Repostage avec Lampe
Elle buvait souvent à la carafe
Et ainsi toisait des girafes
Virevoltant d’Avignon (le pont)
Le monde devenait couleur Olive
Tout n’était qu’effroi et esquive
Et ses genoux en tremblaient, jetons
Ca, c'est un poème pour Lyra! Elle comprend bien ces choses là. Mais c'est joli. Je me disais bien qu'il manquait quelque chose le 1er coup.
Un long soir de nuit plein d’étoiles
Une sacrée Salvator de toile
Lui ramena soudain la raison
Qui déferla comme une avalanche
Et la rendit blanche comme Pervenche
Elle se jeta dans la Peinture
Vénéra le très noble Saint Tur-
-que, des traditions préservatif
De sa vie elle fit une estampe
Sous un dieu brillant tel une lampe :
Un vent de girafes intempestif !!
Je suis à 3 x 11 sur ce coup il me semble, non?
Je sais pas, dans la première strophe j'en compte 10 (je dois pas avoir assez de doigts), mais ça ne gâche pas l'ensemble, hein.
Et là : En silence il pria les étoiles
?
Oui, oui, la fille sur le pont... ;o)
Ca alors, Yali, les mots ce que tu en fait ! C'est incroyable !
Yali,
J’ai la muse en carafe
Elle peigne la girafe
:0)))
Elle fuit comme noyau d’olive
Entre les dents s’esquive
pas sûr que ça plaise comme cmparaison, si ?
;0)
Même pas pensé à Vivaldi, se musique en peinture, ahhh...
J’ai la muse en carafe
Elle peigne la girafe
:0)))
Elle fuit comme noyau d’olive
Entre les dents s’esquive
pas sûr que ça plaise comme cmparaison, si ?
;0)
Même pas pensé à Vivaldi, se musique en peinture, ahhh...
Han, Sahkti ?!! YES, rigolo et bien enlevé !
Je suis en rade, oui, en carafe
J’te fais le coup de la girafe
J’sais qu’il suffit de passer l’ pont
Pour aller cueillir tes olives
Qu’il ne faut plus que je m’esquive
Mais j’ai le trac oui j’ai les j’tons
Au firmament j’vois des étoiles
Un ciel troublant devant la toile
Du Bleu à perdre la raison
Du bleu t'en veux en avalanche
Du bleu de Prusse au bleu pervenche
Nuances azurées toutes saisons
Oui, je peux te voir en peinture
Mais là, en dessous de la ceinture
Quand j’n’ai plus de préservatif
Comment te montrer mes estampes ?
Si, là, j’en vois un sous la lampe
Ouf : démarrage intempestif !
J’te fais le coup de la girafe
J’sais qu’il suffit de passer l’ pont
Pour aller cueillir tes olives
Qu’il ne faut plus que je m’esquive
Mais j’ai le trac oui j’ai les j’tons
Au firmament j’vois des étoiles
Un ciel troublant devant la toile
Du Bleu à perdre la raison
Du bleu t'en veux en avalanche
Du bleu de Prusse au bleu pervenche
Nuances azurées toutes saisons
Oui, je peux te voir en peinture
Mais là, en dessous de la ceinture
Quand j’n’ai plus de préservatif
Comment te montrer mes estampes ?
Si, là, j’en vois un sous la lampe
Ouf : démarrage intempestif !
Ben ça alors, Bluewitch !
T'es pas gentille pour tes copines, quelle belle façon de l'envoyer sur les roses ! :o))
T'es pas gentille pour tes copines, quelle belle façon de l'envoyer sur les roses ! :o))
Parti au zoo avec une carafe
Il avait ramené la girafe
L’avait fait ramper, oh, sous le pont
Un hoquet, le choc, au front l’olive
Elle n’avait pas pratiqué l’esquive
Et lui avait foutu les jetons.
Mais après avoir vu les étoiles
La girafe l’a coursé sous les toiles
Un spectacle à en perd’ la raison
Lui, enterré sous une avalanche
Une avalanche bleu-ciel de pervenches
On l’aurait dit passé en peinture
On l’a repêché par la ceinture
Aussi surpris qu’un préservatif
Qu’aurait rien compris aux estampes
Il fallût regarder sous la lampe
Pour le trouver, lui, l’intempestif.
Il avait ramené la girafe
L’avait fait ramper, oh, sous le pont
Un hoquet, le choc, au front l’olive
Elle n’avait pas pratiqué l’esquive
Et lui avait foutu les jetons.
Mais après avoir vu les étoiles
La girafe l’a coursé sous les toiles
Un spectacle à en perd’ la raison
Lui, enterré sous une avalanche
Une avalanche bleu-ciel de pervenches
On l’aurait dit passé en peinture
On l’a repêché par la ceinture
Aussi surpris qu’un préservatif
Qu’aurait rien compris aux estampes
Il fallût regarder sous la lampe
Pour le trouver, lui, l’intempestif.
[Et là : En silence il pria les étoiles
?
11. Mais j'ai peut-être le défaut de prononcer toutes les syllabes (comme je le fais avec mon marsu qui apprend à lire, ça doit déteindre)
ah, ok, alors, je comprends :o)
Ben ça alors, Bluewitch !
T'es pas gentille pour tes copines, quelle belle façon de l'envoyer sur les roses ! :o))
C'est pas ma copine!
Bien réussi, Blue. Pas galant, c'est sûr, mais pas bancal et des jeux sur les mots... Bien
Ben dis donc, moi qui me suis absenté un certain temps, je suis impressionné. Quelle rapidité! Quelle imagination! Je me sens comme un sprinter à court d'entraînement...
Lyra, c'est terriblement beau ! A croire que tu choisis toi-même les rimes ! :o))
Je suis en rade, oui, en carafe
J’te fais le coup de la girafe
J’sais qu’il suffit de passer l’ pont
Pour aller cueillir tes olives
Qu’il ne faut plus que je m’esquive
Mais j’ai le trac oui j’ai les j’tons
Au firmament j’vois des étoiles
Un ciel troublant devant la toile
Du Bleu à perdre la raison
Du bleu t'en veux en avalanche
Du bleu de Prusse au bleu pervenche
Nuances azurées toutes saisons
Oui, je peux te voir en peinture
Mais là, en dessous de la ceinture
Quand j’n’ai plus de préservatif
Comment te montrer mes estampes ?
Si, là, j’en vois un sous la lampe
Ouf : démarrage intempestif !
ihihihih !!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais Sahtki, c'est un vrai conte de fée, dis donc ! :o))
BLUE: très vif et bien rythmé, assez dur aussi... pauvre fille! :)
J'aime bien le tempo de ton texte, pas d'accroc et une histoire qui se tient bien. Moins "romantique" ou poétique que d'autres textes de toi et ça ne me dérange aucunement, bien au contraire!
J'aime bien le tempo de ton texte, pas d'accroc et une histoire qui se tient bien. Moins "romantique" ou poétique que d'autres textes de toi et ça ne me dérange aucunement, bien au contraire!
Elle m'avait laissé en bouchon de carafe.
Moi qui avais craqué pour son cou de girafe,
Je noyais ma douleur au café du vieux pont,
Sifflant des Martini en croquant des olives.
J'avais bien savamment préparé une esquive...
Je n'en laissais rien voir mais j'avais les jetons.
J'avais cru, la trouvant, trouver ma bonne étoile;
Nous passions elle et moi des heures sur la toile,
Je lui parlais d'amour à perdre la raison,
A rouler corps et biens au coeur de l'avalanche
Que larguaient sur mes nuits ses longs yeux de pervenche.
Je glissais, bateau morne, au gré de la saison.
Bientôt je n'ai plus pu la voir même en peinture
Elle avait - qui l'eût cru? - frappé sous la ceinture.
Tout ça pour un bien malheureux préservatif
Usagé, oublié au milieu des estampes
Japonaises que je contemplais sous ma lampe,
Ce condom malheureux, fatal,intempestif...
Non, non, franchement, Lucien, tu es loin de manquer d'entraînement!
"Je noyais ma douleur au café du vieux pont". J'aime, ça!
Comme tu avais trop bu d’alcool à la carafe
Tu partis à l’instant pour chasser la girafe.
Alors en plein Paris, tu marchas jusqu’au pont
Mâchouillant vaguement quelque noyau d’olive
Que tu jettes aux passants qui vivement l’esquivent
Et tu ne tardas pas à te prendre un jeton.
:-))) J'aime l'idée de chasser la girafe à Paris..!!
C'est bien...!
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