Une constatation s'impose en ces lieux d'écriture: l'esprit féminin est présent. Les prémisses des temps du Verseau donnent au monde le plaisir infini de retrouver ce qui était perdu depuis des temps immémoriaux: le retour de la Déesse-mère. Douce et câline, sans haine ni guerre la femme revient donner la châleur de son âme en ce nouveau siècle précédé d'années gouvernées par des damnés.
Les arts et la beauté reviennent nourrir nos esprits souvent amoindris par d'infâmes parodies. Merci à vous, belles amies. FLC.
Les arts et la beauté reviennent nourrir nos esprits souvent amoindris par d'infâmes parodies. Merci à vous, belles amies. FLC.
On est gâtées avec toi Félix ! :)
Vive les céliennes ! ;)
Vive les céliennes ! ;)
Poussière hallucinée
Pierre noyée
Velouté de noirceur
Oiseau sans cœur
Effort tourmenté
Spirale infinie
Vertu nécessaire
Blancheur odorante
Fixée au corbeau terrible de la main ruisselante
Peine, torpeur, immobilité naissante,
Forme insaisissable de la nuit qui touche le fond des âmes
Jamais souvenir aussi éclatant
Vergogne
Morsure
Violence inanimée
Silence forcé
Pleurs condamnés
Veine
Pierre noyée
Velouté de noirceur
Oiseau sans cœur
Effort tourmenté
Spirale infinie
Vertu nécessaire
Blancheur odorante
Fixée au corbeau terrible de la main ruisselante
Peine, torpeur, immobilité naissante,
Forme insaisissable de la nuit qui touche le fond des âmes
Jamais souvenir aussi éclatant
Vergogne
Morsure
Violence inanimée
Silence forcé
Pleurs condamnés
Veine
J'aimais les mots
Mais l'émotion
Si on la laisse
On la laisse où?
Ah, les sous-bois!
'L'est soûl Boileau
Soûl, Boileau va
Bois l'eau, va-t-en
Love, attends-moi
Mais l'émotion
Si on la laisse
On la laisse où?
Ah, les sous-bois!
'L'est soûl Boileau
Soûl, Boileau va
Bois l'eau, va-t-en
Love, attends-moi
Joli !!!
Déterrer un fil. Qui arrive à point nommé, quand pas à pas j'en suis presque dans mon coeur à nommer. Le souffle, les pages accumulées, les mots qui ont charrié l'idée. Mais jamais ne s'incarnent, comme chair. Lettre morte, sentiments de papier. Alors la neige sur la peau, le sac-à-dos, l'attente. Je force les mots je fais sens encore. Surréaliste ce serait plonger, qu'un oeil aspire la peur. Pas l'oeil mais le regard, le regard après les discours et la voix rauque, suivre le regard sur la route des songes, s'enconfiancer dans le délicat tronc du regard. Qui dit racines je le décapite. Qui dilue je le quitte. Je me gorge de mots gardés dans caboche au chaud de l'âme, lame de fond pas encore chavirable, pas tout à fait, encore empesée de détails pratiques. Et l'horloge tourne alors il faut bien s'y soumettre avant que distance ne sépare les eaux, ne ronge les os. Va.
Quelques mots pris dans un engrenage
…bouge le silence écoute le silence bouge le corps écoute le corps bouge… le silence écoute le silence… bouge le corps… écoute… le corps bouge le silence… écoute… le silence bouge le corps… écoute le corps… bouge le silence… écoute le… silence… bouge… le corps écoute le corps… bouge le… silence… écoute le… silence…
Il y a sans doute encore des possibilités à explorer, même en restant dans les limites de ce bricolage : https://youtube.com/watch/…
Le son est mauvais (l'image n'est pas top non plus ;-). Pour ceux que ça intéresse, il s'agit des première mesures du 2ème mouvement de la symphonie n° 3 d'Henryk Gorecki.
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Il y a sans doute encore des possibilités à explorer, même en restant dans les limites de ce bricolage : https://youtube.com/watch/…
Le son est mauvais (l'image n'est pas top non plus ;-). Pour ceux que ça intéresse, il s'agit des première mesures du 2ème mouvement de la symphonie n° 3 d'Henryk Gorecki.
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