SJB pour une fois j'ai du mal. Ca me semble plus laborieux que de coutume comme si la répétition des 24/13 t'avait inhibé ?
SJB: on quitte le style un peu "épiquement drôle" auquel tu nous as habitué mais j'aime cette désesp-errance de ton texte, je le trouve beau et il porte une belle émotion.
Une question Fée :
C'est un spécial Provis, l'ombre du vent ou un spécial MM, avec notre ombre qui n'en finit plus de ne pas finir ?
Ni l'un ni l'autre :-), Tistou, plutôt l'ombre de mon coeur.....
"Elle ne rougit pas à mon soleil levant"
loup bleu; prétentieux!!!
loup bleu; prétentieux!!!
blue,
ça donne envie
sauf peut-être: "un cri: engoulevent" ça casse pas mal l'ambiance :))) je les imagine tous les deux transi et l'un qui se met hurler "ENGOULEVENT", l'autre de pouffer, "qu'est-ce tu racontes??"... :)))
je vois la scène; ça m'est souvent arrivé
Haha! Ben sauf que j'imaginais pas ça comme ça! Plutôt: ils entendent un cri: c'est l'engoulevent (mais pas de place pour le "c'est" dans mes comptes!!!)
On a retrouvé Sib qui nous revient avec un morceau digne de Baudelaire.
Bravo Sib !
Bravo Sib !
Lumineux, Nothingman, c'est l'image (rétinienne) qui me reste après première lecture.
"Elle ne rougit pas à mon soleil levant"
loup bleu; prétentieux!!!
Moi je dis, le loup du chaperon rouge s'est invité parmi nous et nous ne l'avions pas encore démasqué!!
C'est une très jolie atmosphère poétique Fée que tu nous offre. SJB, un peu de nostalgie mais j'avoue que "La bave du crapaud ignore l'engoulevent" et "gros Jean comme devant" sont très forts :-) Nothingman, un érotisme esquissé très agréable et Kill un érotisme consommé et inspiré.
Je ne sais pas pour vous, mais pour ma part, contrairement à ce que je pensais, j’ai trouvé ça dur à faire. Reprendre les vers et que le tout continue à avoir un sens… Pas évident
Je vais vous lire
Je vais vous lire
NOTHINGMAN: je vois un peu ton poème comme un tableau de Renoir, foule et lumière, légèreté, un petit côté rétro. J'aime!
blue,
ça donne envie
sauf peut-être: "un cri: engoulevent" ça casse pas mal l'ambiance :))) je les imagine tous les deux transi et l'un qui se met hurler "ENGOULEVENT", l'autre de pouffer, "qu'est-ce tu racontes??"... :)))
je vois la scène; ça m'est souvent arrivé
Haha! Ben sauf que j'imaginais pas ça comme ça! Plutôt: ils entendent un cri: c'est l'engoulevent (mais pas de place pour le "c'est" dans mes comptes!!!)
ou encore la femme peux s'écrier devant l'oiseau turgescent: "engoulevent!!!!" :))
Moi bizarrement j'ai trouvé ça assez facile mais surtout très ludique. J'en redemande.....
Pour les critiques, comme d'habitude, j'enverrai demain peandant l'une de mes pauses. Je lirai à tête reposée parce que là, j'ai la tête en chou fleur : études + écriture -))
"Elle ne rougit pas à mon soleil levant"Ben on peut rêver, c'est ça la poésie :-)
loup bleu; prétentieux!!!
J'ai beaucoup aimé ton : "Te voulais pour toujours dessus, dessous, devant" !
Inspiré le Killgrieg ! Ca se tient bien ton ...oun.
TISTOU: l'abnégation du coureur en mimétisme avec la forêt. Presqu'une drogue. Je serais pas étonnée que tu te sois inspiré de ta virée à 1400 m de l'autre jour... Un très beau texte, une belle foulée de mots. Ah, votre femme est fière, mon cher! ;o)
NOTHINGMAN: je vois un peu ton poème comme un tableau de Renoir, foule et lumière, légèreté, un petit côté rétro. J'aime!Mince ! J'allais dire exactement la même chose, j'ai eu la même "impression". En tout cas c'est une belle réussite.
fée, chaque fois que je te lis je vois légéreté, voile et flou artistique (non je ne dirai pas david hamilton mauvais esprits)... tu écris, je m'envole... t'es mon stupéfiant clien
Blue II plus hermétique que le I mais la poésie reste. Wouah, à la vitesse où tu vas, le prochain exo je n'en fais que 10% !
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