Un jour qu'il abusa de la carafe
Excellent comme expression ça !!! :0)
Qu'elle tombe de trop avoir les jetons
ça aussi
:0)
Pour la distraire, il parla peinture
Osa quelques blagues niveau ceinture
rhhh, alors ça :0)))
Beaucoup d'humour dans le tien Sahkti :0)
Excellent comme expression ça !!! :0)
Qu'elle tombe de trop avoir les jetons
ça aussi
:0)
Pour la distraire, il parla peinture
Osa quelques blagues niveau ceinture
rhhh, alors ça :0)))
Beaucoup d'humour dans le tien Sahkti :0)
Lucien, c'est génial ton histoire ! Du vécu ?
Ah ce préservatif intempestif ! :o))
Ah ce préservatif intempestif ! :o))
Ah Yali ça vaut l'coup, ça:
"Que Vivaldi se musique en peinture
Se garde l’été, se le préserve hâtif
Se le lithographie, se l’estampe
Se le boit, le vide d’un trait, lampe
carafe du début, et qu’un temps peste if*"
un bon coup de girafe!
"Que Vivaldi se musique en peinture
Se garde l’été, se le préserve hâtif
Se le lithographie, se l’estampe
Se le boit, le vide d’un trait, lampe
carafe du début, et qu’un temps peste if*"
un bon coup de girafe!
Attendez, je fini ma crise de fou rire sur le texte de kilis et je reviens, oh bordel, le coup des olives.
Sib, quel personnage! Enlevé, rythmé, drôle et bien trouvé. J'aime!
Pardon, j'étais en retard et je m'y suis mise rapidement sans faire de politesse... Alors, si vous acceptez ça...
Eloge de mon p’tit chauve bedonnant
Mon p’tit chauve à moi est bâti comme une carafe
Un vrai saute-au-paf quand y’m prend pour sa girafe
Et crions « Gare ! » quand il me fait passer le pont
Levis, nous lévitons t il me crie : « Olive ! ,
mon petit mollusque, ne te tire pas en esquive,
bidon, bidon, bidon…Oh Dieu que j’ai les j’tons !
Lorsque mon beau bedonnant s’étire en étoile
Il m’en chaut que mon doux chauve me cire la toile
Il chauve les oreilles et l’âge de raison
Nous atteignons, dans des huées en avalanche
Un rhume de hanche et me voilà toute pervenche
Bidon, bidon…, il m’assaisonne en toute saison
Mon pt’it chauve au chouchen s’il me refait la peinture
C’est qu’du bedon il a desserré la ceinture
s’il n’a plus ses tifs, c’ta cause du préservatif
qu’il ne sait pas placer, mais il me tire l’estampe
et là, au culot, à la douille, je suis sa lampe
bidon, bidon, bidon….je suis un temps peste…tif
Eloge de mon p’tit chauve bedonnant
Mon p’tit chauve à moi est bâti comme une carafe
Un vrai saute-au-paf quand y’m prend pour sa girafe
Et crions « Gare ! » quand il me fait passer le pont
Levis, nous lévitons t il me crie : « Olive ! ,
mon petit mollusque, ne te tire pas en esquive,
bidon, bidon, bidon…Oh Dieu que j’ai les j’tons !
Lorsque mon beau bedonnant s’étire en étoile
Il m’en chaut que mon doux chauve me cire la toile
Il chauve les oreilles et l’âge de raison
Nous atteignons, dans des huées en avalanche
Un rhume de hanche et me voilà toute pervenche
Bidon, bidon…, il m’assaisonne en toute saison
Mon pt’it chauve au chouchen s’il me refait la peinture
C’est qu’du bedon il a desserré la ceinture
s’il n’a plus ses tifs, c’ta cause du préservatif
qu’il ne sait pas placer, mais il me tire l’estampe
et là, au culot, à la douille, je suis sa lampe
bidon, bidon, bidon….je suis un temps peste…tif
Elle m'avait laissé en bouchon de carafe.
Moi qui avais craqué pour son cou de girafe,
Je noyais ma douleur au café du vieux pont,
Sifflant des Martini en croquant des olives.
J'avais bien savamment préparé une esquive...
Je n'en laissais rien voir mais j'avais les jetons.
J'avais cru, la trouvant, trouver ma bonne étoile;
Nous passions elle et moi des heures sur la toile,
Je lui parlais d'amour à perdre la raison,
A rouler corps et biens au coeur de l'avalanche
Que larguaient sur mes nuits ses longs yeux de pervenche.
Je glissais, bateau morne, au gré de la saison.
Bientôt je n'ai plus pu la voir même en peinture
Elle avait - qui l'eût cru? - frappé sous la ceinture.
Tout ça pour un bien malheureux préservatif
Usagé, oublié au milieu des estampes
Japonaises que je contemplais sous ma lampe,
Ce condom malheureux, fatal,intempestif...
Terriblement visuel, ce texte a le charme des situations vécues. En tous les cas, ce texte me plaît énormément
Sibylline, suis mort de rire ! Tu t'es surpassée !
Quand j’n’ai plus de préservatif
Comment te montrer mes estampes ?
Excellent!
Joli Blue:
"D’amont en aval, en che-
Minant sous un ciel pervenche,
Seule importe sa saison…
et t'as vu le même jeu de mot que Yali!
"Que Dieu m’en préserve ! Hâtif,"
Les grands esprits...
"D’amont en aval, en che-
Minant sous un ciel pervenche,
Seule importe sa saison…
et t'as vu le même jeu de mot que Yali!
"Que Dieu m’en préserve ! Hâtif,"
Les grands esprits...
Ha ha Lyra! En général, je n'aime pas trop l'emploi de trop de ' pour abréger, mais il faut dire que dans ton cas, ça donne un fameux rythme à ton texte! C'est très cadencé, on pourrait le réciter en tapotant des doigts sur la table, comme si on scandait quelque chose. Plein de vivacité, une fois de plus!
Jubilatoire Catimini !!!!
Poésie pure Tountra, ton père peut être fier de toi ! :o))
SJB: allez, t'en fais pas, t'as pas besoin d'elle! Musèle la muse et on s'amuse! Bien bon tout ça!
Elle a la tête en carafe
Et un long cou de girafe,
Cette fille sur le pont.
Une peau de vieille olive
Autour d’elle amour s’esquive
Elle ne vaut pas un jeton…
Laissons-là dans ses étoiles,
Sa robe de vieille toile,
Son absence de raison.
D’amont en aval, en che-
Minant sous un ciel pervenche,
Seule importe sa saison…
J’peux pas le voir en peinture
C’dégoût d’elle qui m’ceinture !
Que Dieu m’en préserve ! Hâtif,
Je suis d’effacer l’estampe,
Sur elle éteindre la lampe
D’un seul geste intempestif.
clic
Tu ne l'as vraiment pas gâtée cette fille sur le pont, ce ne doit certainement pas être Vanessa Paradis. J'aime le jeu de mot sur "Que Dieu m'en préserve ! Hâtif,
Lucien, c'est génial ton histoire ! Du vécu ?
Ah ce préservatif intempestif ! :o))
Lucien et SJB, il y a une parenté de thème: des problèmes de coeur, de couple :-) et de l'humour dans le traitement
Mon pt’it chauve au chouchen s’il me refait la peinture
C’est qu’du bedon il a desserré la ceinture
s’il n’a plus ses tifs, c’ta cause du préservatif
qu’il ne sait pas placer, mais il me tire l’estampe
et là, au culot, à la douille, je suis sa lampe
bidon, bidon, bidon….je suis un temps peste…tif
Tout bon!
Chez Lucien, c'est pas le torchon qui brûle mais le caoutchouc, ça vaut le coup, ça vaut le coup.
Lyra c'est géant, vraiment! et drôle!
Lucien, c'est un fameux texte! Fluide, agréable, plein de sens et les rimes sont habilement employées, on ne sent pas du tout la contrainte. Vraiment très abouti!
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