Je viens de revoir Sur la route de Madison, de 1995, de Clint Eastwood. Ce film reste triste mais beau et romantique.
Un chef d'oeuvre... et surtout la fin !
Je viens de revoir Sur la route de Madison, de 1995, de Clint Eastwood. Ce film reste triste mais beau et romantique.
Un chef d'oeuvre... et surtout la fin !
En effet !
Hier soir, j'ai revu Chacun cherche son chat, de Cédric Klapisch, de 1996. Ce petit film reste rafraichissant et assez charmant, en décrivant les petits bonheurs et malheurs d'un quartier - encore assez - populaire de Paris.
J'ai revu sur Netflix "Les choses de la vie" (1970) de Claude Sautet avec Michel Piccoli et Romy Schneider. La dernière partie du film est toujours aussi émouvante. Mais les cigarettes omniprésentes, dès le réveil, en mangeant, en voiture, tout le temps, chez les jeunes, chez les vieux, sont totalement anachroniques et passent mal aujourd'hui. J'ai failli ouvrir mes fenêtres pour ne pas être asphyxié en regardant le film. Plaisanterie mise à part, je trouve que pour cela mais aussi à cause des vêtements et des voitures d'époque, le film n'a pas bien vieilli visuellement comme tout ceux des années 70. Bizarre que cela ne me fasse pas ça avec les Hitchcock des années 60 et même les Chaplin. Peut-être parce que ce sont des époques que je n'ai pas connu...
J'ai revu également sur Netflix "Max et les ferrailleurs" (1971) de Claude Sautet avec Michel Piccoli et Romy Schneider, film que j'ai toujours apprécié malgré son dénouement assez invraisemblable. Pour moi, le comportement du personnage incarné par Michel Piccoli à la fin du film est excessif surtout au vu de celui qui est le sien pendant tout le film.
J'ai revu sur Netflix "Les choses de la vie" (1970) de Claude Sautet avec Michel Piccoli et Romy Schneider. La dernière partie du film est toujours aussi émouvante. Mais les cigarettes omniprésentes, dès le réveil, en mangeant, en voiture, tout le temps, chez les jeunes, chez les vieux, sont totalement anachroniques et passent mal aujourd'hui. J'ai failli ouvrir mes fenêtres pour ne pas être asphyxié en regardant le film. Plaisanterie mise à part, je trouve que pour cela mais aussi à cause des vêtements et des voitures d'époque, le film n'a pas bien vieilli visuellement comme tout ceux des années 70. Bizarre que cela ne me fasse pas ça avec les Hitchcock des années 60 et même les Chaplin. Peut-être parce que ce sont des époques que je n'ai pas connu...
C’est un film dur et assez bon psychologiquement.
J'ai revu également sur Netflix "Max et les ferrailleurs" (1971) de Claude Sautet avec Michel Piccoli et Romy Schneider, film que j'ai toujours apprécié malgré son dénouement assez invraisemblable. Pour moi, le comportement du personnage incarné par Michel Piccoli à la fin du film est excessif surtout au vu de celui qui est le sien pendant tout le film.
Je partage ton analyse.
Manchester by The Sea - je l'ai déjà vu à sa sortie en 2016. Une histoire de crise (drame personnel) et de rédemption. Voilà, c'est le seul que j'ai aimé parmi ces quatre films
Je l'ai regardé. Un beau film quoique fort triste finalement. Ca se passe dans le Minesota (et pas en Angleterre comme on pourrait croire).
Je viens de découvrir la Peau douce, de 1964, de François Truffaut. Il était grand-temps que je découvrisse ce classique du cinéma. Ce drame sentimental d'apparence classique l'est moins qu'il y semble, l'analyse psychologique étant assez bien faite. Le suspense subit un lent crescendo.
Je viens de visionner Easy Rider, film de la fin des années 60, mettant en vedette Peter Fonda, Dennis Hopper et Jack Nicholson. Ça raconte l'histoire de deux types qui partent en road trip, à moto, à travers les États-Unis, et rencontrent des difficultés avec les sudistes traditionnalistes.
Hier soir, j'ai revu Fanfan la Tulipe, de Christian-jaque, avec Gérard Philipe et Gina Lollobrigida. Voilà un film frais et divertissant qui donne toujours la pêche.
Aujourd'hui, j'ai revu La Cité des enfants perdus, de Jean-Pierre Jeunet (1995), et Julieta, de Pedro Almodovar (2016). Le premier reste très poétique, malgré son extrême noirceur ; le second constitue un drame familial multiple, excellemment traité.
Hier soir, j'ai revu Une belle fille comme moi (1972), de François Truffaut, avec Bernadette Laffont, André Dussollier, Philippe Léonard et Claude Brasseur. Burlesque et invraisemblable, cette comédie divertie agréablement.
Cette après-midi, j'ai revu Le Docteur Jivago (1965), de David Lean, et je le trouve toujours aussi beau.
Hier soir, j'ai découvert L'Argent de poche (1976), de François Truffaut, qui met en scène les histoires croisées, scolaires et familiales, des enfants d'un quartier de la ville de Thierry, en Auvergne, tout au centre de la France. Ce film est truffé d'anecdotes, d'histoires incongruës et brille par sa fraicheur.
Cette après-midi, j'ai revu Amadeus (1984), de Milos Forman. C'est assez grandiose, malgré le glauque de la fin et le cynisme de Salieri.
Cette après-midi, j'ai revu Amadeus (1984), de Milos Forman. C'est assez grandiose, malgré le glauque de la fin et le cynisme de Salieri.
J'adore ! Autant de je ne suis pas fan de "biopic" que je trouvent souvent insipides, autant celui-là possède un style au parti pris certes contestable, mais marquant !
Hier soir, j'ai revu Fanfan la Tulipe, de Christian-jaque, avec Gérard Philipe et Gina Lollobrigida. Voilà un film frais et divertissant qui donne toujours la pêche.
Dis-moi Veneziano, pour les enfants vers 10 ans c'est regardable ? (je l'ai vu il y a longtemps, ou alors le remake avec penelope Cruz, je ne sais plus, mais je me méfie de mes souvenirs, j'ai un mauvais souvenir de "Cartouche" que j'ai montré aux gamins et qui s'est avéré pas tout à fait adapté pour leur âge - à mon avis)
Cette après-midi, j'ai revu Amadeus (1984), de Milos Forman. C'est assez grandiose, malgré le glauque de la fin et le cynisme de Salieri.
J'ai beaucoup aimé ce film
Appâtée par la note 7,9 sur imdb, j'ai vu Almost famous, (= Presque célèbre, datant de 2000, de Cameron Crowe).
Je me suis ennuyée à mort, c'est long et niais.
Je me suis ennuyée à mort, c'est long et niais.
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