Musset! Perdu.
ça me fait penser à Musset, vieille réminicence ? sans certitudegagné...
A ton tour Kilis de t'amuser et ce, sans google bien sûr :
" Quelle odeur sens-je en cette chambre?
Quel doux parfum de musc et d'ambre
Me vient le cerveau réjouir
Et le coeur épanouir ? "
" Quelle odeur sens-je en cette chambre?
Quel doux parfum de musc et d'ambre
Me vient le cerveau réjouir
Et le coeur épanouir ? "
Jacques Chirac ?
Tu as de l'humour Balamento ! Mais non, désolée, ce n'est pas exactement notre Président...
je ne sais de qui c'est, ghislaine, mais je n'aime pas trop "sens-je".
"Ha! bon Dieu! J'en tombe en extase :
Ces belles fleurs qui dans ce vase
Parent le haut de ce buffet
Feraient-elles bien cet effet ?"
Ces belles fleurs qui dans ce vase
Parent le haut de ce buffet
Feraient-elles bien cet effet ?"
Jacques Toubon ? (ex-ministre de la culture, précisons le ;-))
Jacques Toubon ? (ex-ministre de la culture, précisons le ;-))ne pas trop chercher, tout le reste du "poème" est de ce cru, pas très riche ni enrichissant.
Il s'agit du poème "Le Melon" de Marc-Antoine de Saint-Amant. Certes sans prétention, il se veut tout de même plaisant et le but de cet exercice n'est-il pas de s'amuser avant toute chose ?
Il s'agit du poème "Le Melon" de Marc-Antoine de Saint-Amant. Certes sans prétention, il se veut tout de même plaisant et le but de cet exercice n'est-il pas de s'amuser avant toute chose ?c'est vrai Ghislaine, alors son texte sur "le fromage" est encore pire, pardon, encore plus hilarant
Nouvelle proposition.
De qui sont ceux-ci?
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie.
J’ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m’est et trop molle et trop dure.
J’ai grands ennuis entremêlés de joie
De qui sont ceux-ci?
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie.
J’ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m’est et trop molle et trop dure.
J’ai grands ennuis entremêlés de joie
Villon
Jack La Motta ? (parce que ça a la pêche ça ! ;-))
Villon
Non, c'est une femme, Sib
Louise Labé
Voir http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
pour le texte complet, et un autre très beau poème du même auteur
Voir http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
pour le texte complet, et un autre très beau poème du même auteur
Et ça a la pêche, ça oui!
Voilà un poème qui ne fait pas ses cinq siècles!
Voilà un poème qui ne fait pas ses cinq siècles!
Je ne l'ai jamais lue qu'en parcelle, mais effectivement l'aura qui a pu m'en parvenir me fait dire que, oui, cette Louise là, c'est de la dyyyyynnnamite !
Nouvelle devinette:
Chimères, nous sommes montés au plateau.
Le silex frissonnait sous les sarments de l'espace ;
La parole, lasse de défoncer, buvait au débarcadère angélique.
Nulle farouche survivance :
L'horizon des routes jusqu'à l'afflux de rosée,
L'intime dénouement de l'irréparable.
Voici le sable mort, voici le corps sauvé :
La Femme respire, l'Homme se tient debout.
Chimères, nous sommes montés au plateau.
Le silex frissonnait sous les sarments de l'espace ;
La parole, lasse de défoncer, buvait au débarcadère angélique.
Nulle farouche survivance :
L'horizon des routes jusqu'à l'afflux de rosée,
L'intime dénouement de l'irréparable.
Voici le sable mort, voici le corps sauvé :
La Femme respire, l'Homme se tient debout.
Louise Labé http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Un truc qui coupe le souffle !
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