12:46:12
Et puis encore cette belle critique de Le Rat, d'un livre très controversé sur la bataille de Waterloo, qui a ouvert un beau débat comme on les aime sur notre site favori ! ;-))

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/11923

Shelton
avatar 14/07/2007 @ 08:27:27
Therry Lenz est devenu en quelques années un des grands spécialistes de Napoléon et donc des guerres napoléoniennes. Mais son ouvrage que je voudrais mettre en évidence ici est son excellente histoire du Consulat où il traite avec beaucoup de talent des guerres encore révolutionnaires, prénapoléoniennes, et, surtout des tentatives de paix européenne que le premier consul tente de mettre en place, à sa façon...
Le grand consulat, 1799-1804, Therry Lentz, 1999, éditions Fayard

Karl glogauer 27/07/2007 @ 14:03:27
en voici une autre qui a le triple merite de parler d'un livre rare, temoignage essentiel, d'illustrer la pauvrete evidente de certaines de mes critiques,
mais aussi de nous rappeler le regrette merlin.

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/5406

Micharlemagne

avatar 26/06/2008 @ 23:32:10
Il fallait me provoquer ! J'ai mis le temps mais voici une petite bibliographie. Rien que sur la bataille de Waterloo

AN (Oeuvre du Centenaire de Waterloo) – Waterloo, documents inédits – série IV, n° 3 – s.l., s.d.(1912) – 8°- 4 p.
AN (Société d’Etudes historiques et folkloriques de Waterloo, Braine-l’Alleud et Environs) – 1815 – Waterloo – 1965. 150e anniversaire de la bataille – Waterloo, Gérard M., 1965 – 24 cm – 238 p. ill.
Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles de Français, par une société de militaires et de gens de lettres – tome XXIV - Paris, C.L.F. Pancoucke, éditeur, 1821
Waterloo, lieu de mémoire européenne (1815-2000) : histoires et contriverses sld de Marcel Watelet et Pierre Cou-vreur. Actes du colloque. Louvain-la-Neuve, Academia Bruylant, 2000.
AERTS (Winand) – Waterloo. Opérations de l’armée prussienne du Bas-Rhin, pendant la campagne de Belgique en 1815, depuis la bataille de Ligny jusqu’à l’entrée en France des troupes prussiennes – Bruxelles, Spineux, 1908 – 8° - Cartes et grav. – VII- 316 p.
BARBERO (Alessandro) – Waterloo – trad. de l’italien Elisabeth Auster – Paris Flammarion, 2003.- 22 cm. – 445 p..
BARON Pierre – « Le mousqueton Brown Bess », Gazette des armes, la poudre noire, n° 97, septembre 1981.
BARRAL (Georges) – Itinéraire illustré de l’Epopée de Waterloo, guide historique et militaire du champ de bataille – Paris, Flammarion, (1896 ?) – 16° -165 p.
BECKE (A. F.) – Napoleon and Waterloo. The Emperor’campaign with the Armée du Nord. 1815 – London, Kegan Paul Trench Trubner and C°, 1936 – 8° - 320 p.
BERNARD Henri – La campagne de 1815 ou la faillite de la liaison et des transmissions – Bruxelles, Imprimerie médicale et scientifique, 1954 – 8° - 82 p + album 8° de 10 croquis géographiques.
BONNAL Général – La Vie militaire du maréchal Ney – Librairie Chapelot et Cie, 1911.
BONNAL Général – Les Grandes Marches d’armée – Paris, Librairie Chapelot et Cie, 1911.
BRONNE (Carlo) – L’Amalgame. La Belgique de 1814 à 1830 – Bruxelles, Editions Goemaere, 1948. – 24 cm ; 408 p. : ill.
CAMON Colonel – La Guerre napoléonienne ; Les Batailles – Paris, Librairie Chapelot et Cie, 1910.
CAMON Colonel – La Guerre napoléonienne ; Précis des campagnes – Paris, Librairie Chapelot et Cie, 1911.
CARNOY (Albert) – Origine des Noms de Lieux des environs de Bruxelles – Bruxelles, A. Bieleveld, s.d. – 8°, 186 + xvi, carte.
CHARRAS (J.B.) – Campagne de 1815. Waterloo. Atlas spécial, 5e éd. – Bruxelles, Office de Publicité, s.d. – 5 cartes, 13 p.
CHARRAS (J.B.) – Histoire de la campagne de 1815. Waterloo – Leipzig, Durr, 1857 – 8° - IV-504 p.
CHASTENET (Jacques) – Wellington – Paris, Tallandier, 1979 – 22,5 cm, 350 p. ; ill.
CLAUSEWITZ (Carl von) – De la guerre – trad. Denise Naville (Vom Kriege) ; préface de Camille Rougeron, Introd. de Pierre Naville – Paris, Ed. Minuit, 1955 – 8°, 755 p. : co., cart ;
CLAUSEWITZ (Carl von) – La campagne de 1815 en France, trad. Niessel – Paris, Librairie Chapelot et Cie, 1900.
Collectif – Brabant wallon au fil des jours et des saisons. Guide-Almanach des villes et des villages – Lasne, Editions de l’Arc, 1994.
COPPENS (Bernard) et COURCELLE (Patrice) – Waterloo 1815, les Carnets de la Campagne n° 1 ; Hougoumont – Bruxelles, Editions de la Belle-Alliance, 1999, – 30 cm., 87 p., ill.
COPPENS (Bernard) et COURCELLE (Patrice) – Waterloo 1815, les Carnets de la Campagne n° 2 ; Le chemin d’Ohain – Bruxelles, Editions de la Belle-Alliance, 1999,– 30 cm., 87 p., ill.
COPPENS (Bernard) et COURCELLE (Patrice) – Waterloo 1815, les Carnets de la Campagne n° 3 ; La Haie-Sainte – Bruxelles, Editions de la Belle-Alliance, 1999,– 30 cm., 88 p., ill.
COPPENS (Bernard) et COURCELLE (Patrice) – Waterloo 1815, les Carnets de la Campagne n° 4 ; La Papelotte – Bruxelles, Editions de la Belle-Alliance, 1999,– 30 cm., 80 p., ill.
COTTON (Edouard) – Une Voix de Waterloo, trad. Gust Cluse – Bruxelles, Imprimerie de Jules Combe, 1874 – 8° - XXI-328 p.
COTTON (Edward) – A Voice of Waterloo, 10° éd. – Braine-l’Alleud, Hôtel du Musée, Brussels, Kiessling and C°, 1913 – XXIV-328-14 p
COTTY Colonel. (H.)– Dictionnaire de l’Artillerie – Paris, Vve Agasse, 1822.
DALTON (Charles) – The Waterloo Roll Call – London, Arms and Armour press, New-York, Hippocrene Books, 1978 – 8° - XV-296 p
DAMAMME (Jean-Claude) – La bataille de Waterloo – Paris, Perrin (coll. Tempus, 38), 2003 – Ed. originale, 1999.
DANCKAERT Lisette – Plans et vues de dix-neuf villes belges ; catalogue de l’exposition – Bruxelles, Bibliothèque royale, 1968 – 97 p. + ill.
DE BAS (W. G.) – Quatre-Bras en Waterloo. Voorspel en geschiedenis der krijgsbedrijven van 15 tot en met 18 juni 1815 – Amsterdam, Van Kampen, 1939 – 8° - 170 p.
DE BAS F. et ‘t SERCLAES de WOMMERSOM J. – La campagne de 1815 aux Pays-Bas d’après les rapports officiels néerlandais, 3 vol. + cartes, XXXII-548 pp. – Bruxelles, Albert Dewit, 1908 II 96.572
DEMAREE (Gaston) et WHEELER (Dennis) – « La météo lors de la campagne de Waterloo », Science Connection, magazine de la Politique scientifique fédérale (belge), n° 6, avril 2005.
DE PREZ (Edgard) – Une journée à Waterloo ou relation de cette grande bataille d’après Brialmont, Charras et Thiers suivi de détails complémentaires inédits. Par Little Harold (Edgard De Prez) – Bruxelles, Kiessling et Cie, 1863 – 91 p.
DELHAIZE (Jules) et AERTS (Winand) – Etudes relatives à la campagne de 1815 en Belgique – publiées à l’occasion du centenaire de Waterloo – t. 1 – Bruxelles, A. De Boeck, 1915 – 26,5x19,5, VIII-509 pp, figg., cartes, plan.
DELMELLE (Joseph) – Histoire des Postes belges – Bruxelles, Paul Legrain, la Belgothèque, 1983 – 20, 4 x 15 ; 96 pp.
DUBUISSON (Paul et Madeleine) – Le Canton de Nivelles au fil de l’Histoire – avec 122 illustrations de M. Depelsenaire – Chaumont-Gistoux, Editions du Brabant wallon, 1970.
DUMAINE (J.) – Napoléon à Waterloo ; Souvenirs militaires ou précis rectifié de la Campagne de 1815. Avec des documents nouveaux et des pièces iné¬dites. Par un ancien officier de la Garde impériale, qui est resté près de Napoléon pendant toute la campagne – Paris, 1866
DUMONT (Georges-Henri) – Histoire de Belgique – Paris, Hachette, 1977
DUPONT Marcel – Napoléon en campagne – 3 vol. – Paris, Librairie Hachette, 1952.- 8°.
DUPONT (Marcel) – Napoléon et ses grognards – Paris, Lavauzelle, Biblio Clio, 1981. – 23 x 15 cm -184 pp.
DUPONT (Marcel)) – La Garde meurt… 1815 – Paris, Hachette, (1931) – 16° - 264 p.
EENENS (A.) général – Dissertation sur la participation des troupes des Pays-Bas à la campagne de 1815 en Belgique – Gand, Imprimerie de Eug. Vanderhaegen, 1879. 107 pp.
ELCHINGEN duc d’ – Documents inédits sur la campagne de 1815 – Paris, Anselin et Laguionie, 1840.
ERCKMANN-CHATRIAN – Histoire d’un conscrit de 1813 ; Waterloo – Paris, Hachette, coll. Hetzel, 1978 (conforme aux éditions originales de 1864 et 1865).
FLEISCHMAN (Théo) – Ce que Napoléon disait de Waterloo à Sainte-Hélène – Bruxelles, Société belge d’Etudes napoléoniennes – 8° - 20 p (Extrait du Bulletin de la Société belge d’Etudes napoléoniennes, 21)
FLEISCHMAN (Théo) et AERTS (Winand) – Bruxelles pendant la bataille de Waterloo – Bruxelles, Renaissance du Livre, 1956 –260 pp.
FLEISCHMAN (Théo) – En écoutant parler Napoléon – Bruxelles, Brepols, 1959 – 8°, 296 pp.
FLEISCHMANN (Hector) – La tragique histoire du château d’Hougoumont, d’après des documents inédits et accompagnée de huit gravures, croquis et d’un plan – Paris, 56, rue Michel-Ange ; Maynier et Brimeur, 1913 – 21,5 x 16 – 64 p.
FLEISCHMANN (Hector) – Paroles sur un champ de bataille. Cinq discours à Waterloo – Paris, Société « Les Amis de Waterloo », Maynier et Brimeur, 1913 – 21 x 15,5 – pl., portr. – 54 p + 2 fl.
FLEISCHMANN (Hector) – Victor Hugo, Waterloo, Napoléon – Paris, Méricant, (1912) – 8°, ill., pll, figg, portr – XVI – 271 p.
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LEMOINE-ISABEAU (Claire)– Les militaires et la cartographie des Pays-Bas méridionaux et de la Principauté de Liège à la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle - Bruxelles, Musée Royal de l’Armée, Centre d’Histoire militaire, Travaux, n° 19, 1984.
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MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE (État-major général de l’armée et État-Major du corps de cavalerie) – Règlement sur les exercices et évolutions de la cavalerie – Bruxelles, Imp. Typographique de l’Institut Cartographique Militaire, 1930.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE (État-Major général de l’Armée) – Règlement sur le service en campagne – Bruxelles, Imp. Typographique de l’Institut Cartographique Militaire, 1930.
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE. Direction générale de l’aménagement du territoire, du logement et du patri-moine. Division du patrimoine – Le patrimoine monumental de la Belgique. Wallonie. Vol. 2 : Province de Brabant, arrondissement de Nivelles, 2ème éd. – Sprimont, Pierre Mardaga, 1998 – 624 p.
MOLIERES Michel et GRIFFON de PLEINEVILLE Natalia – Dictionnaire des braves de Napoléon – 2 vol.– Paris, Le Livre chez Vous, 2004, 1189 pp. 24 cm.
MÜFFLING (Freiherr Friedrich Carl Ferdinand von) – Aus meinem Leben 2 Theile in einem Bande – Berlin, E.S. Mittler und Sohn, 1851 – XII-403 p. ; 8°-
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MURRAY KENDALL Paul– Louis XI – Paris, Fayard, 1974 ; Le Livre de Poche, n° 5034, 1977
NAPOLEON – Correspondance (en particulier le t. XXVIII) – Paris, Librairie Plon et Dumaine, 1869
NAPOLEON – Mémoires pour servir à l’Histoire de France en 1815 – Paris, Editeur Barrois l’Aîné, 1820.
NAPOLEON – Mémoires pour servir à l’Histoire de France, 2° éd.(en particulier, le t.. IX) – Paris, Librairies Bossange et Dufour, 1830
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NOSTITZ – Tagebuch des General der Kavallerie Grafen von Nostitz - Berlin, 1884-5.
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PIERRON (Col..)– Les méthodes de guerre actuelles – Paris, Librairie Dumaine, 1881.
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SCHÖNWERTH (Rudolf) prés. et coord. – Waterloo d’après V. Hugo, E. Quinet, V. Duruy, H. Houssaye, Erckmann-Chatrian, L.-A. Thiers, J.-B.-A. Charras, A. de Lamartine. Publié par le Dr Rudolf Schönwerth, Reallehrer an der Königlische Realschule, Bamberg – Bamberg, C.-C. Buckner (Neusprachlliche Klassiker mit fortlaufenden Präparationen, 15), 1914 – 19x13, 92 + 50 pp.
SIBORNE (Herbert Taylor) – Waterloo Letters, a selection from original and hitherto unpublished letters bearing on the operations of the 16th, 17th and 18th June 1815 by officers who served in the campaign… London, Paris, Mel-bourne, Cassell and Cy, 1891 – in-8° - XII-416 p.
SIBORNE (William Cpt) – History of the Waterloo campaign – London, Greenhill Books, Novato, Presidio Press, 1990 – 23 cm – XLI-584 p, ill.
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TONDEUR Jean-Philippe), COURCELLE (Patrice), PATTIJN (Jean-Jacques) et MEGANCK (Paul) – Waterloo 1815. Les Carnets de la Campagne n° 6 ; Plancenoit - Bruxelles, Editions de la Belle-Alliance, 2002,– 30 cm., 103 p., ill.
TONDEUR Jean-Philippe), COURCELLE (Patrice), PATTIJN (Jean-Jacques) et MEGANCK (Paul) – Waterloo 1815. Les Carnets de la Campagne ; La Belle Alliance - Bruxelles, Editions de la Belle-Alliance, 2005,– 3 vol., 30 cm., ill.
TULARD (Jean)– Napoléon ou le mythe du sauveur – Paris, Fayard, coll. Pluriel n° 8520, 1987.
TULARD (Jean) présenté par – L’Anti-Napoléon. La légende noire de l’Empereur – Paris, Julliard, coll. Archives n° 12, 1965.
Twain (Mark) – Le Tour du monde d’un humoriste (Following the Equator), trad. M. Sissung et D. Le Bourg – Paris, Editions Maritimes et d’Outre-mer (J.-C. Lattès), 1981.
VERNIERS (Louis) – Histoire de Forest lez Bruxelles – Bruxelles, De Boeck, 1949
WATELET Marcel – Patrimoine cartographique de Wallonie – vol. III : Chemins impériaux et voies royales – Namur, M.E.T. (Ministère wallon de l’Equipement et des transports) ; Bruxelles, Racine, 1998.
Wellington – Despatches, vol XII
Wellington – Suppl. Despatches, vol. X
WELLINGTON, Arthur Wellesley, 1st Duke of – Wellington at war (1794-1815) ; A selection of his wartime letters edited and introcuced by Anthony Brett-James – London, Macmillan & Co, New York, St-Martin’s Press, 1961.- XXXiX – 337 p : portr., ill., cart ; 8°.

Et attention ! Ce n'est pas complet DU TOUT.
Donc pour toutes les campagnes napoléoniennes, on imagine ce que cela donne.
Est-ce que je bats le record du message le plus long ?...

Micharlemagne

avatar 27/06/2008 @ 00:02:30
Là, je crois que je les assommés !

Antinea
avatar 27/06/2008 @ 00:13:18
T'as fait une thèse ? ;)

Micharlemagne

avatar 27/06/2008 @ 07:21:25
Qu'est-ce que tu crois ? Non mais quand un CLien demande quelque chose, je me décarcasse un peu. C'est pour cela que cela a pris six mois... Non, je plaisante ! J'essaye d'étayer un peu sérieusement mes connaissances au sujet de la bataille de Waterloo. Si tu lis un peu attentivement la liste - quoique je suis certain que tu l'as fait - tu verras qu'il y a quelques "pièges", quelques ouvrages dont on pourrait se demander ce qu'ils font là. Ce serait un jeu amusant : "Pourquoi tel bouquin ?" Et je devrais essayer de justifier. Sans compter que ce serait mettre une bombe en-dessous des pieds des indélicats qui se contenteraient de pomper ma bibliographie sans vérifier CHAQUE ouvrage. Naturellement, cela ne se pratique pas dans le milieu scientifique. Quoique...

Micharlemagne

avatar 27/06/2008 @ 07:24:35
C'est "quoique je SOIS certain". Ou je vais me faire fusiller par Provis.
Ceci dit, l'ai-je battu ou non, le record du plus long message ?

Saule

avatar 02/07/2008 @ 00:17:00
Je ne sais pas, fais d'abord une critique sur chacun des livres cités, et ensuite le comité des sages de CL (composé de SJB, Bolcho et Provis) te désignera comme expert en sciences napoléonienne.

Ceci dit, Napoléon, c'était un bon stratège ou pas ? Meilleur que Hitler ?

Micharlemagne

avatar 02/07/2008 @ 09:22:12
Saule, tu poses parfois des questions d'une désarmante naïveté, sauf le respect que je te dois... Napoléon était-il meilleur stratège qu'Adolf ? (Après tout, si l'on appelle l'un par son prénom, pourquoi pas l'autre ?...)
D'abord, Hitler n'était pas du tout stratège, ni même tacticien. On n'apprend pas beaucoup les éléments de tactique au fond d'une tranchée, mais si on atteint le grade de caporal. Tu remarqueras que les campagnes qui ont été des succès écrasants (en France, en Norvège, en Afrique) l'ont toutes été avant qu'Hitler, dans sa mégalomanie, ne commence à se prendre pour un nouveau génie de la guerre. Elle sont toutes le fruit d'un travail intense et remarquable de l'Oberkommando der Wehrmacht (OKW), le grand état-major de l'armée allemande. Et les grosses têtes de celui-ci étaient toutes issues de la vieille école de Moltke, lui-même un pur produit de l'école de Clausewitz. C'est donc dans la meilleure tradition prussienne que les plans de l'OKW ont été établis. Ceci dit, cette tradition "clausewitzienne" a toujours été pionnière dans l'utilisation des "nouveaux moyens" dont pouvait disposer une armée (motorisation, aviation, etc.). C'est ce que Clausewitz appelait "l'adaptation des moyens aux circonstances" et dont il faisait un des premiers principes de sa théorie. (Je devrais faire une critique de "De la guerre")
La percée de Sedan, en mai 40, est un remarquable exemple de stratégie classique, adaptée aux moyens modernes (ou vice-versa).
Du jour où Hitler a pris le contrôle de l'OKW en y plaçant un pantin arrogant comme le feld-maréchal Keitel, où il s'est mis dans la tête que tous ces généraux étaient des nullités, que lui seul était le "seigneur de la guerre" et qu'avec lui, tout irait mieux, l'armée allemande a volé de défaites en défaites jusqu'à la coupole du Reichstag.
Napoléon est-il un grand stratège ? Tout le monde l'a dit. Y compris les plus grands spécialistes. Il y aurait pourtant moyen de discuter et certains ne se sont pas privés de le faire. Jomini lui-même, qui est un grand admirateur de Napoléon, quoique ayant combattu contre lui, reconnaît qu'en 1815, le nombre d'erreurs accumulées par l'empereur est impressionnant.
Les historiens militaires ont alors pris une attitude équivoque, qui n'est pas sans rappeler celle des historiens politiques qui distinguent Napoléon de Bonaparte. C'est une vue de l'esprit : Bonaparte, c'est Napoléon dans l'œuf et Napoléon c'est l'accomplissement de Bonaparte. C'est le même bonhomme.
Revenons à la chose militaire. Les historiens militaires, donc, distinguent la période de "jeunesse" de Napoléon Bonaparte (Italie, Austerlitz, campagne de 1806) de sa période de "maturité" (campagne de Russie, campagne d'Allemagne de 1813). Et ils font une petite parenthèse pour la campagne de France de 1814, qu'ils considèrent comme géniale. En quoi, ils n'ont d'ailleurs pas tort. Mais ce Napoléon à géométrie variable, moi, cela ne me convainc pas trop. Je crois surtout que c'est affaire de circonstances. Il ne fait pas de doute que Napoléon déploie des trésors d'imagination - et de culot - quand il est en difficulté. Je suis absolument convaincu que si "l'arrière" ne l'avait pas lâché en 1815, il aurait pu rétablir la situation. Pour un temps... La coalition était bien décidée à en finir, quel qu'en soient les moyens, et elle y serait arrivée.
Quels sont les grands principes qu'adopte Napoléon dans sa stratégie ?
On peut les résumer en peu de mots : mouvement, feu et supériorité numérique. Il reconnaissait lui-même qu'il avait gagné ses batailles grâce aux pieds de ses soldats. Et le grand secret des campagnes napoléoniennes, c'est qu'il frappait à l'endroit où on ne l'attendait pas. A partir du moment où un général, comme Wellington, a compris cela, le vent a tourné. On a souvent reproché à Wellington son inaction au début de la campagne de 1815. C'est que, profondément imprégné de la stratégie napoléonienne, le général britannique a d'abord estimé que l'attaque sur Charleroi était trop évidente et qu'elle cachait un de ces mouvements foudroyants - sur un autre point - auxquels Napoléon avait si souvent eu recours. Le principe de Wellington, en l'occurrence, a été celui qu'il avait toujours adopté : "Ne pas courir dans tous les sens comme une poule affolée".
Bref, Napoléon, qui avait "inventé" - ou du moins appliqué - les bonnes idées de Carnot, entre autres, en Italie n'a pas compris que ses adversaires n'étaient pas complètement idiots et qu'ils étaient assez observateurs pour finir par comprendre son système et pour inventer les contre-mesures qui s'imposaient. Il ne l'a pas compris et donc il n'a pas adapté sa tactique à cette nouvelle donne. Voilà pourquoi on peut légitimement mettre en doute la compétence stratégique de Napoléon.
Ouf ! Longue explication...
Quant à savoir si je vais critiquer tous les ouvrages que j'ai cités dans ma "courte" bibliographie, on peut envisager la chose. Mais j'ai très peur de ne pas trouver les ISBN dans le catalogue d'Amazon...

Saint Jean-Baptiste 02/07/2008 @ 11:43:34
Je ne sais pas, fais d'abord une critique sur chacun des livres cités, et ensuite le comité des sages de CL (composé de SJB, Bolcho et Provis) te désignera comme expert en sciences napoléonienne.

Ceci dit, Napoléon, c'était un bon stratège ou pas ? Meilleur que Hitler ?
Moi je donnerais bien un avis favorable ; mais ça demande encore réflexion...
;-))

Je me souviens qu'à Waterloo le 18 juin, la logistique a été prise défaut : les ordres n'arrivaient pas, ils étaient mal compris ; Crouchy attendait les ordres, Ney n'y croyait plus, il n'obéissait plus... L'armée était composée de trop vieux soldats ou de débutants inexpérimentés. C'était la pagaille, le terrain n'avait pas été repéré on ne savait rien des dispositifs ennemis.
Et puis il y a eu ce coup de pied de l'âne : un guide traître qui a conduit la cavalerie dans le chemin creux d'Ohain où elle s'est anéantie complètement.
Et puis ce vieux planqué de Blusher qui s'est amené comme à la curée alors qu'on marchait déjà sur Bruxelles...

Bref, si Napoléon a perdu, c'est la faute à pas de chance...

Mais, plus sérieusement, je ne suis pas tellement spécialiste.
J'ai lu que la force de Napoléon c'était sa vitesse dans tous les domaines : il arrivait le premier, il se déplaçait plus vite que les autres, ses canons étaient plus mobiles et plus rapides, ses ordres parvenaient plus vite.
Je ne sais pas si c'était un génie, mais certainement, ce n'était pas un imbécile. Il était sorti de l'école militaire de Paris comme Lieutenant à 16 ans avec la mention "remarquable en astrologie et en mathématique".

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