A JulesR.
"Signaler ce qu'on est quasiment certain qu'un écrivain (éventuellement à découvrir) ait aidé MARGUERITE AUDOUX dont la scolarité primaire ne fut même pas complète"
Je cite
"Signaler ce qu'on est quasiment certain qu'un écrivain (éventuellement à découvrir) ait aidé MARGUERITE AUDOUX dont la scolarité primaire ne fut même pas complète"
Je cite
Et je rappelle qu'il ne s'agit en aucun cas d'attaques personnelles mais de discuter sur un point qui me semble important
Que savez-vous de Marguerite Audoux ?
Personnellement j'ai visité les salles d'un musée qui lui est consacré et le musée de Charles-Louis Philippe et j'ai lu leurs livres. Je connais l'espace géographique où ils ont vécu et on en trouve trace ici.
Je n'en appellerais pas aux témoignages des Berrichons et Bourbonnais de CL mais ils pourraient le certifier.
Moi qui signale les élucubrations historiques d'un journaliste sur Europe 1, partisan de Molière qui n'est pas celui qui a écrit ses pièces, je me vois assimiler à ce genre de personnes. Bel argument !
La moindre des courtoisies est de ne pas prendre prétexte de contenus de messages personnels pour lancer un forum. Déjà en les citant ce n'est pas honnête mais en les présentant avec ses mots à soi cela relève de l'inqualifiable !
Messages personnels où il n'y a pas une ligne qui dirait que "c'était de l'ordre de l'indispensable"
"même si la personne donne des indices par ce qu'elle écrit" , quels indices ?
Aucune critique relevée par vous qui ne dit rien de tel à part celle mal comprise que j'ai été obligé de citer, car vous ne l'avez pas fait. Parmi près de 1000 critiques ici écrites par moi, j'aurais dû les trahir les certitudes que vous me prêtez.
"une remise en cause de leurs certitudes", où avez-vous vu écrit une ligne de moi sur ce que vous me faites dire qui exprime mes certitudes
Ce que vous vous rendez pas compte est que vous avez dès le départ professé quelque chose qui relève de l'attaque personnelle, affirmer que j'ai écrit quelque chose que je n'ai pas dit.
Pour lancer ce forum vous avez manqué totalement d'esprit de déontologie en m'y impliquant à mon insu de plus ! Car jamais dans un message personnel vous m'avez dit que vous faisiez référence à moi !
Question d'attaques personnelles je m'en suis totalement dispensé. Où en trouvez-vous trace?
Personnellement j'ai visité les salles d'un musée qui lui est consacré et le musée de Charles-Louis Philippe et j'ai lu leurs livres. Je connais l'espace géographique où ils ont vécu et on en trouve trace ici.
Je n'en appellerais pas aux témoignages des Berrichons et Bourbonnais de CL mais ils pourraient le certifier.
Moi qui signale les élucubrations historiques d'un journaliste sur Europe 1, partisan de Molière qui n'est pas celui qui a écrit ses pièces, je me vois assimiler à ce genre de personnes. Bel argument !
La moindre des courtoisies est de ne pas prendre prétexte de contenus de messages personnels pour lancer un forum. Déjà en les citant ce n'est pas honnête mais en les présentant avec ses mots à soi cela relève de l'inqualifiable !
Messages personnels où il n'y a pas une ligne qui dirait que "c'était de l'ordre de l'indispensable"
"même si la personne donne des indices par ce qu'elle écrit" , quels indices ?
Aucune critique relevée par vous qui ne dit rien de tel à part celle mal comprise que j'ai été obligé de citer, car vous ne l'avez pas fait. Parmi près de 1000 critiques ici écrites par moi, j'aurais dû les trahir les certitudes que vous me prêtez.
"une remise en cause de leurs certitudes", où avez-vous vu écrit une ligne de moi sur ce que vous me faites dire qui exprime mes certitudes
Ce que vous vous rendez pas compte est que vous avez dès le départ professé quelque chose qui relève de l'attaque personnelle, affirmer que j'ai écrit quelque chose que je n'ai pas dit.
Pour lancer ce forum vous avez manqué totalement d'esprit de déontologie en m'y impliquant à mon insu de plus ! Car jamais dans un message personnel vous m'avez dit que vous faisiez référence à moi !
Question d'attaques personnelles je m'en suis totalement dispensé. Où en trouvez-vous trace?
"Question d'attaques personnelles je m'en suis totalement dispensé. Où en trouvez-vous trace?"
Oubli de :
"Nulle part, donc vous ne pouvez pas m'en attribuer, ce que vous n'avez pas fait heureusement"
Oubli de :
"Nulle part, donc vous ne pouvez pas m'en attribuer, ce que vous n'avez pas fait heureusement"
Et donc, ça change quelque chose à la manière d'écrire ?
C'est plutôt écrire qui change quelque chose à la manière d'étudier les lettres.
Ah ? C'est une remarque très intéressante. En quoi ?
Ce que je ne comprends pas, moi, par contre, c'est ceux qui écrivent sans lire. Il paraît que ça existe, mais j'ai des doutes.
Si, ça existe, mais ils écrivent mal. ;)
Et donc, ça change quelque chose à la manière d'écrire ?
Ben sans doute que oui, quand même, ne serait-ce parce que forcément tu découvres de la littérature à laquelle tu ne te serais pas spontanément intéressé, non ? et donc cela te fais prendre d'autres voies, te fais connaître d'autres styles... même si je reste d'accord que les études de lettres ne sont pas indispensables pour les écrivains.
En sciences, par exemple, la curiosité est, il me semble, indispensable. On est curieux à la base ou non (comme on a envie d'écrire ou non) et si l'on fait des études de sciences, celles-ci développent encore plus la curiosité. Et puis c'est l'effet boule de neige, on est curieux de ce qu'on apprend, on veut en découvrir plus... c'est peut-être pareil avec l'écrivain qui se lance dans des études de lettres, non ?
J'avais vu un doc sur un géologue amateur : aucunes études de sciences mais une référence en géologie, parfaitement autodidacte. Ce qui est dommage, c'est que cet homme ne pouvait prétendre à rien comme poste dans le domaine car il n'avait pas "les papier" (diplômes) attestant de son expertise...
Et donc, ça change quelque chose à la manière d'écrire ?C'est difficile à dire. Quand j'en suis arrivé aux études de Lettres (tardivement), pour moi c'était un peu comme des études intérieures. Par exemple, même en préparant des concours, je n'ai jamais eu le sentiment de "travailler" comme j'avais pu l'avoir dans d'autres études.
C'est plutôt écrire qui change quelque chose à la manière d'étudier les lettres.
Ah ? C'est une remarque très intéressante. En quoi ?
Cette question de Amaury, évidemment, n'en n'est pas une mais faite seulement pour créer une polémique et provoquer une attaque contre un clien pour lequel on sent un sentiment de jalousie assez lamentable jusqu'à tirer des conclusions absurdes d'une phrase d'une critique...
En tant que bourbonnaise je peux témoigner de l'admiration de Jules Roman pour des auteurs de la région dont Emile Guillaumin (1873/1951) le seul vrai paysan (et qui l'est resté) écrivain n'ayant que le certificat d'études (d'un autre niveau évidemment que celui qu'on délivre actuellement) et qui a "échappé" de peu (ça c'est un clin d'oeil à Feint :-) au prix Goncourt pour son roman "La vie d'un simple" dont j'ai bien l'intention de faire une critique bientôt.
Alors c'est vraiment un mauvais procès qui ne demande, pour ma part, aucune participation autre que ce message, à ce fil...
S'il y a une chose qui est insupportable c'est bien le mauvais esprit !
En tant que bourbonnaise je peux témoigner de l'admiration de Jules Roman pour des auteurs de la région dont Emile Guillaumin (1873/1951) le seul vrai paysan (et qui l'est resté) écrivain n'ayant que le certificat d'études (d'un autre niveau évidemment que celui qu'on délivre actuellement) et qui a "échappé" de peu (ça c'est un clin d'oeil à Feint :-) au prix Goncourt pour son roman "La vie d'un simple" dont j'ai bien l'intention de faire une critique bientôt.
Alors c'est vraiment un mauvais procès qui ne demande, pour ma part, aucune participation autre que ce message, à ce fil...
S'il y a une chose qui est insupportable c'est bien le mauvais esprit !
J'ai lu quelque part, mais je sais où, dans ce livre que j'ai commenté : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/27049
que Raymond Queneau disait qu'être écrivain n'était pas une passion mais un métier. Il pensait certainement à ceux qui voulait publier et non pas à ceux qui voulait simplement faire de la littérature.
que Raymond Queneau disait qu'être écrivain n'était pas une passion mais un métier. Il pensait certainement à ceux qui voulait publier et non pas à ceux qui voulait simplement faire de la littérature.
Tout le monde a bien compris que ce n'était pas l'avis de JulesRomains qui était exprimé, au contraire.
Du temps de Edith Wharton les femmes ne faisaient pas d'étude de lettre mais à 14 ans elle avait déjà écrit un roman et elle avait puisé dans la librairie de ses parents une culture littéraire encyclopédique, toute seule.
Du temps de Edith Wharton les femmes ne faisaient pas d'étude de lettre mais à 14 ans elle avait déjà écrit un roman et elle avait puisé dans la librairie de ses parents une culture littéraire encyclopédique, toute seule.
Il faudrait s'entendre sur la définition de l'acte d'écrire. Écrire un roman, écrire un poème, écrire un essai, écrire les paroles d'une chanson, écrire un texte publicitaire, écrire un article de journal, écrire un commentaire, écrire une pièce de théâtre, exprimer une opinion, etc., ce sont toutes des activités différentes. L'excellence dans l'une ou l'autre de ces champs ne dépend pas de nos commaissances littéraires. C'est une question d'aptitude. Ne me demandez pas d'écrire un poème. Je vous écrirai : je l'ai vu un jour, ce fut le grand amour et ça dure depuis toujours. Analyser une oeuvre, c'est une chose, mais créer une oeuvre, c'en est une autre. Que veut dire bien écrire ? Connaître les mécanismes de la langue et les appliquer à la lettre ? Bien écrire relève plutôt de la personnalité de celui qui écrit. L'écriture a-t-elle du tonus, l'écriture charrie-t-elle de l'émotion, l'écriture est-elle inventive ?Ces aspects ne s'enseignent pas. Un texte peut être très normatif mais d'un ennui mortel. L'écriture traduit ce que l'on est et non pas ce que l'on sait. C'est comme pour l'enseignement. Bien enseigner n'est pas maîtriser le savoir, c'est de savoir le communiquer. Idem pour un écrivain. Bien écrire, c'est bien communiquer. Les moyens pour y arriver sont propres à chacun.
Et donc, ça change quelque chose à la manière d'écrire ?
C'est plutôt écrire qui change quelque chose à la manière d'étudier les lettres.
Ah ? C'est une remarque très intéressante. En quoi ?
C'est difficile à dire. Quand j'en suis arrivé aux études de Lettres (tardivement), pour moi c'était un peu comme des études intérieures. Par exemple, même en préparant des concours, je n'ai jamais eu le sentiment de "travailler" comme j'avais pu l'avoir dans d'autres études.
Merci.
A Pieronnelle,
Vous êtes fatiguée en ce moment ?
De la jalousie dîtes-vous ?
C'est tout ce que vous avez comme argumentaire ?
Avec vous me concernant j'ai l'habitude, il y a quelques temps encore j'étais une "chemise noire"
"C'est difficile à dire. Quand j'en suis arrivé aux études de Lettres (tardivement), pour moi c'était un peu comme des études intérieures. Par exemple, même en préparant des concours, je n'ai jamais eu le sentiment de "travailler" comme j'avais pu l'avoir dans d'autres études."
Question de docilité à se couler dans un moule, aucun jugement de valeur.
Vous êtes fatiguée en ce moment ?
De la jalousie dîtes-vous ?
C'est tout ce que vous avez comme argumentaire ?
Avec vous me concernant j'ai l'habitude, il y a quelques temps encore j'étais une "chemise noire"
"C'est difficile à dire. Quand j'en suis arrivé aux études de Lettres (tardivement), pour moi c'était un peu comme des études intérieures. Par exemple, même en préparant des concours, je n'ai jamais eu le sentiment de "travailler" comme j'avais pu l'avoir dans d'autres études."
Question de docilité à se couler dans un moule, aucun jugement de valeur.
C'est vrai que je suis docile, Amaury, un agneau. Jamais je ne me rebellerais contre quoi que ce soit.
Je n'interviendrais plus sur ce forum où je remercie beaucoup certains d'avoir mis un mot qui m'a fait plaisir.
Je signale que ma critique qui commençait par là
« On soupçonne sérieusement Charles-Louis Philippe, qui a rencontré Marguerite Audoux à Paris, d’avoir mis une partie de son génie dans la correction de "Marie-Claire"» .
à l'origine d'une réaction vers la fin avançait :
« "Marie-Claire" raconte donc la première partie de la vie de son auteure et en particulier son travail dans les fermes. Ce livre reçu le prix "Femina" et avec e "Marie-Claire" les journaux s'intéressèrent longuement à la "petite couturière", comme ils le firent avec Émile Guillaumin l'écrivain paysan ou Ernest Pérochon le "petit instituteur" quand ce dernier reçut le Goncourt. En France ces trois écrivains ouvrent la voie au titre d'écrivain à des personnes n'ayant pas fait des études au lycée ou auprès de précepteur».
Je signale que ma critique qui commençait par là
« On soupçonne sérieusement Charles-Louis Philippe, qui a rencontré Marguerite Audoux à Paris, d’avoir mis une partie de son génie dans la correction de "Marie-Claire"» .
à l'origine d'une réaction vers la fin avançait :
« "Marie-Claire" raconte donc la première partie de la vie de son auteure et en particulier son travail dans les fermes. Ce livre reçu le prix "Femina" et avec e "Marie-Claire" les journaux s'intéressèrent longuement à la "petite couturière", comme ils le firent avec Émile Guillaumin l'écrivain paysan ou Ernest Pérochon le "petit instituteur" quand ce dernier reçut le Goncourt. En France ces trois écrivains ouvrent la voie au titre d'écrivain à des personnes n'ayant pas fait des études au lycée ou auprès de précepteur».
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