En fait, pour tout te dire, fee carabine, je suis qu'un pauvre inculte. De la culture belge, je connais les blagues, Brel, Simenon, Nothomb et peut-être un ou deux trucs. Pardonne-moi mon inculture. Si j'ai mis "Et Simenon ?" ce n'était que strictement pour faire mon intéressant, genre "Je m'y connais en littérature belge" alors que, pas du tout. Ca c'est sur, j'ai pas oublié d'être con.
Lol
Ciao
Kim
Lol
Ciao
Kim
Ah oui, je connais Van Cauwelaert et les BD !
En fait, j'ai lancé l'idée de ce forum pour donner un coup de projecteur sur les écrivains belges qui ne sont pas - ou pas assez - connus, ce qui n'est pas vraiment le cas de Simenon....EXACTEMENT ! Moucher un nez morveux des fois ça fait du bien, aux deux.
D'où la réaction de Monique (enfin, je suppose).
Et puis, tu pourrais nous donner ton avis, on attend tes critiques avec impatience ;-).Alors ça NON !! Pitié ! On a eu la dose de mini-"critiques" sans intérêt et superfétatoires, vraiment. Pas d'encouragements ! Ne serait-ce que pour le bien du serveur.
Bon, je reste calme. Monique, égale à elle même, toujours très courageuse qui s'attaque forécment aux moins érudits qu'elle. C'est facile, un gosse. Monique, calmer-toi. Je n'avias pas compris le message de Benoit sur l'autre post, mais lmaintenant, je le comprends. Mais puisque je ne passe pas mon temps sur les forums, je ne peux pas savoir tout ce qui se dit derrière mon dos.
Franchement, pour un site parlant de livres et de littérature, j'en trouve certains pas très ouverts.
Franchement, pour un site parlant de livres et de littérature, j'en trouve certains pas très ouverts.
Tu as raison de rester calme, et tu ne devrais pas faire un complexe comme ça, je n'ai jamais dit que tu étais moins érudit que moi ou moi plus que toi. Respectons juste ici le sujet du forum, je vais ailleurs.
Je n'ai pas de complexe, je sais bien que je suis moins cultivé que tous les gens du forum. Mais pourquoi, car j'ai 11 ans, il y a des gens qui me tombent dessus sous prétexte que je fais des critiques-éclair peut-être pas très constructives. J'ai vu d'autres lecteurs faire des critiques que je ne juge pas meilleurs, mais on ne les a pas traité de morveux et autres noms péjoratifs. Donc, si tu ne m'aimes pas, Monique, tu n'as qu'à ne plus parler demoi. J'en ai marre ! J'ai pas envie de repéter les boulons comme l'autre soir, mais si ca continue à c't'allure, j'vais recommencer. Sakhti, apparemment, s'est calmée, je suis content, parce que j'aime bien ses critiques, etc... Mais toi, tu es une irréductible.
Sans animosité aucune
Kim
Sans animosité aucune
Kim
Caroline Lamarche
Eugène Savitzkaya
Nicole Malinconi
Eva Kavian
François Emmanuel
...
Et chez les anciens, Scutenaire, Chavée, Nougé (La chambre aux miroirs), François Jacqmain (Les saisons), ...
Eugène Savitzkaya
Nicole Malinconi
Eva Kavian
François Emmanuel
...
Et chez les anciens, Scutenaire, Chavée, Nougé (La chambre aux miroirs), François Jacqmain (Les saisons), ...
K.V.Q,
Il me semble que ce forum te propose une belle sélection d'écrivains belges à découvrir... si le coeur t'en dit.
Et pour ce qui est de tes critiques, je suis d'accord avec Sakhti, j'ai envie d'en savoir plus... mais, à voir ta critique de "Contretemps", tu es sur la bonne voie ;-). Alors surtout, continue à nous parler des livres que tu aimes... parce que c'est avant tout pour ça qu'on est ici, non ? Même si on n'est pas toujours du même avis (heureusement d'ailleurs, quelle monotonie sinon!) et même si on se bagarre un peu ... ;-)
Il me semble que ce forum te propose une belle sélection d'écrivains belges à découvrir... si le coeur t'en dit.
Et pour ce qui est de tes critiques, je suis d'accord avec Sakhti, j'ai envie d'en savoir plus... mais, à voir ta critique de "Contretemps", tu es sur la bonne voie ;-). Alors surtout, continue à nous parler des livres que tu aimes... parce que c'est avant tout pour ça qu'on est ici, non ? Même si on n'est pas toujours du même avis (heureusement d'ailleurs, quelle monotonie sinon!) et même si on se bagarre un peu ... ;-)
EXACTEMENT ! Moucher un nez morveux des fois ça fait du bien, aux deux.
Pour une instit, traiter un garçon de 11 ans de morveux et s'acharner sur lui, c'est un peu limite, non ?
Ou alors, ils ne doivent pas rigoler tous les jours tes élèves ? mais peut être n'ont ils pas autant lu et restent ils à "leur place", moins "dérangeante", loin du monde des adultes ...
Bref, ceci dit pour souligner que je suis de ceux qui pense que KVQ a bien mérité un peu de tranquillité. Il a toute sa place sur le site, d'autant plus qu'il commence à développer un peu plus ses critiques ...
Comme ça, c'est plus lisible :
Pour une instit, traiter un garçon de 11 ans de morveux et s'acharner sur lui, c'est un peu limite, non ?
Ou alors, ils ne doivent pas rigoler tous les jours tes élèves ? mais peut être n'ont ils pas autant lu et restent ils à "leur place", moins "dérangeante", loin du monde des adultes ...
Bref, ceci dit pour souligner que je suis de ceux qui pense que KVQ a bien mérité un peu de tranquillité. Il a toute sa place sur le site, d'autant plus qu'il commence à développer un peu plus ses critiques ...
EXACTEMENT ! Moucher un nez morveux des fois ça fait du bien, aux deux.
Pour une instit, traiter un garçon de 11 ans de morveux et s'acharner sur lui, c'est un peu limite, non ?
Ou alors, ils ne doivent pas rigoler tous les jours tes élèves ? mais peut être n'ont ils pas autant lu et restent ils à "leur place", moins "dérangeante", loin du monde des adultes ...
Bref, ceci dit pour souligner que je suis de ceux qui pense que KVQ a bien mérité un peu de tranquillité. Il a toute sa place sur le site, d'autant plus qu'il commence à développer un peu plus ses critiques ...
Hum Hum Hum, revenons aux auteurs belges...
J'ai noté que personne n'a encore parlé de Jean Ray. Le fantastique a aussi son grand écrivain belge.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, je vous conseille ce site très détaillé : www.noosfere.com/heberg/jeanray/
Le livre qui m'a le plus marquée? Sans aucun doute "Malpertuis".
Voici un extrait de sa critique dans le magazine Fiction en mai 1955 par Alain DOREMIEUX
Je ne sais qu'ajouter j'en garde en effet un souvenir que mes mots ne peuvent décrire...
J'ai noté que personne n'a encore parlé de Jean Ray. Le fantastique a aussi son grand écrivain belge.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, je vous conseille ce site très détaillé : www.noosfere.com/heberg/jeanray/
Le livre qui m'a le plus marquée? Sans aucun doute "Malpertuis".
Voici un extrait de sa critique dans le magazine Fiction en mai 1955 par Alain DOREMIEUX
"Vis-à-vis de ce livre extraordinaire, il y a deux attitudes possibles : la perplexité ou l'admiration qui vous laisse bouche bée. Les lecteurs non "prédisposés" à s'abandonner à l'ivresse qu'il procure ne dépasseront pas le premier chapitre... ils le refermeront avec consternation et le fuiront avec la stupeur que vous inspirerait un animal d'une autre planète ! Avis par conséquent à ceux qui, même amateurs de fantastique, tiennent à voir conservée dans les conséquences d'un postulat une certaine part de rigueur logique -mais pourquoi le fantastique aurait-il à se soucier de logique ? Celui de "Malpertuis" échappe aux mesures, prolifère avec une exubérance de jungle vénéneuse, coupe tous les liens avec le réel, le monde diurne, la vérité concrète. Il vous plonge dans une nuit peuplée de monstres inédits, où toutes les terreurs peuvent arriver, où l'impossible est possible, où le cauchemar vous guette à chaque détour comme les apparitions dans les "trains-fantômes" des foires. C'est hallucinant, irrespirable ; on en émerge comme d'une plongée dans un bain de soufre... Bref, c'est magnifique."
Je ne sais qu'ajouter j'en garde en effet un souvenir que mes mots ne peuvent décrire...
Incroyable! Personne n'a cité Michaux! Et quand je regarde la liste des livres critiqués, j'ai du mal à croire que personne n'ait jamais parlé de Plume, d'Ailleurs, d'Un barbare en Asie ou d'Ecuador.
A ça j'ajouterais aussi "La danse du fumiste" de Paul Emond (qui n'écrit plus que du théâtre, malheureusement) et "L'employé" de Jacques Sternberg.
Puis j'ajouterais ma voix à ceux qui ont déjà évoqué André Baillon (le plus humain de tous, le plus fou et le plus drôle), Adamek et Gunzig. Mais moi, j'aime bien lire les romans de Xavier Deutsch : ça a du souffle, ça fait voyager sur la frontière entre l'imaginaire et la réalité, c'est de la vraie littérature.
A ça j'ajouterais aussi "La danse du fumiste" de Paul Emond (qui n'écrit plus que du théâtre, malheureusement) et "L'employé" de Jacques Sternberg.
Puis j'ajouterais ma voix à ceux qui ont déjà évoqué André Baillon (le plus humain de tous, le plus fou et le plus drôle), Adamek et Gunzig. Mais moi, j'aime bien lire les romans de Xavier Deutsch : ça a du souffle, ça fait voyager sur la frontière entre l'imaginaire et la réalité, c'est de la vraie littérature.
je rajoute un nom qui m'a donné beaucoup de plaisir, c'est celui de Charles Bertin, j'ai lu une histoire de"dame en son jardin de Brugges" (titre exact? je ne l'ai pas sous la main...) et le jardin du désert, tous deux très beaux romans, sensibles, poétiques, à lire.
Il me revient aussi en mémoire un Jacques-Gérard Linze, intitulé "un moment d'égarement" qui m'avait bien plu à l'époque.
Quant à François Emmanuel, après moults essais, je dois dire que j'ai abandonné... Ce n'est qu'une question de goût perso et donc subjectif mais je suis totalement rétif à son style; ça ne me parle pas du tout et même ça m'irrite; j'ai l'impression en en discutant à gauche à droite d'être le seul à ressentir ça...
Il me revient aussi en mémoire un Jacques-Gérard Linze, intitulé "un moment d'égarement" qui m'avait bien plu à l'époque.
Quant à François Emmanuel, après moults essais, je dois dire que j'ai abandonné... Ce n'est qu'une question de goût perso et donc subjectif mais je suis totalement rétif à son style; ça ne me parle pas du tout et même ça m'irrite; j'ai l'impression en en discutant à gauche à droite d'être le seul à ressentir ça...
Sans parler des "classiques" Simenon, Steeman, Ray, Owen...
Sans remonter aux "anciens" Verhaeren, Maeterlinck...
Sans oublier Amélie Nothomb dont il faudrait citer à peu près tous les titres...
Pour me limiter à quelques coups de coeur parmi les vivants, je citerais :
Nicolas Ancion, entre les ours en peluche de son enfance et le réalisme social (Quatrième étage);
Eugène Savitzkaya, une écriture flamboyante, une haute conception du métier d'écrivain (Marin mon coeur, Un jeune homme trop gros, La disparition de maman, Fou civil...);
Françoise Houdart, portraits d'une femme à la recherche d'elle-même, un modèle d'exigence (Camino, Belle-Montre, Née Pélagie D...);
Patrick Virelles, un amoureux des mots, un fildefériste du langage (Les pigeons de Notre-Dame, Peau de Vélin);
Alexandre Millon, mélange de machisme méditerranéen et de tendresse nostalgique(La ligne blanche, Mer calme à peu agitée);
Jean-Luc Wart, le chantre épique du Moyen-Age (Le lion de sable);
Caroline Lamarche, les audaces d'une femme torturée (Le jour du chien, L'Ours, La nuit l'après-midi);
Colette Nys-Mazure, une lueur d'espoir, une poésie incarnée dans le quotidien (Célébration du quotidien, Contes d'espérance, La chair du poème);
Foulek Ringelheim, l'humour noir et grinçant d'un juge devenu écrivain (Le juge Goth, La seconde vie d'Abram Potz);
Ariane Le Fort, l'exploration épurée des pièges que nous tend la vie (Beau-Fils);
Michel Torrekens, un grand ciseleur de petites histoires (Foetus fait la tête);
Marcel Peltier, l'imprécateur oulipien aux tirages confidentiels (Le carré rouge, Voyelles sensuelles, les Chemins inConnus de la Contrainte);
Eric Allard, le gentil Kafka carolo aux tirages plus que confidentiels dont on reparlera (Penchants retors);
Jean-Claude Bologne, l'intello de la classe aux intrigues à la Eco (Le mysticisme athée, l'homme-fougère);
Thierry Bellefroid, l'animateur télé au sourire de gendre idéal qui sait aussi tenir une plume (Zestes mondains);
...
Sans remonter aux "anciens" Verhaeren, Maeterlinck...
Sans oublier Amélie Nothomb dont il faudrait citer à peu près tous les titres...
Pour me limiter à quelques coups de coeur parmi les vivants, je citerais :
Nicolas Ancion, entre les ours en peluche de son enfance et le réalisme social (Quatrième étage);
Eugène Savitzkaya, une écriture flamboyante, une haute conception du métier d'écrivain (Marin mon coeur, Un jeune homme trop gros, La disparition de maman, Fou civil...);
Françoise Houdart, portraits d'une femme à la recherche d'elle-même, un modèle d'exigence (Camino, Belle-Montre, Née Pélagie D...);
Patrick Virelles, un amoureux des mots, un fildefériste du langage (Les pigeons de Notre-Dame, Peau de Vélin);
Alexandre Millon, mélange de machisme méditerranéen et de tendresse nostalgique(La ligne blanche, Mer calme à peu agitée);
Jean-Luc Wart, le chantre épique du Moyen-Age (Le lion de sable);
Caroline Lamarche, les audaces d'une femme torturée (Le jour du chien, L'Ours, La nuit l'après-midi);
Colette Nys-Mazure, une lueur d'espoir, une poésie incarnée dans le quotidien (Célébration du quotidien, Contes d'espérance, La chair du poème);
Foulek Ringelheim, l'humour noir et grinçant d'un juge devenu écrivain (Le juge Goth, La seconde vie d'Abram Potz);
Ariane Le Fort, l'exploration épurée des pièges que nous tend la vie (Beau-Fils);
Michel Torrekens, un grand ciseleur de petites histoires (Foetus fait la tête);
Marcel Peltier, l'imprécateur oulipien aux tirages confidentiels (Le carré rouge, Voyelles sensuelles, les Chemins inConnus de la Contrainte);
Eric Allard, le gentil Kafka carolo aux tirages plus que confidentiels dont on reparlera (Penchants retors);
Jean-Claude Bologne, l'intello de la classe aux intrigues à la Eco (Le mysticisme athée, l'homme-fougère);
Thierry Bellefroid, l'animateur télé au sourire de gendre idéal qui sait aussi tenir une plume (Zestes mondains);
...
Et l'écrivain de polars zen Janwillem Van De Metering (édité en RIVAGES NOIR), c'est pas un Belge?
Parce qu'avec un nom pareil, il est sûrment belge, non ?
Parce qu'avec un nom pareil, il est sûrment belge, non ?
Janwillem Van de Wetering, pardon. J'ai fait une co(q)uille
Parce qu'avec un nom pareil, il est sûrment belge, non ?
J'ai ce genre de réflexion en horreur...
Et non il est Hollandais, né à Rotterdam, à moins que Rotterdam soit en Belgique de nos jours.
Pardon. Mais comme il y a Van Cauwelaert, je pensais que c'étais pareil avec Van de Wetering. Je suis un peu con, ca doit être pour ca. LOL
Et que veux dire "J'ai ce genre de réflexion en horreur", Polochon ?
Et que veux dire "J'ai ce genre de réflexion en horreur", Polochon ?
Suite sur Badinages si tu veux je ne veux pas encombrer ce fuseau plein de bonnes idées de lecture.
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