La route du Cap de Jennifer McVeigh
(The fever tree)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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Un roman instructif
Frances vit en Angleterre à la fin du XIXème siècle. Après la mort de son père, elle est contrainte d'épouser Edwin, un médecin qui travaille en Afrique du Sud et qu'elle n'aime pas. Sur le bateau qui l'emmène là-bas, elle rencontre William dont elle tombe amoureuse.
Sa nouvelle vie en Afrique du Sud la déçoit, elle ne parvient pas à être heureuse auprès de son nouveau mari. Elle cherche à revoir William et devra choisir entre passion et devoir.
La romance est un peu trop prévisible à mon goût, mais ce livre m'a appris beaucoup de choses sur la vie dans les mines de diamants, les conditions sanitaires et les paysages d'Afrique du Sud qui sont très bien décrits. Ce n'est pas un coup de cœur, mais c'est un bon roman d'été.
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Les éditions
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La route du Cap [Texte imprimé], roman Jennifer McVeigh traduit de l'anglais par Marianne Bertrand
de McVeigh, Jennifer Bertrand, Marianne (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253162322 ; 7,90 € ; 28/05/2014 ; 552 p. ; Poche
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Africa
Critique de Nelle (Bonne, Inscrite le 9 janvier 2001, 48 ans) - 10 mai 2016
Au début, notamment lors de la traversée en bateau qui m'a semblé durer bien trop longtemps narrativement, on se croit volontiers dans un roman sentimental à l'eau de rose. Frances tombe amoureuse du beau gosse fortuné de service, passion dévorante, qui à l'instar des vagues lui fait complètement tourner la tête.
Je me suis demandée à ce moment si j'allais poursuivre.
Le roman décolle lorsque l'héroïne arrive enfin en Afrique du Sud. Les personnages restent selon moi dans la caricature mais le roman décrit avec beaucoup de réalisme les épidémies de variole, la vie incroyablement dure des Boers dans le désert, l'effroyable traitement infligé aux locaux utilisés pour l'extraction des diamants dans la mine de Kimberly, cette fameuse ville minière qui a attiré tant de convoitises.
Bref bien meilleure seconde partie, et au final un roman agréable à lire pour peu que l'on soit indulgent sur le début.
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