Tiens: tu t'agace?......................Apparemment j'ai eu tort de te répondre.
Ce qui me gêne? mais en fait ni l'un ni l'autre car la loi passera, non ce qui me gêne c'est que les tenants du contre nous refonds le coup du sacrilège pour un acte qui ne tiens pas du religieux et transforme ainsi tout cela en "guerre" de religion...je crains pour le débat à venir (qui pour moi à plus d'importance) l'euthanasie...je crains cette segmentation de la population qui est de plus en plus importante (de plus en plus les gens sont clivés et ne dialogue pas) en ce moment chacun se choisi un étendard et part au combat la fleur au fusil...des alliances objectives se forment qui ne me plaisent pas du tout et me font peur (les interventions sur le site en sont l'exemple il suffit de lister qui est pour et qui est contre et l'on constate que l'on trouve d'un coté des gens qui avant n'étaient pas sur les mêmes débats)...
Je pensais que c'était toi qui t'agaçais parce qu'on semblait ignorer ce que tu disais, et que tu tenais essentiellement à ce qu'on te réponde ! :o)
Si en plus "ni l'un ni l'autre" ne te gênent, alors tout est pour le mieux.
Tu es sûr que ce sont les mêmes ? .. :o)
... et je crains que tout cela ne profite en définitive qu'aux mêmes,toujours près à retirer les marrons du feu...
Mais qui sont-ils (à part moi bien sûr, mais là tu te trompes), tous ceux-là que tu classes dans les "contre", et qui à t'en croire sont coupables de bien autre chose ?
Tu crois pas que c'est toi tout seul qui te fabrique ces guerres civiles ?
(il s'agit de fausses questions pour lesquelles je n'attends pas de réponse)
La plus grande erreur à mon sens serait de croire – comme semble le faire Jean-Claude Guillebaud dans la citation ici parodiée – que la transformation anthropologique profonde que représente le bouleversement du statut du mariage n'est pas déjà très largement consommée.
Il n'y a qu'à travailler tous les jours avec des enfants et leurs familles disparates pour en prendre la mesure.
Aujourd'hui, c'est la fête de la Sainte Famille. Le prédicateur, un Dominicain, a dit comme Feint : sur le terrain, ils sont continuellement confronté à des modèles de familles "non-traditionnelles". La vue idéalisée de la famille traditionnelle qu'ont certains à Rome est un peu à côté de la plaque, et il faut leur faire savoir urgemment ! La réalité du terrain, c'est une femme divorcée remariée qui désire s'inscrire au catéchuménat des adultes pour être baptisée. Ou qui veut faire baptiser son fils et l'élever dans la foi chrétienne, mais en même elle doit rester assise au moment de la communion car elle n'y a pas droit. Et si un couple homo désirent faire grandir les enfants dans la foi chrétienne et les inscrivent au catéchisme ? Le prêtre a rappelé que depuis toujours il y avait des familles non-conventionnelles, et en particulier la Sainte Famille puisque le père n'est pas le père biologique, la mère non plus et que lorsqu'ils perdent Jésus ils le retrouvent dans un temple car, leur dit-il, sa place est auprès du Père. Finalement, a-t-il très bien dit, la règle la plus importante c'est le choix librement fait de l'amour. C'est bien plus important que la règle biologique.
Vraiment un beau sermon, et une belle messe comme toujours chez les dominicains. Ça montre aussi que l'église est plurielle.
C'est plutôt le sens du mot "ici" qui t'échappe .
En effet, le sens que tu donnes au mot « ici » m'échappe, mais bon ! On ne va pas se chamailler pour ça !
Tout ce que je peux te dire c'est que le texte donné ici n'est pas une parodie du texte de Jean-Claude Guillebaud.
Mais bon ! je ne suis pas parole d’Évangile, tu n'est pas obligé de me croire si tu n'en as pas envie.
Il ne devrait pas être possible de refuser à deux être consentants le droit de s'unir.
Mais pourquoi diable vouloir se marier quand on est homosexuel ? Voilà une revendication qui manque d'originalité. Quel genre d'émancipation exige donc avec tant de véhemence de s'engoncer dans ces apparâts étouffants, dont tous les autres tentent de se débarasser ?
.
Bonne question que je me suis posée aussi sans trouver la réponse.
"Ici" signifie dans ce que j'écris au moment où j'écris, c'est moi qui ai écrit une parodie de la citation de Guillebaud - mais visiblement tu ne l'as pas lue.
C'est plutôt le sens du mot "ici" qui t'échappe .
En effet, le sens que tu donnes au mot « ici » m'échappe, mais bon ! On ne va pas se chamailler pour ça !
Tout ce que je peux te dire c'est que le texte donné ici n'est pas une parodie du texte de Jean-Claude Guillebaud.
Mais bon ! je ne suis pas parole d’Évangile, tu n'est pas obligé de me croire si tu n'en as pas envie.
Le mariage n'a aucune importance, ce qui compte c'est l'égalité des droits.
Tiens: tu t'agace?......................
Ce qui me gêne? mais en fait ni l'un ni l'autre car la loi passera, non ce qui me gêne c'est que les tenants du contre nous refonds le coup du sacrilège pour un acte qui ne tiens pas du religieux et transforme ainsi tout cela en "guerre" de religion...je crains pour le débat à venir (qui pour moi à plus d'importance) l'euthanasie...je crains cette segmentation de la population qui est de plus en plus importante (de plus en plus les gens sont clivés et ne dialogue pas) en ce moment chacun se choisi un étendard et part au combat la fleur au fusil...des alliances objectives se forment qui ne me plaisent pas du tout et me font peur (les interventions sur le site en sont l'exemple il suffit de lister qui est pour et qui est contre et l'on constate que l'on trouve d'un coté des gens qui avant n'étaient pas sur les mêmes débats)...
Apparemment j'ai eu tort de te répondre.
Je pensais que c'était toi qui t'agaçais parce qu'on semblait ignorer ce que tu disais, et que tu tenais essentiellement à ce qu'on te réponde ! :o)
Si en plus "ni l'un ni l'autre" ne te gênent, alors tout est pour le mieux.
... et je crains que tout cela ne profite en définitive qu'aux mêmes,toujours près à retirer les marrons du feu...
Tu es sûr que ce sont les mêmes ? .. :o)
Mais qui sont-ils (à part moi bien sûr, mais là tu te trompes), tous ceux-là que tu classes dans les "contre", et qui à t'en croire sont coupables de bien autre chose ?
Tu crois pas que c'est toi tout seul qui te fabrique ces guerres civiles ?
(il s'agit de fausses questions pour lesquelles je n'attends pas de by Browse to Save">réponse)
Donc je ne réponds pas...
"Ici" signifie dans ce que j'écris au moment où j'écris, c'est moi qui ai écrit une parodie de la citation de Guillebaud - mais visiblement tu ne l'as pas lue.
Ah bon ! Je l'avais lue sans comprendre, mais maintenant, j'ai compris ; excuse-moi, ça m'arrive d'être un peu lent sur la balle : « le bouleversement du statut du mariage est déjà largement consommé dans les mœurs ».
En effet, c'est sans doute pour ça que la loi est passée sans faire de bruit en Belgique et dans la plupart des pays nordiques.
Mais, personnellement, je trouve que c'est à l'honneur de la France d'avoir compris que le fait de passer le phénomène dans des lois « marquait une transformation anthropologique profonde qui touche le fondement de notre vivre ensemble » (comme le dit Guillebaud).
Les autres pays ont adopté la loi sans même se rendre compte que ça touchait un fondement de notre vivre ensemble.
La fière devise de la France est sauf erreur de ma part, "Liberté, égalité, fraternité."
Pourquoi ça me fait penser à une vieille chanson de Maxime Le Forestier? Quel rapport avec le débat? Moi ça me semble évident...
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à une patrie.
Je demande à voir la liberté, la liberté qui était marquée
Sur le portail de mon école, liberté de chanter mais, attention
Sorti de l'atelier, liberté de voir
Les conneries débitées dans France Poire
Liberté de penser la même chose que la majorité.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à une patrie.
Je demande à voir l'égalité, l'égalité qui était gravée
Sur le fronton de ma mairie, égaux, ta femme et toi
Mais pas la paie de fin de mois.
Égaux, toi et ton fils quand il aura fait son service.
Égaux, les hommes et toi mais s'ils sont plus grand, t'as pas le choix.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à une patrie.
Je voudrais voir la fraternité, la fraternité racontée
Dans le linteau de cette église, fraternel dans les moeurs
Mais en tenant compte de la couleur.
Fraternel avec celui qu'a pu apprendre à dire merci.
Fraternel, on est tous frères, mais à la guerre comme à la guerre.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à des conneries.
Pourquoi ça me fait penser à une vieille chanson de Maxime Le Forestier? Quel rapport avec le débat? Moi ça me semble évident...
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à une patrie.
Je demande à voir la liberté, la liberté qui était marquée
Sur le portail de mon école, liberté de chanter mais, attention
Sorti de l'atelier, liberté de voir
Les conneries débitées dans France Poire
Liberté de penser la même chose que la majorité.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à une patrie.
Je demande à voir l'égalité, l'égalité qui était gravée
Sur le fronton de ma mairie, égaux, ta femme et toi
Mais pas la paie de fin de mois.
Égaux, toi et ton fils quand il aura fait son service.
Égaux, les hommes et toi mais s'ils sont plus grand, t'as pas le choix.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à une patrie.
Je voudrais voir la fraternité, la fraternité racontée
Dans le linteau de cette église, fraternel dans les moeurs
Mais en tenant compte de la couleur.
Fraternel avec celui qu'a pu apprendre à dire merci.
Fraternel, on est tous frères, mais à la guerre comme à la guerre.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à des conneries.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à des conneries.
Maxime Le Forestier chante peut-être très bien mais, sauf son respect, c'est un pleutre et un fada.
Il aurait dû méditer la maxime de J F Kennedy : Ne te demande pas ce que ton pays doit faire pour toi ! Demande-toi ce que tu dois faire pour ton pays !
...Et pan !
Précisément, SJB, rappeler à son pays son idéal de liberté, d'égalité et de fraternité, c'est faire quelque chose pour son pays.
Je m'en fous de la France, on m'a menti.
On a profité de mon enfance pour me faire croire à des conneries.
Maxime Le Forestier chante peut-être très bien mais, sauf son respect, c'est un pleutre et un fada.
Il aurait dû méditer la maxime de J F Kennedy : Ne te demande pas ce que ton pays doit faire pour toi ! Demande-toi ce que tu dois faire pour ton pays !
...Et pan !
Cette citation de Kennedy, sortie de son contexte, est très stupide : à la suivre à la lettre on serait encore sous l'ancien régime.
J'allais le dire, Feint. Pour mon ami SJB, citation pour citation:
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche." -Albert Jacquard-
Je vais t'ajouer quelque chose, SJB: le mariage homo je m'en fous. Je trouve moi aussi que se marier, qu'on soit hétéro ou homo, c'est une drôle d'idée, mais je trouve intolérable que dans une société qui se veut libre, égalitaire et fraternelle, certains aient des droits que d'autres n'ont pas.
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche." -Albert Jacquard-
Je vais t'ajouer quelque chose, SJB: le mariage homo je m'en fous. Je trouve moi aussi que se marier, qu'on soit hétéro ou homo, c'est une drôle d'idée, mais je trouve intolérable que dans une société qui se veut libre, égalitaire et fraternelle, certains aient des droits que d'autres n'ont pas.
Oui, Feint, mais il y a la manière... « je m'en fous de la France... » c'est quand même un peu... heu ! enfin... ! disons que c'est... enfin, soit, chacun appréciera...;-))
Précisément, SJB, rappeler à son pays son idéal de liberté, d'égalité et de fraternité, c'est faire quelque chose pour son pays.
.
Je crois qu'il y paie ses impôts.
Précisément, SJB, rappeler à son pays son idéal de liberté, d'égalité et de fraternité, c'est faire quelque chose pour son pays.
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Oui, Feint, mais il y a la manière... « je m'en fous de la France... » c'est quand même un peu... heu ! enfin... ! disons que c'est... enfin, soit, chacun appréciera...;-))
Précisément, SJB, rappeler à son pays son idéal de liberté, d'égalité et de fraternité, c'est faire quelque chose pour son pays.
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Oui, Feint, mais il y a la manière... « je m'en fous de la France... » c'est quand même un peu... heu ! enfin... ! disons que c'est... enfin, soit, chacun appréciera...;-))
Je crois qu'il y paie ses impôts.
(sourire)
Je vais t'ajouter quelque chose, SJB: le mariage homo je m'en fous.
...je trouve intolérable que dans une société qui se veut libre, égalitaire et fraternelle, certains aient des droits que d'autres n'ont pas.
Ce n'est pas une question d'égalité et de fraternité, Le Rat, je vais essayer de t'expliquer mais tu dois faire un effort pour comprendre.
Il n'est pas question ici de prendre position pour ou contre le mariage pour tous. La question n'est pas là. La question est de constater qu'on touche au fondement de la société.
Naguère, le législateur disait ceci est bien, ceci est mal. Ses critères c'étaient la loi Naturelle, les traditions ancestrales, les valeurs de la civilisation... etc.
Mais aujourd'hui, ces critères n'existent plus. Ce qui décide le législateur à faire une loi c'est : tout le monde le fait donc c'est permis !
Mais on peut s'interroger sur la valeur de ce critère.
Un exemple : en Belgique aucune voiture ne peut jamais dépasser le 120 à l'heure.
Mais sur les auto-routes, le Belge roule à la vitesse qui lui plaît.
D'après ce nouveau critère, on devra donc faire une loi qui dira : sur auto-route vous pouvez rouler à la vitesse qui vous plaira.
Autre exemple : suppose un pays où tout le monde triche sur sa feuille d'impôt.
Toujours d'après ce critère, on fera une loi pour dire : puisque tout le monde veut tricher, tricher c'est permis.
En matière d'éthique et de sexualité, c'est ce nouveau critère qui prévaut :
on ne se demande plus si c'est bien ou si c'est mal, on dit : tout le monde le fait, et tant que ça ne dérange personne, c'est permis.
Moi je constate que c'est une transformation anthropologique profonde qui touche au fondement de notre société et ça m'a fait plaisir de voir qu'un type comme Guillebaud, qui est cent fois plus malin que moi, pensait comme moi.
Et, apparemment, la France l'a aussi compris puisque c'est le seul pays qui manifeste une résistance à faire passer cette loi.
En matière d'éthique et de sexualité, c'est ce nouveau critère qui prévaut :Mais l'homosexualité, SJB, on ne se demande plus si c'est bien ou mal parce qu'on a enfin compris (enfin, pas tout le monde) que ce n'est ni bien ni mal ; c'est juste comme ça. C'est un peu comme être gaucher ; autrefois on croyait que c'était mal, mais en fait non. C'est juste comme ça, et c'est minoritaire, parce que dans la grande loi de la nature il y a, comme ça, des caractères minoritaires comme être attiré par une personne du même sexe, ou encore écrire de la main gauche.
on ne se demande plus si c'est bien ou si c'est mal, on dit : tout le monde le fait, et tant que ça ne dérange personne, c'est permis.
En matière d'éthique et de sexualité, c'est ce nouveau critère qui prévaut :
on ne se demande plus si c'est bien ou si c'est mal, on dit : tout le monde le fait, et tant que ça ne dérange personne, c'est permis.
Mais l'homosexualité, SJB, on ne se demande plus si c'est bien ou mal parce qu'on a enfin compris (enfin, pas tout le monde) que ce n'est ni bien ni mal ; c'est juste comme ça. C'est un peu comme être gaucher ; autrefois on croyait que c'était mal, mais en fait non. C'est juste comme ça, et c'est minoritaire, parce que dans la grande loi de la nature il y a, comme ça, des caractères minoritaires comme être attiré par une personne du même sexe, ou encore écrire de la main gauche.
Non Feint, je ne pense pas qu'on puisse comparer ces deux situations.
J'allais le dire, Feint. Pour mon ami SJB, citation pour citation:Sans doute. C'est très bien de la chercher, mais c'est pas mal non plus d'en trouver quelques bribes, qui de temps en temps voudraient bien se laisser attraper par ci par là.. :o)
"Ceux qui prétendent détenir la vérité sont ceux qui ont abandonné la poursuite du chemin vers elle. La vérité ne se possède pas, elle se cherche." -Albert Jacquard-
Je vais t'ajouer quelque chose, SJB: le mariage homo je m'en fous. Je trouve moi aussi que se marier, qu'on soit hétéro ou homo, c'est une drôle d'idée, mais je trouve intolérable que dans une société qui se veut libre, égalitaire et fraternelle, certains aient des droits que d'autres n'ont pas.Finalement, Le Rat, on a quelques points communs, tous les deux on s'en fout du mariage homo. Apparemment on n'est là que pour des principes, pour "les bonnes valeurs", et dont on voudrait qu'elles soient respectées (alors que souvent dans ce débat il ne s'agit que de la défense d'intérêts particuliers). Là où ça coince, c'est qu'on a n'a pas la même analyse.
Tu utilises "la liberté" comme une arme de guerre, mais tu lui prêtes un rôle que pour moi elle ne peut pas avoir : niveler des concepts pour que les mêmes mots soient valables pour tout le monde, même si les réalités recouvertes sont différentes. Ce n’est pas possible : tous les gens sont égaux, mais quand on n'est blanc on ne peut pas prétendre être noir, et quand on n'est noir on ne peut pas prétendre être blanc. Quand on est différent, on peut dire qu'on est différent sans attenter à aucune liberté, et on peut vouloir que cette différence soit reconnue et respectée.
En l'occurrence, la "liberté" ne demande pas qu'on dénature le sens du mot mariage.
Pour moi, le vrai respect de l'autre serait que chacun accepte le mariage conventionnel et le mariage homosexuel, en reconnaissant qu'il ne s'agit pas strictement de la même chose.
Non Feint, je ne pense pas qu'on puisse comparer ces deux situations.Tout dépend à qui on s'adresse.
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