hum hum... ;o)
"... il a juste compris qui était la plus forte des deux!"
Le masculin l'emporte !!! Toujours !!! Et dans tous les sens du terme !!!
;-))))))
Le masculin l'emporte !!! Toujours !!! Et dans tous les sens du terme !!!
;-))))))
Tu ergotes, mon cher. Le masculin l'emporte grâce à une stupide règle de langue française établie par une bande de vieux machos.
J'ai décidé de changer les règles. Surtout quand l'exception y est flagrante.
Tu es largué, petit, perdu, une goutte dans l'océan de ma victoire. ;o)
J'ai décidé de changer les règles. Surtout quand l'exception y est flagrante.
Tu es largué, petit, perdu, une goutte dans l'océan de ma victoire. ;o)
...d'autant plus que, oui, je me souviens bien de t'avoir fait découvrir SK et notamment un recueil de nouvelles dont l'une est à tomber par terre (et c'est le cas de le dire si tu vois la nouvelle dont je parle).
Bien sûr je vois de quelle nouvelle tu parles... Je l'ai relue il y a peu de temps "pour ne pas oublier"... Je ne me suis d'ailleurs jamais complètement remise de la lecture de ce recueil, brrrrr...
...Merci à toi Rosenblum Petit (bon sang le pseudo !).
Ben quoi, Tistou, qu'est-ce qu'il a mon pseudo??? ;-)))))))
- et non, RP raconte des salades, je n'ai pas la langue bien pendue, mais juste hyperactive. C'est tout.
Ouhhhh la menteuse!!!
Tu ergotes, mon cher. Le masculin l'emporte grâce à une stupide règle de langue française établie par une bande de vieux machos.
Continue, ma poulette, tu vas gagner!!!
Un dernier petit mot. Ce post qui, au départ, accusait CL de plagia, est devenu un petit bijou. Allez, encore des témoignages (on se croirait chez Delarue ;-))))). Je suis impatiente!!
RP
:o))))
"Tu es largué, petit, perdu, une goutte dans l'océan de ma victoire."
N'étais-tu pas une copine de Virgile !? Tu sais, le gars qui chaque fois que nous lui donnions un argument de plus contre ses théories ridicules, nous répondait par une pirouette du style : "m'en fous, j'ai raison et vous êtes une bande de sots."
Enfin, ici cela n'a rien à voir, c'est juste que tu ne sais pas compter, par contre, conter, ça tu fais bien !
PS : Et je suis assez d'accord avec RP au sujet de la langue bien pendue ! Na !
PPS : mais on s'éloigne du but du forum, non ? Où sont Bolcho, Lucien, Jules, Sorcius et les autres ?
N'étais-tu pas une copine de Virgile !? Tu sais, le gars qui chaque fois que nous lui donnions un argument de plus contre ses théories ridicules, nous répondait par une pirouette du style : "m'en fous, j'ai raison et vous êtes une bande de sots."
Enfin, ici cela n'a rien à voir, c'est juste que tu ne sais pas compter, par contre, conter, ça tu fais bien !
PS : Et je suis assez d'accord avec RP au sujet de la langue bien pendue ! Na !
PPS : mais on s'éloigne du but du forum, non ? Où sont Bolcho, Lucien, Jules, Sorcius et les autres ?
Parlant de Virgile, j'ai souvenir que tu lui répondais à peu près de la même façon. ;o)))
Allez, je suis bonne, avoue, après tout je ne fais que te stimuler, te rendre plus plus productif! Tu pourrais reprendre la tête, après tout ! Je n'ai que 51 critiques d'avance... ;o)
Allez, je suis bonne, avoue, après tout je ne fais que te stimuler, te rendre plus plus productif! Tu pourrais reprendre la tête, après tout ! Je n'ai que 51 critiques d'avance... ;o)
Le jeudi 18 octobre 2001, c’était un jeudi. J’ai pris le train pour aller donner cours à la prison de Namur. Il s’agissait sans doute de leur parler de la dérive des continents, à eux qui avaient déjà pas mal dérivé, ou bien de l’homme de Neanderthal (« Voyez comme c’est curieux », dit le prof esbaudi : « Lemot Neanderthal signifie ‘Vallée du vieil homme’, et c’est justement là qu’on trouve un de nos ancêtres », hasard, hasard, comme aurait dit Paul Auster, voici que les époques riment étrangement…), bref, j’allais bravement, pour gagner ma croûte, commenter des choses que je maîtrisais mal à l’intention de gens qui s’en foutaient un peu. C’est dire à quel point je me sentais socialement utile.
On commençait à voir, à l’époque, des journaux gratuits dans les gares. Un prolétaire plus matinal que moi en avait laissé un exemplaire sur la banquette du train. Délaissant un instant mon bouquin, je me suis plongé dans cette sous-presse et j’y ai découvert un article sur Critiques Libres. Voici que le matin glauque délivrait un message d’espérance…
Deux points, tiret, fermer les parenthèses.
Le samedi suivant, je commençais à poster des trucs. D’abord, une critique éclair sur « Germinal », pour demander à Jules de ne pas trop « surpolitiser » Zola. Alors, forcément, je me suis attiré une réponse et aussi, très rapidement, un chaleureux mot d’accueil du même Jules (à l’époque, on pouvait s’écrire les uns les autres par le biais du site, je regrette qu’on ne puisse plus). Puis, je me suis lancé dans une critique-en-premier (ça n’a l’air de rien aujourd’hui, mais à l’époque, il fallait tout faire soi-même : aller chercher les références du livre, de la photo de couverture, décider dans quelle catégorie on classait l’œuvre, recopier la quatrième de couverture…Ah ! oui, à propos, ça aussi je le regrette : la quatrième de couverture « en vrai », c’était une sorte de garantie que les critiqueurs ne s’en inspirent pas trop pour faire leur propre texte). Quelques critiques plus tard, j’ai eu mon heure de gloire, indépassable pour moi : ma critique sur Barbara Cartland.
Critlib comptait quelque chose comme 250 ou 300 inscrits et une quarantaine de participants plus ou moins actifs. Dans un coin du site, on trouvait un endroit (« Opinions de Critiques Libres ») où nous pouvions donner notre avis sur le site. On y trouvait des choses comme « Bravo pour ce merveilleux site » ou « Continuez comme ça ». Pour ceux que ça intéresse, il se trouve maintenant ici :
www.critiqueslibres.com/i.php/forum/sujet/1
Petit à petit, les plus acharnés y sont venus pour se parler entre eux plutôt que pour lancer des fleurs aux maîtresses des lieux (faut dire que l’on pouvait déjà leur lancer des fleurs en direct quand nous les croisions dans une soirée). C’est dans ce forum débutant que j’ai appris à connaître (plus ou moins par ordre d’apparition en scène sur le dit « Opinions de Critiques libres » et en ne citant que ceux qui son restés membres actifs) : Sorcius, Leura (devenu des champs), Jules, Bluewitch, Pendragon, Darius, Saule, Zoom, Sottovoce, Lolita, Lucien, Saint Germain des Prés, Tophiv, Rosenblum Petit, Kinbote, Miller, Fée Clo, Patman, etc, rien que du beau monde. Enfin, moi je trouve.
Et c’est sans compter tous ceux qui sont venus enrichir le site par la suite et qui continuent à le faire, mais ici, nous ne parlons que de la vieille époque n’est-ce pas, de tous les néanderthaliens du lieu pour en revenir à la préhistoire. N’empêche, je suis très heureux que Saint Jean Baptiste ou même une « petite nouvelle devenue trop rare » comme Lyra Will viennent porter témoignage de leur histoire. Ils sont nombreux ceux qui, parmi les anciens ou les plus nouveaux, peuvent encore venir apporter leur pierre à la construction d’une histoire de Critlib. La partie « Vos écrits », venue plus tard, a été pour moi une nouvelle source de plaisirs et de découvertes, mais elle a aussi été l’occasion d’épisodes un peu tristes comme le sont les disputes familiales.
Repensant à tout ça et au plaisir que j’en ai tiré, je suis allé voir quelles conversations nous tenions entre nous à l’époque où je suis arrivé. Un seul exemple : personne n’a dit un seul mot d’un événement comme celui du 11/09/2001 ! Ben oui : cela n’avait rien à voir avec un bouquin…
On commençait à voir, à l’époque, des journaux gratuits dans les gares. Un prolétaire plus matinal que moi en avait laissé un exemplaire sur la banquette du train. Délaissant un instant mon bouquin, je me suis plongé dans cette sous-presse et j’y ai découvert un article sur Critiques Libres. Voici que le matin glauque délivrait un message d’espérance…
Deux points, tiret, fermer les parenthèses.
Le samedi suivant, je commençais à poster des trucs. D’abord, une critique éclair sur « Germinal », pour demander à Jules de ne pas trop « surpolitiser » Zola. Alors, forcément, je me suis attiré une réponse et aussi, très rapidement, un chaleureux mot d’accueil du même Jules (à l’époque, on pouvait s’écrire les uns les autres par le biais du site, je regrette qu’on ne puisse plus). Puis, je me suis lancé dans une critique-en-premier (ça n’a l’air de rien aujourd’hui, mais à l’époque, il fallait tout faire soi-même : aller chercher les références du livre, de la photo de couverture, décider dans quelle catégorie on classait l’œuvre, recopier la quatrième de couverture…Ah ! oui, à propos, ça aussi je le regrette : la quatrième de couverture « en vrai », c’était une sorte de garantie que les critiqueurs ne s’en inspirent pas trop pour faire leur propre texte). Quelques critiques plus tard, j’ai eu mon heure de gloire, indépassable pour moi : ma critique sur Barbara Cartland.
Critlib comptait quelque chose comme 250 ou 300 inscrits et une quarantaine de participants plus ou moins actifs. Dans un coin du site, on trouvait un endroit (« Opinions de Critiques Libres ») où nous pouvions donner notre avis sur le site. On y trouvait des choses comme « Bravo pour ce merveilleux site » ou « Continuez comme ça ». Pour ceux que ça intéresse, il se trouve maintenant ici :
www.critiqueslibres.com/i.php/forum/sujet/1
Petit à petit, les plus acharnés y sont venus pour se parler entre eux plutôt que pour lancer des fleurs aux maîtresses des lieux (faut dire que l’on pouvait déjà leur lancer des fleurs en direct quand nous les croisions dans une soirée). C’est dans ce forum débutant que j’ai appris à connaître (plus ou moins par ordre d’apparition en scène sur le dit « Opinions de Critiques libres » et en ne citant que ceux qui son restés membres actifs) : Sorcius, Leura (devenu des champs), Jules, Bluewitch, Pendragon, Darius, Saule, Zoom, Sottovoce, Lolita, Lucien, Saint Germain des Prés, Tophiv, Rosenblum Petit, Kinbote, Miller, Fée Clo, Patman, etc, rien que du beau monde. Enfin, moi je trouve.
Et c’est sans compter tous ceux qui sont venus enrichir le site par la suite et qui continuent à le faire, mais ici, nous ne parlons que de la vieille époque n’est-ce pas, de tous les néanderthaliens du lieu pour en revenir à la préhistoire. N’empêche, je suis très heureux que Saint Jean Baptiste ou même une « petite nouvelle devenue trop rare » comme Lyra Will viennent porter témoignage de leur histoire. Ils sont nombreux ceux qui, parmi les anciens ou les plus nouveaux, peuvent encore venir apporter leur pierre à la construction d’une histoire de Critlib. La partie « Vos écrits », venue plus tard, a été pour moi une nouvelle source de plaisirs et de découvertes, mais elle a aussi été l’occasion d’épisodes un peu tristes comme le sont les disputes familiales.
Repensant à tout ça et au plaisir que j’en ai tiré, je suis allé voir quelles conversations nous tenions entre nous à l’époque où je suis arrivé. Un seul exemple : personne n’a dit un seul mot d’un événement comme celui du 11/09/2001 ! Ben oui : cela n’avait rien à voir avec un bouquin…
Repensant à tout ça et au plaisir que j’en ai tiré, je suis allé voir quelles conversations nous tenions entre nous à l’époque où je suis arrivé. Un seul exemple : personne n’a dit un seul mot d’un événement comme celui du 11/09/2001 ! Ben oui : cela n’avait rien à voir avec un bouquin…Regrettes-tu que maintenant nous abordions des sujets variés dont la relation avec le livre est parfois ténue? Ma question n’est pas à multifacettes, je voulais simplement avoir l’avis d’un “ancien”.
Il m’arrive de le regretter un peu, oui.
Même si c’est parfois très intéressant.
Le problème, c’est qu’on en arrive vite (en tous les cas, moi, j’y arrive vite) à classer les pseudos sur une ligne gauche – droite. Même dans les cas où cela n’apparaissait pas au travers des commentaires de livres.
Je sais bien qu’il m’est arrivé de fauter en la matière et que je suis marqué à jamais sur ce plan (ne serait-ce qu’à cause du pseudo choisi à l’époque : lourde erreur), mais j’essaie d’intervenir de manière allusive ou humoristique, sans essayer de convaincre qui que ce soit. A partir du moment où on met sur la table un sujet très chaud (les caricatures, la constitution européenne, le CPE…), on crée les conditions pour qu’un véritable débat surgisse, avec des argumentaires détaillés, des prises de position claires, des références transparentes à tel ou tel courant politique. Dès lors, on a « en face de soi » (si j’ose dire), un(e) allié(e) ou un(e) adversaire et la tentation est grande de poursuivre la chicane pour y avoir le dernier mot. Bref, la dispute n’est jamais très loin parce que le media que nous utilisons (quasi anonymat, immédiateté des réactions, visibilité du débat pour autrui, donc problème de gestion de notre image…) encourage plus les excès que les nuances.
N’empêche, il m’est arrivé de me laisser aller et je n’accuse donc personne (surtout pas toi qui vient de lancer l’affaire CPE…). Il y a dans les forums, des trucs comme alt.fr.politique.france où l’on finit par se traiter de facho dans tous les fils : il ne faudrait pas en arriver là.
Cela dit, ce n’est pas mon statut d’ « ancien » qui doit donner à mon opinion une couleur de vérité naturelle. D’autres croulants du site pourraient bien voir les choses autrement d’ailleurs.
Une bonne journée à toi, en tous les cas.
Et : « A bas la propriété privée des moyens de production » !
Ah ! Comme ça fait du bien.
Même si c’est parfois très intéressant.
Le problème, c’est qu’on en arrive vite (en tous les cas, moi, j’y arrive vite) à classer les pseudos sur une ligne gauche – droite. Même dans les cas où cela n’apparaissait pas au travers des commentaires de livres.
Je sais bien qu’il m’est arrivé de fauter en la matière et que je suis marqué à jamais sur ce plan (ne serait-ce qu’à cause du pseudo choisi à l’époque : lourde erreur), mais j’essaie d’intervenir de manière allusive ou humoristique, sans essayer de convaincre qui que ce soit. A partir du moment où on met sur la table un sujet très chaud (les caricatures, la constitution européenne, le CPE…), on crée les conditions pour qu’un véritable débat surgisse, avec des argumentaires détaillés, des prises de position claires, des références transparentes à tel ou tel courant politique. Dès lors, on a « en face de soi » (si j’ose dire), un(e) allié(e) ou un(e) adversaire et la tentation est grande de poursuivre la chicane pour y avoir le dernier mot. Bref, la dispute n’est jamais très loin parce que le media que nous utilisons (quasi anonymat, immédiateté des réactions, visibilité du débat pour autrui, donc problème de gestion de notre image…) encourage plus les excès que les nuances.
N’empêche, il m’est arrivé de me laisser aller et je n’accuse donc personne (surtout pas toi qui vient de lancer l’affaire CPE…). Il y a dans les forums, des trucs comme alt.fr.politique.france où l’on finit par se traiter de facho dans tous les fils : il ne faudrait pas en arriver là.
Cela dit, ce n’est pas mon statut d’ « ancien » qui doit donner à mon opinion une couleur de vérité naturelle. D’autres croulants du site pourraient bien voir les choses autrement d’ailleurs.
Une bonne journée à toi, en tous les cas.
Et : « A bas la propriété privée des moyens de production » !
Ah ! Comme ça fait du bien.
"Ben quoi, Tistou, qu'est-ce qu'il a mon pseudo??? ;-)))))))"
Ben, j'sais pas, mme Rosenblum Petit ? Disons qu'il n'offre aucune prise à mon imagination pour ... t'imaginer, simplement.
Ben, j'sais pas, mme Rosenblum Petit ? Disons qu'il n'offre aucune prise à mon imagination pour ... t'imaginer, simplement.
Et merci à Bolcho pour sa contribution. On mesure de plus en plus les changements qui peuvent bouleverser les "historiques" du site.
Merci Bolcho, d'avoir remis en mémoire cet ancien forum du début, cela m'a permis de me rappeler que je suis depuis mars 2001 derrière l'écran à vous lire; même l'anonymat du pseudo ne m'avait pas convaincue à écrire des critiques, il aura fallu toute la gentillesse et la persuasion de Jules pour que je m'y mette, mais pas pour longtemps, je trouve vos critiques bien meilleures que les miennes, je continue donc à vous lire discrètement.
Et depuis que je vous ai connu "pour de vrai", je sais que vous ne m'en voulez pas... :-)
Et depuis que je vous ai connu "pour de vrai", je sais que vous ne m'en voulez pas... :-)
Moi, c'était un article dans je ne sais plus quel journal. Je trouvais l'idée sympa, intelligente et culottée, et j'ai repris un texte que j'avais publié dans un petit journal à diffusion restreinte, une critique si je me souviens bien d'un livre d'Yves Thiran, qui fut un présentateur vedette du journal télévisé de la RTBF. Quelques semaines plus tard, c'était la foire du livre, et CL y avait son stand. Je suis passé dire bonjour, j'ai fait la bise à Arsenic et depuis lors, je suis complètement accro. Au site, pas au bisou d'Arsenic, qu'alliez-vous imaginer? A cette époque, il y avait des débats parfois houleux sur un livre avec des critiques éclair qui se répondaient les unes aux autres, et je trouvais la formule super-chouette, c'était l'occasion d'échanger avec des gens intellligents et cultivés, comme Jules, Bolcho, Darius, SGDP, Pendragon, Lucien, et beaucoup d'autres que j'oublie. Il y avait des personnages curieux qui ont disparu dans la nature, je pense notamment à Pétoman, le génie de la phrase lapidaire et de la critique courte et assassine. Je me souviens d'un débat sur un livre d'Houellebecq qui avait tellement émoustillé notre loustic qu'il avait dû aller se décharger les génitoires dans des bouges de la gare du Nord auprès de demoiselles qui portent le même nom qu'une école de philosophie athénienne.
C'était drôle... On ne se prenait pas la tête, on n'avait pas l'intention d'écrire pour la postérité, seulement celle d'échanger et de s'amuser.
Aah, quand on dit : "c'était le bon temps", c'est qu'on est devenu un vieux radoteur? Mais que le temps passe vite!
C'était drôle... On ne se prenait pas la tête, on n'avait pas l'intention d'écrire pour la postérité, seulement celle d'échanger et de s'amuser.
Aah, quand on dit : "c'était le bon temps", c'est qu'on est devenu un vieux radoteur? Mais que le temps passe vite!
Alors? Tout le monde a raconté son histoire CL?
Je ne pense pas seulement aux "anciens"... Les autres ont aussi le droit de donner leur vision du site même s'ils ne le fréquentent que depuis peu de temps...
Nous attendons tous les histoires de Jules, SGDP, etc...
RP
Je ne pense pas seulement aux "anciens"... Les autres ont aussi le droit de donner leur vision du site même s'ils ne le fréquentent que depuis peu de temps...
Nous attendons tous les histoires de Jules, SGDP, etc...
RP
Tombé là-dessus en cherchant autre chose, il me semble que ça nécessite une petite mise à jour.. hein Nance, et les autres "nouveaux anciens".
Je ne peux pas refuser de répondre à une telle sollicitation. C'est tellement gentiment demandé.
Moi, j'ai débarqué par hasard. Je n'avais pas de liaison internet à l'époque, ce qui fait que je menais toutes mes recherches sur le Web à la Bibliothèque royale. J'étais encore en quête de références à propos de la bataille de Waterloo et je faisais la critique interne du bouquin de Logie, ou plutôt de la Nème resucée du bouquin de Logie, qui venait de re(paraître). Je voulais savoir qui était exactement Jacques Logie, quels étaient ses titres universitaires, de quel droit il s'était auto-proclamé pape de Waterloo. Très logiquement (et très naïvement), je tape donc "Jacque Logie" et "Waterloo" dans le moteur de recherche Gooooooogle.
Et, bardaf !, dans liste de résultats, je tombe sur un extrait de la critique du "Rat des Champs". Je me dirige vers le site et je lis la critique en question. Comme j'étais justement occupé à dénombrer les erreurs (pour rester poli) contenues dans le bouquin de Logie, j'ai été heurté par les compliments que déversait le Rat des Champs sur cet ouvrage. Il fallait que je réponde. Je me suis donc inscrit et j'ai tout de suite été accueilli avec fastes par SJB qui appréciait que je justifie le maréchal Ney des fautes que Logie lui imputait. Le dialogue m'a passionné. Et voilà.
Tout ça, c'est la faute au Rat des Champs et à SJB. J'espère qu'ils ne le regrettent pas trop... Et c'est la faute à Jacques Logie. mais le malheureux est allé retrouver le grand empereur aux enfers.
Moi, j'ai débarqué par hasard. Je n'avais pas de liaison internet à l'époque, ce qui fait que je menais toutes mes recherches sur le Web à la Bibliothèque royale. J'étais encore en quête de références à propos de la bataille de Waterloo et je faisais la critique interne du bouquin de Logie, ou plutôt de la Nème resucée du bouquin de Logie, qui venait de re(paraître). Je voulais savoir qui était exactement Jacques Logie, quels étaient ses titres universitaires, de quel droit il s'était auto-proclamé pape de Waterloo. Très logiquement (et très naïvement), je tape donc "Jacque Logie" et "Waterloo" dans le moteur de recherche Gooooooogle.
Et, bardaf !, dans liste de résultats, je tombe sur un extrait de la critique du "Rat des Champs". Je me dirige vers le site et je lis la critique en question. Comme j'étais justement occupé à dénombrer les erreurs (pour rester poli) contenues dans le bouquin de Logie, j'ai été heurté par les compliments que déversait le Rat des Champs sur cet ouvrage. Il fallait que je réponde. Je me suis donc inscrit et j'ai tout de suite été accueilli avec fastes par SJB qui appréciait que je justifie le maréchal Ney des fautes que Logie lui imputait. Le dialogue m'a passionné. Et voilà.
Tout ça, c'est la faute au Rat des Champs et à SJB. J'espère qu'ils ne le regrettent pas trop... Et c'est la faute à Jacques Logie. mais le malheureux est allé retrouver le grand empereur aux enfers.
Hahaha !!!!
Une bonne idée, alors, cette critique de Logie puisque c'est grâce à elle que tu es ici. Je suis très heureux de ta réaction aussi de l'époque, parce qu'elle m'a beaucoup appris et permis de relativiser. J'ai probablement eu de mauvaises lectures sur Napoléon: Henri Guillemin, par exemple...
Une bonne idée, alors, cette critique de Logie puisque c'est grâce à elle que tu es ici. Je suis très heureux de ta réaction aussi de l'époque, parce qu'elle m'a beaucoup appris et permis de relativiser. J'ai probablement eu de mauvaises lectures sur Napoléon: Henri Guillemin, par exemple...
Je suis venue tout à fait par hasard sur le site de CL.Cela faisait plus d'un an que je survolait le site en fantôme, à vous lire mais sans jamais dire un mot jusqu'au jour où j'ai décidé de répondre au forum "Que lisez-vous pour le moment". Je ne m'attendais pas à ce qu'on me dise quoi que ce soit...(je ne suis jamais allée sur aucun forum) mais Aria et Débézed m'ont écrit un mot puis d'autres membres ont suivis et voilà que je me suis mise à écrire à l'occasion et à mieux connaître les clients.Je ne suis pas très active,en fait, je ne le suis pas du tout mais comme je vous lis depuis longtemps et que je m'amuse toujours à vous lire ( vous m'apprenez énorméments vous savez! vous êtes mon livre :-) ) alors je ne peux m'empêcher de venir faire mon p'tit tour.
Finallement très banale mon histoire mais c'est cela!
Ps: je suis médiocre en français et je le sais, mais j'espère que vous me le pardonnez!
Finallement très banale mon histoire mais c'est cela!
Ps: je suis médiocre en français et je le sais, mais j'espère que vous me le pardonnez!
J'ai probablement eu de mauvaises lectures sur Napoléon: Henri Guillemin, par exemple...
Certainement pas ! Le "Napoléon tel quel" de Guillemin a été le premier véritable sursaut public des historiens contre la "légende" que s'était forgée Napoléon à Sainte-Hélène au mépris de la moindre vérité historique et que nul n'osait contester avant lui. Guillemin avait commencé par donner des conférences et, comme son talent de raconteur était exceptionnel, l'idée est venue à des producteurs de télévision d'en faire une série. Étrangement, aucune chaîne française de la télévision d'Etat de l'époque n'a voulu réaliser le projet. C'est donc la télé suisse et la télé belge qui se sont associées pour enregistrer la série. Je ne sais même pas si elle a été diffusée sur la télé française. Ce qu'on peut en dire, c'est que Guillemin a flanqué un fameux coup de pied dans la fourmilière et que cela a fait un scandale terrible. Et cela a puissamment contribué à remettre les pendules à l'heure. Mais tout le monde avait vu la série et il a donc été décidé de la publier en imprimé.
C'était donc une excellente lecture.
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