j'ai bien précisé qu'il s'agissait d'une scène de couloir... je suis absolument d'accord sur ce que vous dites de l'intérieur... derrière la porte...
Il y a, dans les services hospitaliers des maladies incurables, une humanité que je ne retrouve pas du tout ici. Ce texte est, excuse-moi Gudel, un truc qui ressemble un peu à un cliché, à ce qu'on voit dans les couloirs des hopitaux près des cafétarias ou des fumoirs, des services "réguliers". Ailleurs, dans ces endroits d'où on ne sort pas ou alors pour mourir en paix, il s'y passe autre chose, de plus fort, de moins caricatural.
D'autre part, Toundra ne proposait pas 250 ou 300 signes, mais 600 signes.
et Toundra, quand elle dit un truc, je trouve ça super :))
Je vous ai cherché aussi dans le tunnel entre Billancourt et Marcel Sembat, sur la 9... Vous étiez déjà parti!
même réflexion : c'est une "chose croisée" imprimée sur la retine parce que forte néanmoins...
"L'infirmière le croise et dit de cette voix forte et enjouée, profondément indifférente,
qu'ont les professionnels de la profession pour parler aux enfants et aux vieux."
Moui... je ne sais pas, ça ne correspond pas à l'expérience - très limitée, c'est vrai - que j'ai du milieu hospitalier. Je suppose qu'en la matière, on peut mal tomber, mais j'ai un peu l'impression que ton texte ne fait vraiment pas dans la nuance. Enfin, c'est le genre qui veut ça aussi, l'instantané, à peine une image. Et c'est écrit d'une plume élégante et acérée. Très bien!
M A M A N ..... Toi, ici..... !
Tu serais donc la mère de Gudel?? :-)))))))))
Ce message m'est destiné???
Bon, sans lire les autres interventions, Gudel, clairement, je n'aime pas ton texte. Je suis comme tu dis "une professionnelle de la profession", je passe mes journées à fouler le lino et croiser pansements et pieds à perf. Je ne suis pas infirmière, mais la voix "enjouée et profondément indifférente", ça me dérange, ça manque de sens et de vécu, ça manque de projection et ça manque d'empathie. C'est du déballage de clichés et, en plus, je trouve les images et les phrases maladroites.
Vraiment, non, je ne peux pas adhérer.
On se retrouvera en de meilleurs termes dans un autre de tes textes, hein? ;o)
Vraiment, non, je ne peux pas adhérer.
On se retrouvera en de meilleurs termes dans un autre de tes textes, hein? ;o)
M A M A N ..... Toi, ici..... !
Tu serais donc la mère de Gudel?? :-)))))))))
Ce message m'est destiné???
J'avais pourtant mis un couvercle, sur ce fameux pot de chambre!
Comment a-t-il réussi à...
Si, si, ok, n'en rajoutons pas, j'ai effectivement confondu signes et mots, j'ai compris ce coup là!!Vous ne vous emmêleriez pas un peu les pinceaux entre le nombre de signes et le nombre de mots, là ;-)?Mentor, vous voyez que c'est possible.800 n'est pas 250 ou 300! Je sais que tout est possible, mais le talent de Gudel n'est plus à démontrer!
Il ne doit même pas y avoir 800 signes dans ce texte...
Bon, sans lire les autres interventions, Gudel, clairement, je n'aime pas ton texte. Je suis comme tu dis "une professionnelle de la profession", je passe mes journées à fouler le lino et croiser pansements et pieds à perf. Je ne suis pas infirmière, mais la voix "enjouée et profondément indifférente", ça me dérange, ça manque de sens et de vécu, ça manque de projection et ça manque d'empathie. C'est du déballage de clichés et, en plus, je trouve les images et les phrases maladroites.
Vraiment, non, je ne peux pas adhérer.
On se retrouvera en de meilleurs termes dans un autre de tes textes, hein? ;o)
Malheureusement, malheureusement... pour l'avoir constaté à plusieurs reprises, et dans des lieux différents (maison médicalisée des Landes, hopital St Antoine à Paris...), j'ai souvent été étonnée de cette façon que l'on a généralement de s'adresser à "nos vieux". Ce n'est pas un cliché. Il y a ce ton si particulier... et ces sujets, toujours les mêmes, rétrécis autour des fonctions vitales.
Regardez ce que lisent vos personnes âgées : que des livres qu'elles ont déjà lus. Qui pense à leur offrir une nouveauté? A quoi bon?
Je travaille en gériatrie, depuis quelques années. Il me semble pouvoir avoir un avis basé sur des faits.
C'est quoi Blue, "gériaterie" ?
gériatrie, pardon.
Et aussi des émotions, des situations quotidiennes. Ce n'est pas ça, du tout.
le service réservé aux personnes âgées, Lyra
Je travaille en gériatrie, depuis quelques années. Il me semble pouvoir avoir un avis basé sur des faits.
Oui, oui, et je suis certaine qu'en gériatrie, vous avez une approche intelligente de tout celà, parce que vous y avez réfléchi, que vous avez une grande expérience....
Je parle en réalité du "tout-venant" médical et hospitalier, qui pense certainement bien faire, mais...pfff
Simples constatations de bien-portante qui vient visiter son ailleule (qui en rigole, d'ailleurs!)
Non, je n'ai pas une "grande" expérience, juste une vision interne et simple des choses.
Je parle en réalité du "tout-venant" médical et hospitalier, qui pense certainement bien faire, mais...pfff
Voyons voir... ces quatre dernières années m'ont vu en passer près du tiers dans le milieu hospitalier, la plupart du temps pour moi mais aussi pour d'autres. Le tout venant est un milieu formidable, qui pense bien faire et qui fait bien, très souvent. La parole qui fait du bien, le geste sûr, le regard qui comprend... bref quelqu'un qui sait et qui ne banalise pas un malade ou ce qu'il porte sur ses épaules par un simple "bonjour machin chose" indifférent. Que ce machin chose soit vieux ou au bord d'une fin de vie annoncée.
Il existe bien entendu des exceptions, comme partout, des routiniers de la chose mais c'est plus rare que l'inverse.
Ce personnel médical et/ou hospitalier, c'est vraiment aux antipodes de ce que je lis dans ce dernier message. Sans eux, beaucoup lâcheraient prise. Ho oui.
C'est comme de dire que c'est mauvais les choux de Bruxelles alors qu'on en a jamais goûté. ;o)
c'est vachement bon les choux de Bruxelles!
Je parle en réalité du "tout-venant" médical et hospitalier, qui pense certainement bien faire, mais...pfff
Voyons voir... ces quatre dernières années m'ont vu en passer près du tiers dans le milieu hospitalier, la plupart du temps pour moi mais aussi pour d'autres. Le tout venant est un milieu formidable, qui pense bien faire et qui fait bien, très souvent. La parole qui fait du bien, le geste sûr, le regard qui comprend... bref quelqu'un qui sait et qui ne banalise pas un malade ou ce qu'il porte sur ses épaules par un simple "bonjour machin chose" indifférent. Que ce machin chose soit vieux ou au bord d'une fin de vie annoncée.
Il existe bien entendu des exceptions, comme partout, des routiniers de la chose mais c'est plus rare que l'inverse.
Ce personnel médical et/ou hospitalier, c'est vraiment aux antipodes de ce que je lis dans ce dernier message. Sans eux, beaucoup lâcheraient prise. Ho oui.
Mais bien sûr, et il n'a pas été dit le contraire.
Je ne généralise certainement pas, et nous parlons d'une approche très particulière : la façon dont, culturellement, l'on a pris l'habitude de s'adresser aux personnes âgées, très âgées dans ces milieux que sont les hopitaux, maisons de retraite, maisons médicalisées... Les aides médicales à domicile ne sont d'ailleurs pas en reste.
Ce ton enjoué, je l'ai très souvent entendu. Il alterne d'ailleurs avec le ton "grondeur" quand mamie n'a pas fait ce qu'elle devait faire... Voilà, choses vues, entendues, constatées...et moquées.
Alors, pourquoi?
Pourquoi aussi, autre terrain, ne parle-t-on pas aux enfants normalement?
Bon, ben moi, je dois vivre sur une autre planète car je parle aux personnes âgées normalement.
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