La promesse des ténèbres de Maxime Chattam
La promesse des ténèbres de Maxime Chattam
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Critiqué par Bookivore, le 7 mai 2009
(MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 41 ans)
Critiqué par Bookivore, le 7 mai 2009
(MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 41 ans)
La note : 
Moyenne des notes :
(basée sur 25 avis)
Cote pondérée : (641ème position).
Visites : 22 430
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Une bombe : Chattam's style !
Jeudi 7 mai 2009 : jour de la sortie officielle du 10ème roman de Maxime Chattam, "La Promesse Des Ténèbres". Dès l'ouverture du magasin culturel le plus proche, je m'y rends, afin de me procurer le livre, que je dévore dès mon retour chez moi. 425 pages et quelques heures plus tard, le roman est achevé, et je sais que je le relirai encore plusieurs fois dans les mois à venir (comme ce fut le cas pour les autres romans de l'auteur). J'ai donc lu le roman d'une traite (ou presque : petite pause d'une heure pour reposer les yeux et le cerveau), ayant un rythme de lecture d'autant plus important que le roman se lit très facilement, sans lassitude.
Que dire ?
C'est tout simplement extraordinaire.
Maxime Chattam fait situer son roman dans le New York de la fin de l'année 2000, grosso modo un an avant les évènements racontés dans le roman "In Tenebris". On y retrouve d'ailleurs Annabel O'Donnell et son co-équipier Jack Thayer, découverts dans "In Tenebris" (et Annabel, revue dans "Maléfices"). On y retrouve brièvement Mae Zappe, grand-mère d'Annabelle, la fameuse 'faiseuse de gargouilles'. Mais surtout, on y découvre Brady O'Donnell, mari d'Annabel, journaliste free-lance.
On savait, dans "In Tenebris" et "Maléfices", que le mari d'Annabel avait mystérieusement disparu, sans laisser de traces. Dans "La Promesse Des Ténèbres", Chattam tient enfin la promesse (tiens ! encore une !) qu'il nous avait faite dans la postface de "Maléfices" : un jour, on saura enfin ce qui est arrivé à Brady, personnage qui n'était apparu que par les mots, pas physiquement, dans les romans.
Voilà, on sait, maintenant. Enfin, JE sais, car j'ai lu le roman.
Vous aussi, vous saurez une fois le livre reposé.
"La Promesse Des Ténèbres" est le genre de romans qu'on ne peut reposer avant de l'avoir fini. Une plongée terrifiante dans le monde interlope de la pornographie underground. L'histoire ? Succintement, alors : Brady décide d'enquêter sur le milieu du X en suivant les conseils d'un ami, qui lui-même connaît une jeune actrice X paumée. Brady rencontre cette fille, Rubis, qui se suicide devant ses yeux. Comme pour rendre un service posthume à cette fille, Brady va enquêter, seul, dans ce milieu. Pendant ce temps, sa femme Annabel est officiellement chargée de l'enquête sur ce suicide étrange, sans savoir que Brady est mêlé à l'affaire. J'en dis pas plus ! Ce que je viens de raconter représente les 50 premières pages du roman (même moins) !
On peut largement dire qu'il s'agit du roman le plus glauque et terrifiant de Chattam, plus terrifiant que "In Tenebris" et "Prédateurs" (qui étaient pourtant des sommets en la matière).
C'est très bien écrit, comme habituellement chez Chattam. On tient ici un 'page-turner', certes, mais un très très grand ! Chattam nous habitue de plus en plus à l'excellence ("La Théorie Gaïa" était fulgurant, idem pour le premier volet de sa saga Autre-Monde, "L'Alliance Des Trois"). Pour le moment, c'est tout sauf lassant ! Chattam, le meilleur auteur français de thrillers ? Pour moi, oui, sans hésiter ! Devant Grangé, d'ailleurs !
Je ne peux que vous conseiller ardemment de vous précipiter sur ce livre. Les fans de Chattam n'attendront pas ce conseil, j'en suis certain !
P.S. : coïncidence amusante : il y a un an, jour pour jour, je rédigeais ici ma critique de "La Théorie Gaïa"...
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Les éditions
-
La promesse des ténèbres [Texte imprimé], roman Maxime Chattam
de Chattam, Maxime
Albin Michel
ISBN : 9782226192226 ; 22,30 € ; 06/05/2009 ; 425 p. ; Broché
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Les livres liés
Le cycle de l'homme- Les arcanes du chaos
- Prédateurs
- La Théorie Gaïa
- La promesse des ténèbres
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Un mystère levé
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 51 ans) - 10 octobre 2020
C'est dans ce roman que l'on apprend ce qui est arrivé au mari d'Annabel O'Donnell, l'un des principaux personnages de la trilogie du mal, et Maxime Chattam, avec le talent qu'on lui connaît, répond fort bien à nos attentes.
Cet auteur représente une valeur sûre en matière de thriller, il maîtrise tous les codes du genre, notamment en installant rapidement une ambiance tendue accompagnée d'un extraordinaire suspense, le rythme ne faiblit jamais et les habiles cliffhangers remplissent leur office.
Et dire qu'il s'inspire de certaines réalités dont la grande majorité d'entre nous n'ont pas conscience...
Une chose est sûre, c'est qu'il y a franchement de quoi s'inquiéter, voire angoisser. Peut-être même vaut-il mieux parfois ne pas enlever ses œillères...
Cet auteur représente une valeur sûre en matière de thriller, il maîtrise tous les codes du genre, notamment en installant rapidement une ambiance tendue accompagnée d'un extraordinaire suspense, le rythme ne faiblit jamais et les habiles cliffhangers remplissent leur office.
Et dire qu'il s'inspire de certaines réalités dont la grande majorité d'entre nous n'ont pas conscience...
Une chose est sûre, c'est qu'il y a franchement de quoi s'inquiéter, voire angoisser. Peut-être même vaut-il mieux parfois ne pas enlever ses œillères...
Découverte
Critique de Lélou (, Inscrite le 9 février 2014, - ans) - 9 février 2014
Je ne connaissais pas l'auteur et c'est ce livre qui m'a fait découvrir Maxime Chattam.
Le début du livre est captivant, il nous fait directement entrer dans le vif du sujet, l'auteur ne perd pas de temps. Néanmoins les détails sont trop explicites : âme sensible s'abstenir !
La fin du livre nous laisse sur notre faim...
Mais l'écriture est très vivante ! Ce que j'aime chez cet auteur et dans ce livre en particulier, c'est qu'il nous transporte du début jusqu'à la fin du récit, sans jamais perdre notre attention, il est difficile de se décrocher de ce bouquin une fois que vous l'avez commencé..
Très bon livre.
Le début du livre est captivant, il nous fait directement entrer dans le vif du sujet, l'auteur ne perd pas de temps. Néanmoins les détails sont trop explicites : âme sensible s'abstenir !
La fin du livre nous laisse sur notre faim...
Mais l'écriture est très vivante ! Ce que j'aime chez cet auteur et dans ce livre en particulier, c'est qu'il nous transporte du début jusqu'à la fin du récit, sans jamais perdre notre attention, il est difficile de se décrocher de ce bouquin une fois que vous l'avez commencé..
Très bon livre.
Jouissez sans entrave
Critique de Ndeprez (, Inscrit le 22 décembre 2011, 48 ans) - 6 août 2013
Peut-être pas forcément le Chattam le plus abouti , la promesse des ténèbres est toutefois un thriller bien au dessus de la moyenne . C'est ce qui est très déstabilisant chez cet auteur : un livre juste correct pour son œuvre reste un très bon moment de lecture. Du coup son lectorat en attend toujours plus.
Texte bien glauque , bien noir nous amenant une nouvelle fois aux USA (l'auteur est vraiment un fan) post 11/09/2001, la promesse des ténèbres nous pose la question du rapport de l'Homme à la violence au sexe et à la domination.
Ne cherchez aucune lueur d'optimisme dans ce livre , il n' y en a pas mais si vous avez déjà lu cet auteur , vous le savez déjà.
Si vous lisez cette critique en vous demandant par quel Chattam faut il débuter pour découvrir cet auteur allez plutôt faire un tour vers les arcanes ou la théorie Gaia... vous viendrez à celui ci un peu plus tard !
Texte bien glauque , bien noir nous amenant une nouvelle fois aux USA (l'auteur est vraiment un fan) post 11/09/2001, la promesse des ténèbres nous pose la question du rapport de l'Homme à la violence au sexe et à la domination.
Ne cherchez aucune lueur d'optimisme dans ce livre , il n' y en a pas mais si vous avez déjà lu cet auteur , vous le savez déjà.
Si vous lisez cette critique en vous demandant par quel Chattam faut il débuter pour découvrir cet auteur allez plutôt faire un tour vers les arcanes ou la théorie Gaia... vous viendrez à celui ci un peu plus tard !
Mettre son nez là où il ne faut pas...
Critique de Marlène (Tours, Inscrite le 15 mars 2011, 46 ans) - 16 juin 2013
C'est un peu la morale de cette histoire : Brady, le mari d'Annebel , est journaliste et est en manque de sujet, son ami mourant Pierre lui propose de se mettre en relation avec une certaine Rubis, il le fait. La pire décision de sa vie, le truc à ne pas faire et plus Pierre, les gens qu'il rencontre, et son instinct lui disent de faire machine arrière, plus il sent qu'il doit lâcher prise, plus il s'enfonce. Du coup il ne doit pas s'étonner d'être dans la mouise jusqu'au cou le Brady !
Entre les deux mon coeur ne balance pas, je préfère Annabel même si je n'ai pas détesté Brady. Maxime Chattam en tout cas ne brosse pas un portrait très reluisant de la gent masculine , moi tout ça je ne sais pas, je ne suis pas un homme et finalement c'est peut-être mieux ainsi;)
Peut-être est-ce mon côté cynique mais j'avais une p'tite piste.
Sujet très glauque, certains ont des pratiques sexuelles bien étranges, tout ça m'a fait penser à Schopenhauer et Krafft-Ebing ...
Je suis contente de savoir enfin ce qu'est devenu Brady, dommage qu'Annabel, elle, ne le saura jamais. Mieux vaut savoir que de se poser des questions ...
Entre les deux mon coeur ne balance pas, je préfère Annabel même si je n'ai pas détesté Brady. Maxime Chattam en tout cas ne brosse pas un portrait très reluisant de la gent masculine , moi tout ça je ne sais pas, je ne suis pas un homme et finalement c'est peut-être mieux ainsi;)
Peut-être est-ce mon côté cynique mais j'avais une p'tite piste.
Sujet très glauque, certains ont des pratiques sexuelles bien étranges, tout ça m'a fait penser à Schopenhauer et Krafft-Ebing ...
Je suis contente de savoir enfin ce qu'est devenu Brady, dommage qu'Annabel, elle, ne le saura jamais. Mieux vaut savoir que de se poser des questions ...
Pas terrible
Critique de Batman38 (, Inscrit le 14 octobre 2012, 33 ans) - 15 octobre 2012
Peut-être m'avait-on trop dit du bien de ce livre avant que je le lise mais pour ma part, je n'ai pas passé un bon moment à le lire. Autant regarder le film 8 millimètres qui traite de la même chose mais de façon beaucoup plus efficace.
La seule chose que j'ai apprécié dans ce livre, c'est le peuple taupe. Je me demande vraiment si ce peuple existe vraiment. J'ai trouvé cette découverte fascinante mais c'est le seul point qui surnage à côté du vide de ce livre. Je l'ai trouvé fade et sans consistance. Jamais je n'ai eu peur ou stimulé par ce livre.
Maxime Chattam, j'aurais aimé mieux connaître ton style mais cette première expérience m'a refroidi...
La seule chose que j'ai apprécié dans ce livre, c'est le peuple taupe. Je me demande vraiment si ce peuple existe vraiment. J'ai trouvé cette découverte fascinante mais c'est le seul point qui surnage à côté du vide de ce livre. Je l'ai trouvé fade et sans consistance. Jamais je n'ai eu peur ou stimulé par ce livre.
Maxime Chattam, j'aurais aimé mieux connaître ton style mais cette première expérience m'a refroidi...
Noir encore!
Critique de Killing79 (Chamalieres, Inscrit le 28 octobre 2010, 44 ans) - 20 juin 2012
A la fermeture du troisième volet de la trilogie du Mal, je ne nourrissais que peu d'espoirs de connaître la suite des aventures de Josh et Annabel. Je me suis donc consolé avec l'histoire parallèle, qu'est le destin du mari disparu d'Annabel.
Maxime Chattam aime le noir et nous le fait savoir. Grâce à sa mécanique habituelle avec des chapitres courts et stressants, il nous embarque dans les profondeurs de la ville et de la nature humaine, nous fait toucher du doigt la déchéance et ses perversités. Avec son style simple et percutant, le récit devient un thriller troublant, toujours à la limite du supportable. Plus que l'enquête de Brady, dont les motivations restent peu convaincantes, c'est l'univers malsain que met en place Chattam qui nous intrigue et nous attire indubitablement à lui.
La fin et surtout l'implication de certains personnages, sont un peu tirées par les cheveux, mais j'ai passé un bon moment avec ce spin-off de la trilogie. Et c'est le principal!
PS: A lire après la trilogie du Mal, sans quoi le livre n'aurait pas de fin.
Maxime Chattam aime le noir et nous le fait savoir. Grâce à sa mécanique habituelle avec des chapitres courts et stressants, il nous embarque dans les profondeurs de la ville et de la nature humaine, nous fait toucher du doigt la déchéance et ses perversités. Avec son style simple et percutant, le récit devient un thriller troublant, toujours à la limite du supportable. Plus que l'enquête de Brady, dont les motivations restent peu convaincantes, c'est l'univers malsain que met en place Chattam qui nous intrigue et nous attire indubitablement à lui.
La fin et surtout l'implication de certains personnages, sont un peu tirées par les cheveux, mais j'ai passé un bon moment avec ce spin-off de la trilogie. Et c'est le principal!
PS: A lire après la trilogie du Mal, sans quoi le livre n'aurait pas de fin.
Déçu
Critique de Chet76 (, Inscrit le 29 février 2012, 73 ans) - 29 février 2012
J'ai pratiquement tout lu de M. Chattam quel talent et que du plaisir pour un amateur de bon thrillers.
Quelle déception en lisant "La Promesse des ténèbres"
Très mauvais scénario de série B. Le sujet aurait mérité mieux.
Lecture sans surprise, déroulement prévisible, pas d'intensité et respect des codes du genre.
Je me suis beaucoup attaché à Kermit, pas vraiment à la personnalité de Brady
Vivement le prochain
Quelle déception en lisant "La Promesse des ténèbres"
Très mauvais scénario de série B. Le sujet aurait mérité mieux.
Lecture sans surprise, déroulement prévisible, pas d'intensité et respect des codes du genre.
Je me suis beaucoup attaché à Kermit, pas vraiment à la personnalité de Brady
Vivement le prochain
Assez déroutant
Critique de Chris (Bruxelles, Inscrite le 30 décembre 2003, 50 ans) - 4 février 2012
Je viens juste de terminer le livre et je reste perplexe ... L'histoire est prenante mais j'avoue ne pas avoir eu de mal à lire le bouquin en plus d'une semaine, donc finalement je n'ai pas été très prise par son histoire. Les éléments qui se dessinent seulement dans les dernières pages sont troublants, surtout l'implication du meilleur ami. Et finalement la fin n'est pas dans cet ouvrage, il va falloir lire In Tenebris pour connaître la suite.
C'est donc un avis mitigé que j'ai sur ce livre,mais je vais lire le second volume pour essayer de mieux comprendre le premier.
C'est donc un avis mitigé que j'ai sur ce livre,mais je vais lire le second volume pour essayer de mieux comprendre le premier.
Petit à petit, Chattam devient un auteur référence dans ma bibliothèque!
Critique de AntoineBXL (Bruxelles, Inscrit le 9 août 2008, 44 ans) - 30 octobre 2011
Avec la lecture de "la théorie Gaïa", je viens de m'envoyer 1000 pages de Chattam d'affilée. Habituellement, en pareille situation, je fais une indigestion même si les bouquins sont très bons. Par exemple, après avoir lu les deux premiers tomes de Millenium, il m'a fallu une pause de plusieurs mois avant de m'attaquer au troisième.
Dans le cas présent, je ne pense qu'à une chose, quel Chattam je vais choisir maintenant. Existe-t-il d'autres auteurs? Je ne m'en souviens plus...
Je ne vais pas écrire une ènième fois ce qui a été répété sur cette page (une des plus flatteuses de tout le site, me semble-t-il), c'est inutile.
Un minuscule bémol: il n'y a pas d'adn dans le vomi. Les sucs gastriques détruisent toutes traces exploitables.
Dans le cas présent, je ne pense qu'à une chose, quel Chattam je vais choisir maintenant. Existe-t-il d'autres auteurs? Je ne m'en souviens plus...
Je ne vais pas écrire une ènième fois ce qui a été répété sur cette page (une des plus flatteuses de tout le site, me semble-t-il), c'est inutile.
Un minuscule bémol: il n'y a pas d'adn dans le vomi. Les sucs gastriques détruisent toutes traces exploitables.
Excellent, comme toujours !
Critique de Mayfair (Distroff, Inscrite le 30 mars 2007, 51 ans) - 23 octobre 2011
Comme le souligne une critique précédente, il est étrange que l'enquête de la policière est un cran derrière celle de son mari journaliste et qu'elle ne fasse jamais le lien entre la suicidée et son mari, alors que son co-équipier lui le fait, même si son analyse est faussée.
Ce détail mis à part, le roman est génial et se lit très bien...
Décidément Chattam est très doué pour nous faire voir la noirceur humaine, que ce soit dans le crime, dans ses instincts sous toutes ses formes...
Ce détail mis à part, le roman est génial et se lit très bien...
Décidément Chattam est très doué pour nous faire voir la noirceur humaine, que ce soit dans le crime, dans ses instincts sous toutes ses formes...
Captivant est un faible mot
Critique de Fascagat (Toulouse, Inscrite le 27 juin 2004, 42 ans) - 7 septembre 2011
Je suis fan de cet auteur, j'ai dévoré ce livre en 4 jours. On ne s'ennuie pas à la lecture de ce livre on va de rebondissement en rebondissement.
Le sujet de ce livre est la pornographie, son milieu et ses dérives ainsi que le monde des SDF de New york
En fait on devrait lire ce livre avant In ténébris car il révèle comment le mari d'Annabelle a été assassiné.
Le sujet de ce livre est la pornographie, son milieu et ses dérives ainsi que le monde des SDF de New york
En fait on devrait lire ce livre avant In ténébris car il révèle comment le mari d'Annabelle a été assassiné.
un bon cru
Critique de Seb (, Inscrit le 24 août 2010, 47 ans) - 10 août 2011
Chattam a réussi son pari en écrivant un thriller frôlant avec la SF ( une histoire de vampire) sans jamais y tomber. Et ça marche tant on dévore le livre car l'auteur est fort habile pour qu'on ne décroche pas d'un chapitre à l'autre. L'histoire nous fait découvrir un monde souterrain inquiétant et des mœurs porno pour le moins trash. Et on y adhère
La fin est bien amenée et laisse le lecteur rassasié.
Enfin bien que faisant partie d'une trilogie, "la promesse des ténèbres" peut se lire individuellement sans être perdu.
La fin est bien amenée et laisse le lecteur rassasié.
Enfin bien que faisant partie d'une trilogie, "la promesse des ténèbres" peut se lire individuellement sans être perdu.
Toujours aussi angoissant....
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 49 ans) - 15 juillet 2011
Ce roman se lit très rapidement tellement l'histoire est passionnante, angoissante.
Histoire terrible dans le milieux underground New-Yorkais, prostitution, pornographie, gang de vampires, smuff-movie.
Brady, journaliste free-lance enquête sur le suicide d'une jeune paumée.....
C'est bien écrit, Chattam est vraiment un grand dans le monde du thriller, digne des plus grands auteurs dans ce style.
Ah oui, aussi, ce roman a un lien avec In Tenebris, on le découvre à la fin.
Histoire terrible dans le milieux underground New-Yorkais, prostitution, pornographie, gang de vampires, smuff-movie.
Brady, journaliste free-lance enquête sur le suicide d'une jeune paumée.....
C'est bien écrit, Chattam est vraiment un grand dans le monde du thriller, digne des plus grands auteurs dans ce style.
Ah oui, aussi, ce roman a un lien avec In Tenebris, on le découvre à la fin.
angoissant, trash et dérangeant
Critique de Soup34 (, Inscrit le 30 septembre 2007, 43 ans) - 6 juin 2011
Après une période où il avait changé de sujet, Chattam nous revient avec un polar comme il sait les faire: affreux, sale et méchant. Il nous entraîne dans les bas-fonds new-yorkais et le milieu du snuff-movie, ces films mettant en scène de vraies tortures. Comme dans la trilogie du mal, le rythme est effréné, les rebondissements nombreux et on lit ça avec un réel entrain.
A noter que ce livre est un préquel à la trilogie du mal et éclaire d'un jour nouveau un personnage que l'on avait déjà rencontré dans celle-ci donnant ainsi une envie folle de se replonger dans In Tenebris et Maléfices.
Vraiment génial, Chattam maîtrise parfaitement son sujet. Bravo!
A noter que ce livre est un préquel à la trilogie du mal et éclaire d'un jour nouveau un personnage que l'on avait déjà rencontré dans celle-ci donnant ainsi une envie folle de se replonger dans In Tenebris et Maléfices.
Vraiment génial, Chattam maîtrise parfaitement son sujet. Bravo!
captivant
Critique de Dyonis (, Inscrit le 14 mars 2007, 57 ans) - 20 février 2011
Maxime Chattam, nous plonge dans le monde underground. Un roman très noir, dont on a du mal à se détacher. La fin est terrible.
Glauque
Critique de Nb (Avion, Inscrit le 27 août 2009, 40 ans) - 8 janvier 2011
La promesse des ténèbres, ou comment se laisser intriguer par une sexualité, disons... hors-norme. Voilà en gros le thème du livre. C'est donc un prétexte à des descriptions sordides mêlant pornographie "underground", violence, viol, meurtre, le tout dans un New-York qu'on n'imaginait pas aussi glauque.
Je ne dis pas que ce n'est pas bien écrit, c'est vrai que c'est un thriller "honnête" qui fait tourner les pages... A certains moments, l'auteur sait poser les bonnes questions, et sa théorie tient la route. Est-il pour autant besoin de s'attacher à décrire tous les détails? J'aurais préféré imaginer...
J'avais déjà lu plusieurs romans de Maxime Chattam, que j'avais dévorés. Mais là je suis déçu.
Je ne dis pas que ce n'est pas bien écrit, c'est vrai que c'est un thriller "honnête" qui fait tourner les pages... A certains moments, l'auteur sait poser les bonnes questions, et sa théorie tient la route. Est-il pour autant besoin de s'attacher à décrire tous les détails? J'aurais préféré imaginer...
J'avais déjà lu plusieurs romans de Maxime Chattam, que j'avais dévorés. Mais là je suis déçu.
Pas mal, mais ....
Critique de Olinot (Proche de Paris, Inscrit le 5 janvier 2010, 55 ans) - 23 novembre 2010
Ce qui me déçoit dans ce livre est le fait qu'il respecte trop les codes du genre, donc peu de surprises.
Quant à la visite des sous-sols, cela traîne en longueur !
Le thème est intéressant : au travers du porno underground, suis-je attiré vers les abysses ou bien n'en ressens-je que du dégoût ?
Suis-je le mal, ou bien appartiens-je à cette civilisation humaine qui ne sait que détruire ?
En revanche, c'est un roman prenant et glauque.
Quant à la visite des sous-sols, cela traîne en longueur !
Le thème est intéressant : au travers du porno underground, suis-je attiré vers les abysses ou bien n'en ressens-je que du dégoût ?
Suis-je le mal, ou bien appartiens-je à cette civilisation humaine qui ne sait que détruire ?
En revanche, c'est un roman prenant et glauque.
Captivant et glauque à souhait !
Critique de Marsup (, Inscrit le 22 octobre 2009, 48 ans) - 6 septembre 2010
Que d'éloges sur ce livre et ils sont mérités ! Une intrigue palpitante, des personnages attachants et complexes et une fin inattendue. L'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur, romans de l'auteur. A dévorer d'urgence !!!
Pas mal.
Critique de Scooby (, Inscrit le 11 janvier 2010, 38 ans) - 11 janvier 2010
Je regrette juste un peu les répétitions.
"Et c'est la même, chanson !"
Critique de BONNEAU Brice (Paris, Inscrit le 21 mars 2006, 39 ans) - 2 novembre 2009
En terme de thriller à la française, Maxime Chattam a su se hisser au fil des années dans le rang des leaders, aux côtés d’auteurs comme Jean-Christophe Grangé, qui publient chaque année -ou presque- un nouvel ouvrage. Si Chattam ne m’avait jamais réellement déçu, à l’exception de la Trilogie du Mal (notez que ce n’est pas par manque de qualité littéraire, mais juste que l’ambiance des romans ne sont pas celles que j’apprécie), voilà qui est fait avec ce tout nouveau thriller, toujours publié chez Albin-Michel : La promesse des ténèbres.
Après sa défection des tréfonds de l’âme humaine, Chattam s’était orienté vers la science-fiction un brin originale en se lançant dans un projet titanesque d’une heptalogie dont le premier ouvrage est sorti l’an passé, « Autre Monde ». Avec La promesse des ténèbres, il revient à ses premières amours, ces crimes de l’homme sur l’homme qui laissent ressortir la bestialité de l’âme humaine.
Sauf que, voilà, Chattam avait réussi à boucler une brillante « trilogie » de l’homme avec ses trois précédents romans (Les arcanes du chaos, Prédateurs, La théorie Gaïa), et revient aborder les mêmes thématiques que dans La théorie Gaïa, avec un point de vue à peine différent : dans le premier, il était question de la nature meurtrière de l’homme qu’il ne saurait refouler, dans la seconde, de sa nature jouissive, le poussant à l’hypersexualité bestiale. Dans un roman comme dans l’autre, l’idée étant que l’homme ne vit en civilisation que depuis peu, alors qu’il a été un chasseur, un meurtrier et un homme de l’instinct et de la pulsion pendant des millions d’années, et qu’il est donc impossible que ces aspects soient totalement domptés, puisque inscrits au patrimoine génétique.
La promesse des ténèbres se révèle conforme au style que l’on aime chez Chattam, typique des thrillers à l’américaine, avec une histoire moins vibrante et effrayante, dont les aspects analytiques semblent avoir déjà été exploités dans de précédents romans. Une déception réservée aux lecteurs habitués de l’auteur, qui n’empêchera pas les lecteurs novices de trouver des qualités bien présentes à ce roman.
Après sa défection des tréfonds de l’âme humaine, Chattam s’était orienté vers la science-fiction un brin originale en se lançant dans un projet titanesque d’une heptalogie dont le premier ouvrage est sorti l’an passé, « Autre Monde ». Avec La promesse des ténèbres, il revient à ses premières amours, ces crimes de l’homme sur l’homme qui laissent ressortir la bestialité de l’âme humaine.
Sauf que, voilà, Chattam avait réussi à boucler une brillante « trilogie » de l’homme avec ses trois précédents romans (Les arcanes du chaos, Prédateurs, La théorie Gaïa), et revient aborder les mêmes thématiques que dans La théorie Gaïa, avec un point de vue à peine différent : dans le premier, il était question de la nature meurtrière de l’homme qu’il ne saurait refouler, dans la seconde, de sa nature jouissive, le poussant à l’hypersexualité bestiale. Dans un roman comme dans l’autre, l’idée étant que l’homme ne vit en civilisation que depuis peu, alors qu’il a été un chasseur, un meurtrier et un homme de l’instinct et de la pulsion pendant des millions d’années, et qu’il est donc impossible que ces aspects soient totalement domptés, puisque inscrits au patrimoine génétique.
La promesse des ténèbres se révèle conforme au style que l’on aime chez Chattam, typique des thrillers à l’américaine, avec une histoire moins vibrante et effrayante, dont les aspects analytiques semblent avoir déjà été exploités dans de précédents romans. Une déception réservée aux lecteurs habitués de l’auteur, qui n’empêchera pas les lecteurs novices de trouver des qualités bien présentes à ce roman.
La quête de la jouissance
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 54 ans) - 30 juillet 2009
Chattam nous entraîne cette fois dans l’univers tordu de la pornographie violente underground. De quoi faire frissonner. Et c’est le cas. Du moins, jusqu’à la moitié. Au lieu d’alimenter le mystère du groupe de sadiques appelé ‘la tribu’, il fait un détour ennuyeux dans les sous-sols de New York pour nous présenter le peuple-taupe. (Voir plutôt « Les Saisons de la nuit » de Colum McCann)
De plus, l’enquête parallèle ne fonctionne pas. Celle de l’épouse policière est constamment un pas derrière celle de son mari journaliste. Ceci n’apporte rien au récit autre que de faire un lien inutile avec un autre titre (In Tenebris) et gaspiller des pages.
Néanmoins, il s’agit d’un roman prenant en dépit de sa structure boiteuse.
De plus, l’enquête parallèle ne fonctionne pas. Celle de l’épouse policière est constamment un pas derrière celle de son mari journaliste. Ceci n’apporte rien au récit autre que de faire un lien inutile avec un autre titre (In Tenebris) et gaspiller des pages.
Néanmoins, il s’agit d’un roman prenant en dépit de sa structure boiteuse.
lecture passionnante
Critique de Azilha (, Inscrite le 21 décembre 2008, 44 ans) - 27 juin 2009
Maxime Chattam est dans la continuité de son succès. J'ai savouré son livre "La promesse des Ténèbres" et je viens de lire son livre publié en juin dernier, "PREDATEURS" (chez Pocket) qui situe l'histoire pendant la période de la guerre. De jeunes soldats sont victimes de meurtres de guerre et retrouvés mutilés dans d'atroces mises en scènes, mais voilà ces "meurtres sauvages" ne sont pas à mettre au compte du cam d'en face. En fait l'ennemi est à l'intérieur, le prédateur est là juste à côté..
Incontestablement Chattam s'impose encore au fil de ses romans comme un des nouveaux maîtres du thriller français !
Incontestablement Chattam s'impose encore au fil de ses romans comme un des nouveaux maîtres du thriller français !
Chattam tient toutes ses promesses!
Critique de Mariebel (Paris, Inscrite le 1 novembre 2008, 36 ans) - 27 juin 2009
Difficile de conseiller un livre aussi noir, si effrayant sur un sujet pas forcément des plus attractif: la pornographie.
Ce qui est bien avec Maxime Chattam, c'est qu'on sait avant même de commencer un ouvrage qu'on va avoir du mal à le lâcher, qu'on va y réfléchir et se poser des questions et surtout qu'on attendra avec autant d'impatience le roman suivant!
La promesse des ténèbres, c'est avant tout à conseiller aux lecteurs et amateurs de la trilogie du mal qui pendant tout ce temps désespéraient de connaître l'histoire de Brady. Et bien sachez que vous ne serez pas déçus!
Maxime Chattam, quel que soit le sujet qu'il aborde, a ce je ne sais quoi qui nous captive!
Pourvu que ça dure encore longtemps! on en redemande!
Ce qui est bien avec Maxime Chattam, c'est qu'on sait avant même de commencer un ouvrage qu'on va avoir du mal à le lâcher, qu'on va y réfléchir et se poser des questions et surtout qu'on attendra avec autant d'impatience le roman suivant!
La promesse des ténèbres, c'est avant tout à conseiller aux lecteurs et amateurs de la trilogie du mal qui pendant tout ce temps désespéraient de connaître l'histoire de Brady. Et bien sachez que vous ne serez pas déçus!
Maxime Chattam, quel que soit le sujet qu'il aborde, a ce je ne sais quoi qui nous captive!
Pourvu que ça dure encore longtemps! on en redemande!
toujours plus fort, on adore
Critique de Titi43 (, Inscrite le 21 mai 2009, 45 ans) - 21 mai 2009
Enfin la vérité sur le mari d'Annabelle. Encore une fois Chattam nous emmène dans la noirceur du monde et de l'être humain. Un roman à dévorer, qui nous tient en haleine jusqu'à la dernière page. Comme d'habitude, il décrit la noirceur de l'âme avec grandeur. C'est plus qu'une promesse, c'est un aveu. Qui es-tu Chattam??
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