Mentor 02/03/2005 @ 21:31:58
C'est savoureux Bolcho ce texte en La Fontaine-Shakespeare-Molière revisités. Solide et bien structuré, aucun ennui à la lecture même pour quelqu'un comme moi qui ne goûte pas habituellement tout ce qui ressemble à des poèmes, en vers ou pas. Très bon, bravo.

Fee carabine 03/03/2005 @ 02:15:18
Oh oui, que c'est savoureux, Perrine revisitée par Shakespeare-Lafontaine!
Et puis, Bolcho, je t'assure que "Avant de pointer vers cette vaste poitrine / L'épée de fer mortel qu'il enfonça dedans" me paraît d'une sauvagerie toute shakespearienne (je pense à "Cymbeline" où l'on se décapite et étripe joyeusement en quelques vers...)
Bon, je continue ma liste, même si certains éléments ont déjà été relevés. J'ai beaucoup aimé aussi le vers souligné par Killgrieg "L'eau pour boire était libre..." où je comprends "libre" au sens français normal du mot, et aussi comme une traduction littérale de la langue de Shakespeare - libre=free=gratuit - un téléscopage des plus évocateurs, ainsi que le traveling qui posait problème à KVQ (parce que je le vois décidément comme un traveling!).

Définitivement savoureux!

Percute 04/03/2005 @ 16:45:34
C'est très bien écrit, ce rythme se prête très bien à l'histoire je trouve : ça fait penser à une fable, sauf que ce serait une anti-fable, puisqu'il n'y a pas de morale, mais plutôt le contraire !
Agréable à lire, pas ennuyeux !
Et je trouve ça bien que tu aies rappelé à la fin que le conte est de Perrine.

Gudel 11/03/2005 @ 09:36:21
Bravo... Voilà qui me réconcilie avec la versification, qui finalement n'a rien de surané... Quel boulot !

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