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J'ai la manie de relever les incorrections quand je lis bien que je sois nul en dictee. J'aimerai souligner quelques incorrections que je releve frequemment:
On dit Faute d'attention et non faute d'inattention(ce serait un pleonasme)
jE me rappelle toi ou je me souviens de toi(on se rappelle quelque chose et on se souvient de quelque chose
Ils se sont succedé(avec un COD, les verbes pronominaux ne s'accordent pas)
Un petit enfant est un pleonasme
Un faux probleme est une expression cocasse tout comme s'averer faux.
On dit Faute d'attention et non faute d'inattention(ce serait un pleonasme)
jE me rappelle toi ou je me souviens de toi(on se rappelle quelque chose et on se souvient de quelque chose
Ils se sont succedé(avec un COD, les verbes pronominaux ne s'accordent pas)
Un petit enfant est un pleonasme
Un faux probleme est une expression cocasse tout comme s'averer faux.
Pepito, si tu fais des fautes d'orthographe, Oups !
Si tu fais des incorrections orthographiques, tu ne te sentiras pas trop dépaysé sur ce site !
;-)
Si tu fais des incorrections orthographiques, tu ne te sentiras pas trop dépaysé sur ce site !
;-)
Un petit enfant est un pleonasme
Ah bon? Nous sommes pourtant de grands enfants sur Cl, à part le Petit KVQ qui est un petit enfant :o)))))))))))))
YES !!!!!! :-))))))
;-) ;-)) ;-)))
On dit Faute d'attention et non faute d'inattention(ce serait un pleonasme)
Ils se sont succedé(avec un COD, les verbes pronominaux ne s'accordent pas)
Un petit enfant est un pleonasme
Un faux probleme est une expression cocasse tout comme s'averer faux.
Il y a quelques erreurs dans ces énoncés.
On dit une faute d'inattention ; une faute qui relève de l'nattention. Le contraire serait cocasse. Une faute d'attention serait une faute commise à cause de notre attention.
(avec un COD, les verbes pronominaux ne s'accordent pas)
Énoncé ambigu : les participes des verbes pronominaux ne s'accordent pas suivis d'un COD. Ex . Elle s'est coupée, elle s'est coupé un doigt. Dans l'exemple donné par Pepito, la règle ne s'applique pas. Il s'agit d'un verbe qui ne commande que des COI.
Mes petits-enfants ne sont pas des pléonasmes. Ce sont des petits démons.
Vrai et faux ne suivent pas le verbe s'avérer. C'est vrai. Que dit-on alors? S'avérer exact et se révéler faux.
On dit une faute d'inattention ; une faute qui relève de l'nattention. Le contraire serait cocasse. Une faute d'attention serait une faute commise à cause de notre attention.
Mon prof de Français m'a corrigé une fois en me disant que on ne dit pas faute d'inattention parce que une faute traduit un manque qui porte sur l'attention. Faute d'inattention est tout simplement pleonasme et encore. Aprés cela j'ai verifié. ce qui s'est révélé exact.
Mes petits-enfants ne sont pas des pléonasmes. Ce sont des petits démons.
Il y a bien un trait d'union. En français même un virgule est important
Ex Pardon impossible, à envoyer en Siberie
Pardon, impossible à envoyer en Sibérie
Vrai et faux ne suivent pas le verbe s'avérer. C'est vrai. Que dit-on alors? S'avérer exact et se révéler faux.
Vous savez même le pleonasme n'est pas une faute: c'est une figure de style qui a pour but de mettre en relief un mot.
"Faute d'inattention" :
Le problème vient de la polysémie de la préposition "de", qui peut tantôt signifier la cause (l'origine), tantôt la qualité (qui détermine), tantôt l'appartenance, etc...
Ici, la locution qui semble consacrée par l'usage est bien "faute d'inattention", comme la cite le Petit Robert : "Faute d'inattention : commise par inattention"
Il ne s'agit donc pas dans ce cas d'un pléonasme.
"Petit enfant" : pas non plus nécessairement un pléonasme. En excluant le cas "petit-enfant" qui a une tout autre signification (hiérarchie familiale), tous les enfants ne sont pas de la même taille : certains sont petits, d'autres grands. L'adjectif "petit" a donc droit de citer.
Enfin, je suis d'accord : le pléonasme n'est pas toujours fautif, lorsqu'il est utilisé à dessein pour produire un effet d'insistance.
Le problème vient de la polysémie de la préposition "de", qui peut tantôt signifier la cause (l'origine), tantôt la qualité (qui détermine), tantôt l'appartenance, etc...
Ici, la locution qui semble consacrée par l'usage est bien "faute d'inattention", comme la cite le Petit Robert : "Faute d'inattention : commise par inattention"
Il ne s'agit donc pas dans ce cas d'un pléonasme.
"Petit enfant" : pas non plus nécessairement un pléonasme. En excluant le cas "petit-enfant" qui a une tout autre signification (hiérarchie familiale), tous les enfants ne sont pas de la même taille : certains sont petits, d'autres grands. L'adjectif "petit" a donc droit de citer.
Enfin, je suis d'accord : le pléonasme n'est pas toujours fautif, lorsqu'il est utilisé à dessein pour produire un effet d'insistance.
Merci Pale de mettre tout le monde d'accord!
De rien :o) !
. L'adjectif "petit" a donc droit de citer.Et puisque ici on semble en plein cours de remise à niveau , j'oserai signaler qu'on devrait écrire "droit de cité", non?... Pour ce qui concerne les fautes d'attention ou d'innattention , j'ai l'impression que la deuxième forme est tellement plus employée qu'elle finira par faire disparaitre l'autre , même si c'est la bonne, peut être!
.
Merci Mentor, d'avoir relevé cette faute grossière !
On écrit bien "avoir droit de cité".
L'origine de l'expression "droit de cité" remonte à l'époque des républiques de l'Antiquité.
Voici la définition du Petit Robert :
"DROIT DE CITÉ : droit d'accomplir les actes, de jouir des privilèges réservés aux membres de la cité."
"Avoir droit de cité" est une locution récente.
Petit Robert :
"Loc. (1829) Avoir droit de cité : avoir un titre à être admis, à figurer. « tout a droit de cité en poésie » (Hugo). "
On écrit bien "avoir droit de cité".
L'origine de l'expression "droit de cité" remonte à l'époque des républiques de l'Antiquité.
Voici la définition du Petit Robert :
"DROIT DE CITÉ : droit d'accomplir les actes, de jouir des privilèges réservés aux membres de la cité."
"Avoir droit de cité" est une locution récente.
Petit Robert :
"Loc. (1829) Avoir droit de cité : avoir un titre à être admis, à figurer. « tout a droit de cité en poésie » (Hugo). "
Conclusion: Tout le monde peut avoir raison selon le contexte.
Seulement quand on a une Mamie comme la mienne qui n'hesite pas à renvoyer une correspondance avec toutes les fautes(même les accents) soulignées en rouge, alors on finit par faire attention à tout pour eviter la honte devant le petit frere trop moqueur(rires).
Ps: Déesse, pourrais tu tenter d'essayer de voir s'il est possible d'envisager l'hypothése de la peu probable eventualité de songer à penser à reflechir à me faire une petite minime place dans ta vie?
Seulement quand on a une Mamie comme la mienne qui n'hesite pas à renvoyer une correspondance avec toutes les fautes(même les accents) soulignées en rouge, alors on finit par faire attention à tout pour eviter la honte devant le petit frere trop moqueur(rires).
Ps: Déesse, pourrais tu tenter d'essayer de voir s'il est possible d'envisager l'hypothése de la peu probable eventualité de songer à penser à reflechir à me faire une petite minime place dans ta vie?
On dit une faute d'inattention ; une faute qui relève de l'nattention. Le contraire serait cocasse. Une faute d'attention serait une faute commise à cause de notre attention.
Mon prof de Français m'a corrigé une fois en me disant que on ne dit pas faute d'inattention parce que une faute traduit un manque qui porte sur l'attention. Faute d'inattention est tout simplement pleonasme et encore. Aprés cela j'ai verifié. ce qui s'est révélé exact.
Mes petits-enfants ne sont pas des pléonasmes. Ce sont des petits démons.
Il y a bien un trait d'union. En français même un virgule est important
Ex Pardon impossible, à envoyer en Siberie
Pardon, impossible à envoyer en Sibérie
Vrai et faux ne suivent pas le verbe s'avérer. C'est vrai. Que dit-on alors? S'avérer exact et se révéler faux.
Vous savez même le pleonasme n'est pas une faute: c'est une figure de style qui a pour but de mettre en relief un mot.
Voici ce qu'en dit le Larousse des difficultés de la langue française (pp. 172-173) : Ces expressions sont toutes deux correctes". Mais elles ne sont pas synonymes.
Faute d'attention : faute commise par manque d'attention
Faute d'inattention : faute commise par étourderie.
Mon avis : un élève dissipé commet des fautes d'inattention et un élève distrait commet des fautes d'attention. Il y en a un qui porte un bonnet blanc et l'autre un blanc bonnet.
Avis du Larousse : il conseille de ne pas employer l'expression "faute d'inattention" comme étant un barbarisme.
Voilà : au Québec, on dit comme en France des fautes d'attention. Moi, j'entends des fautes commises parce qu'on est attentifs. Mais il faut entendre des fautes commises contre l'attention.
Deuxième cas : vous n'avez pas le sens de l'humour. Au fait, je n'ai pas abordé ce cas.
Troisième cas : le pléonasme n'est pas une figure de style. Certains auteurs, surtout les poètes, l'emploient en effet pour mettre un mot en relief. "S'avérer vrai" est un pléonasme parce qu'avérer signifie vrai. Je ne crois pas que l'on s'extasie pour ce pléonasme. Ce qu'un auteur choisit pour former un pléonasme transcende la banalité des expressions du langage de tous les jours. Mes lectures l'avèrent.
Ps: Déesse, pourrais tu tenter d'essayer de voir s'il est possible d'envisager l'hypothése de la peu probable eventualité de songer à penser à reflechir à me faire une petite minime place dans ta vie?
Pepito, ton sens de l'humour est indéniable.
Pepito, ton sens de l'humour est indéniable.
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