Passée à la librairie hier soir, j'ai le regret de vous dire que ce livre est à peine connu par mon libraire! Il faut dire que GARCIA MARQUEZ est un auteur mineur! ;-)
Je continue ma quête!
Peut être à la bibli ?
Une autre librairie, la fEUNAC et la bibli... aucun exemplaire de dispo... je vais devoir laisser tomber pour cette fois! Pour le moment, il n'est plus édité (je trouve ça incroyable!)...
Si jamais je tombe dessus, je vous tiens au courant!
Dommage Nymphette....essaie encore et rattrape nous! :-)
Bluewitch aussi!
Bon, alors moi j'aime vraiment beaucoup la première phrase:
"C'était inévitable: l'odeur des amandes amères lui rappelait toujours le destin des amours contrariées."
L'amertume, les amours contrariées...ça me plaît bien.
Ca me donne envie de lire la deuxième...que je reviens commenter dans cinq secondes!
Bon je plaisante, bonne lecture, pour ma part je ferai un premier bilan quand je serai bien installée dans le livre.
Bonne lecture de votre côté!
Bluewitch aussi!
Bon, alors moi j'aime vraiment beaucoup la première phrase:
"C'était inévitable: l'odeur des amandes amères lui rappelait toujours le destin des amours contrariées."
L'amertume, les amours contrariées...ça me plaît bien.
Ca me donne envie de lire la deuxième...que je reviens commenter dans cinq secondes!
Bon je plaisante, bonne lecture, pour ma part je ferai un premier bilan quand je serai bien installée dans le livre.
Bonne lecture de votre côté!
Je vais lire le livre mais ne le commenterai qu'à la fin de la lecture. Ne m'en veuillez pas :-)))
J'ai commencé le livre, les descriptions me permettent d'avoir l'impression d'être devant un écran...
C'est bien pour quelqu'un qui n'a pas la TV!!!
J'espère que Nymphette aura plus de chance cette semaine et qu'elle pourra nous rejoindre en cours.
Bonne lecture à toutes!
C'est bien pour quelqu'un qui n'a pas la TV!!!
J'espère que Nymphette aura plus de chance cette semaine et qu'elle pourra nous rejoindre en cours.
Bonne lecture à toutes!
La biblio est ouverte demain, j'irai voir si ils l'ont.
Ah, un de plus éventuellement, chouette!
D'accord avec toi Koudoux, les descriptions sont sompteuses. J'en suis au début, mais je sens que c'est un roman qui a de l'ampleur, la mise en place est lente mais on est pris par l'histoire au début, qui on le sent bien, n'est que le prémice à une autre histoire.
C'est un roman pour l'été, pour quand on a le temps de s'immerger dans un roman, que lire est l'activité la plus importante de la journée :-)
Une description de la biblio du docteur Urbino, qui donne envie de toucher le meuble en noyer et le cuir des fauteuils :
"Cependant, nul autre endroit ne révélait autant la solennité méticuleuse que la bibliothèque, sanctuaire du docteur Urbino avant que la vieillesse ne l'emportât. Là, autour du bureau en noyer de son père et des bergères de cuir capitonné, il avait fait couvrir les murs et même les fenêtres de rayonnages vitrés, et placé dans un ordre presque démentiel trois mille livres identiques reliés en maroquin avec, sur le flan, ses initiales en lettres dorées. A l'inverse des autres pièces qui étaient à la merci du tohu-bohu et des mauvaises odeurs du port, la bibliothèque avait toujours possédé le secret et la senteur d'une abbaye."
C'est un roman pour l'été, pour quand on a le temps de s'immerger dans un roman, que lire est l'activité la plus importante de la journée :-)
Une description de la biblio du docteur Urbino, qui donne envie de toucher le meuble en noyer et le cuir des fauteuils :
"Cependant, nul autre endroit ne révélait autant la solennité méticuleuse que la bibliothèque, sanctuaire du docteur Urbino avant que la vieillesse ne l'emportât. Là, autour du bureau en noyer de son père et des bergères de cuir capitonné, il avait fait couvrir les murs et même les fenêtres de rayonnages vitrés, et placé dans un ordre presque démentiel trois mille livres identiques reliés en maroquin avec, sur le flan, ses initiales en lettres dorées. A l'inverse des autres pièces qui étaient à la merci du tohu-bohu et des mauvaises odeurs du port, la bibliothèque avait toujours possédé le secret et la senteur d'une abbaye."
La biblio est ouverte demain, j'irai voir si ils l'ont.
Nous les parisiens, nous consultons le catalogue de la bibliothèque sur le web. C’est pratique, nous pouvons également réserver un document.
Visiblement la mairie a eu les moyens : il y a même des gadgets du genre : le lecteur qui a consulté ce livre a regardé aussi X Y Z.
D'accord pour la qualité des descriptions, Garcia Marquèz est un excellent conteur, il raconte lentement les choses, dans les détails, en décrivant les tenues, les lieux, et on ne peut lui dénier un certain talent dans ce domaine.
Sinon....pour moi l'histoire d'amour a débuté, et je trouve l'amoureux transi ennuyeux comme la pluie... pour moi c'est pas possible, un mec pareil...:-)
Sinon....pour moi l'histoire d'amour a débuté, et je trouve l'amoureux transi ennuyeux comme la pluie... pour moi c'est pas possible, un mec pareil...:-)
La biblio est ouverte demain, j'irai voir si ils l'ont.
Nous les parisiens, nous consultons le catalogue de la bibliothèque sur le web. C’est pratique, nous pouvons également réserver un document.
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Souvent aussi en province !
Sinon....pour moi l'histoire d'amour a débuté, et je trouve l'amoureux transi ennuyeux comme la pluie... pour moi c'est pas possible, un mec pareil...:-)
L'histoire d'amour a commencé aussi pour "moi", deux ans à s'envoyer des lettres sans même oser se regarder dans les yeux.
Une époque révolue!!!
deux ans à s'envoyer des lettres sans même oser se regarder dans les yeux.
Une époque révolue!!!
Peut-être à tort? C'est très beau et très pur, un amour platonique.
Moi ce qui me dérange c'est la personnalité de Florentino Ariza, et la rencontre avec Fermina.
Je m'attendais à quelque chose de très fougueux et d'explosif, et tout se passe finalement très platement, ça manque cruellement de passion, tout ça...Le côté chevaleresque (les lettres, la fleur, les phrases très emphatiques, très définitives genre "c'est une question de vie ou de mort" etc...) tombe vite dans la mièvrerie parce que le simili chevalier servant n'a pas l'étoffe d"un héros romantique.
Donc pour moi ça tombe à plat...je suis super déçue!
Bon ce n'est pas fini, non plus, à suivre encore et toujours....mais bon...
L'amour imaginé peut-être tout aussi réel que celui vécu.
Moi je le trouve bien le Florentino Ariza avec ses lettres et ses poèmes, et puis passer des heures tout les jours sur un banc dans un parc juste pour voir passer son aimée : ça c'est de l'amour.
Sinon j'aimais beaucoup les descriptions de cette ville coloniale au caraïbe, au début du roman, la torpeur due à la chaleur écrasante, les vielles familles aristocratiques et leur rituel social,.. on se sent transporté dans leur monde.
Moi je le trouve bien le Florentino Ariza avec ses lettres et ses poèmes, et puis passer des heures tout les jours sur un banc dans un parc juste pour voir passer son aimée : ça c'est de l'amour.
Sinon j'aimais beaucoup les descriptions de cette ville coloniale au caraïbe, au début du roman, la torpeur due à la chaleur écrasante, les vielles familles aristocratiques et leur rituel social,.. on se sent transporté dans leur monde.
Bien d'accord avec Saule! :-)))
Oups! j'en dis pas plus....
Oups! j'en dis pas plus....
Je suis arrivé au moment ou le docteur Urbano revient de Paris. Le roman prend encore de l'ampleur, c'est tout un univers que l'auteur déploie pour nous. Les personnages vont et viennent, j'ai regretté le départ de la tante de Firmana qui était très attachante.
J'aime vraiment beaucoup d'être immergé dans un monde.
J'aime vraiment beaucoup d'être immergé dans un monde.
ça c'est de l'amour.
Et il y a trois millions de façons de raconter, d'imaginer, de relater, de vivre et d'appréhender ce très mystérieux "ça"...:-)
Peut-être me suis-je trop attachée à l'histoire d'amour, justement, il y a beaucoup d'autres choses à côté comme vous le dites, mais étant donné que je m'attendais à l'histoire du siècle je me focalise sans doute trop là dessus.
Bon suite au prochain épisode!
j'ai regretté le départ de la tante de Firmana qui était très attachante.
Ah moi aussi!
On doit en être un peu au même point, je pense! :-)
Ce qu'il y avait de pas mal, c'est de faire une sérénade au violon sous le balcon de la belle. Il y avait différents types apparemment, dont la sérénade de rupture.
Mais sinon, je suis comme toi, j'ai plus de sympathie pour le docteur Urbano que pour le pauvre télégraphiste. J'ai eu le souffle coupé par la réaction de Firmana quand elle le revoit après son voyage d'ailleurs, mais je ne veux rien dévoiler :-)
Mais sinon, je suis comme toi, j'ai plus de sympathie pour le docteur Urbano que pour le pauvre télégraphiste. J'ai eu le souffle coupé par la réaction de Firmana quand elle le revoit après son voyage d'ailleurs, mais je ne veux rien dévoiler :-)
Allez, je vous talonne. :-) Je viens de le commencer.
Très bonne idée. Je pensais que en avais critiqué un au début du site, je croyais me souvenir d'une discussion avec Jules. Et j'avais toujours gardé en tête de lire Garcia Marquès. Mais je ne le retrouve pas, je confonds peut-être avec Sorcius.
C'est ton premier de Garcia Marquès ?
C'est ton premier de Garcia Marquès ?
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