Toulouse-Lautrec en rit encore de Jean-Pierre Alaux
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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Un nectar...
Albi, 1974... Le musée Toulouse-Lautrec est en émoi ! A la veille d'accueillir une grande exposition nationale, le Palais de la Berbie a été cambriolé ! Pire encore, un gardien a disparu et le concierge est retrouvé mort dans les réserves du musée. Appelé à la rescousse, Séraphin Cantarel, conservateur en chef des monuments historiques et son fidèle adjoint et fils spirituel Théo Trelissac descendent sur les lieux pour aider la police locale à mener l'enquête...
Voici un excellent petit roman très érudit signé par Jean-Pierre Alaux dans la collection "Grands Détectives" de 10-18. Comme souvent dans cette collection, l'intrigue policière passe un peu au second plan, elle est surtout prétexte à découvrir le contexte historique de l'époque et les oeuvres de Henri de Toulouse-Lautrec. On y prend beaucoup de plaisir et le roman fourmille d'anecdotes sur ce "grand" peintre !
L'auteur était jusqu'ici surtout connu pour la série de romans policiers cosignés avec Noël Baelen "le sang des vignes" (adaptés à la télévision avec Pierre Arditi). On n'a aucun mal à s'en souvenir à en juger par les nombreuses scènes de repas bien arrosés que contient ce récit !
Pour lecteurs gourmands et gourmets ...
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Les éditions
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Toulouse-Lautrec en rit encore
de Alaux, Jean-Pierre
10-18
ISBN : 9782264050700 ; 2,98 € ; 18/03/2010 ; 231 p. ; Poche
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Bien déçu...
Critique de Cecezi (Bourg-en-Bresse, Inscrit le 3 mars 2010, 44 ans) - 13 mai 2013
Certes, se promener dans les couloirs du Musée consacré à Lautrec est plaisant, et il est agréable de lire les quelques pages consacrés à ce peintre que j'aime beaucoup, mais que le reste est pesant...
J'ai trouvé l'écriture bien scolaire, parfois même lourde. Les personnages n'ont pas d'épaisseur, ni même de vraisemblance psychologique : leur caractère est à peine défini.
Pas de temps forts ni de temps faibles pour un roman dont les pages s'enchainent, sans suspense. On suit chacun faire son enquête dans son coin. Les révélations arrivent comme un cheveu sur la soupe, sans que le lecteur ne puisse s'investir dans l'enquête. Et puis il y a un côté presque vulgaire dans certains pages ou certains dialogues que j'ai trouvé déplaisant dans leur côté franchouillard.
Je ne sais pas ce que valent les autres romans de l'auteur, mais pour l'instant, je vais m'arrêter là.
j'ai adoré
Critique de Culturiste (, Inscrit le 23 juillet 2012, 62 ans) - 26 décembre 2012
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