Personne n'est venu : Mon enfance dans l'orphelinat de l'horreur de Robbie Garner, Toni Maguire

Personne n'est venu : Mon enfance dans l'orphelinat de l'horreur de Robbie Garner, Toni Maguire
(Nobody came)

Catégorie(s) : Littérature => Anglophone

Critiqué par Bernard2, le 21 juin 2019 (DAX, Inscrit le 13 mai 2004, 74 ans)
La note : 8 étoiles
Moyenne des notes : 9 étoiles (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : 6 étoiles (13 084ème position).
Visites : 3 040 

Oui, ça a existé

Dans le années 1960, un orphelinat, sur l'Île de Jersey, est tenu par des religieuses. Véritables monstres, elles ne sont que haine, méchanceté et violence. Les enfants qui leur sont confiés subissent les pires châtiments, les pires humiliations.
Robbie, l'un de ces enfants, arrive à l'orphelinat à l'âge de cinq ans. Plus tard, il sera transféré dans un autre établissement, où l'horreur franchira un nouvel échelon, avec d'immondes sévices sexuels.
Un livre difficile à lire, on s'en doute. Mais longtemps cachée, il fallait que la vérité éclate. Trop de drames auraient pu être évités, avant que de tels établissements de la honte ne soient fermés.

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Insoutenable...

10 étoiles

Critique de Jordanévie (, Inscrite le 27 septembre 2022, 48 ans) - 9 décembre 2022

Comment peut-on faire ça à des enfants ?
Que ce soit le premier orphelinat ou bien le deuxième, l'horreur qu'ont connu Robbie Garner et tous les autres enfants est indescriptible.
Des frissons glacés vous parcourent en lisant ce livre.
Vous ne pouvez pas rester indifférent.
Quelle indécence d'utiliser la religion pour battre des enfants qui demandent juste d'être aimés.
La pédophilie est présente dans les deux orphelinats de l'horreur.
L'on se demande même comment des enfants sortis tout droit de ces deux institutions ont réussi à se reconstruire .
Leur courage face à la barbarie humaine de leurs bourreaux est impressionnant.
L'île de Jersey a accueilli des tortionnaires affreux.
Les autorités ont fermé les yeux sur tous les sévices qu'enduraient ces petits êtres.
Le suicide d'un enfant que l'on pousse à bout est horrible.
Il n'y a pas assez de mots pour exprimer le dégoût que je peux éprouver pour ces lâches.

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