"9H31 de course, 68 km et 1000 m de dénivellé!"
Pfiouuuuuuuuuuuuu.... bravo Tistou, vraiment!
Pfiouuuuuuuuuuuuu.... bravo Tistou, vraiment!
Alors, Tistou, tiens toi bien. Je me suis voté les 14 rimes aléatoires nécessaires, moins aléatoires que d'habitude parce que la première, de chaque paire, devait avoir un rapport avec l'évènement à célébrer, tandis que la seconde relevait de la rime automatique. Et je me suis donc retrouvée avec:
Tistou
course
ourse
pistou
matin
possible
pénible
destin
chaussure
cassure
montée
cheville
béquille
surmonté
Puis avec:
Il s’appelait Tistou
Il voulait faire la course
Sous les yeux de Grande Ourse
Vers la soupe au pistou
Par un petit matin
Aussi tôt que possible
Pour ce travail pénible
Il joua son destin
Pris ses meilleures chaussures
Vérifia la cassure
Partit dans la montée
Sut garder ses chevilles
Nul besoin de béquilles
Il a tout surmonté !
Je sais, c'est lamentable, MAIS, ça ne prend que dix minutes.
Si d'autres veulent taquiner mes rimes, je les leur prête volontiers.( Ils auraient tort de se gêner, ils voient bien qu'ils ne peuvent pas faire pire.)
Tistou
course
ourse
pistou
matin
possible
pénible
destin
chaussure
cassure
montée
cheville
béquille
surmonté
Puis avec:
Il s’appelait Tistou
Il voulait faire la course
Sous les yeux de Grande Ourse
Vers la soupe au pistou
Par un petit matin
Aussi tôt que possible
Pour ce travail pénible
Il joua son destin
Pris ses meilleures chaussures
Vérifia la cassure
Partit dans la montée
Sut garder ses chevilles
Nul besoin de béquilles
Il a tout surmonté !
Je sais, c'est lamentable, MAIS, ça ne prend que dix minutes.
Si d'autres veulent taquiner mes rimes, je les leur prête volontiers.( Ils auraient tort de se gêner, ils voient bien qu'ils ne peuvent pas faire pire.)
C'était un homme altier il s'appelait Tistou
Sa femme en était folle et lui dit : j'ai des courses
Il nous faut acheter le chariot, la grande ourses
Que nous avons promis à ton petit Pistou.
Lui qui comptait partir dans le petit matin
Avec ses bons copains et le plus tôt possible
Trouva ce changement plutôt triste et pénible
Il ressentit le coup comme un coup du destin
Mais elle lui criait : va changer de chaussures
Et plus vite que ça, sinon c'est la cassure
Tistou l'avait bien vu la fièvre était montée
Il posta aux copains : j'ai mal aux deux chevilles
Je m'en vais de ce pas m'acheter des béquilles.
C'est des choses qu'arrivent et qu'il faut surmonter.
Sa femme en était folle et lui dit : j'ai des courses
Il nous faut acheter le chariot, la grande ourses
Que nous avons promis à ton petit Pistou.
Lui qui comptait partir dans le petit matin
Avec ses bons copains et le plus tôt possible
Trouva ce changement plutôt triste et pénible
Il ressentit le coup comme un coup du destin
Mais elle lui criait : va changer de chaussures
Et plus vite que ça, sinon c'est la cassure
Tistou l'avait bien vu la fièvre était montée
Il posta aux copains : j'ai mal aux deux chevilles
Je m'en vais de ce pas m'acheter des béquilles.
C'est des choses qu'arrivent et qu'il faut surmonter.
Youpiiii (comme dirait Yali) j'ai fait pire !
Dans le genre pompier, je suis imbattable ! ;-)
N'est-ce pas, Sybilline
Dans le genre pompier, je suis imbattable ! ;-)
N'est-ce pas, Sybilline
Non, non. Tes alexandrins sont mieux.
Pas d'autre amateur? J'espère que Tistou appréciera nos efforts...
Pas d'autre amateur? J'espère que Tistou appréciera nos efforts...
On ne ferme pas la nuit, entrez quand vous voulez.
Sonnet pour Tistou
Sur la crête des monts, la nuit, c'est le Tistou
Qui essouffle le temps et sublime la course.
Léger comme un cabri et poilu comme une ourse,
Il va dans les odeurs de terre et de pistou.
Et ce soleil qui monte éclaire le matin
Qui jaillit devant lui disant tout le possible,
Tout l'espoir qui soudain effleure le pénible
Hésitement de l'aube à l'orée du destin.
Mais rien n'allait pourtant: le lacet, la chaussure,
Ni le rythme brisé, l'accélérée cassure,
Ni la plongée par là, ni ailleurs la montée.
Tistou remerciera au final sa cheville,
Suffisamment...enflée pour servir de béquille,
Et aller de l'avant, fatigue surmontée.
Allez Tistou, on te laisse encore quelques heures de repos avant de réclamer notre texte de reportage...
Sur la crête des monts, la nuit, c'est le Tistou
Qui essouffle le temps et sublime la course.
Léger comme un cabri et poilu comme une ourse,
Il va dans les odeurs de terre et de pistou.
Et ce soleil qui monte éclaire le matin
Qui jaillit devant lui disant tout le possible,
Tout l'espoir qui soudain effleure le pénible
Hésitement de l'aube à l'orée du destin.
Mais rien n'allait pourtant: le lacet, la chaussure,
Ni le rythme brisé, l'accélérée cassure,
Ni la plongée par là, ni ailleurs la montée.
Tistou remerciera au final sa cheville,
Suffisamment...enflée pour servir de béquille,
Et aller de l'avant, fatigue surmontée.
Allez Tistou, on te laisse encore quelques heures de repos avant de réclamer notre texte de reportage...
Puisque ça reste ouvert toute la nuit, je viens en catimini glisser mon sonnet...
Dans la nuit froide, le coeur vaillant, Tistou
prit le départ pour l'interminable course
d'abord frissonant puis rugissant telle l'ourse
alléchée par le doux parfum du pistou.
Un pas, un autre, vint le radieux matin
Tistou courait toujours, le plus loin possible
et au-delà, malgré la douleur pénible,
surmonter la peine, vaincre le destin
La faute en est à ces satanées chaussures!
Voilà notre Tistou, quelle triste cassure,
pieds endoloris, attaquant la montée.
Courage! Et d'arc-bouter l'ouvrière cheville
et de poursuivre sa route sans béquille
mais la fierté de l'obstacle surmonté.
Dans la nuit froide, le coeur vaillant, Tistou
prit le départ pour l'interminable course
d'abord frissonant puis rugissant telle l'ourse
alléchée par le doux parfum du pistou.
Un pas, un autre, vint le radieux matin
Tistou courait toujours, le plus loin possible
et au-delà, malgré la douleur pénible,
surmonter la peine, vaincre le destin
La faute en est à ces satanées chaussures!
Voilà notre Tistou, quelle triste cassure,
pieds endoloris, attaquant la montée.
Courage! Et d'arc-bouter l'ouvrière cheville
et de poursuivre sa route sans béquille
mais la fierté de l'obstacle surmonté.
Bravo à Tistou et aux auteurs de ces hilarants alexandrins ! : )
Pfouh, et même, je récupère! Je peux marcher.
Merci bien de vos pensées (j'espère d'ailleurs ne pas vous avoir trop embêté avec ça). Vous savez, quand ça devenait dur, je pensais au tintouin que j'avais fait auprès de vous et j'avais une raison de plus d'aller au bout. Là, c'est de la pensée coercitive!
Et vos odes post-effort! Alors là c'est trop. Je vous vois Homère, je me sens Achille (tiens d'ailleurs pas mal au tendon!).
Je voudrais juste faire quelques commentaires pour que mon hagiographie soit la plus juste possible :
"vers la soupe au Pistou", non c'était des macaronis à l'arrivée!
"il joua son destin", bon il y a d'autres occasions aussi où le "fatum" est plus en jeu!
"un homme altier", ça me plait bien ça. C'est vrai, altier? Ouah!
SJB donne l'impression de bien saisir, ou d'avoir connu, les affres de celui qui doit investir beaucoup de temps pour une préparation et qui est confronté à des contingences domestiques!
"léger comme un cabri", super
"poilu comme une ourse" ouais. C'est vrai mais est-il besoin d'insister ...?
"satanées chaussures", même pas. Aucun bobo, aucune ampoule.
"pieds endoloris", même pas de tendinite qui pointe le bout d'une douleur. Que la fatigue générale, mais ça ...
Vous avez quand même la rime facile. Ca je ne saurais pas faire. Vous savez qu'il y a des fulgurances dans certains de vos poèmes? Je ne vous dirais pas lesquelles!
Il ne me reste plus qu'à payer ma dette à Bolcho.
Merci bien de vos pensées (j'espère d'ailleurs ne pas vous avoir trop embêté avec ça). Vous savez, quand ça devenait dur, je pensais au tintouin que j'avais fait auprès de vous et j'avais une raison de plus d'aller au bout. Là, c'est de la pensée coercitive!
Et vos odes post-effort! Alors là c'est trop. Je vous vois Homère, je me sens Achille (tiens d'ailleurs pas mal au tendon!).
Je voudrais juste faire quelques commentaires pour que mon hagiographie soit la plus juste possible :
"vers la soupe au Pistou", non c'était des macaronis à l'arrivée!
"il joua son destin", bon il y a d'autres occasions aussi où le "fatum" est plus en jeu!
"un homme altier", ça me plait bien ça. C'est vrai, altier? Ouah!
SJB donne l'impression de bien saisir, ou d'avoir connu, les affres de celui qui doit investir beaucoup de temps pour une préparation et qui est confronté à des contingences domestiques!
"léger comme un cabri", super
"poilu comme une ourse" ouais. C'est vrai mais est-il besoin d'insister ...?
"satanées chaussures", même pas. Aucun bobo, aucune ampoule.
"pieds endoloris", même pas de tendinite qui pointe le bout d'une douleur. Que la fatigue générale, mais ça ...
Vous avez quand même la rime facile. Ca je ne saurais pas faire. Vous savez qu'il y a des fulgurances dans certains de vos poèmes? Je ne vous dirais pas lesquelles!
Il ne me reste plus qu'à payer ma dette à Bolcho.
Tistou, chapeau..
Mais non, tu nous as pas embêtés, au contraire.. ça me rappelle l'esprit d'équipe, et j'ai assez apprécié le partage des rôles : toi dans le froid et dans le noir, moi dans le noir et dans mon lit !! J'ai un copain qui l'a faite il y a un ou deux ans, il est arrivé bien cassé, mais content.. Personnellement, je vise un Everest un peu moins haut, 21 km au printemps (3x21+5=68 !), si j'ai le courage de courir un peu pendant l'hiver .. (:-(..
Et bravo aux poètes !
Mais non, tu nous as pas embêtés, au contraire.. ça me rappelle l'esprit d'équipe, et j'ai assez apprécié le partage des rôles : toi dans le froid et dans le noir, moi dans le noir et dans mon lit !! J'ai un copain qui l'a faite il y a un ou deux ans, il est arrivé bien cassé, mais content.. Personnellement, je vise un Everest un peu moins haut, 21 km au printemps (3x21+5=68 !), si j'ai le courage de courir un peu pendant l'hiver .. (:-(..
Et bravo aux poètes !
"toi dans le froid et dans le noir, moi dans le noir et dans mon lit !! "
J'ai éclaté de rire en lisant ça! Non pas pour me moquer de toi, Provis, mais parce que j'ai bien aimé cette adaptation très réaliste et vécue (par moi aussi!) du mot "solidarité :)
J'ai éclaté de rire en lisant ça! Non pas pour me moquer de toi, Provis, mais parce que j'ai bien aimé cette adaptation très réaliste et vécue (par moi aussi!) du mot "solidarité :)
"toi dans le froid et dans le noir, moi dans le noir et dans mon lit !! "
Tu aimes bien ma poésie alors ?? ..(:-).. Tu as vu, c'est pratiquement un chiasme .. Ouh !!
Celui-ci avait trouvé son public. On avait aimé l'air vif, les senteurs d'automne, le sol souple. Tistou nous parle toujours très bien de la nature. Mais je le fais remonter aussi pour les amusettes "poétiques" qui suivent.
Salut Tistou. Bonne nouvelle : j'ai repris l'entraînement depuis le 1er (bonne résolution tenue...)
Je t'attends de pied ferme dans quelques mois, quand j'aurai retrouvé mon poids de jeune homme...
Je t'attends de pied ferme dans quelques mois, quand j'aurai retrouvé mon poids de jeune homme...
Je t'attends moi aussi Lucien, ici ou là bas. Tu as peut être lu quelque part que je venais de reprendre, un peu trop fort pour mon genou mais ça tient. C'est fou comme un genou peut conserver la "mémoire" du bobo qu'il a eu. Le mien est un peu bête actuellement !
Quoiqu'il en soit la reprise est faite et la suite viendra.
Je n'ai identifié que peu de coureurs sur C.L. actuellement, 3 avec Lincoln. Pour l'idée que j'ai, c'est un peu juste.
Tiens au fait. Une fois revenu en forme tu t'estimes en mesure de courir quel kilométrage max. ?
Quoiqu'il en soit la reprise est faite et la suite viendra.
Je n'ai identifié que peu de coureurs sur C.L. actuellement, 3 avec Lincoln. Pour l'idée que j'ai, c'est un peu juste.
Tiens au fait. Une fois revenu en forme tu t'estimes en mesure de courir quel kilométrage max. ?
Je t'attends moi aussi Lucien, ici ou là bas. Tu as peut être lu quelque part que je venais de reprendre, un peu trop fort pour mon genou mais ça tient. C'est fou comme un genou peut conserver la "mémoire" du bobo qu'il a eu. Le mien est un peu bête actuellement !
Quoiqu'il en soit la reprise est faite et la suite viendra.
Je n'ai identifié que peu de coureurs sur C.L. actuellement, 3 avec Lincoln. Pour l'idée que j'ai, c'est un peu juste.
Tiens au fait. Une fois revenu en forme tu t'estimes en mesure de courir quel kilométrage max. ?
J'ai couru mon dernier marathon fin 2003 en 2 h 45. En forme, je pouvais tenir trente bornes par jour pendant une petite semaine.
Oh là là vous m'impressionnez, je n'ai fait que des demi marathons et je ne cours plus depuis l'an dernier suite à une alerte au ménisque : je ménage genoux (et dos) pour pouvoir continuer à faire de la haute montagne en été. Tant pis pour le footing ...
Bon, mais pour vous soutenir le moral et préparer vos rations de survie, je suis partante !
Bon, mais pour vous soutenir le moral et préparer vos rations de survie, je suis partante !
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