Sibylline 16/10/2004 @ 18:15:59
Musset! Perdu.

Beautoucan 16/10/2004 @ 18:16:02
ça me fait penser à Musset, vieille réminicence ? sans certitude
gagné...

Ghislaine 16/10/2004 @ 20:11:56
A ton tour Kilis de t'amuser et ce, sans google bien sûr :

" Quelle odeur sens-je en cette chambre?
Quel doux parfum de musc et d'ambre
Me vient le cerveau réjouir
Et le coeur épanouir ? "

Balamento 16/10/2004 @ 20:14:39
Jacques Chirac ?

Ghislaine 16/10/2004 @ 20:16:07
Tu as de l'humour Balamento ! Mais non, désolée, ce n'est pas exactement notre Président...

Kilis 16/10/2004 @ 22:06:31
je ne sais de qui c'est, ghislaine, mais je n'aime pas trop "sens-je".

Beautoucan 16/10/2004 @ 22:09:22
"Ha! bon Dieu! J'en tombe en extase :
Ces belles fleurs qui dans ce vase
Parent le haut de ce buffet
Feraient-elles bien cet effet ?"

Balamento 16/10/2004 @ 22:26:09
Jacques Toubon ? (ex-ministre de la culture, précisons le ;-))

Beautoucan 16/10/2004 @ 22:46:38
Jacques Toubon ? (ex-ministre de la culture, précisons le ;-))
ne pas trop chercher, tout le reste du "poème" est de ce cru, pas très riche ni enrichissant.

Ghislaine 16/10/2004 @ 23:00:40
Il s'agit du poème "Le Melon" de Marc-Antoine de Saint-Amant. Certes sans prétention, il se veut tout de même plaisant et le but de cet exercice n'est-il pas de s'amuser avant toute chose ?

Beautoucan 16/10/2004 @ 23:04:19
Il s'agit du poème "Le Melon" de Marc-Antoine de Saint-Amant. Certes sans prétention, il se veut tout de même plaisant et le but de cet exercice n'est-il pas de s'amuser avant toute chose ?
c'est vrai Ghislaine, alors son texte sur "le fromage" est encore pire, pardon, encore plus hilarant

Kilis 17/10/2004 @ 20:52:24
Nouvelle proposition.
De qui sont ceux-ci?



Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie.
J’ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m’est et trop molle et trop dure.
J’ai grands ennuis entremêlés de joie

Sibylline 17/10/2004 @ 20:55:08
Villon

Balamento 17/10/2004 @ 21:03:53
Jack La Motta ? (parce que ça a la pêche ça ! ;-))

Kilis 17/10/2004 @ 21:09:52
Villon

Non, c'est une femme, Sib

Fee carabine 17/10/2004 @ 21:18:50
Louise Labé

Voir http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…

pour le texte complet, et un autre très beau poème du même auteur

Fee carabine 17/10/2004 @ 21:20:53
Et ça a la pêche, ça oui!
Voilà un poème qui ne fait pas ses cinq siècles!

Balamento 17/10/2004 @ 21:31:11
Je ne l'ai jamais lue qu'en parcelle, mais effectivement l'aura qui a pu m'en parvenir me fait dire que, oui, cette Louise là, c'est de la dyyyyynnnamite !

Fee carabine 17/10/2004 @ 21:35:27
Nouvelle devinette:

Chimères, nous sommes montés au plateau.
Le silex frissonnait sous les sarments de l'espace ;
La parole, lasse de défoncer, buvait au débarcadère angélique.
Nulle farouche survivance :
L'horizon des routes jusqu'à l'afflux de rosée,
L'intime dénouement de l'irréparable.

Voici le sable mort, voici le corps sauvé :
La Femme respire, l'Homme se tient debout.

Balamento 17/10/2004 @ 21:36:12
Louise Labé http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…


Un truc qui coupe le souffle !

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