Page 1 de 1
Au zébu on attribue, sur un ton zozotant, le célèbre "Quand z'ai bu z'ai pu soif".
Au lecteur on devrait attribuer l'inverse... "Quand z'ai bu z'en veux encore"
Comme si... comme si le plaisir du texte ne se rassasiait que par le désir de l' "encore ! encore ! encore !".
Tout texte, tout roman est-il toujours insuffisant en lui-même et seulement capable d'éveiller curiosités et désirs de renouveaux ?
Des fois je me le demande... ;-)
Au lecteur on devrait attribuer l'inverse... "Quand z'ai bu z'en veux encore"
Comme si... comme si le plaisir du texte ne se rassasiait que par le désir de l' "encore ! encore ! encore !".
Tout texte, tout roman est-il toujours insuffisant en lui-même et seulement capable d'éveiller curiosités et désirs de renouveaux ?
Des fois je me le demande... ;-)
Vous pouvez répéter la question ?
Vous pouvez répéter la question ?
;-))) !
je suis un incompris ;-) ;-)
Une réponse possible à cette question est que si le lecteur en veut encore, tant et plus, c'est qu'il apprécie la production de l'auteur.
En ce sens, plus que des exigences de type stakanoviste, les encore, encore s'apparentent à des compliments, ou tout au moins des témoignages positifs...
En ce sens, plus que des exigences de type stakanoviste, les encore, encore s'apparentent à des compliments, ou tout au moins des témoignages positifs...
à l'instar du zébu, aussi, le plus souvent, le lecteur a envie de dire "assez!, c'est bon! z'ai lu, z'en veux plus"
Zé bu et zen peu plu,
Et toi k'a bu
Ken sé tu
De ce ke zé bu
Le zé bu sé pa,
Y kalkul'pa,
Il é la,
Kom moi.
Com moi ki voi
Le ciel dans tou ses états.
D'en hau lés anges
Sé tone.
Une étoil se done
Dans le ciel
Qui s'envole
D'un feu mutin.
Des stars parsemées
De poussières des mondes,
S'envolent et inondent
Les mondes oubliés.
Le zébu s'en va,
Sa course est longue.
Est-ce lui ou moi
Qui vit là ?
FLC
Et toi k'a bu
Ken sé tu
De ce ke zé bu
Le zé bu sé pa,
Y kalkul'pa,
Il é la,
Kom moi.
Com moi ki voi
Le ciel dans tou ses états.
D'en hau lés anges
Sé tone.
Une étoil se done
Dans le ciel
Qui s'envole
D'un feu mutin.
Des stars parsemées
De poussières des mondes,
S'envolent et inondent
Les mondes oubliés.
Le zébu s'en va,
Sa course est longue.
Est-ce lui ou moi
Qui vit là ?
FLC
De mieux en mieux, décidément, les chats sont inspirés pendant la nuit, hein Felix ?
Bonsoir ST J B,
J'aime la nuit,
J'aime ses parfums.
Elle anime mon esprit,
Ses eaux me ravissent.
FLC
J'aime la nuit,
J'aime ses parfums.
Elle anime mon esprit,
Ses eaux me ravissent.
FLC
J'aime beaucoup ce que tu as fait, FLC, tu aurais dû creer un fil :0)
Tu as du talent, c'est sur.
Tu as du talent, c'est sur.
Bonsoir Lyra,
Un autre printemps vient de naître,
La pleine lune illumine les cieux,
Les jours commencent à s'alanguir.
De la profondeur des nuits,
Les étoîles jaillissent,
Elles éclairent nos envies.
J'aime le velours de l'espace,
J'aime son éclat,
J'aime ses diamants.
Les météores traversent les univers,
Ils sèment des étincelles,
Qui ressemblent à nos vies.
Je vois ton âme,
J'imagine un monde
Beau comme un temple grec.
A tes amours,
A tes désirs,
Je souhaite une belle vie.
FLC.
Un autre printemps vient de naître,
La pleine lune illumine les cieux,
Les jours commencent à s'alanguir.
De la profondeur des nuits,
Les étoîles jaillissent,
Elles éclairent nos envies.
J'aime le velours de l'espace,
J'aime son éclat,
J'aime ses diamants.
Les météores traversent les univers,
Ils sèment des étincelles,
Qui ressemblent à nos vies.
Je vois ton âme,
J'imagine un monde
Beau comme un temple grec.
A tes amours,
A tes désirs,
Je souhaite une belle vie.
FLC.
Merci FLC, ça me fait plaisir de te lire.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre