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M. Vanderdaum possédait l'art de ne rien dire avec les mots. Aussi avions nous des discussions fort intéréssantes, car l'art de dire les mots néglige parfois la profondeur. Face au silence, tout était plus clair, plus vide. Mais pas un vide de sens. C'était un vide qui me comblait totalement. Je buvais ses silences, m'abreuvait de sa science. Quand il parlait, ce qui était très rare, et plus particulièrement quand il parlait de lui (ceci était encore plus rare), il n'employait pas la première personne, mais la troisième. Il ne disait pas "je" mais "il", il ne disait pas "je suis" mais "c'est", il ne PARLAIT pas, mais "CA parlait". Aussi je n'écoutais plus, auquel cas j'aurai commis l'erreur de couper toute forme de relation entre lui et moi, entre moi et moi...Moi? justement non... "Dieu" ,disait-il, "comme il est coutume de l'appeler, n'a pas de nom, et il n'adhère pas au non... Tout est un". Pourtant ,aujourd'hui, ma vie et mon sentier sont beaucoup plus éclairés. Eclairés...comme l'était M. Vanderdaum
Je précise : c'est une consigne de cours. Je n'aurais jamais pu inventer un nom pareil...
Une consigne de cours? Comment ça? Comment faut-il qu'on continue ça? Et toi, que devais tu faire par rapport à ce texte, en cours?
il fallait choisir une phrase parmi d'autres qui nous était proposées, puis faire quelquechose à partir de ça. Donc voila, c'était un peu libre...
la phrase que j'avais chosisie est :M. Vanderdaum avait l'art de ne rien dire avec les mots.
"un peu" libre!... Ton explication me semble incomplète CQFD, qu'elle était la phrase qui a servi à fabriquer ce texte??
J'ai répondu à cette question avnt que vous me la posiez!
on joue sur les secondes là! merci CQFD
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