Saint Jean-Baptiste 22/02/2005 @ 11:47:29
Je m'aperçois qu'une erreur s'est glissée dans mon commentaire du livre de Jean Tulard, Les Vingt Jours.
Il fallait lire évidemment, que les Parisiens, jamais à cours de mots, disaient :
- "Entre le vice et le crime nous avons retrouvé notre Père de Gand "
au lieu de :
- "Entre le vice et la vertu.. .. "
Les Parisiens de 1815, en parlant de Fouché le régicide, n'allaient pas jusqu'à dire que c'était "vertu" d'avoir décapité Louis XVI !
Je me doute bien que les aimables lecteurs de notre site bien-aimé auront corrigé d'eux-mêmes.
Qu'ils acceptent mes excuses et veuillent bien me pardonner cette erreur.

Moon 22/02/2005 @ 12:23:11
Vous êtes tout pardonné. L'erreur est humaine et ça arrive à tout le monde, moi la première. Je vais "de ce pas" voir votre critique.

Bonne journée.

Spleenofrock 22/02/2005 @ 17:56:28
Merci SJB pour cette critique emportée! Je suis en pleine période premier empire, après les 4 tomes de Gallo, les biographies respectives du "vice" Talleyrand et du "crime" Fouché.
Il s'agit effectivement d'une des périodes les plus passionnantes... Napoléon, héros ou bourreau mérite bien sa place dans les rayons "histoire" des bibliothèques.
Dernier aparte, avant de courir a la librairie acheter ce bouquin, la biographie de Talleyrand m'a définitivement fait penser à un président de notre chère france (ca commence par Mitt et ca finit comme le nom du "diable boiteux" susnommé).
Est-ce un délire personnel, ou talleyrand a-t-il enfanté une nouvelle génération de politiques?

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