Quant à moi je vais voyager un peu dans mon fauteuil en regardant le tour d'Italie :-)
et moi qui pensait ne pas être allée très loin en allant en Bretagne !!! ;o)
Je suis un peu de ceux qui voyagent dans leur tête :-) Mais j'admire les gens qui voyagent pour du vrai, c'est une grande ouverture.
Je suis un peu de ceux qui voyagent dans leur tête :-) Mais j'admire les gens qui voyagent pour du vrai, c'est une grande ouverture.
mais moi aussi je voyage d'abord et avant tout dans ma tête, pour preuve toute cette liste de bouquins qui depuis mon fauteuil m'ont emmené loin, très loin
et puis même quand je prépare un voyage, je prépare, je lis, je recherche, je trace mon parcours sur une carte ... et je suis déja partie.
je crois que j'aime autant cette phase, ce voyage rêvé que celle où je suis en chemin
mais moi aussi je voyage d'abord et avant tout dans ma tête, pour preuve toute cette liste de bouquins qui depuis mon fauteuil m'ont emmené loin, très loin
et puis même quand je prépare un voyage, je prépare, je lis, je recherche, je trace mon parcours sur une carte ... et je suis déja partie.
je crois que j'aime autant cette phase, ce voyage rêvé que celle où je suis en chemin
alors, raconte nous !
quelles sont tes découvertes lors de ce festival ?
des noms ? je veux des noms !
A vos ordres ;=)
Juste une journée, la première, celle du jeudi.
Une rencontre intéressante le matin : Lisa Bresner, j’avais lu « Pekin est mon jardin » là elle présentait surtout son court métrage inspiré d’un roman jeunesse qu’elle venait d’écrire. Bon, moyen le court métrage, par contre quelle nana ! beaucoup d’aisance dans le discours et une vitalité communicative…
Sous les chapiteaux comme d’habitude, le supermarché du livre, avec quand même la possibilité de rencontrer des auteurs peu connus : cette année je me suis plantée dans mes achats avec en particulier un court roman absolument illisible mais qui avait deux atouts : un beau papier et une bonne « tchat » de l’écrivain. J’aurais la décence d’en taire les références par respect pour le monsieur sympathique.
Après-midi génial : la tour du château et ses rencontres poétiques avec au summum la rencontre avec Charles Juliet : homme rempli d’émotions et d’une rare qualité d’écoute. Il débattait avec Nimrod sur le thème : « d’où vient le poème ? » Deux angles de vue complètement différents, Charles Juliet écrit comme une introspection, Nimrod pour dire le monde. Un moment fort autour de l’écriture…
A noter aussi, toujours dans les remparts de St Malo une intervention sur Verlaine de Guy Goffette. Ce type est d’un enthousiasme extraordinaire et nous a fait découvrir (redécouvrir) Verlaine peut-être à sa juste valeur, en tous les cas sans l’ombre de Rimbaud.
Voilà mes impressions d’un jeudi glacial dans la cité corsaire réchauffée du talent de ceux qui nous éveillent !
quelles sont tes découvertes lors de ce festival ?
des noms ? je veux des noms !
A vos ordres ;=)
Juste une journée, la première, celle du jeudi.
Une rencontre intéressante le matin : Lisa Bresner, j’avais lu « Pekin est mon jardin » là elle présentait surtout son court métrage inspiré d’un roman jeunesse qu’elle venait d’écrire. Bon, moyen le court métrage, par contre quelle nana ! beaucoup d’aisance dans le discours et une vitalité communicative…
Sous les chapiteaux comme d’habitude, le supermarché du livre, avec quand même la possibilité de rencontrer des auteurs peu connus : cette année je me suis plantée dans mes achats avec en particulier un court roman absolument illisible mais qui avait deux atouts : un beau papier et une bonne « tchat » de l’écrivain. J’aurais la décence d’en taire les références par respect pour le monsieur sympathique.
Après-midi génial : la tour du château et ses rencontres poétiques avec au summum la rencontre avec Charles Juliet : homme rempli d’émotions et d’une rare qualité d’écoute. Il débattait avec Nimrod sur le thème : « d’où vient le poème ? » Deux angles de vue complètement différents, Charles Juliet écrit comme une introspection, Nimrod pour dire le monde. Un moment fort autour de l’écriture…
A noter aussi, toujours dans les remparts de St Malo une intervention sur Verlaine de Guy Goffette. Ce type est d’un enthousiasme extraordinaire et nous a fait découvrir (redécouvrir) Verlaine peut-être à sa juste valeur, en tous les cas sans l’ombre de Rimbaud.
Voilà mes impressions d’un jeudi glacial dans la cité corsaire réchauffée du talent de ceux qui nous éveillent !
J'ai entendu parlé de Robert Byron, en particulier son livre "The road to oxiana" (je crois qu'il est traduit). Un voyage en Perse, Afghanistan, par un écrivain comme je les aime à lire la description succincte ici Ça me tente beaucoup.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Byron
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Byron
Par certains côtés La Douane de mer, de Jean d'Ormesson, Train de nuit pour Lisbonne, de Pascal Mercier. C'était le cas avec Le Tour du monde en quatre-vingts jours, de Jules Verne, mais ça fait un bon bail que je ne l'ai pas relu. A sa manière, il y a aussi Elle lui dirait dans l'île, de Françoise Xenakis.
"Le petit traité sur l'immensité du monde" de Sylvain Tesson, géographe voyageur et -ce qui ne gâte rien- belle plume.
Dédié ce jour à Palorel.
Dédié ce jour à Palorel.
Il y a la petite collection d'anthologie de poche "Le goût de ..." qui donne envie de découvrir les villes ou pays décrits par les textes choisis ; les dictionnaires amoureux également (pour ceux que j'ai lus bien sûr).
Shantaram m'avait vraiment donné envie d'aller en Inde.
D'ailleurs, faudrait que j'y aille...
D'ailleurs, faudrait que j'y aille...
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