Aye il faut lire bLancanieves, et pourtant je suis d'origine espagnole
Ohao Merrybelle, tu me donnes incroyablement envie... d'autant que par un beau hasard le DVD attend tout chaud à côté de la télévision (merci la mediathèque!)
Hier soir j'ai vu Le chat. Gabin, Signoret. Il y a une scène magnifique lorsqu'elle attend son retour hypothétique, un coussin entre les mains: elle a ce regard d'enfant perdu, j'en étais tourneboulée. Grand grand film.
Hier soir j'ai vu Le chat. Gabin, Signoret. Il y a une scène magnifique lorsqu'elle attend son retour hypothétique, un coussin entre les mains: elle a ce regard d'enfant perdu, j'en étais tourneboulée. Grand grand film.
Je regarde l'excellente série sur la prohibition diffusée par Télé-Québec. J'ai même trouvé le sosie de Virgile en la personne de Jonathan Eig, un journaliste qui apparaît régulièrement pour dire quelques mots et donner son avis d'expert. ;-)
http://tantor.com/AuthorDetail.asp/?Author=Eig_J
http://tantor.com/AuthorDetail.asp/?Author=Eig_J
Cette après-midi, j'ai revu le Docteur Jivago, et c'est toujours aussi intrigant.
J'ai vu la série Odysseus en DVD, j'avoue que quand je l'ai pris j'ignorais que c'était une production franco-italo-portugaise, géniale, bravo, il n'y a pas assez de péplum étranger, à vrai dire c'est plutôt rare tout court d'en voir des non-américains/britanniques. Les décors sont naturels et sublimes, tout le contraire de la série Spartacus avec ses décors numérisés. Ça fait étrange que de voir enfin des acteurs français, pendant un moment j'ai eu peur parce que je n'aime pas particulièrement Niels Schneider (qui joue Télémaque) à cause de ses performances dans les films de Xavier Dolan (juste à y penser...), mais en gros j'ai été impressionnée. Moi qui connais l'histoire, ça prend quelques libertés bien qu'on sent qu'on connaît la source, les retournements ont été appréciées. Bon, ça n'avait pas autant de mordant que la série Spartacus dont je viens aussi d'écouter le préquelle, mais ça fait différent.
Il y a un péplum qui va sortir au cinéma l'an prochain, la suite de 300, dont je n'ai pas vraiment d'espoir. C'est un préquelle sur le roi le Perse Xerxès et la reine/commandante Artémise (joué par la belle Eva Green). Dans le premier 300 j'avoue me rappeller peu de Xerxès à part quelques expressions faciales, je ne sais même pas si il y avait eu des lignes de dialogues. Enfin, on fait avec ce qu'on a je suppose, faut pas être trop difficile...
Odysseus (Stéphane Giusti, 2013): **
Spartacus, Season 1, Blood and Sand (2010): ***
Spartacus, Season 1, Prequel, Gods of the Arena (2011): ***
Spartacus, Season 2, Vengeance (2012): **
300 (Zack Snyder, 2006): **
Il y a un péplum qui va sortir au cinéma l'an prochain, la suite de 300, dont je n'ai pas vraiment d'espoir. C'est un préquelle sur le roi le Perse Xerxès et la reine/commandante Artémise (joué par la belle Eva Green). Dans le premier 300 j'avoue me rappeller peu de Xerxès à part quelques expressions faciales, je ne sais même pas si il y avait eu des lignes de dialogues. Enfin, on fait avec ce qu'on a je suppose, faut pas être trop difficile...
Odysseus (Stéphane Giusti, 2013): **
Spartacus, Season 1, Blood and Sand (2010): ***
Spartacus, Season 1, Prequel, Gods of the Arena (2011): ***
Spartacus, Season 2, Vengeance (2012): **
300 (Zack Snyder, 2006): **
Vu hier "Mémoires de nos pères" de Eastwood.
De superbes plans, une belle photo, un extraordinaire travail sur les effets spéciaux, une patte musicale très reconnaissable. Un rappel sur le fait que tous ces hommes qui se sont battus et qui, pour beaucoup sont morts, étaient des hommes extrêmement jeunes, à peine sorti de l'adolescence comme le rappelle également Samuel Fuller dans son sublime livre, "un troisième visage"
Toutefois je suis passée à côtée du côté des émotions à cause d'un scénario assez faible. J'ai eu beaucoup de mal à "placer" les différents personnages à cause de flash backs répétitifs mais surtout désordonnés.
Une seconde vision serait presque nécessaire, en ayant en mains tous les éléments du puzzle.
Grosse déception.
Je regarde ce soir la version japonaise
De superbes plans, une belle photo, un extraordinaire travail sur les effets spéciaux, une patte musicale très reconnaissable. Un rappel sur le fait que tous ces hommes qui se sont battus et qui, pour beaucoup sont morts, étaient des hommes extrêmement jeunes, à peine sorti de l'adolescence comme le rappelle également Samuel Fuller dans son sublime livre, "un troisième visage"
Toutefois je suis passée à côtée du côté des émotions à cause d'un scénario assez faible. J'ai eu beaucoup de mal à "placer" les différents personnages à cause de flash backs répétitifs mais surtout désordonnés.
Une seconde vision serait presque nécessaire, en ayant en mains tous les éléments du puzzle.
Grosse déception.
Je regarde ce soir la version japonaise
Ohao Merrybelle, tu me donnes incroyablement envie... d'autant que par un beau hasard le DVD attend tout chaud à côté de la télévision (merci la mediathèque!)
Et alors ta réaction ?
J'ai vu pour la première fois à la TV, "LA DIXIEME VICTIME" (1965) d'Elio Petri avec Marcello Mastroianni et Ursula Andress.
Cette comédie d’anticipation, genre chasse à l’homme, est un lointain cousin des « Prix du danger », « Running man », « Hunger game » et j’en passe. Cependant, ce film italien est très déroutant. D’abord du fait de son côté délirant, de ses scènes saugrenues (Mastroianni et ses pilules lacrymales pour faire vrai en grand maître des adorateurs du soleil face aux néo-réalistes, les musiciens installés sur des cubes en pleine air etc.), son ambiance rétro-futuriste très années 60, ses décors et costumes kitschissimes, ses gadgets improbables comme les téléphones, sa musique de supermarché. Le look vieillot de cette société futuriste est vraiment bizarre.
Un gros ordinateur à Genève distribue les rôles parmi les volontaires : chasseur ou proie. Le chasseur a l’avantage d’être renseigné sur sa cible. Alors que la victime n’a qu’une notification de son statut. Le but est de canaliser l’agressivité de chacun en autorisant des tueries sur la voie publique pour éviter les massacres de masse (les guerres). Ainsi, les gens s’entretuent au pistolet dans l’indifférence générale. Le vainqueur n’a qu’à exhiber sa carte pour recevoir les félicitations. Au bout de 10 victoires, c’est la richesse et la gloire assurée. Attention, les erreurs de cibles sont punies de trente ans de prison. Tout cela est parfaitement régi par le Ministère de la Chasse (avec son guichet de retrait des gains, sa zone d’entraînement pour les chasseurs). Un détail amusant, en Italie où se déroule l’action, il y a des lieux interdits de tuer (écoles, restaurants etc.) ! En revanche des duels à mort entre gladiateurs sont organisés dans les cabarets ! Beaucoup d’éléments concernant cette société future sont originaux. Mais ils sont souvent suggérés, juste mentionnés dans les dialogues. Ainsi, pour éviter de confier ses vieux à l’Etat, on les déguise en jeunes ou on les cache ! Le sexe n’est plus un tabou mais se pratique mécaniquement sans émotions. L’épouse pouvant regarder les ébats de son mari sans gêne aucune. Particularité italienne, le divorce est interdit. A noter que les BD tel les Comics sont considérées comme le top de la littérature ! Les centres de relaxation sont des bordels aseptisés où une prostituée peut vous raconter des contes pour enfant…
Le film est centré sur les personnages incarnés par Ursula Andress, une chasseuse américaine (9 victoires au compteur) et Marcello Mastroianni, la proie italienne (6 victoires). Afin de maximiser leurs gains, chacun va signer un contrat publicitaire. Des moyens énormes sont en jeu pour mettre en scène la mort du perdant. On peut y voir une dérive de la téléréalité. Vers la fin, les meurtres au milieu d’un spot publicitaire filmés devant le Colisée pour une marque de thé valent le détour. On quitte l’anticipation avec la relation amoureuse entre les deux acteurs. Car le film est aussi une comédie romantique italienne dans la pure tradition. J’avoue que le mélange est assez perturbant. Pour conclure, je dirais que cet OVNI cinématographique est à voir au moins par curiosité. A mon avis, de par son originalité et sa profondeur, il marque plus les esprits que les films cités plus haut, calibrés pour satisfaire le plus grand nombre. Voilà une œuvre dont je ne suis pas prêt d’oublier malgré mon scepticisme du départ. Ma note : 9/10
Cette comédie d’anticipation, genre chasse à l’homme, est un lointain cousin des « Prix du danger », « Running man », « Hunger game » et j’en passe. Cependant, ce film italien est très déroutant. D’abord du fait de son côté délirant, de ses scènes saugrenues (Mastroianni et ses pilules lacrymales pour faire vrai en grand maître des adorateurs du soleil face aux néo-réalistes, les musiciens installés sur des cubes en pleine air etc.), son ambiance rétro-futuriste très années 60, ses décors et costumes kitschissimes, ses gadgets improbables comme les téléphones, sa musique de supermarché. Le look vieillot de cette société futuriste est vraiment bizarre.
Un gros ordinateur à Genève distribue les rôles parmi les volontaires : chasseur ou proie. Le chasseur a l’avantage d’être renseigné sur sa cible. Alors que la victime n’a qu’une notification de son statut. Le but est de canaliser l’agressivité de chacun en autorisant des tueries sur la voie publique pour éviter les massacres de masse (les guerres). Ainsi, les gens s’entretuent au pistolet dans l’indifférence générale. Le vainqueur n’a qu’à exhiber sa carte pour recevoir les félicitations. Au bout de 10 victoires, c’est la richesse et la gloire assurée. Attention, les erreurs de cibles sont punies de trente ans de prison. Tout cela est parfaitement régi par le Ministère de la Chasse (avec son guichet de retrait des gains, sa zone d’entraînement pour les chasseurs). Un détail amusant, en Italie où se déroule l’action, il y a des lieux interdits de tuer (écoles, restaurants etc.) ! En revanche des duels à mort entre gladiateurs sont organisés dans les cabarets ! Beaucoup d’éléments concernant cette société future sont originaux. Mais ils sont souvent suggérés, juste mentionnés dans les dialogues. Ainsi, pour éviter de confier ses vieux à l’Etat, on les déguise en jeunes ou on les cache ! Le sexe n’est plus un tabou mais se pratique mécaniquement sans émotions. L’épouse pouvant regarder les ébats de son mari sans gêne aucune. Particularité italienne, le divorce est interdit. A noter que les BD tel les Comics sont considérées comme le top de la littérature ! Les centres de relaxation sont des bordels aseptisés où une prostituée peut vous raconter des contes pour enfant…
Le film est centré sur les personnages incarnés par Ursula Andress, une chasseuse américaine (9 victoires au compteur) et Marcello Mastroianni, la proie italienne (6 victoires). Afin de maximiser leurs gains, chacun va signer un contrat publicitaire. Des moyens énormes sont en jeu pour mettre en scène la mort du perdant. On peut y voir une dérive de la téléréalité. Vers la fin, les meurtres au milieu d’un spot publicitaire filmés devant le Colisée pour une marque de thé valent le détour. On quitte l’anticipation avec la relation amoureuse entre les deux acteurs. Car le film est aussi une comédie romantique italienne dans la pure tradition. J’avoue que le mélange est assez perturbant. Pour conclure, je dirais que cet OVNI cinématographique est à voir au moins par curiosité. A mon avis, de par son originalité et sa profondeur, il marque plus les esprits que les films cités plus haut, calibrés pour satisfaire le plus grand nombre. Voilà une œuvre dont je ne suis pas prêt d’oublier malgré mon scepticisme du départ. Ma note : 9/10
Ca a l'air déroutant mais pas mal du tout ton film italien, Kalie.
En plus Mastroianni est mon acteur préféré!
Moi j'ai pas vu un fil depuis mille ans.
Quand il fait beau je ne regarde rien, je ne vais pas au ciné, je n'allume pas la télé.
Pourtant j'ai une belle pile de DVD sur le feu. On verra quand il pleuvra.
En plus Mastroianni est mon acteur préféré!
Moi j'ai pas vu un fil depuis mille ans.
Quand il fait beau je ne regarde rien, je ne vais pas au ciné, je n'allume pas la télé.
Pourtant j'ai une belle pile de DVD sur le feu. On verra quand il pleuvra.
J'ai vu pour la première fois à la TV, "LA DIXIEME VICTIME" (1965) d'Elio Petri avec Marcello Mastroianni et Ursula Andress.
C'est marrant, je l'ai aussi vu dernièrement. J'adore la musique lounge sixties, les décors/costume (pas Mastroianni en blond, NON!), la scène du fameux thé Ming, je crois que c'est son ton over-the-top humoristique qui le différencie des autres films sur le thème (quoique Running Man avait quelques blagues à la Arnold). Oui, il y a beaucoup d'éléments sur la société dits en blague dans les dialogues, c'était ce qui était le plus intéressant, j'ai moins aimé le côté romance du film, mais ça se mariait bien avec le côté kitschounet du reste.
La decima vittima (1965) ****
Le prix du danger (1983) ***
The Running Man (1987) **
Batoru rowaiaru (2000) *****
The Hunger Games (2012) ***
J'attends ce film avec impatience. Un monde que je connais si bien...
http://telequebec.tv/cinema/film.aspx/…
http://telequebec.tv/cinema/film.aspx/…
Hier, je suis allé voir Insaisissables, un moment agréable mais sans plus et une fin pas assez travaillée à mon avis...
Hier, j'ai revu Ces amours-là, de Claude Lelouch, qui raconte l'histoire d'une femme sous l'Occupation et à la Libération, qui a pour trait de caractère de tomber trop vite amoureuse, avec les mésaventures qui s'ensuivent pour elles. Elle frôle le drame personnel à plusieurs reprises, mais retombe toujours sur ses pieds.
Le film connaît un rythme soutenu, dû à ses nombreux rebondissements, il est sensible, assez bien fait. Audrey Dana, l'actrice principale, est très expressive, et sait porter le film, comme elle avait déjà été remarquée dans Roman de gare, du même réalisateur.
Le film connaît un rythme soutenu, dû à ses nombreux rebondissements, il est sensible, assez bien fait. Audrey Dana, l'actrice principale, est très expressive, et sait porter le film, comme elle avait déjà été remarquée dans Roman de gare, du même réalisateur.
Hier, j'ai revu Ces amours-là, de Claude Lelouch,
Sur ce coup là on va pas être copains: les films de Lelouch (tout comme l'homme, d'ailleurs...) ont le don de m'exaspérer.
A part "Itinéraire d'un enfant gâté" et "Un homme et une femme" (qui a le don, lui, d'exaspérer beaucoup de monde, à commencer par mon mari qui supporte pas!) tous ceux que j'ai vus m'ont déplu.
Bon ben le temps se gâte, ce serait peut-être l'occas d'aller faire un tour au ciné, mais c'est (enfin, ce sont) mes yeux ou y'a que dalle?
Hier, j'ai revu Ces amours-là, de Claude Lelouch,
Sur ce coup là on va pas être copains: les films de Lelouch (tout comme l'homme, d'ailleurs...) ont le don de m'exaspérer.
A part "Itinéraire d'un enfant gâté" et "Un homme et une femme" (qui a le don, lui, d'exaspérer beaucoup de monde, à commencer par mon mari qui supporte pas!) tous ceux que j'ai vus m'ont déplu.
Bon ben le temps se gâte, ce serait peut-être l'occas d'aller faire un tour au ciné, mais c'est (enfin, ce sont) mes yeux ou y'a que dalle?
C'est très variable, chez Lellouche.
En ce moment, il n'y a rien de bien en salle, me semble-t- il.
Pour une sortie ciné, ce serait avec plaisir.
C'est drole, quand j'etais ado j'etais folle de Lelouch, j'ai du voir la plupart de ses films, j'en connaissais les repliques par coeur.......Et aujourd'hui, a part "Itineraire d'un enfant gate", je ne suis plus dutout fan, il m'agace et m'horripile...Il n'est plus pour moi!
En ce moment j'ai des envies seventies, de Claude Sautet, Romy Schneider et Michel Piccoli dans Max et les ferrailleurs ou Les choses de la vie, de Michel Drach et Marie Josee Nat dans les violons du bal, d'Adjani et Dutronc dans Violette et francois...
En ce moment j'ai des envies seventies, de Claude Sautet, Romy Schneider et Michel Piccoli dans Max et les ferrailleurs ou Les choses de la vie, de Michel Drach et Marie Josee Nat dans les violons du bal, d'Adjani et Dutronc dans Violette et francois...
Pour une sortie ciné, ce serait avec plaisir.
Tu veux dire: avec moi? :-)
C'est drole, quand j'etais ado j'etais folle de Lelouch, j'ai du voir la plupart de ses films, j'en connaissais les repliques par coeur.......Et aujourd'hui, a part "Itineraire d'un enfant gate", je ne suis plus dutout fan, il m'agace et m'horripile...Il n'est plus pour moi!
Toi aussi tu lui retournerais bien deux tartes? :-))
En ce moment j'ai des envies seventies, de Claude Sautet, Romy Schneider et Michel Piccoli dans Max et les ferrailleurs ou Les choses de la vie,
An ben moi j'en ai envie tout le temps.
Oubli: petite Valadon dès que je passe devant ma mile de DVD à voir, je pense à toi, "La science des rêves" (Gondry) est tout au dessus de la pile!
Il passera en premier quand reviendra l'envie de regarder des films.
Il passera en premier quand reviendra l'envie de regarder des films.
ma pile!!!!!
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