Histoires extraordinaires de Edgar Allan Poe
( Tales of mystery and imagination)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique , Littérature => Anglophone , Littérature => Nouvelles

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En route pour l'imaginaire
Ce recueil comprend une foule de petites histoires, toutes plus étranges les unes que les autres. Edgar Allan Poe nous emmène au gré de son esprit torturé dans des aventures qui flirtent souvent avec l'imaginaire et l'occulte. La première nouvelle "Double assassinat dans la rue Morgue" est une splendeur (par ailleurs déjà critiquée par Tophiv sur ce site). Un enquêteur aux méthodes rationnelles au-dessus de la moyenne va s'employer à résoudre un inexplicable meurtre. La vérité est au-delà de tous les soupçons. Cette nouvelle constitue les prémisses du genre policier.
Toutes les nouvelles oscillent donc entre des enquêtes policières, des chasses au trésor au suspense haletant (Le scarabée d'or), des récits homériques de voyage en ballon dont un sur la lune (Aventure sans pareille d'un certain Hans Pfaal), des expériences de magnétisme et de mesmérisme, des phénomènes climatiques étranges, une légende sur un cavalier fou (Metzengerstein), des histoires d'amour baignant constamment dans le mystère. Ma palme va à Ligeïa qui est une histoire dans laquelle un homme est hanté par le souvenir de sa fiancée disparue,...
Cependant, il faut avoir gardé quelque peu une âme d'enfant pour rentrer pleinement dans ces nouvelles fantastiques.Le recueil est cependant assez inégal, l'auteur tirant sur des ficelles qui s'avèrent parfois bien grosses. Ce livre a été traduit par Baudelaire.
Je vais terminer cette critique par cette citation de Paul Valery qui résume assez bien l'ensemble de ces nouvelles: "Edgar Poe a emprunté la voie royale du grand art. Il a découvert l'étrange dans le banal, le neuf dans le vieux, le pur dans l'impur. Voilà un être complet."
Les éditions
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Histoires extraordinaires [Texte imprimé] Edgar Allan Poe trad. de Charles Baudelaire introd. de Michel Zéraffa
de Poe, Edgar Allan Zéraffa, Michel (Préfacier) Baudelaire, Charles (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche.
ISBN : 9782253006923 ; 3,90 € ; 01/03/1972 ; 285 p. ; Poche -
Histoires extraordinaires [Texte imprimé] Edgar Allan Poe trad. de Charles Baudelaire préf. et commentaires par Emmanuel Martin et Daniel Mortier
de Poe, Edgar Allan Martin, Emmanuel (Préfacier) Mortier, Daniel (Préfacier) Baudelaire, Charles (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris)
ISBN : 9782266030809 ; 2,29 € ; 06/11/1997 ; 382 p.-16 p. de pl. p. ; Broché -
Histoires extraordinaires de Poe, Edgar Allan
de Poe, Edgar Allan Baudelaire, Charles (Traducteur)
Edito-Service
ISBN : SANS000003941 ; 01/01/1984 ; 293 p. ; Cartonné
Les livres liés
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Les critiques éclairs (16)
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Baudelaire avait raison...

Critique de R. Knight (, Inscrite le 18 janvier 2012, 28 ans) - 23 février 2012
Empreintes de rêves, de terreur, d'irréalité froide et de merveilleux, les nouvelles d'Edgar Allan Poe dans ce premier tome des Histoires Extraordinaires, nous montrent une autre facette de notre Monde. Une facette dans laquelle les mourants détiennent le savoir suprême, l'Homme est capable de s'élever grâce à une mongolfière dans l'espace et l'amour devient irrévocable et dévastateur.
Et il y'en a pour tous les goûts ! On débute sur 'Double assassinat dans la rue Morgue' qui ne me laisse pas un très bon souvenir. Peut-être que la chute finale n'était pas assez recherchée à mon goût ?
On embraie ensuite avec 'Lettre Volée' puis vient le fameux 'Scarabé d'or' dont j'ai trouvé l'intrigue bien tournée mais peu emballante.
Ainsi de cet ouvrage me resteront : 'La vérité sur le cas de M. Valdemar' ainsi que 'Révélation magnétique' qui parlent toutes deux de la médecine magnétique. Dans 'Révélation magnétique' on revient sur le principe de l'existence en elle-même. Qu'est-ce-que la volonté de Dieu ? Qui est Dieu, d'ailleurs ? Qu'est-ce-que l'enveloppe charnelle ? Cette histoire détient et nous présente avec brio les réponses à nos plus profondes interrogations. Niveau amour, les nouvelles 'Morella' et 'Ligeia' sont divines, mais certainement un peu trop semblables, présentant la même intrigue à peu de choses près. L'amour, selon Poe, est irrévocable, destructeur et maléfique. Ces deux nouvelles en sont la preuve-même.
Mais ce qui prime, au-delà des questions existencielles, des intrigues policières et de l'amour, dans l'art de Poe, c'est la façon fabuleuse avec laquelle il manie la matière que nous nommons le rêve. Des situations totalement improbables nous apparaissent raisonnables sous l'emprise de son écriture :
'Aventure d'un certain Hans Pfaall' , récit relatant l'aventure d'un homme qui parviendra à se poser sur la lune par ses propres moyens.
'Metzengerstein' et 'Les souvenirs de M.A. Bedloe' sont tout autant surprenantes !
Je dirais donc que cet ouvrage est on-ne-peut plus inspirant si l'on aime cotôyer le rêve et les situations grotesques qui en découlent et qui deviennent, pourtant, sous la plume de Poe, de véritables symphonies. Il faut juste trouver celles qui nous toucheront le plus.
Extraordinairement indigeste !

Critique de Amnezik (Noumea, Inscrit le 26 décembre 2006, 55 ans) - 8 février 2012
Si les raisonnements sont quelquefois (souvent) un peu (beaucoup) tirés par les cheveux j'ai surtout eu du mal à accrocher au style de l'auteur qui tend à se perdre dans des phrases trop alambiquées et de longues descriptions/digressions qui viennent alourdir inutilement la lecture (pour l'anecdote si aujourd'hui EA Poe est considéré comme un auteur de génie il n'a, de son vivant, jamais connu le succès grâce à ses écrits). Du coup je n'avais qu'une hâte c'était d'en finir avec cette lecture, quitte à parcourir en diagonale certains passage ; peut être suis-je passé à côté de quelque chose ce faisant mais très franchement j'en doute ! Je ne me permettrai toutefois pas de dire que c'est mal écrit, ce n'est simplement pas un style auquel j'adhère...
Mythique

Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 40 ans) - 31 mai 2009
Histoires extraodinairement... assomantes!

Critique de Law (Marseille, Inscrite le 17 janvier 2009, 29 ans) - 30 mai 2009
Les deux premières histoires de l'oeuvre (Double assassinat à la rue morgue et La Lettre volée) méritent quand même qu'on s'y attarde davantage. L'histoire est menée comme une véritable enquête policière, et les démonstrations du génie de l'auteur sont plus courtes, donc moins exaspérantes.
Un savoureux mélange des genres

Critique de Ngc111 (, Inscrit le 9 mai 2008, 37 ans) - 10 mars 2009
J’ai beaucoup aimé l’atmosphère de cette nouvelle, le noctambulisme (au sens non péjoratif du terme) de ses « héros » et la relation entre Dupin et le narrateur.
Si dans le fond cette histoire reste une simple énigme policière, on ne peut s’empêcher d’apprécier les relations cause à effet et les suites de déductions opérées par le brillant investigateur qu’est Lupin. De plus l’on sent bien à plusieurs passages les considérations que l’auteur a inséré dans le récit.
Note : 4.5/5
La lettre volée :
Bizarrement j’ai trouvé l’explication de la résolution de cette nouvelle énigme beaucoup plus tirée par les cheveux. L’auteur essaie de nous montrer que la simplicité peut parfois nous détourner de la vérité mais j’ai été moins convaincu cette fois ci. Toutefois, le fait de retrouver des personnages appréciés précédemment ainsi que la brièveté de cette nouvelle font qu’elle reste bien agréable à lire !
Note : 3.5/5
Le scarabée d’or :
L’une des plus célèbres histoires de E. Poe et à juste titre tant elle se révèle intelligemment écrite. Sorte de chasse au trésor agrémentée d’énigmes passionnantes, on se plaît à déchiffrer le code et à chercher à comprendre les éléments de l’histoire en même temps que les personnages. Ceux-ci imposent là encore leur charisme, leur charme et l’on suit cette aventure avec passion. La nouvelle que j’ai le plus « dévoré » !
Note : 5/5
Le canard au ballon :
Une nouvelle, légère, simple et brève qui ne m’a pas inspiré faute de retrouver le style de Poe dans ce récit. Une histoire trop « neutre » !
Note : 2/5
Aventure sans pareille d'un certain Hans Pfall :
On le voit à travers ses récits, E. Poe était un homme intelligent. Néanmoins avec cette histoire l’auteur se perd un peu trop à mon goût dans des précisions scientifiques et notamment physiques qui, je l’avoue, m’ont parfois ennuyé et souvent échappé. Pour résumer, une nouvelle difficile à appréhender mais dont la lecture s’est pourtant révélée plus intéressante que celle du canard au ballon. Un peu paradoxal mais c’est pourtant vrai !
Note : 3.5/5
Manuscrit trouvé dans une bouteille :
Cette nouvelle se déguste à travers son atmosphère parfois lugubre et angoissante où beaucoup de choses restent non dites. Cette histoire de vaisseau fantôme (?) captive et je l’ai trouvé bien écrite. En règle générale je suis plutôt friand des histoires vagues où l’on ne dévoile pas trop d’éléments et où l’on joue sur le mystère… avec celle-ci j’ai été servi !
Note : 4/5
Une descente dans le Maelström :
L'histoire est un peu trop longue à démarrer à mon goût. Par la suite le récit gagne en rythme et en... humour. En effet j'ai trouvé amusant le calme du héros piégé qui n'hésite pas à faire un jeu de sa situation.
Note : 3/5
La vérité sur le cas de M.Valdemar :
Une histoire bien menée, effrayante parfois et qui distille un certain malaise si l'on se plonge vraiment dedans. Typique de Poe !
Note : 4/5
Révélation magnétique :
Sans doute l'une des plus captivantes ! Poe, à travers cette expérience, nous livre une autre façon de concevoir Dieu et l'être humain. Un peu difficile de prime abord, cette nouvelle procure de belles sensations.
Note : 5/5
Les souvenirs de M. Auguste Bedloe :
Un récit qui ne m'a pas laissé de souvenir impérissable mais qui se lit bien.
Note : 2/5
Morella :
Une histoire morbide avec quelques belles phrases et un côté "esthétique" très prononcé.
Note : 2/5
Ligeia :
L'une des nouvelles les plus appréciée de Poe. Pourtant j'avoue que ce n'est pas celle qui m'aura le plus convaincu loin de là! Certains passages m'ont ennuyé et j'ai trouvé les thèmes (maladie, haine/amour, mort) trop proches et déjà surexploités dans la nouvelle que je venais de lire (Morella).
Note : 1.5/5
Metzengerstein :
Une histoire qui m'a vaguement rappelé Sleepy Hollow. Comme souvent avec Poe les non dits distillent une atmosphère oppressante. Le tout forme une excellente nouvelle!
Note : 4/5
Globalement on prend beaucoup de plaisir à lire ces histoires extraordinaires malgré l'inégalité dans la qualité des récits. Mais j'ai aimé les thèmes abordés par l'auteur tantôt traditionnels (policier, chasse au trésor) tantôt originaux et plus complexes (le magnétisme notamment). Certains personnages se sont vraiment imposés (Dupin notamment) et l'on aimerait les voir évoluer plus souvent. Mais l'important, et ce que je considère comme le point positif de ce recueil, c'est cette "patte" E.A.Poe que l'on ne retrouve nulle part ailleurs. Du fantastique quasi réel!
Le Sherlock Holmes d'avant garde

Critique de Boboss (, Inscrit le 30 octobre 2008, 47 ans) - 25 février 2009
Manuscrit trouvé dans une bouteille

Critique de Sabrine (, Inscrite le 20 octobre 2008, 28 ans) - 25 octobre 2008
Cette histoire se déroule sur un bateau en mer, l'élément perturbateur c'est quand le vent emporte une grande partie de l'équipage.
Le héros est un garçon qui est dans une famille étrange avec une éducation peu commune. Il aime les ouvrages des philosophes allemands, pour leur éloquence de folie. Il manque peut-être d'imagination. Il aime aussi les couchers de soleil.
En partent en voyage de Batavia sur un bateau qui avait quatre cent tonneaux. Avec un paysage magnifique, l'eau était transparente. Le capitaine me disait qu'il n'y avait pas de danger, mais toute les craintes que je lui disais ne changeaient rien. Il me racontait la même chose >.
Quand tout d'un coup un bruit fait tremblaer le centre du bateau, le vent a emporté tout l'équipage. J'étais seul dans ce froid quand un homme me cria ....
Une découverte

Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 1 janvier 2008
Double assassinat dans la rue Morgue (1841) : Ma première nouvelle de Poe. L’introduction est compliquée, mais quand j’ai rentré dans l’histoire, c’était intéressant. Malheureusement, je connaissais déjà la fin à cause d’une référence dans un autre livre (Les fourmis?). C’est très bien écrit, mais on n’a pas assez d’indices pour résoudre l’enquête nous-même. 3.5/5
La Lettre volée (1845) : J’ai été heureuse de voir Dupin de retour. On finit par être attachée au personnage, il me fait penser à Hercule Poirot. La nouvelle est correcte. 3.5/5
Le Scarabée d'or (1843) : Peut-être un prédécesseur dans ce style, mais j’ai beaucoup de difficulté à me lier aux personnages. La meilleure partie est celle de la cryptographie. 2.5/5
Le Canard au ballon (1844) : Je crois que l’histoire ne peut être intéressante que lorsque tu connais le contexte, c’est-à-dire que c’est un canular. L’histoire seule est un peu trop scientifique et j’ai encore un problème avec les personnages. 1/5
Aventure sans pareille d'un certain Hans Pfaall (1835) : Puisque que l’on sait aujourd’hui que c’est scientifiquement impossible, j’ai ressenti un malaise. C’est trop sérieux. Dans le style, je vais sûrement préférer De la Terre à la Lune de Jules Verne. 2.5
Manuscrit trouvé dans une bouteille (1833) : J’ai aimé l’ambiance. Je l’ai imaginé avec la marche funèbre de Frédéric Chopin. 3/5
Une descente dans le Maelstrom (1841) : Visuel, mais pas vraiment mon genre. 2.5/5
La Vérité sur le cas de M. Valdemar (1845) : J’ai eu la chair de poules. 5/5
Révélation magnétique (1844) : Indigestible divagation ? 0.5/5
Souvenirs de M. Auguste Bedloe (1844) : Je n’ai pas réussi à m’immerger dans le récit. 1/5
Morella (1835) : Lyrique, mais trop mièvre à mon goût. 1.5/5
Ligeia (1838) : Dans le style je préfère Morella. 1/5
Metzengerstein (1832) : Une des premières nouvelles de Poe. Gothique comme j’aime. 4/5
Déçu

Critique de Calepin (Québec, Inscrit le 11 décembre 2006, 41 ans) - 12 janvier 2007
le double assassinat de la rue morgue..

Critique de Lilie-de-rennes (Rennes, Inscrite le 22 novembre 2005, 40 ans) - 22 novembre 2006
Dans la rue morgue

Critique de Fred236 (Nantes, Inscrit le 13 janvier 2006, 36 ans) - 13 janvier 2006
La vivacité et le talent de Poe sont très bien illustrés dans "double assassinat dans la rue morgue" par exemple.
Mais toutes les histoires ne se valent pas et j'avoue m'être ennuyé ferme à la lecture du "canard au ballon", où la technicité du récit semble l'altérer.
Je suis donc resté sur ma faim. On peut sûrement mettre cela sur le compte de mon intérêt limité pour le fantastique, par ailleurs.
Cependant, dans le registre du fantastique il ne faut pas douter que cet ouvrage de Poe est indispensable.
Dépassé

Critique de Pierre666 (Strasbourg, Inscrit le 13 octobre 2005, 41 ans) - 24 novembre 2005
Pour ce qui est de l'intérêt purement "ludique', je ne conseille donc pas ce receuil de nouvelles...sauf aux plus curieux...
Dans le Maelstrom de Poe

Critique de Oxymore (Nantes, Inscrit le 25 mars 2005, 51 ans) - 15 novembre 2005
Il se divise en différents thèmes: L'investigation policière, trésor de pirates, premiers voyages en ballons, le fantastique de la mer et enfin hypnose et métempsychose.
L'ensemble est assez inégal mais d'une somptueuse beauté littéraire, merveilleusement retranscrite par Baudelaire. J'avoue (au delà du merveilleux Assassinat de la rue Morgue) avoir été subjugué par 4 nouvelles.
D'abord Le scarabé d'or qui est une véritable chasse aux trésors au pays des pirates où l'ingéniosité des indices donnés est succulente.
Ensuite L'aventure sans pareille d'un certain Hans Pfall qui nous emmène dans un merveilleux voyage en ballon de la Terre à la lune avec toute la naïveté relative à l'anticipation de l'époque.
J'ai aussi adoré Une descente dans le Maelstrom qui nous emporte sur un bateau exposé à tous les dangers de la mer et entrainé dans un tourbillon épouvantable (Poe dans toute sa splendeur).
Enfin sur un même plan, 2 nouvelles qui n'en font presque qu'une; Morella et Ligeia dans lesquelles hypnose et amour ne font qu'un; Poe use d'une écriture proprement merveilleuse pour vanter l'amour, peindre les traits à la fois beaux puis spectraux de la bien-aimée; on y apprend également beaucoup sur la métaphysique et la métempsychose.
Bref ces histoires extraordinaires sont merveilleuses et même si j'ai apprécié plus particulièrement certaines d'entre elles, toutes ces nouvelles sont du bonheur pur qu'on peut lire d'une traite ou au gré des humeurs et des saisons. Un véritable livre de chevet.
Le plaisir de l'étrange

Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 53 ans) - 9 janvier 2005
Une source d'inspiration

Critique de Fa (La Louvière, Inscrit le 9 décembre 2004, 47 ans) - 14 décembre 2004
Quant au fond, certes, l'histoire du fantastique a poussé l'extraordinaire plus loin, mais l'on voit cependant poindre une imagination certaine, nourrie du vécu particulièrement déséquilibré de l'auteur. On sent vraiment dans ce que Poe raconte sa propre déliquescence.
En outre, la tradiction de Baudelaire en fait un petit bijou stylistique.
Booh!

Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 40 ans) - 26 juin 2004
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