Pas de problème, je sais me placer par rapport à ça. Je connais la leçon ; les préjugés, ça me connaît, donc pas de problème de ce coté non plus.
C'est exactement ce que je disais ; qui regarde les feux de l'amour ? Majoritairement des femmes. Ce n'est ni une critique, si une généralisation, mais tu l'as bien dit, une affaire de statistiques. Pas la peine de partir en croisade pour si peu ;-)
C'est exactement ce que je disais ; qui regarde les feux de l'amour ? Majoritairement des femmes. Ce n'est ni une critique, si une généralisation, mais tu l'as bien dit, une affaire de statistiques. Pas la peine de partir en croisade pour si peu ;-)
bonjour,
"Les Princes du sang" de Gilbert Schlogel
Cette passionnante saga romaneque retrace l'histoire de la chirurgie depuis le XVIII siècle à travers la vie de 5 chirurgiens d'une même famille.
Ils ont vu naitre l'anesthésie, l'aseptie, la radiologie, les greffes d'organes et le triomphe de l'informatique.
Ils ont connu tous les stades de la notoriété : misérables barbiers sous Louis XVI, novateurs pendant la Révolution, glorieux vainqueurs sous l'Empire ils sont devenus, dès la fin du XIX siècles de grands notables riches et respectés.
Ils étaient des artistes prestigieux, ils sont considérés aujour'hui comme des techniciens de haut rang qui ne peuvent plus se passer d''électonique.
Ils n'en restent pas moins des hommes soumis à des plusions sentimentales plus ou moins avouables, Ils aiment, haïssent, souffrent au même titre que ceux auxquels ils consacrent leur énergie et leur science. Ils sont tenaillés par l'ambition, l'appât du gain ou le gout de la célébrité, mais chaque jour, devant leur table d'opération, ils ont rendez-vous avec l'angoisse tragique de ce combat pour la vie qu'ils ont mené à toutes les époques
(4ème de couverture)
"Les Princes du sang" de Gilbert Schlogel
Cette passionnante saga romaneque retrace l'histoire de la chirurgie depuis le XVIII siècle à travers la vie de 5 chirurgiens d'une même famille.
Ils ont vu naitre l'anesthésie, l'aseptie, la radiologie, les greffes d'organes et le triomphe de l'informatique.
Ils ont connu tous les stades de la notoriété : misérables barbiers sous Louis XVI, novateurs pendant la Révolution, glorieux vainqueurs sous l'Empire ils sont devenus, dès la fin du XIX siècles de grands notables riches et respectés.
Ils étaient des artistes prestigieux, ils sont considérés aujour'hui comme des techniciens de haut rang qui ne peuvent plus se passer d''électonique.
Ils n'en restent pas moins des hommes soumis à des plusions sentimentales plus ou moins avouables, Ils aiment, haïssent, souffrent au même titre que ceux auxquels ils consacrent leur énergie et leur science. Ils sont tenaillés par l'ambition, l'appât du gain ou le gout de la célébrité, mais chaque jour, devant leur table d'opération, ils ont rendez-vous avec l'angoisse tragique de ce combat pour la vie qu'ils ont mené à toutes les époques
(4ème de couverture)
La Peste, d'Albert Camus.
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