Sniff! Je ne m'attendais pas à voir si vite le mot "fin". Mais il est vrai qu'il s'écrit bien joliement sous la plume de Syb. Mais tout de même... Ce MM3 était tellement bien parti, tellement parfait, j'aurais aimé le voir tourné un tour de plus. Mais un petit tour en plus avant de retrouver ta fin Syb. Je n'ai rien contre elle, elle est très bien trouvée, très bien écrite mais il faut déjà quiter des personnages qu'on commençait juste à apprivoiser, d'où la tristesse générale! Mais bravo tout de même!
...
à quand MM4????
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à quand MM4????
Ha ha ha ! on n'est plus dans la guimauve avec Sibylline ! Mais que c'est beau ! Enfin quelqu'un qui a bien compris le personnage dramatique de Andréa ! Un héros de tragédie à l'antique ! Foudroyé, c'est bien fait pour lui, il n'aimait pas les chiens ! (c'est pour rire).
Très bel épisode, très bien écrit.
Et pourquoi pas la suite avec Lelio et Sofia, et l'élégant jeune-homme efféminé et le chien vagabond qui lève la patte ?
Très bel épisode, très bien écrit.
Et pourquoi pas la suite avec Lelio et Sofia, et l'élégant jeune-homme efféminé et le chien vagabond qui lève la patte ?
Pour la déception de Killgrieg, je crois comprendre : les personnages sont, pour qui écrit, des compagnons ou des compagnes que l’on a du mal à mettre à mort avec le mot fin. Enfin, pour ma part ça me fait souvent ça. Pire, il m’est même arrivé de tomber amoureux de l’une d’elle. Oui, raide dingue au point de ne plus trop distinguer la fiction de la réalité, et je crois que c’est là ce qu’évoque Killgrieg en parlant de deuil. Non ? Faut-il que nos compagnes, les vraies, soient compréhensives ;-)
c'est ça, c'est ça sibylline, et plus encore...
J'l'avais à peine touché ce MM, à peine caressé adalgisa, j'avais des idées par centaines qui occupaient mes moments de calme, pelagia - qui se nommait aussi marguerite à Antioche - aurait été celle de faust, Andréa un nouveau faust ( même si à cause de yali, j'avais un peu de mal à me le représenter autrement que comme un "blondard" héros de sitcom, ou pire, parfois avec un chapeau à plumes, des collants blancs et une coquille à l'entrejambe )... Goethe à Rome allait m'inspirer... Et... Pire encore... L'appel à texte "horreur" était en grande partie basé sur CL et le MM3, subtile ( si! si!) mélange de fiction, de réalité, de fiction et de monde virtuel... CtrlA/delete... faut que je refasse tout... Sib... cruelle Sib... tu m'enlèves tout ça, comme on enleverait son train électrique à un gamin, le jour de Noël pour le rendre au magasin... :-)
et pense à la frustration de Sahkti qui ne pourra pas dégommer la coquille du coquin. Hein??!! et si à cause de toi, traumatisée, elle s'en allait demain faire de son voisin un eunuque
Voilà en gros! bon! ça y est; j'ai fait mon deuil, faut pas pousser quand même, et je ne suis pas rancunier MOi, et c'est le jeu quoi!
Mais ne t'étonnes pas, si d'aventure, une vilaine sorcière - type blanche-neige ou magicien d'Oz - qui signerait son nom de la pointe de l'épée d'un grand S, vienne à apparaître de façon récurrente dans mes textes... ha! Ha! tu fais plus ta fière Là hein! t'as les choquottes...
bisous quand même :-))
Médor est mort? Comme le petit chat?
ouaip! tout pareil! et moi j'en suis au muscat du dimanche qui m'fait encore chanter.
Merci Kilis, merci Kicilou, merci SJB d'avoir aussi fait attention au texte. Je commençais à me sentir un peu seule.
Et pourquoi pas la suite avec Lelio et Sofia, et l'élégant jeune-homme efféminé et le chien vagabond qui lève la patte ?
Que je n'ai pas placés là par hasard. Je vous rappelle, comme vous l'avez tout de suite senti, que rien, à part vous même, ne vous empêche de continuer. Mais personne n'y songe, on dirait. Je n'avais donc peut-être pas si tort que cela de sentir l'histoire comme finie.
pardon! pardon! sibylline, je me suis emballé et j'ai un peu oublié le texte; beau texte :-).
Commençons par les choses qui ne sont pas passées.
D'abord, cette fin (car tu auras beau dire c'est une vraie fin) m'a un peu rappelé par son côté "résumé" conclusif, la fin de "crimes et châtiments". Fin qui m'avait laissé malheureux aussi... Passer d'un récit collé à l'action comme elle se déroule, au résumé d'une vie n'est jamais facile.
Ensuite, j'ai un peu tiqué sur la foudre qui achève Andréa, ce pauvre diable. Quand même c'est pas de chance et puis les fourches attirent-t-elles la foudre avec leur manche en bois?? Pas sûr... Peut-être.
Par contre ton style est fluide et agréable à la lecture... Et j'adore la toute fin:
Pirouette, surprise, tu te joues avec talent de nous et des personnages en donnant vie à ce peintre à peine entraperçu, avec ce chien qui n'est peut-être pas le bon, qui n'est peut-être pas celui qu'on a cru... vrai moment de plaisir fin et drôle.
Pour citer Dostoïevsky à la toute fin de "C&C":
"Tout cela pourrait inspirer une autre *relation,
mais la nôtre est à présent terminée."
*relation du verbe relater.
J'espère que, la nôtre, de relation restera au beau fixe.
PS: relis les autres; je pense avoir été le seul à ne pas avoir fait de commentaires sur le texte même, encore navré, mais bon! j'avais perdu trois amis et une amante potentielle
Commençons par les choses qui ne sont pas passées.
D'abord, cette fin (car tu auras beau dire c'est une vraie fin) m'a un peu rappelé par son côté "résumé" conclusif, la fin de "crimes et châtiments". Fin qui m'avait laissé malheureux aussi... Passer d'un récit collé à l'action comme elle se déroule, au résumé d'une vie n'est jamais facile.
Ensuite, j'ai un peu tiqué sur la foudre qui achève Andréa, ce pauvre diable. Quand même c'est pas de chance et puis les fourches attirent-t-elles la foudre avec leur manche en bois?? Pas sûr... Peut-être.
Par contre ton style est fluide et agréable à la lecture... Et j'adore la toute fin:
Un fort beau jeune homme, un peu efféminé, s’approcha du chien et se mit à lui parler comme s’il pouvait comprendre
« Tu m’as encore fait venir ! Tu as à nouveau besoin de moi ? Mais pourquoi fais-tu cela ? »
Mais la pauvre bête que tous ces discours n’inspiraient guère, s’éloigna après avoir levé la patte.
Pirouette, surprise, tu te joues avec talent de nous et des personnages en donnant vie à ce peintre à peine entraperçu, avec ce chien qui n'est peut-être pas le bon, qui n'est peut-être pas celui qu'on a cru... vrai moment de plaisir fin et drôle.
Pour citer Dostoïevsky à la toute fin de "C&C":
"Tout cela pourrait inspirer une autre *relation,
mais la nôtre est à présent terminée."
*relation du verbe relater.
J'espère que, la nôtre, de relation restera au beau fixe.
PS: relis les autres; je pense avoir été le seul à ne pas avoir fait de commentaires sur le texte même, encore navré, mais bon! j'avais perdu trois amis et une amante potentielle
Merci Kilis, merci Kicilou, merci SJB d'avoir aussi fait attention au texte. Je commençais à me sentir un peu seule.
Et Sahkti et Yali ! J’espère qu’ils m’excuseront de les avoir omis. Je ne sais pas comment ça se fait que je ne m’en étais pas rendu compte avant. C’est peut-être parce que j’étais un peu choquée par l’accueil , mais bon…
Si bien qu’en fin de compte, il y a plus de gens qui ont considéré le texte que de gens qui ne l’ont pas fait et que j’avais donc grandement tort de me plaindre. Moi aussi, je suis injuste parfois :-)
Bonne journée à tous, je file.
Bien après tous, je vais de mon petit commentaire. Désolée Sib pour ce retard.
Moi aussi, j'ai été surprise de voir le MM se terminer, je me suis dit qu'il avait donc moins accroché, et aussi "c'est de ta faute, c'est quand même toi qui l'a lancé", mais c'est qu'il devait en être ainsi.
Quant à cette fin, en soi, ce qui est de loin le plus important, j'ai trouvé, Sib, que tu t'en étais sortie des plus habilement possible. Le côté un peu inéluctable de la fin de Pelagia, la déchéance d'Andrea et cet aspect ironique du "personnage canin", surtout, qui, en fin de compte, n'est peut-être pas si diabolique que ça, vraiment, j'ai aimé. Tu as bien fait de mettre un point final et surtout avec autant d'adresse et de qualité. Un excellent texte! :o)
Un très bel épisode, Sib.
Moi aussi, j'ai été surprise de voir le MM se terminer, je me suis dit qu'il avait donc moins accroché, et aussi "c'est de ta faute, c'est quand même toi qui l'a lancé", mais c'est qu'il devait en être ainsi.
Quant à cette fin, en soi, ce qui est de loin le plus important, j'ai trouvé, Sib, que tu t'en étais sortie des plus habilement possible. Le côté un peu inéluctable de la fin de Pelagia, la déchéance d'Andrea et cet aspect ironique du "personnage canin", surtout, qui, en fin de compte, n'est peut-être pas si diabolique que ça, vraiment, j'ai aimé. Tu as bien fait de mettre un point final et surtout avec autant d'adresse et de qualité. Un excellent texte! :o)
Un très bel épisode, Sib.
Alors, alors, déjà le texte est très bien écrit, j'ai beaucoup aimé la deuxième partie avec l'effet boucle, l'écrivain à la place du peintre, j'ai trouvé ça très bien trouvé !
Par contre la première partie, j'ai moins aimé, parce qu'on passe de Rome, à la campagne, on change totalement d'ambiance, et puis je ne le voyais pas finir comme ça, il s'en va, il meurt, par la foudre, loin, seul, je nous voyais continuer dans la même fibre, les fontaines, encore des peintures, encore Adalgisa, je ne penser pas voir la fin arriver si vite, mais bon ça, c'est une question personnelle, ça dépend des gens, comment ils sentent le texte, etc...c'est le principe du MM, alors il est où le MM4 ? ;0)))
Par contre la première partie, j'ai moins aimé, parce qu'on passe de Rome, à la campagne, on change totalement d'ambiance, et puis je ne le voyais pas finir comme ça, il s'en va, il meurt, par la foudre, loin, seul, je nous voyais continuer dans la même fibre, les fontaines, encore des peintures, encore Adalgisa, je ne penser pas voir la fin arriver si vite, mais bon ça, c'est une question personnelle, ça dépend des gens, comment ils sentent le texte, etc...c'est le principe du MM, alors il est où le MM4 ? ;0)))
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