Vu hier soir à Télé-Québec, un excellent film du réalisateur John Wells intitulé "Des hommes d'affaires" avec le beau Ben Affleck (toujours aussi splendide...), Kevin Costner (bon pour une fois...), Tommy Lee Jones (bon comme d'habitude...) et d'autres bons acteurs que je ne connaissais pas.
Un jeune homme travaille comme chef vendeur de sa division et empoche un salaire plus que satisfaisant lorsque soudain, tout s'effondre et il perd son emploi. Il est alors contraint de vendre sa maison, sa voiture sport et partir rester chez son père avec sa famille en attendant de retrouver un autre emploi et que la situation s'améliore. En attendant, son beau-frère (Costner) l'engage sur son chantier de construction mais le beau Ben trouve très difficile la vie de travailleur manuel. Par contre, il réalise que le stress qui l'accompagnait dans son ancien travail est disparu et qu'il a plus de temps à consacrer à sa famille. Enfin, son histoire ne s'arrête pas là...
D'autres cadres travaillant pour la même compagnie sont également licenciés. Certains retombent sur leurs pieds alors que d'autres ne réussissent pas à surmonter cette épreuve en raison de leur âge.
Un film qui amène une réflexion toujours d'actualité et qu'il fait bon se rappeler :plus l'ascension est fulgurante, plus dure est la chute.
Un film à voir ne serait-ce que pour le beau Ben Affleck sublime dans ses vêtements de travailleur de la construction... Héhéhé !
Un jeune homme travaille comme chef vendeur de sa division et empoche un salaire plus que satisfaisant lorsque soudain, tout s'effondre et il perd son emploi. Il est alors contraint de vendre sa maison, sa voiture sport et partir rester chez son père avec sa famille en attendant de retrouver un autre emploi et que la situation s'améliore. En attendant, son beau-frère (Costner) l'engage sur son chantier de construction mais le beau Ben trouve très difficile la vie de travailleur manuel. Par contre, il réalise que le stress qui l'accompagnait dans son ancien travail est disparu et qu'il a plus de temps à consacrer à sa famille. Enfin, son histoire ne s'arrête pas là...
D'autres cadres travaillant pour la même compagnie sont également licenciés. Certains retombent sur leurs pieds alors que d'autres ne réussissent pas à surmonter cette épreuve en raison de leur âge.
Un film qui amène une réflexion toujours d'actualité et qu'il fait bon se rappeler :plus l'ascension est fulgurante, plus dure est la chute.
Un film à voir ne serait-ce que pour le beau Ben Affleck sublime dans ses vêtements de travailleur de la construction... Héhéhé !
Ce matin, je suis allé voir Pour une femme, un joli film de Diane Kurys, sur la Résistance, les suites de la guerre, l'engagement communiste et l'identité juive pendant et après la guerre. Les sentiments pour une femme entre deux frères viennent brouiller un peu plus un schéma de vie déjà peu aisé.
Le thème est violent, les sentiments sont le plus souvent contrariés, mais cela est tourné avec une assez grande finesse et en pudeur. Les acteurs sont assez bons. Benoît Magimel sort du lot.
Le thème est violent, les sentiments sont le plus souvent contrariés, mais cela est tourné avec une assez grande finesse et en pudeur. Les acteurs sont assez bons. Benoît Magimel sort du lot.
Moi j'ai vu hier "Stoker" de Park Chan-Wook avec Nicole Kidman et une jeune actrice très talentueuse Mia Wasikowska déjà vue dans le film "Jane Eyre".
Une femme vient d'enterrer son mari architecte décédé dans des circonstances nébuleuses. Elle se retrouve donc seule avec sa fille India dans un superbe demeure. L'arrivée d'un oncle, frère du défunt, perturbe India qui reproche à sa mère de ne jamais lui avoir révélé l'existence de cet oncle. Elle se met à surveiller sa mère et cet oncle dont elle est tombée inconsciemment amoureuse et devient jalouse au point de très mal réagir lorsqu'elle découvre leur liaison. Mais cet oncle cache un passé trouble qu'India découvre peu à peu à sa grande horreur.
Un film magnifique visuellement avec une Nicole Kidman somptueuse et une Mia Wasikowska inquiétante et perturbée à souhait. Je vous le recommande chaudement car il est envoûtant.
Une femme vient d'enterrer son mari architecte décédé dans des circonstances nébuleuses. Elle se retrouve donc seule avec sa fille India dans un superbe demeure. L'arrivée d'un oncle, frère du défunt, perturbe India qui reproche à sa mère de ne jamais lui avoir révélé l'existence de cet oncle. Elle se met à surveiller sa mère et cet oncle dont elle est tombée inconsciemment amoureuse et devient jalouse au point de très mal réagir lorsqu'elle découvre leur liaison. Mais cet oncle cache un passé trouble qu'India découvre peu à peu à sa grande horreur.
Un film magnifique visuellement avec une Nicole Kidman somptueuse et une Mia Wasikowska inquiétante et perturbée à souhait. Je vous le recommande chaudement car il est envoûtant.
Je viens de revoir Trois couleurs : rouge, qui conclut la trilogie de Krzistof Kieslowski. Le film est sombre, sobre, mais fin, subtil, sensible, malgré les angoisses dont il est porteur. Le tandem d'acteurs, Jean-Louis Trintignant et Irène Jacob, porte bien le film, déjà fort dans son idée et sa mise en scène.
Ah, sinon, hier après midi, j'ai revu L'Amour l'après-midi, d'Eric Rohmer, qui offre une réflexion intéressante sur l'amour, l'adultère, la famille et la fidélité. Beaucoup de questions graves sont posées sur un ton apparemment badin. Il est assez original.
Pour Veneziano, France Culture rediffuse une série d'émissions consacrée à Rohmer
http://franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chem…
http://franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chem…
Pour Veneziano, France Culture rediffuse une série d'émissions consacrée à Rohmer
http://franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chem…
Merci.
Hier soir, j'ai revu Le Sauvage, de Jean-Paul Rappeneau. C'est agréable, ça se laisse regarder, les acteurs sont beaux, et se laissent aller à la folie déjantée du scénario, aussi improbable que loufoque, entre un parfumeur misanthrope reclus sur une île des Caraïbes et une ravissante foldingue qui veut échapper coûte que coûte au mari qui lui est promis.
Je viens de revoir La Dolce Vita. Oui, je pense bien être incurable, et j'ai toujours autant aimé.
Moi j'ai vu deux films de Liz Taylor et Montgomery Clift. Une place au soleil (qui m'a fait penser par moments à Match Point de Woody Allen) et Soudain l’été dernier (que j'ai moins aimé, je me suis ennuyée à quelques reprise, seule la fin est vraiment bonne). J'avais déjà vu de Taylor et Clift Raintree County. C'est dommage qu'il n'a pas pu joué avec elle dans Reflet dans un oeil d'or, ils forment un bon tandem.
A Place in the Sun (1951) ****
Raintree County (1957) ***
Suddenly, Last Summer (1959) ***
A Place in the Sun (1951) ****
Raintree County (1957) ***
Suddenly, Last Summer (1959) ***
Et est-ce que quelqu'un a vu un bon film au ciné dernièrement. Ca doit faire un bon gros mois que je n'y suis pas allé et quand je regarde la liste des sorties, chaque semaine, ça m'incite plutôt à profiter du soleil...
Une recommandation ou vous êtes tous plongés dans vos DVD ?
Une recommandation ou vous êtes tous plongés dans vos DVD ?
Moi je suis dans mes DVD, j'ai entendu de bonnes critiques pour le film d'horreur The Conjuring, qu'on dit old-school, mais peut-être que ce n'est pas ton genre de film. J'ai hâte qu'il passe à la télé.
Je suis sensé me taper les deux téléséries Les rois maudits, mais je vais attendre de finir le 7e tome, même si il n'est pas adapté dans ni l'un ni l'autre.
"You're not Mr. Purple. Some guy on some other job is Mr. Purple. You're Mr. PINK." Revu Reservoir Dogs, je sais que sur le site on n'est pas tous fans de Tarantino, mais jusqu'à présent il n'y en a pas un que je n'ai pas aimé. Je trouve l'histoire claire et nette même si elle n'est pas racontée en ordre, la direction est superbe, les dialogues mémorables et les acteurs fondent vraiment dans leur rôle.
Je suis sensé me taper les deux téléséries Les rois maudits, mais je vais attendre de finir le 7e tome, même si il n'est pas adapté dans ni l'un ni l'autre.
"You're not Mr. Purple. Some guy on some other job is Mr. Purple. You're Mr. PINK." Revu Reservoir Dogs, je sais que sur le site on n'est pas tous fans de Tarantino, mais jusqu'à présent il n'y en a pas un que je n'ai pas aimé. Je trouve l'histoire claire et nette même si elle n'est pas racontée en ordre, la direction est superbe, les dialogues mémorables et les acteurs fondent vraiment dans leur rôle.
Et est-ce que quelqu'un a vu un bon film au ciné dernièrement. Ca doit faire un bon gros mois que je n'y suis pas allé et quand je regarde la liste des sorties, chaque semaine, ça m'incite plutôt à profiter du soleil...
Une recommandation ou vous êtes tous plongés dans vos DVD ?
Je suis allé voir Pour une femme, un film qui se laisse voir, sur la résistante et l'engagement, pendant et après la collaboration. C'est honnête.
J'en suis surtout à mes DVD ; rien ne me tente vraiment.
Ah, si, j'avais vu Les Beaux jours, que j'avais bien aimés. Je ne sais pas si ce film est toujours en salle, ni s'il correspond à ton genre.
Cette après-midi, j'ai vu L'Année dernière à Marienbad, d'Alain Resnais, adapté d'un roman et du scénario d'Alain Robbe-Grillet. Cette quête de communicabilité dans ce labyrinthe statique de bourgeois statufiés est assez intrigant. Les analyses psychologique et cinématographique de l'oeuvre sont possibles, sans que chacune d'elle suffise. La rationalité n'est pas un objectif recherché, d'où l'originalité de la démarche. Aussi, en 1961, le Nouveau roman tente-il d'influencer le cinéma.
Sinon, hier après-midi, j'ai revu, avec ma mère, Un homme qui me plaît, de Claude Lellouch, avec Annie Girardot et Jean-Paul Belmondo. C'est assez agréable, ça se laisse voir. Le film ne déborde pas d'originalité dans son scénario, les paysages à couper le souffle, le charme et le caractère des deux caractères principaux, la conception du film et de la musique de sa bande originale sont les éléments qui le sauvent du plat ordinaire. Il est agréable pour se détendre.
En cette période propice aux rediffusions TV, j'ai revu « Le Bossu » (version 1959). Avec « Le Capitan », « Le Bossu » a marqué mon enfance. A l’époque, le personnage du bossu me faisait peur (avec la petite musique particulière lors de ses apparitions). Ces films de cape et d’épée signés André Hunebelle connurent un gros succès dans les années 50/60. On retrouve ici tous les ingrédients du genre : le mélange d’humour et d’aventure, les duels, les cascades et autres cavalcades sur fond de complots machiavéliques. Si le ton gouailleur de Jean Marais peut agacer ; l'acteur donne vraiment de sa personne dans un rôle très physique. Quant aux méchants, ils sont particulièrement convaincants. En revanche, cette vengeance sur plusieurs années est truffée d’invraisemblances. Ainsi, l’enfant caché devient une femme alors que Lagardère ne prend pas une ride (ni Passepoil/Bourvil). A la fin, la mère de la princesse ressemble plus à une sœur. Et le mariage de la jeune femme avec Lagardère me paraît un peu gênant vu la différence d’âge supposée avec ce bébé devenu femme. Sinon, la réalisation est traditionnelle avec peu d’originalité dans les plans. Mais la photographie est très colorée. Il y a beaucoup de passages tournés en extérieur. Réservé aux nostalgiques.
Vu récemment à la TV (attention, je dévoile certains éléments) :
Signes (2001) : Comme souvent, le réalisateur mise tout sur l’ambiance. Night Shyamalan filme une histoire d’invasion extraterrestre vue par les personnages principaux à travers l’unique poste TV de leur maison. Sur un plan émotionnel, les images télévisuelles prises sur le vif valent toutes les scènes d’un « Independence Day ». Certains diront que Shyamalan joue une fois de plus l’économie. Moi, je pense que son style détonne. S’il privilégie le drame humain sur les effets spéciaux (la perte d’un être proche dans un accident, l’asthme du fils) ; le réalisateur distille une angoisse sournoise mais omniprésente tout le long du film (les motifs dans les champs de maïs, les sons, les voix dans le babyphone, une jambe et une main d’alien entraperçues, la paranoïa avec les feuilles d’aluminium sur la tête pour protéger ses pensées…). « Signes » surprend avec ses considérations religieuses inhabituelles pour un film de SF mettant en scène des extraterrestres. En effet, le personnage incarné par Mel Gibson perd la foi suite à la mort de sa femme. Dès lors, pour lui les êtres humains sont seuls. Tout n’est qu’hasard. Après l’apparition des extraterrestres, il retrouve la foi. Pourquoi ? Parce qu’après une crise d’asthme de son fils (poumons bloqués), le gaz mortel d’un extraterrestre (le seul du film mais assez « réaliste ») n’a pas d’effet sur le gamin. Mais, pourquoi mettre plus cela sur le compte d’une intervention divine que du hasard ? Côté interprétation, Mel Gibson est larmoyant à souhait. Joaquim Phoenix, lui a l’air bizarre. Mais dans le film, il joue le rôle d’un ex-sportif pas très intellectuel. Comme dans « La guerre des mondes », les envahisseurs partent à cause d’un élément terrestre dangereux pour eux (ici, l’eau). Au final, c’est mon Shyamalan préféré surtout grâce au climat instauré par le réalisateur. 8/10
Signes (2001) : Comme souvent, le réalisateur mise tout sur l’ambiance. Night Shyamalan filme une histoire d’invasion extraterrestre vue par les personnages principaux à travers l’unique poste TV de leur maison. Sur un plan émotionnel, les images télévisuelles prises sur le vif valent toutes les scènes d’un « Independence Day ». Certains diront que Shyamalan joue une fois de plus l’économie. Moi, je pense que son style détonne. S’il privilégie le drame humain sur les effets spéciaux (la perte d’un être proche dans un accident, l’asthme du fils) ; le réalisateur distille une angoisse sournoise mais omniprésente tout le long du film (les motifs dans les champs de maïs, les sons, les voix dans le babyphone, une jambe et une main d’alien entraperçues, la paranoïa avec les feuilles d’aluminium sur la tête pour protéger ses pensées…). « Signes » surprend avec ses considérations religieuses inhabituelles pour un film de SF mettant en scène des extraterrestres. En effet, le personnage incarné par Mel Gibson perd la foi suite à la mort de sa femme. Dès lors, pour lui les êtres humains sont seuls. Tout n’est qu’hasard. Après l’apparition des extraterrestres, il retrouve la foi. Pourquoi ? Parce qu’après une crise d’asthme de son fils (poumons bloqués), le gaz mortel d’un extraterrestre (le seul du film mais assez « réaliste ») n’a pas d’effet sur le gamin. Mais, pourquoi mettre plus cela sur le compte d’une intervention divine que du hasard ? Côté interprétation, Mel Gibson est larmoyant à souhait. Joaquim Phoenix, lui a l’air bizarre. Mais dans le film, il joue le rôle d’un ex-sportif pas très intellectuel. Comme dans « La guerre des mondes », les envahisseurs partent à cause d’un élément terrestre dangereux pour eux (ici, l’eau). Au final, c’est mon Shyamalan préféré surtout grâce au climat instauré par le réalisateur. 8/10
Et également, Ma vie est un enfer (1991) : Certes, cette comédie fantastique bien de chez nous pêche par son trop plein d’idées et le jeu excessif des acteurs (Balasko en tête). Mais pris individuellement, que les passages sont drôles, culottés et inventifs ! Oui, ça part souvent dans tous les sens ; oui, on frise souvent l’hystérie. Cependant, comment résister au numéro de Daniel Auteuil en diablotin incontrôlable, à l’excellent Michael Lonsdale en archange Gabriel (en ligne directe avec le Seigneur), aux clients du bar des démons mineurs (du 5ème cercle), aux transformations diverses (la mère de Balasko en hideuse petite vieille…, la palme aux deux créatures sexy : des panthères sorties directement de l’enfer ou encore Balasko en bimbo munie d’un sexe qui sodomise Richard Berry !) ? Les seconds rôles sont bien vus également (Benguigui en voisin libidineux au milieu de ses poupées gonflables, Richard Berry en psy pressé de jouer au golf etc.). Le film est truffé de détails drôles et originaux (les effets sur le corps de notre démon mineur après avoir consommé de la chartreuse qu’il guérit en buvant une bouteille de soude caustique !). A mi-chemin, c’est un autre film qui commence avec l’adaptation du personnage incarné par Daniel Auteuil à sa condition de mortel. Et, j’ai ri tout pareil. Au final, si le film est brouillon ; il fourmille d’idées et s’avère très divertissant. 7/10
Gros coup de coeur pour Biancanieves.
Comme son nom l'indique ce film muet de 2012 s'inspire de Blanche Neige mais transposée dans l'Andalousie des années 20 sous le thème de la tauromachie. Ce dernier point m'avait empêchée de voir ce film jusqu'ici.
A tort.
Une histoire bien écrite, un cadrage magnifique, avec contre plongées, plongées, gros plans de visage, une musique qui accompagne superbement les images (d'ailleurs est ce les images qui se calquent sur la musique ou l'inverse ?) et une mention spéciale au directeur de la photo.
J'oubliais de belles actrices notamment celle qui joue Carmen adolescente, une belle mère cruelle à souhait.
Le réalisateur arrive avec ses quelques images à faire ressentir le soleil de plomb, la fraîcheur des cours. Lorsque la foule rejoint l'arène
Des références cinématographiques : Bunuel, Freaks
Des plans magnifiques notamment celui de la fin de la belle-mère (le diable ?) ou l'arrivée de la foule à l'arène.
Une fin étonnante
J'en suis encore toute émerveillée, un film somptueux
Il frise le 10/10. J'avoue que je n'ai pas trouvé de défaut à cette heure.
Comme son nom l'indique ce film muet de 2012 s'inspire de Blanche Neige mais transposée dans l'Andalousie des années 20 sous le thème de la tauromachie. Ce dernier point m'avait empêchée de voir ce film jusqu'ici.
A tort.
Une histoire bien écrite, un cadrage magnifique, avec contre plongées, plongées, gros plans de visage, une musique qui accompagne superbement les images (d'ailleurs est ce les images qui se calquent sur la musique ou l'inverse ?) et une mention spéciale au directeur de la photo.
J'oubliais de belles actrices notamment celle qui joue Carmen adolescente, une belle mère cruelle à souhait.
Le réalisateur arrive avec ses quelques images à faire ressentir le soleil de plomb, la fraîcheur des cours. Lorsque la foule rejoint l'arène
Des références cinématographiques : Bunuel, Freaks
Des plans magnifiques notamment celui de la fin de la belle-mère (le diable ?) ou l'arrivée de la foule à l'arène.
Une fin étonnante
J'en suis encore toute émerveillée, un film somptueux
Il frise le 10/10. J'avoue que je n'ai pas trouvé de défaut à cette heure.
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