It is time for a piss ! Let's get a tinny from the fridge and drink it to the health of the ozzies :-)
Jamais deux sans trois. Une expression bien connue de tous qui risque de prendre tout son sens cet après-midi. Je m'explique. Lundi, m'apprêtant à aller au travail pour mon premier jour, je m'aperçois en plein centre-ville que la couture de mon pantalon à la jambe gauche file du mauvais coton. Accélération du rythme cardiaque. Direction le centre commercial où j'avais acheté la veille ledit pantalon noir. Finalement, je trouve les services d'une couturière qui me sauve la vie.
Hier, je quitte mon domicile en tenue de serveuse pour aller travailler. Pour prendre mon bus, je dois traverser le parking d'un centre commercial. Où je suis finalement entrée en catastrophe. Oui, la semelle de la chaussure gauche a décidé de foutre le camp. Heureusement que j'avais mes tongs dans mon sac à dos. Changement de chaussures au pied pour se ruer vers le coordonnier. La chaussure ne sera pas prête avant jeudi. Zut ! Direction un magasin de chaussures où j'achète une paire de tennis en toile et une paire de sockettes. Ouf ! Je prends mon bus, puis j'ai une petite vingtaine de minutes à marcher. Là, je sens que mon élastique qui discipline mes cheveux commence à perdre de ses forces. Zut et zut. Finalement, il a tenu bon.
Aujourd'hui, je sais que je dois le changer. En espérant qu'il m'arrive pas encore un autre petit ennui avant d'aller travailler. Jamais deux sans trois.
Hier, je quitte mon domicile en tenue de serveuse pour aller travailler. Pour prendre mon bus, je dois traverser le parking d'un centre commercial. Où je suis finalement entrée en catastrophe. Oui, la semelle de la chaussure gauche a décidé de foutre le camp. Heureusement que j'avais mes tongs dans mon sac à dos. Changement de chaussures au pied pour se ruer vers le coordonnier. La chaussure ne sera pas prête avant jeudi. Zut ! Direction un magasin de chaussures où j'achète une paire de tennis en toile et une paire de sockettes. Ouf ! Je prends mon bus, puis j'ai une petite vingtaine de minutes à marcher. Là, je sens que mon élastique qui discipline mes cheveux commence à perdre de ses forces. Zut et zut. Finalement, il a tenu bon.
Aujourd'hui, je sais que je dois le changer. En espérant qu'il m'arrive pas encore un autre petit ennui avant d'aller travailler. Jamais deux sans trois.
De tout coeur avec toi Nomade. Mais je vois que tu ne te laisses pas abattre :)) Tu m'as bien fait sourire. L'adversité, y'a que ça de vrai pour tenir.
C'est un scénario catastrophe que tu nous joues, Nomade ?
Vire tous tes vêtements, tu auras la paix !
Vire tous tes vêtements, tu auras la paix !
Et moi je me demande comment ça s'est passé pour Nomade ?
Jamais deux sans trois n'a pas été mis en exécution. Ouf ! C'est bon, je bosse, pour l'instant pas beaucoup, vraiment pas beaucoup car la saison des pluies n'est pas encore terminée. Je bosse la semaine prochaine, 4 soirs, trois heures si pas grand monde, plus si foule.... c'est toujours ça de pris. Le coloc n'en revient pas que j'ai pu trouver quelque chose au bout de cinq jours de recherche... La nomade sans ses talons hauts sait crapahuter ! En revanche, Tistou, je préfère garder mes vêtements, je risquerai de faire peur aux autochtones !
Oui, Garance, l'adversité c'est ce qui fait grandir !
Oui, Garance, l'adversité c'est ce qui fait grandir !
Super Nomade. Première tentative réussie.
Euh, pour moi, plutôt un café stp !
Euh, pour moi, plutôt un café stp !
Je suis au regret de te dire Tistou qu'il va falloir que tu té déplaces au comptoir pour donner ta commande et payer. En revanche, si tu as besoin de sucre ou de savoir où se trouvent les toilettes ou la terrasse, je peux te renseigner. Je te débarrasserai la table avec un joli sourire. Oui, c'est assez différent de la France mais je dois te dire qu'un couple de Français est revenu dîner au pub pour me revoir et des australiens-allemands me demandent à chaque fois de mes nouvelles en m'appelant par mon prénom. C'est toujours ça. Et puis c'est une bonne expérience, je pourrai ainsi dire à mes neveux : "quand votre tatie était plus jeune, elle a été à tel endroit et elle a fait telle chose... et les petits monstres me regarderont avec de grands yeux admiratifs et m'enfoutistes. Du genre, "elle connaît tout...!"
Ben dis donc, quel succès ! Et je n'ose même pas imaginer ce que ça aurait été si tu avais laissé la couture de ton pantalon se défaire complètement l'autre jour.
Je suis au regret de te dire Tistou qu'il va falloir que tu té déplaces au comptoir pour donner ta commande et payer. En revanche, si tu as besoin de sucre ou de savoir où se trouvent les toilettes ou la terrasse, je peux te renseigner. Je te débarrasserai la table avec un joli sourire. Oui, c'est assez différent de la France mais je dois te dire qu'un couple de Français est revenu dîner au pub pour me revoir et des australiens-allemands me demandent à chaque fois de mes nouvelles en m'appelant par mon prénom. C'est toujours ça. Et puis c'est une bonne expérience, je pourrai ainsi dire à mes neveux : "quand votre tatie était plus jeune, elle a été à tel endroit et elle a fait telle chose... et les petits monstres me regarderont avec de grands yeux admiratifs et m'enfoutistes. Du genre, "elle connaît tout...!"
Alors pour moi, ce sera un café svp. (Tu as vu, je me suis déplacé !)
Quelle succès, quelle réussite, Nomade ! Bravo ! Félicitations !
Mais quel favoritisme pour ce couple de Français et ces Australo-Allemands !
Faudra-t-il que nous allions jusqu’au bout de la terre, pour que tu nous dise ton prénom ?
;-))
Mais quel favoritisme pour ce couple de Français et ces Australo-Allemands !
Faudra-t-il que nous allions jusqu’au bout de la terre, pour que tu nous dise ton prénom ?
;-))
C'est comme si c'était fait, monsieur Tistou !
Monsieur Saint Jean Baptiste, je me ferai un plaisir de boire une bonne bière fraîche avec toi au pays des kangourous ! Je n'ai pas encore trouvé un bon camarade pour faire la tournée des pubs... c'est un peu triste
Monsieur Palorel, j'étais bien contente de me rendre compte du trou à la couture... j'aurai bien été maligne avec le pantalon fendu pour le premier jour...
Monsieur Saint Jean Baptiste, je me ferai un plaisir de boire une bonne bière fraîche avec toi au pays des kangourous ! Je n'ai pas encore trouvé un bon camarade pour faire la tournée des pubs... c'est un peu triste
Monsieur Palorel, j'étais bien contente de me rendre compte du trou à la couture... j'aurai bien été maligne avec le pantalon fendu pour le premier jour...
Tu as raison, madame Nomade, il en allait de l'honneur de la France !
Je viens de faire un tour sur ton blog. Décidément de très belles photos. Petite prédilection pour le noir et blanc.
Je viens de faire un tour sur ton blog. Décidément de très belles photos. Petite prédilection pour le noir et blanc.
Encore des mots et de beaux moments à partager. La maison du bonheur entame un nouveau chapitre avec le départ de C., coréen, ce midi et l'arrivée de Je, allemande et de R, allemand cet après-midi. La petite fête qui aurait dû se faire hier s'est déroulée ce soir avec les nouveaux et l'ancien. Encore une fois, un sympathique moment. Pour ma part, j'avais acheté une bouteille de crémant produit en France. Un blanc de blancs.
Avec B, français, je me suis encore rendue compte que nous pauvres habitants de l'Hexagone étaient des moins que rien lorsqu'il s'agit de parler l'anglais. Les Allemands ont un très bon accent et parlent avec une fluidité assez déconcertante.
Ce petit changement de résidents (et non de résidants... au fait, connaissez-vous la subtilité de cette différence?) s'est accompagné d'un changement de chambre. Me voilà dans une chambre individuelle et non double. Je l'adore et mon lit est au bord d'une large fenêtre ouverte qui donne sur les arbres et plantes tropicaux. Je pense que je vais faire de beaux rêves. Avant cela, je vais pour une fois lire... un peu de français mais surtout de l'anglais. Je dois sincèrement faire des progrès.
Have a good evening
See ya !
Avec B, français, je me suis encore rendue compte que nous pauvres habitants de l'Hexagone étaient des moins que rien lorsqu'il s'agit de parler l'anglais. Les Allemands ont un très bon accent et parlent avec une fluidité assez déconcertante.
Ce petit changement de résidents (et non de résidants... au fait, connaissez-vous la subtilité de cette différence?) s'est accompagné d'un changement de chambre. Me voilà dans une chambre individuelle et non double. Je l'adore et mon lit est au bord d'une large fenêtre ouverte qui donne sur les arbres et plantes tropicaux. Je pense que je vais faire de beaux rêves. Avant cela, je vais pour une fois lire... un peu de français mais surtout de l'anglais. Je dois sincèrement faire des progrès.
Have a good evening
See ya !
Et pendant ce temps, Nomade a toujours la tête en bas ...
Vous avez remarqué, elle ne nous parle plus de la mystérieuse coréenne ? Une caméléone, celle-ci, j'en jurerais !
Alors, pour payer le café que je viens de boire je dois me déplacer au comptoir, c'est celà ?
Vous avez remarqué, elle ne nous parle plus de la mystérieuse coréenne ? Une caméléone, celle-ci, j'en jurerais !
Alors, pour payer le café que je viens de boire je dois me déplacer au comptoir, c'est celà ?
Ben c'est quoi ce travail ? Mes 2 espressos ? Là, tout de suite ? Je me suis bien déplacé mais j'ai quand même dû les faire moi-même !
Tiens à votre santé, je vous en paie un ...
Tiens à votre santé, je vous en paie un ...
J'arrive monsieur Tistou ! Pour me faire pardonner, je t'offre le café dès demain et ce jusqu'à la fin de semaine. Il n'y aura pas besoin de te déplacer au comptoir pour prendre commande. Tu n'auras pas à payer, j'y mettrai sur mon compte mon ami !
Je viens de rentrer et je suis un peu cassée. Et un peu déçue. Je vous expliquerai tout cela demain. Rien de grave, promis juré.
Je viens de rentrer et je suis un peu cassée. Et un peu déçue. Je vous expliquerai tout cela demain. Rien de grave, promis juré.
J'arrive monsieur Tistou ! Pour me faire pardonner, je t'offre le café dès demain et ce jusqu'à la fin de semaine. Il n'y aura pas besoin de te déplacer au comptoir pour prendre commande. Tu n'auras pas à payer, j'y mettrai sur mon compte mon ami !
Je viens de rentrer et je suis un peu cassée. Et un peu déçue. Je vous expliquerai tout cela demain. Rien de grave, promis juré.
Bon courage Nomade. Tiens bon. Le moral c'est ce qui sauve tout.
Bon, là c'est moins qui suis déçue. Le favoritisme envers Tistou me rend triste, mais triste !
J'arrive monsieur Tistou ! Pour me faire pardonner, je t'offre le café dès demain et ce jusqu'à la fin de semaine. Il n'y aura pas besoin de te déplacer au comptoir pour prendre commande. Tu n'auras pas à payer, j'y mettrai sur mon compte mon ami !
Je viens de rentrer et je suis un peu cassée. Et un peu déçue. Je vous expliquerai tout cela demain. Rien de grave, promis juré.
Pourtant demain matin je me doute que j'aurai à faire moi-même les 2 (ils vont toujours par 2) cafés que tu m'offres, après avoir couru si :
je suis courageux,
la tempête et la pluie battante auront cessé.
Le restant de la semaine je me les ferai servir effectivement, mais non point par tes doigts de fée. Il y a bien des papeteries en Australie mais ça déborde largement mon secteur !
Et un thé noir pour madame Garance !
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