Jazz ? Paul Desmond et Chick Corea, mes préférés en lisant ou en écrivant
Chick COREA bien sûr mais Miles DAVIS passe bien aussi. Cela dit je ne suis pas bon conseiller car je suis capable d'écouter aussi "des voix" en lisant, et là vous allez dire que je radote mais Neil YOUNG est très "porteur" pour la lecture. Ecoutez voir Sleeps with Angels pour les ambiances lourdes.
En jazz?
Stefano di Batista, saxophoniste (soprano et alto) hors pair. Depuis quelques temps, il aime allier le jazz avec des formations plus classiques (l'orchestre symphonique par exemple) mais il sait aussi se tenir au trasitionnel ensemble jazz pour enregistrer des disques vraiment biens.
Je t'en redonnerai quelques autres plus tard...
Stefano di Batista, saxophoniste (soprano et alto) hors pair. Depuis quelques temps, il aime allier le jazz avec des formations plus classiques (l'orchestre symphonique par exemple) mais il sait aussi se tenir au trasitionnel ensemble jazz pour enregistrer des disques vraiment biens.
Je t'en redonnerai quelques autres plus tard...
C'est vrai qu'on n'avait pas pensé au jazz, alors pour réparer cet oubli:
Tout d'abord, quelques pianistes: l'imagination débordante d'Art Tatum, et sa vision débridée de l'humoresque de Dvorak et de "Tea for Two", toute la palette de couleurs de Michel Petrucciani ("Days of wine and roses"...) et incontournable, Keith Jarrett, les standards revisités de façon un peu mélancolique dans "The melody at night with you" ou les grandes improvisations (concert de Paris, concert de Cologne).
Et puis, le saxophone de Charles Lloyd, "The water is wide", Pat Metheny et Charlie Haden dans "Missouri Sky", Charlie Parker ("April in Paris"...) et Chet Baker (sa gueule d'ange et l'or de sa trompette).
Et surtout, surtout, Billie Holliday (bouleversant "Strange fruit") et Sarah Vaugahn (décapant "I cried for you").
Pour Saule, à propos de la Tempête, je ne connais pas l'interprétation d'Emil Gilels. Mais Gilels est, avec Serkin et Richter, un des grands maîtres de l'école russe: sonorité puissante, vision épurée et sans concession à la facilité, parfois un peu austère mais souvent fascinante. "La Tempête" par Richter, c'est la passion et la grandeur tragique. Serkin construit ses interprétations des ultimes sonates (op 109, 110 et 111) comme on élève une cathédrale, une vision austère, mais quelle grandeur! Alors, "La Tempête" par Gilels risque d'être très différente des versions dont j'ai parlé plus haut, mais sera sans doute passionnante. Je suis en tout cas curieuse de savoir ce que tu en penses...
Tout d'abord, quelques pianistes: l'imagination débordante d'Art Tatum, et sa vision débridée de l'humoresque de Dvorak et de "Tea for Two", toute la palette de couleurs de Michel Petrucciani ("Days of wine and roses"...) et incontournable, Keith Jarrett, les standards revisités de façon un peu mélancolique dans "The melody at night with you" ou les grandes improvisations (concert de Paris, concert de Cologne).
Et puis, le saxophone de Charles Lloyd, "The water is wide", Pat Metheny et Charlie Haden dans "Missouri Sky", Charlie Parker ("April in Paris"...) et Chet Baker (sa gueule d'ange et l'or de sa trompette).
Et surtout, surtout, Billie Holliday (bouleversant "Strange fruit") et Sarah Vaugahn (décapant "I cried for you").
Pour Saule, à propos de la Tempête, je ne connais pas l'interprétation d'Emil Gilels. Mais Gilels est, avec Serkin et Richter, un des grands maîtres de l'école russe: sonorité puissante, vision épurée et sans concession à la facilité, parfois un peu austère mais souvent fascinante. "La Tempête" par Richter, c'est la passion et la grandeur tragique. Serkin construit ses interprétations des ultimes sonates (op 109, 110 et 111) comme on élève une cathédrale, une vision austère, mais quelle grandeur! Alors, "La Tempête" par Gilels risque d'être très différente des versions dont j'ai parlé plus haut, mais sera sans doute passionnante. Je suis en tout cas curieuse de savoir ce que tu en penses...
Et pour réconcilier les "baroqueux" et les amateurs de jazz (enfin, pour autant qu'il ne s'agisse pas des mêmes personnes), je vous conseille aussi Bach revisité par Jacques Loussier (2 cds, un proposant les variations Goldberg version jazz, et un autre une sélection de pièces diverses tirées du clavier bien tempéré, de certaines cantates (le célibrissime "Jésus que ma joie demeure") et de partitas)
Une merveille d'intelligence et une vraie réussite qui parvient vraiment à concilier les esprits de ces 2 musiques, et par seulement la lettre comme c'est souvent le cas dans ce genre de "cross-over".
Une merveille d'intelligence et une vraie réussite qui parvient vraiment à concilier les esprits de ces 2 musiques, et par seulement la lettre comme c'est souvent le cas dans ce genre de "cross-over".
"Existe-t-il quelque chose de plus beau que les concertos pour piano 21 & 23 de Mozart ? J'en doute."
Plus beau que l'adagio du 23? J'en doute aussi. Sans retomber dans les vieilles discussions inutiles sur la hiérarchie du beau, je signalerais le quintette D956 de Schubert. Et les derniers quatuors de Beethoven. Et le quintette K516 de Mozart. Et le concerto pour clarinette du même. Et les préludes de Debussy par Gieseking. Et les "chants de l'extase" d'Hildegarde von Bingen. Et la deuxième face d'Abbey Road. Et Dark Side of the Moon. Et la musique de Miles Davis pour "Ascenseur pour l'échafaud". Entre autres.
Plus beau que l'adagio du 23? J'en doute aussi. Sans retomber dans les vieilles discussions inutiles sur la hiérarchie du beau, je signalerais le quintette D956 de Schubert. Et les derniers quatuors de Beethoven. Et le quintette K516 de Mozart. Et le concerto pour clarinette du même. Et les préludes de Debussy par Gieseking. Et les "chants de l'extase" d'Hildegarde von Bingen. Et la deuxième face d'Abbey Road. Et Dark Side of the Moon. Et la musique de Miles Davis pour "Ascenseur pour l'échafaud". Entre autres.
J'oubliais, de Bach, les Variations Goldberg par Glenn Gould et les six suites pour violoncelle seul.
"Existe-t-il quelque chose de plus beau que les concertos pour piano 21 & 23 de Mozart ? J'en doute."
Plus beau que l'adagio du 23? J'en doute aussi. Sans retomber dans les vieilles discussions inutiles sur la hiérarchie du beau, je signalerais le quintette D956 de Schubert. Et les derniers quatuors de Beethoven. Et le quintette K516 de Mozart. Et le concerto pour clarinette du même. Et les préludes de Debussy par Gieseking. Et les "chants de l'extase" d'Hildegarde von Bingen. Et la deuxième face d'Abbey Road. Et Dark Side of the Moon. Et la musique de Miles Davis pour "Ascenseur pour l'échafaud". Entre autres.
Lucien ! Bonne surprise. Tu tombes à pic pour répondre à SJB dans sa critique de Julien Gracq.
L'adagio du concerto 23 est-ce la musique du film Elvira Madigan ? Si on va dans le domaine du divin, il faut parler de l'Ave Maria de Shubert chanté par Barbara Hendrix. Et le magnificat à 9 voix de Monteverdi.
L'adagio du concerto 23 est-ce la musique du film Elvira Madigan ? Si on va dans le domaine du divin, il faut parler de l'Ave Maria de Shubert chanté par Barbara Hendrix. Et le magnificat à 9 voix de Monteverdi.
J'oubliais, de Bach, les Variations Goldberg par Glenn Gould et les six suites pour violoncelle seul.
"Existe-t-il quelque chose de plus beau que les concertos pour piano 21 & 23 de Mozart ? J'en doute."
Plus beau que l'adagio du 23? J'en doute aussi. Sans retomber dans les vieilles discussions inutiles sur la hiérarchie du beau, je signalerais le quintette D956 de Schubert. Et les derniers quatuors de Beethoven. Et le quintette K516 de Mozart. Et le concerto pour clarinette du même. Et les préludes de Debussy par Gieseking. Et les "chants de l'extase" d'Hildegarde von Bingen. Et la deuxième face d'Abbey Road. Et Dark Side of the Moon. Et la musique de Miles Davis pour "Ascenseur pour l'échafaud". Entre autres.
J'oubliais, de Bach, les Variations Goldberg par Glenn Gould et les six suites pour violoncelle seul.
"Existe-t-il quelque chose de plus beau que les concertos pour piano 21 & 23 de Mozart ? J'en doute."
Plus beau que l'adagio du 23? J'en doute aussi. Sans retomber dans les vieilles discussions inutiles sur la hiérarchie du beau, je signalerais le quintette D956 de Schubert. Et les derniers quatuors de Beethoven. Et le quintette K516 de Mozart. Et le concerto pour clarinette du même. Et les préludes de Debussy par Gieseking. Et les "chants de l'extase" d'Hildegarde von Bingen. Et la deuxième face d'Abbey Road. Et Dark Side of the Moon. Et la musique de Miles Davis pour "Ascenseur pour l'échafaud". Entre autres.
Les Variations Goldberg, oui, mais au clavecin par Christophe Rousset, et le quintette D 956 de Schubert, dans un vieil enregistrement réalisé au festival de Prades, avec Isaac Stern et Pablo Casals...le bonheur.
Pour Elvira Madigan, je crois que c'est l'andante du concerto n0 21...Mais je me refuse faire un choix entre 21 et 23, l'un et l'autre sont si beaux...
Désolée pour ce double copier-coller du texte de Lucien...mais je ne sais pas comment j'ai fait...
J'aime bien Paul Copeland, un compositeur pianiste. En plus, sa musique est téléchargeable gratuitement et légalement juste là :
http://www.mp3.com.au/artist.asp?id=8728
http://www.mp3.com.au/artist.asp?id=8728
La musique d'Elvira Madigan est bien l'andante du concerto no 21. Et puis la suberbe photo de l'actrice sur la pochette de l'enregistrement Deutsche Grammophon ! (en CD dans la collection "The originals")
Eniotna, est-ce que tu pourrais donner une référence de CD pour "Le Sacre du Printemps" de Stravinsky ?
Eniotna, est-ce que tu pourrais donner une référence de CD pour "Le Sacre du Printemps" de Stravinsky ?
Tophiv,
t'as de la musique, alors, c'est quand qu'on te lis ? Y'à un forum pour ça, dans le coin.
t'as de la musique, alors, c'est quand qu'on te lis ? Y'à un forum pour ça, dans le coin.
J'ai de la musique, de l'encre et du papier... reste plus qu'à trouver un peu de temps et peut être que je viendrais faire un p'tit tour sur le forum dédié.
En tous cas, merci encore pour vos conseils.........
En tous cas, merci encore pour vos conseils.........
de l'encre ? du papier ?
tu te la joues romance,
alors écris !...
tu te la joues romance,
alors écris !...
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