Non loin, quelques bœufs blancs, couchés parmi les herbes
Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais,
Et suivent de leurs yeux languissants et superbes
Le songe intérieur qu’ils n’achèvent jamais.
Jouons un peu.
De qui sont ces quatre vers ? De quel poème sont-ils extraits ?
Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais,
Et suivent de leurs yeux languissants et superbes
Le songe intérieur qu’ils n’achèvent jamais.
Jouons un peu.
De qui sont ces quatre vers ? De quel poème sont-ils extraits ?
Bonsoir Killis,
J'aime tout particulièrement les jeux... Merci Killis. Ces vers sont de Leconte de Lisle : " Midi."
http://florilege.free.fr/florilege/leconte/…
J'aime tout particulièrement les jeux... Merci Killis. Ces vers sont de Leconte de Lisle : " Midi."
http://florilege.free.fr/florilege/leconte/…
C'est pas du jeu ça, Ghislaine, d'aller voir sur Google.
Nouvelle proposition:
"Lorsque la première eau qu'on y verse est impure, l'océan passerait sans laver la souillure, car l'abîme est profond et la tache est au fond."
Nouvelle proposition:
"Lorsque la première eau qu'on y verse est impure, l'océan passerait sans laver la souillure, car l'abîme est profond et la tache est au fond."
Rassurez-moi.....là..
J'en sais rien...moi!!!
J'en sais rien...moi!!!
ça me fait penser à Musset, vieille réminicence ? sans certitude
Rimbaud, non
"Vanité" ou me trompè-je ?
Je fous fiche mon billet de 500 balles
Bonjour Yali ?!
500 balles! Forcément, ça n'a plus cours.
"Car l'abime est profond et la tache est au fond"
Beuh, le mec qui a écrit ça, il a confondu avec la culture rap: la rime interne n'avait pourtant pas bonne presse à l'époque. Non, c'est : "Car l'abime est immense et la tache est au fond".
Cela dit, je n'avais pas trouvé et comme ça, spontanément, j'aurais dit Victor je crois. Mais non.
Beuh, le mec qui a écrit ça, il a confondu avec la culture rap: la rime interne n'avait pourtant pas bonne presse à l'époque. Non, c'est : "Car l'abime est immense et la tache est au fond".
Cela dit, je n'avais pas trouvé et comme ça, spontanément, j'aurais dit Victor je crois. Mais non.
Dans l'exemple de Kilis, moi, c'est la diérèse sur "intérieur" qui me met en transes. Vous ne trouvez pas que c'est encore plus "intérieur" quand ça prend 4 pieds pour le dire ?
Non loin, quelques bœufs blancs, couchés parmi les herbes
Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais,
Et suivent de leurs yeux languissants et superbes
Le songe intérieur qu’ils n’achèvent jamais.
Jouons un peu.
De qui sont ces quatre vers ? De quel poème sont-ils extraits ?
"diérèse" kesako ?
Bonjour Yali ?!
Salut Beautoucan
500 balles! Forcément, ça n'a plus cours.
Si, avec la tronche de l'auteur dessus, il me semble.
Victor Hugo ?
Victor Lanoux ?
Personne ne se souvient des biftons de 500 balles et de la tronche du monsieur figurant dessus ? Je me trompe Kilis ?
Je vous dois à tous des excuses, je citais de mémoire et celle-ci n'est pas si fidèle dirait-on.
Alors voici le bon texte:
Le coeur de l'homme vierge est un vase profond:
Lorsque la première eau qu'on y verse est impure,
La mer y passerait sans laver la souillure,
Car l'abîme est immense et la tache est au fond.
Alfred de MUSSET
Alors voici le bon texte:
Le coeur de l'homme vierge est un vase profond:
Lorsque la première eau qu'on y verse est impure,
La mer y passerait sans laver la souillure,
Car l'abîme est immense et la tache est au fond.
Alfred de MUSSET
M… Perdu !
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