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Forums  :  Forum des livres  :  OE  :  OE de Velina Zvancharova

LesieG

avatar 27/02/2015 @ 16:56:52
Enfin je vais être utile :
1/ vous allez sur Facebook, votre site
2/ vous tapez dans rechercher ami le nom de l'auteur
3/ vous n'avez plus qu'à lui envoyer un message.

Miracle littéraire 27/02/2015 @ 16:59:32
Je vous adore LesieG! Si on aime un roman on est forcément l'auteur? On ira loin comme ça.
Je n'aime pas trop les nouvelles technologies, j'ai pas de facebook.

LesieG

avatar 27/02/2015 @ 17:06:05
Bon sang il a encore rien compris, vous allez sur VOTRE FACEBOOK à votre nom à vous personnel, ça veut pas dire que vous êtes l'auteur, je suis désolée mais je ne pourrai pas vous traduire ça en métaphore.

Alors il faut vous créer un compte FACEBOOK à vous, personnel, à votre nom, J'AI BIEN COMPRIS que vous n'étiez pas l'auteur, c'est la seule et unique façon de pouvoir éventuellement communiquer avec elle... et je lui souhaite bon courage ;)))

Miracle littéraire 27/02/2015 @ 17:15:35
Non , si je vais sur facebook, je n'aurai pas de temps pour être ici:) Je ne peux pas vous faire ça! J'aime rencontrer les auteurs sur les Salons littéraires, en vrai.

Miracle littéraire 27/02/2015 @ 17:21:50
Merci sisi de votre gentillesse d'avoir arrêté les attaques lourdes vers moi. Enfin on peut parler de la littérature.

Dirlandaise

avatar 27/02/2015 @ 17:26:41
Non , si je vais sur facebook, je n'aurai pas de temps pour être ici:)


Personne ne s'en plaindra...

Stavroguine 27/02/2015 @ 17:41:02
DON'T FEED THE F***ING TROLL !!!

Laissez ce fil couler, le livre avec et arrêtez de répondre et d'alimenter ce fil pour que Miracle littéraire puisse continuer à rebondir : il n'attend que ça quoi que vous disiez.

Miracle littéraire 27/02/2015 @ 18:34:02
Mais moi je plains certains et je veux les aider. Ici l'ignorance littéraire et la méchanceté n'ont pas leur place.

Miracle littéraire 27/02/2015 @ 19:54:14
J'espère pouvoir enfin parler librement d'un roman !?

Miracle littéraire 28/02/2015 @ 15:01:22
Chers amis, je reviens et j'espère vivement trouver parmi vous des lecteurs ayant lu OE pour échanger en toute sérénité. Chez certains ce roman a suscité beaucoup de jalouse et a provoqué des comportements fort négatifs. Pourtant c'est un roman lumière.
Bon week-end!

DE GOUGE
avatar 04/03/2015 @ 22:40:00
Miracle littéraire, il y a des milliards de livres, hors OE (que je ne rejette pas) sur lesquels on peut échanger. Et là, bienvenue à toi !
Si ton envie est de partager sur l'ensemble de ce que tu découvres sur un plan littéraire, nous sommes là, et bienveillants.
A ++++

Pieronnelle

avatar 04/03/2015 @ 23:02:45
Miracle littéraire, il y a des milliards de livres, hors OE (que je ne rejette pas) sur lesquels on peut échanger. Et là, bienvenue à toi !
Si ton envie est de partager sur l'ensemble de ce que tu découvres sur un plan littéraire, nous sommes là, et bienveillants.
A ++++

Un peu de propos apaisants ça fait du bien :-)

Miracle littéraire 09/03/2015 @ 13:33:51
A l'occasion du Printemps des Poètes, je partage avec vous quelques extraits poétiques:

"L’homme qui échangeait des pommes d’amour contre des pièces de métal, ouvrit largement la bouche et se pinça la joue, prise en otage par un bouton d’acné. Merveilleusement doux, le gant de velours apaisa la peau imparfaite, mais pas la réalité en face. La petite fille se retourna de dos. Sans avoir repris ses forces, elle reprit le chemin. Trouée par le temps et les mites, l’écharpe sur elle peinait à séduire la chaleur. Pendant la plus glaciale des saisons, cet accessoire jouait mal le rôle du manteau. La vie réussissait rarement le casting de son œuvre."

" La lumière du jour égouttait ses dernières gouttes d’existence renouvelable, lorsqu’un rossignol s’installa sur une branche du poirier et enchaîna son chant crépusculaire. La mélodie délicieuse parfumait de merveille chaque cellule de l’air. Intempestivement, une note foudroyante endommagea affreusement le paysage sonore. Et le paysage physique : affolé d’épouvante, le rossignol tomba de l’arbre et atterrit laidement sur l’épine. Son petit cœur n’avait pas résisté au cri de la jeune fille.
Excité par l’odeur, le chien courut vers le lieu du drame. Ses dents de bête tripotèrent hideusement le corps du rossignol.
Le sang de l’oiseau décolora l’insensibilité de l’aiguillon. Il comprit des choses et s’apprêta à demander pardon à son esclave, mais c’était trop tard. La patte du chien avait écrasé la framboise."

"Le soleil frappa à la fenêtre de la salle de bains. Souriante, la Huit lui ouvrit. L’air frais pénétra immédiatement son corps nu et fit apparaître un sourire suprême sur son visage. La baignoire, excitée de la mousse galante et des huiles pimentées, ne donnait aucun signal au jet d’eau d’arrêter de la remplir. Quelques serviettes se cachaient dans l’armoire à glace. Dotées d’une couleur blanche à la naissance, elles avaient adopté une teinte rosâtre. La fantaisie racontait qu’à la vue des jeux impudiques de la Huit, les serviettes avaient tant rougi de honte qu’un changement durable de leur couleur s’était produit. Quant à la réalité, elle savait que la femme de chambre mettait ensemble le linge de bain et les rideaux pourpres dans la machine à laver."

Miracle littéraire 10/03/2015 @ 16:56:11
Qu'en pensez-vous?

Radetsky 12/03/2015 @ 14:11:59
L'oiseau empalé, le sang, le froid et le chaud, la machine à laver comme deus ex machina.... on dirait du Volodine enfant.... :-p

Pieronnelle

avatar 12/03/2015 @ 15:09:28
L'oiseau empalé, le sang, le froid et le chaud, la machine à laver comme deus ex machina.... on dirait du Volodine enfant.... :-p

:-))

Merrybelle
avatar 12/03/2015 @ 21:00:33
Volodine enfant ? C'est du niveau de la blibliothèque verte, non ? Moi je suis restée au niveau de la bibliothèque rose.

Radetsky 12/03/2015 @ 21:43:06
Volodine enfant ? C'est du niveau de la blibliothèque verte, non ? Moi je suis restée au niveau de la bibliothèque rose.
Oui, comme les framboises...

Miracle littéraire 13/03/2015 @ 11:28:15
Alors c'était un enfant prodige.

Miracle littéraire 17/03/2015 @ 08:57:21
" Le temps d’une lecture permettait tout. Rien n’était inaccessible. Aucun des personnages n’exigeait d’être payé ou aimé pour se découvrir, faire rêver ou terrifier. Le code d’entrée ne réclamait que la connaissance de l’alphabet. La liberté de s’absenter de ce monde imaginé ou trop réel, se trouvait avant l’épilogue. Chaque page pourrait être la dernière. Le doigt du lecteur décidait du sort de l’écrivain. Le papier, alourdi d’encre, ne pouvait pas lutter contre la main. Et cette faiblesse physique demeurait nécessaire. Pour masquer, par politesse, le triomphe permanent de l’écrivain. Parce que le créateur de l’œuvre littéraire participait parallèlement à l’avenir du lecteur. Il lui révélait des émotions jamais connues et décrivait des vérités inédites ; il lui montrait que le bonheur d’autrui ne nuisait pas au sien et l’incitait à rendre le monde meilleur ; il l’encourageait de réaliser ses rêves pour ne pas les troquer contre des chimères ; il lui créait des idoles et des exemples à suivre ou à éviter ; il lui faisait comprendre que la larme était plus qu’un liquide salé, qu’une pièce de monnaie pouvait sauver une vie, que le malheur était à la portée de tous, qu’un lit froid et une écorce de pain immunisaient contre la grosse tête qui faisait tomber le corps, que l’éclat du diamant comme celui des dents ne valait rien si le sourire n’y était pas."

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