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Sur la banquette arrière d' une voituer qui file, je suis coupé du monde qui m' entoure. La ville me regarde passer de ses néons perçants. La nuit enveloppe les gratte-ciel d' une teinte argentée. Les murs de briques sont couverts de graffitis, l' image d' un " V " vert avec une serigue au centre, encore et encore. V pour Valkyr. La drogue. Le reflet rouge et bleu du gyrophare de la voiture de police scintille sur la neige immaculée.
Un bruit métallique résonne dans la nuit ; il ressemble tellement à un coup de feu qu' il me renvoie au tout début. Ma dernière rencontre avec Alex avant mon infiltration dans le milieu. Asis en face de moi dans un bistro minable, il souriait à la manière d' un ours amical, mais son regard en disait long. Nous n' avions pas été du côté des vainqueurs depuis longtemps. Prudent, il parlait affaires :
" Pour remonter à la source, il faut mettre le grappin sur Jack Lupino. Tu va devoir amadouer les petits truands de la famille Punchinello. Joey et Virgilio Finito. L' homme de confiance de Lupino, Vinnie Gognitti. Tout le gros gibier. "
C' est à ce moment. Un signe du destin. Visible à travers la peur que j' ai lue dans les yeux d' Alex, à travers la couleur sombre du café que je buvais, à travers la façon dont mon Beretta me rentrait dans les côtes. Mais nous refusions de voir quoi que ce soit , nous nous voilions la face. Aveugles. Plus tard cette nuit là, Psycho Payne, agent spécial de le DEA, a été effacé du vaste réseau des bases de données ; il a été remplacer par une nouvelle version de moi-même : Psycho Payne, criminel professionnel gratifié d' un casier judiciaire de plusieurs kilomètres de long.
Tout s' est écroulé deux jours plus tard. La poisse, comme une tempête hivernal. Poussé au bord du gouffre, je me suis retrouvé dans ce terrain vague inconnu et froid, entre le bien et le mal. Pas de pancartes. Coincé dans un cours intensif avec la Mafia pour professeur. Sans rien à perdre. La NYPD, police new-yorkaise, suivait la trace que des cartouches vides que je semais sur mon passage.
J' essayais de trouver des réponses, mais chaque coup de feu me laissait au contraire un trou béant de questions. Un labyrnthe grandissant de questions, comme une mare de sang qui se dépand sur la neige.
La voiture s' arrête au feu. Dehors, le signal lumineux peint la neige en rouge, comme la ville dévorée par les flammes.
Mais à l' intérieur, dans la pénombre de la voiture, tout a revêtu une teinte grise. Je sais que je vis un mensonge. Aucune antalgique ne pourra soulager ma douleur.
Aucun mensonge ne peut rien cacher. Je ne suis pas vraiment assis à l' arrière de cette voiture. Rien n' a commencé dans le bistro avec Alex. Tout a commencé il y a trois ans, dans ma chambre. Et je n' ai pas quitté cette chambre depuis. Le tueur gît par-terre, mort à mes pieds.
Michelle est allongée sur le lit, les trous laissés par les balles miroitant comme des rubis sur sa poitrine. Les pleurs de notre bébé vite interrompus, un silence lourd pèse dans l' atmosphère. Ce coup de feu, comme un point d' exclamation mettant fin à tout, la réponse à mes questions, s' est depuis longtemps éteint ; même son écho s' est tu. Mon pistolet n' a plus cessé de faire corps avec ma main. Cette scène reste gravée dans ma mémoire à jamais.
Surout à ce moment précis - tandis que la ville s' approche des vitres de la voiture, ses battements de coeur monstrueux résonnent sous les roues. Mon regard se perd dans le rétroviseur arrière. Mes mains engourdies sont plaquées derrière mon dos. Tout ce qui s' est passé après cette scène est un gâchis désespéré, un tourbillon chaotique, une naussé grandissante qui me laisse un goût de rouille dans la bouche.
Pouvez vous me dire ce que vous pensez de ce texte.
Un bruit métallique résonne dans la nuit ; il ressemble tellement à un coup de feu qu' il me renvoie au tout début. Ma dernière rencontre avec Alex avant mon infiltration dans le milieu. Asis en face de moi dans un bistro minable, il souriait à la manière d' un ours amical, mais son regard en disait long. Nous n' avions pas été du côté des vainqueurs depuis longtemps. Prudent, il parlait affaires :
" Pour remonter à la source, il faut mettre le grappin sur Jack Lupino. Tu va devoir amadouer les petits truands de la famille Punchinello. Joey et Virgilio Finito. L' homme de confiance de Lupino, Vinnie Gognitti. Tout le gros gibier. "
C' est à ce moment. Un signe du destin. Visible à travers la peur que j' ai lue dans les yeux d' Alex, à travers la couleur sombre du café que je buvais, à travers la façon dont mon Beretta me rentrait dans les côtes. Mais nous refusions de voir quoi que ce soit , nous nous voilions la face. Aveugles. Plus tard cette nuit là, Psycho Payne, agent spécial de le DEA, a été effacé du vaste réseau des bases de données ; il a été remplacer par une nouvelle version de moi-même : Psycho Payne, criminel professionnel gratifié d' un casier judiciaire de plusieurs kilomètres de long.
Tout s' est écroulé deux jours plus tard. La poisse, comme une tempête hivernal. Poussé au bord du gouffre, je me suis retrouvé dans ce terrain vague inconnu et froid, entre le bien et le mal. Pas de pancartes. Coincé dans un cours intensif avec la Mafia pour professeur. Sans rien à perdre. La NYPD, police new-yorkaise, suivait la trace que des cartouches vides que je semais sur mon passage.
J' essayais de trouver des réponses, mais chaque coup de feu me laissait au contraire un trou béant de questions. Un labyrnthe grandissant de questions, comme une mare de sang qui se dépand sur la neige.
La voiture s' arrête au feu. Dehors, le signal lumineux peint la neige en rouge, comme la ville dévorée par les flammes.
Mais à l' intérieur, dans la pénombre de la voiture, tout a revêtu une teinte grise. Je sais que je vis un mensonge. Aucune antalgique ne pourra soulager ma douleur.
Aucun mensonge ne peut rien cacher. Je ne suis pas vraiment assis à l' arrière de cette voiture. Rien n' a commencé dans le bistro avec Alex. Tout a commencé il y a trois ans, dans ma chambre. Et je n' ai pas quitté cette chambre depuis. Le tueur gît par-terre, mort à mes pieds.
Michelle est allongée sur le lit, les trous laissés par les balles miroitant comme des rubis sur sa poitrine. Les pleurs de notre bébé vite interrompus, un silence lourd pèse dans l' atmosphère. Ce coup de feu, comme un point d' exclamation mettant fin à tout, la réponse à mes questions, s' est depuis longtemps éteint ; même son écho s' est tu. Mon pistolet n' a plus cessé de faire corps avec ma main. Cette scène reste gravée dans ma mémoire à jamais.
Surout à ce moment précis - tandis que la ville s' approche des vitres de la voiture, ses battements de coeur monstrueux résonnent sous les roues. Mon regard se perd dans le rétroviseur arrière. Mes mains engourdies sont plaquées derrière mon dos. Tout ce qui s' est passé après cette scène est un gâchis désespéré, un tourbillon chaotique, une naussé grandissante qui me laisse un goût de rouille dans la bouche.
Pouvez vous me dire ce que vous pensez de ce texte.
Excellent !
Je le trouve très bien écrit, des comparaisons riches et étonnantes, une belle écriture fluide, une ambiance très bien décrite, je suis impressionée.
J'ai vraiment beaucoup aimé.
Je le trouve très bien écrit, des comparaisons riches et étonnantes, une belle écriture fluide, une ambiance très bien décrite, je suis impressionée.
J'ai vraiment beaucoup aimé.
Johnny se réveille d'une sieste dominicale méritée. Sur l'écran de son micro, un texte formaté comme un polar de seconde zone attire son attention. Trop de clichés, trop d'image calibrées... Johnny tique; psycho il en a déjà lu un, et là, à part les fautes d'orthographe, il ne reconnait pas la patte monstrueuse de l'ado déjanté. Si ce texte est limite vulgaire tant il comporte d'images faciles, il reste trop bien construit pour provenir de la plume gauche du nouveau venu. Une question fait tilter tous les bumpers de son flipper cérébral encore en veille:
"pourquoi ce type aurait perdu son temps, un samedi sans neige, à recopier un texte ailleurs??? Pourquoi??"
La vérité, encore une fois, est surement ailleurs.
"pourquoi ce type aurait perdu son temps, un samedi sans neige, à recopier un texte ailleurs??? Pourquoi??"
La vérité, encore une fois, est surement ailleurs.
"Johnny se réveille d'une sieste dominicale mérité"
Johnny devrait éviter Walker, nous sommes samedi Killgrieg ;-)
Johnny devrait éviter Walker, nous sommes samedi Killgrieg ;-)
:o)))
Johnny, quand il dort, il a du mal a émerger
Johnny, quand il dort, il a du mal a émerger
Bien, bien ,bien, je me suis inspiré de plusieurs dialogues que j' ai vu dans des livres et films. D' accord il n' est pas de toute mon imagination, mais la plupart oui et désoler si il faut être nul pour être accepter ici .Une dernière chose ce texte n' a pas était fait en 10 min cela fait longtemps que je l 'ai écrit .
Enfin j' espère que je ne vais pas être rejeté et la prochaine fois je ne ferais que des textes qui proviennent de mon entière imagination .
I am sorry.
Puis-je caresser l' espoir qu' un jour vous me pardonneriez?
Enfin j' espère que je ne vais pas être rejeté et la prochaine fois je ne ferais que des textes qui proviennent de mon entière imagination .
I am sorry.
Puis-je caresser l' espoir qu' un jour vous me pardonneriez?
Bien, bien ,bien, je me suis inspiré de plusieurs dialogues que j' ai vu dans des livres et films. D' accord il n' est pas de toute mon imagination, mais la plupart oui et désoler si il faut être nul pour être accepter ici .Une dernière chose ce texte n' a pas était fait en 10 min cela fait longtemps que je l 'ai écrit .
Enfin j' espère que je ne vais pas être rejeté et la prochaine fois je ne ferais que des textes qui proviennent de mon entière imagination .
I am sorry.
Puis-je caresser l' espoir qu' un jour vous me pardonneriez?
Puis-je caresser l' espoir qu' un jour vous me pardonnerez?
Alors peut être vaudrait-il mieux éviter d'écrire cela :
"désoler si il faut être nul pour être accepter ici ."
Si vraiment tu penses cela, tu n'auras aucun mal à nous laisser à notre nullité, n'est-ce pas?
non je le pense pas, mais c' est pas parce que j' ai écrit un texte pas mal que sa n' est pas moi qui l' ai écrit!!!!!
mais si vous vous êtes nul moi je suis hyper nul!!
mais si vous vous êtes nul moi je suis hyper nul!!
C'est loin d'être "hypernul" Psycho, et je ne pense pas qu'il soit utile de s'énerver comme ça, tu sais. Depuis que je "fréquente" ce site, très occsionnellement, je n'ai vraiment vu qu'un intervenant intolérant et peu sympa, tous les autres sont constructifs et de bons conseils. Tu dois persister dans ton envie d'écrire et trouver ton style. Peut être clarifier tes idées pour que les lecteurs accrochent. C'est pas forcément simple. Courage. Moi j'ai pas encore franchi le pas malgré quelques encouragements... (venus d'ici!)
Moi je trouve ça plutot bien, hormis les fautes eh eh.
On a une bonne atmosphère, volontairement glauque, et c'est bien écrit. Continue comme ça je trouve ça très intéressant
On a une bonne atmosphère, volontairement glauque, et c'est bien écrit. Continue comme ça je trouve ça très intéressant
Hé ! Don Psychotte, je n’en avais pas l’intention, mais puisque tu insistes.
J’ai affirmé sur CL que si je me trompais, je ferai de plates excuses et disparaîtrais à jamais du forum. Il est temps je pense d ‘étayer mes accusations (qui n’en étaient même pas d’ailleurs)… Ce matin, j’ai fait une petite recherche avec quelques mots clefs dans google… Valkyr… Un jeu vidéo ; Max (psycho) Payne… La drogue, l’intrigue, les personnages… Tout est là .
« je me suis inspiré de plusieurs dialogues que j' ai vu dans des livres et films »
… Tu as oublié le jeu vidéo et les textes qui s’y rattachent.
« D' accord il n' est pas de toute mon imagination, mais la plupart »
… Précise, parce que là c’est aussi clair que le premier texte que tu as posté sur CL.
« désoler si il faut être nul pour être accepter ici »
... :-))))
«c' est pas parce que j' ai écrit un texte pas mal que sa n' est pas moi qui l' ai écrit!!!!! »
...Je n’ai jamais dit ça.
J’ai dit :
1- Quand j’ouvre un polar - genre que j’apprécie énormément – et qu’il commence comme ça, je le referme et l’envoie à mon père qui ne lit que des bouquins de Gérard de Villiers.
2- Si ce texte avait été une parodie, je l’aurai trouvé amusant. Là ce n’est pas le cas.
3- Si il avait vraiment été écrit par quelqu’un de quinze ans, j’aurai applaudi et crié bravo. Là, j’ai eu des doutes.
Mes doutes se sont confirmés ce matin.
Je n’ai rien contre toi personnellement psycho, ton premier texte aurait très bien pu passer s’il n’avait été accompagné de remarques d’une prétention puérile… Mais bon ! ça m’a plutôt amusé. Ce qui m’irrite vraiment c’est ton acharnement à te faire passer pour une victime.
« Puis-je caresser l' espoir qu' un jour vous me pardonneriez? »
Pourquoi pas ! ! ? ... peut-être pas si tu en rajoutes une couche à chaque fois.
J’ai affirmé sur CL que si je me trompais, je ferai de plates excuses et disparaîtrais à jamais du forum. Il est temps je pense d ‘étayer mes accusations (qui n’en étaient même pas d’ailleurs)… Ce matin, j’ai fait une petite recherche avec quelques mots clefs dans google… Valkyr… Un jeu vidéo ; Max (psycho) Payne… La drogue, l’intrigue, les personnages… Tout est là .
« je me suis inspiré de plusieurs dialogues que j' ai vu dans des livres et films »
… Tu as oublié le jeu vidéo et les textes qui s’y rattachent.
« D' accord il n' est pas de toute mon imagination, mais la plupart »
… Précise, parce que là c’est aussi clair que le premier texte que tu as posté sur CL.
« désoler si il faut être nul pour être accepter ici »
... :-))))
«c' est pas parce que j' ai écrit un texte pas mal que sa n' est pas moi qui l' ai écrit!!!!! »
...Je n’ai jamais dit ça.
J’ai dit :
1- Quand j’ouvre un polar - genre que j’apprécie énormément – et qu’il commence comme ça, je le referme et l’envoie à mon père qui ne lit que des bouquins de Gérard de Villiers.
2- Si ce texte avait été une parodie, je l’aurai trouvé amusant. Là ce n’est pas le cas.
3- Si il avait vraiment été écrit par quelqu’un de quinze ans, j’aurai applaudi et crié bravo. Là, j’ai eu des doutes.
Mes doutes se sont confirmés ce matin.
Je n’ai rien contre toi personnellement psycho, ton premier texte aurait très bien pu passer s’il n’avait été accompagné de remarques d’une prétention puérile… Mais bon ! ça m’a plutôt amusé. Ce qui m’irrite vraiment c’est ton acharnement à te faire passer pour une victime.
« Puis-je caresser l' espoir qu' un jour vous me pardonneriez? »
Pourquoi pas ! ! ? ... peut-être pas si tu en rajoutes une couche à chaque fois.
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