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Ses doigts tremblants levaient le verre à hauteur de ses yeux, son esprit s’affolait : un papier ! Un crayon ! Quelque chose pour noter, vite ! Déjà, le verre vide regagnait la température ambiante. La main fiévreuse de l’amoureux stressé ne faisait qu’accélérer le processus. La buée disparaissait, bon sang ! Mémoriser. Oui, c’est ça. 06 48 …7 ou 1 ? 4 ? Son esprit affolé était bien incapable de mémoriser quoi que ce soit. 06 48 1…Oh, bon sang !!! Trop tard. Il n’y avait plus rien.
Le café, plein comme un œuf un peu plus tôt, était maintenant désert, conformément à ces mouvements de marée qui régissent les lieux humains. Il ne restait plus qu’un client accroché au zinc, et un patron de bistrot, écroulé à une table du fond et contemplant un verre vide d’un œil vide, tout autant.
- L’patron s’est mis à boire ? chuchota le client à la serveuse.
- Ben non, voyons! s’indigna celle-ci, que l’attitude de Sélim rendait néanmoins plutôt perplexe.
Il n’y avait pas que l’œil qui était vide chez Sélim, l’esprit l’était également. La presque immédiate perte d’un amour si grand le laissait pantois. Il ne parvenait pas à se ressaisir. Le monde était un gouffre autour de lui. Elle perdue, il ne lui restait absolument rien, plus même le moindre repère.
Pourtant, elle ne devait pas être loin. Il aurait sans doute suffi, pour la rattraper, de sortir et de courir un peu dans la rue. A droite. Ou à gauche. Ou en face, bien sûr ! Etait-il bête. Il s’en était pourtant bien rendu compte que c’était tout l’immeuble qui était à cette table. Il savait parfaitement où retrouver ces gens-là. Il y en aurait bien un pour lui dire où était la Belle, l’Incomparable, l’Unique, celle qui… celle qu’il… A nouveau, son esprit s’engourdissait et devenait lent. Il se ressaisit. Bref, il allait parfaitement réussir à la retrouver.
Il se leva d’un bond et traversa toute la salle à grandes enjambées. Il ne courait pas, mais la serveuse inquiète vit bien que si quelqu’un s’était inopportunément trouvé sur son chemin, il l’aurait tout simplement éjecté d’un revers de bras, sans même y prêter davantage d’attention. Il se trouva sur le trottoir et traversa la rue selon la méthode initiée par Nicéphore et, avec la même chance, ne se fit pas tuer.
Il était dans le hall de l’immeuble des fous. Il s’arrêta, regarda autour de lui. Il était beau ce hall. Bien mieux qu’il ne l’aurait cru. Beau carrelage. Vieil ascenseur Modern’ Style, du genre bois et ferraille, qui fait un bruit de quincaillerie mais qui ne peut pas avoir l’air dangereux. Tout ce qu’elle habitait devenait-il beau ? Cet immeuble, comme son esprit, comme la rue, la ville entière… Il s’ébroua. Décidément, son entendement repartait vite en roue libre. Il fallait qu’il fasse plus attention. Il ne l’avait pas encore retrouvée, même si, pour lui, maintenant, il n’y avait plus de doute, il ne vivrait plus sans elle.
Les boîtes à lettres affichaient quelques noms. Certaines n’affichaient rien, correspondant à des appartements vides ou ayant opté pour un strict anonymat. De toute façon, que lui importait les boîtes à lettres? Il ne connaissait aucun nom et elles ne renvoyaient d’ailleurs à aucun logement précis. La seule solution était de s’engager au cœur de cet immeuble, de sonner à la première porte venue et de s’informer; et de recommencer ainsi, toute sa vie s’il le fallait jusqu’à ce que… Oui, bon. Fallait pas dramatiser non plus. Il allait trouver. Allez. En route !
Il allait l’essayer, ce bel ascenseur qui lui tendait les bras de sa grille ouverte et l’invite de son vieux tapis. Voyons, quel étage? Allez, tout en haut, appuya-t-il. L’engin, grinçant et brinqueballant, décolla après comme un moment un peu long d’hésitation. Il montait, mais vraiment lentement. Sélim, tout de suite impatient, changea d’avis. Tout en haut, ce serait trop long. Et inutile d’ailleurs. Il rappuya sur la touche 1er. Dans une secousse assez brutale, accompagnée d’un bruit qui tenait du choc et du déchirement, ainsi que du grelot d’une grille secouée, l’engin stoppa. Et ne bougea plus.
Sélim comprit bien que le mieux était d’attendre, de laisser à l’antique mécanique le temps d’enregistrer le contrordre et d’y obéir. Il entendait comme un tic-tac accéléré, sans doute le mécanisme qui se réglait …
Cependant, comme au bout de plusieurs minutes, toujours rien n’était survenu malgré le tic-tac incessant et de plus en plus fort quoique assez irrégulier, Sélim pensa que le premier étage, il l’avait peut-être déjà dépassé et que c’était sans doute cela qui perturbait la machine. Sans doute serait-il plus raisonnable de demander un étage médian. Il appuya sur 2.
L’ascenseur eut un hoquet violent et comme un ébrouement de bête. Sélim se demandait s’il pouvait se blesser sérieusement si tout l’ensemble décidait de se décrocher. Il n’en savait rien mais il n’avait pas vraiment peur. Rien ne pouvait l’interrompre maintenant qu’il était lancé sur les traces de son Amour. L’ascenseur repartit. Vers le bas. « J’avais bien dépassé » songea son occupant.
L’engin stoppa, ronfla quelques instants, assez fort, en tictaquant de tous ses rouages et redémarra, vers le haut cette fois. « Peu importe » souffla son hôte. « De toute façon, je descends dès que je peux. Je prendrai les escaliers. Au moins, je saurai ce que je fais. » Pourtant, il se sentait étonnamment bien le Sélim. Ces contretemps auraient dû lui mettre les nerfs à vif, mais il n’en était rien. L’amour lui avait semble-t-il apporté une fougue, une bonne humeur et une vigueur qui l’avaient fuit depuis longtemps. Pour tout dire, il se sentait en pleine forme. Et euphorique. Vingt ans de moins ! Enfin, peut-être pas vingt, mais tout de même...
D’ailleurs il était confortable et spacieux cet ascenseur. Bien plus grand qu’il ne lui avait semblé tout d’abord et il finirait bien par s’arrêter quelque part.
Pendant ce temps, l’article Art Déco, devenu tout à fait déraisonnable, montait et descendait sans arrêt, assez brièvement dans chaque sens, entrecoupant ces changements de niveaux de tremblements, de secousses, de tic tacs et de ronflements.
Et Sélim trouvait cela très drôle ! Il riait maintenant comme un gamin. C’était fou, cette histoire, et drôlement amusant ! Il se régalait.
Dans la soirée, La vieille Mademoiselle Noël, sortit pour descendre son sac poubelle. Elle vit que l’ascenseur stationnait à son étage et lui jeta un coup d’œil d'abord distrait, puis plus attentif. Elle aperçut à travers la grille, comme un paquet de chiffons sur le sol dans lequel quelque chose bougeait. Sa vue n’était pas bien meilleure que son ouie. Elle s ‘approcha, ouvrit la porte de l’ascenseur et poussa un petit « Oh ! » de surprise et d’attendrissement. Un magnifique bébé, un petit garçon aux yeux verts, gazouillait au chaud du nid d’un pull, d’une chemise et de quelques autres chiffons indéterminés.
Le café, plein comme un œuf un peu plus tôt, était maintenant désert, conformément à ces mouvements de marée qui régissent les lieux humains. Il ne restait plus qu’un client accroché au zinc, et un patron de bistrot, écroulé à une table du fond et contemplant un verre vide d’un œil vide, tout autant.
- L’patron s’est mis à boire ? chuchota le client à la serveuse.
- Ben non, voyons! s’indigna celle-ci, que l’attitude de Sélim rendait néanmoins plutôt perplexe.
Il n’y avait pas que l’œil qui était vide chez Sélim, l’esprit l’était également. La presque immédiate perte d’un amour si grand le laissait pantois. Il ne parvenait pas à se ressaisir. Le monde était un gouffre autour de lui. Elle perdue, il ne lui restait absolument rien, plus même le moindre repère.
Pourtant, elle ne devait pas être loin. Il aurait sans doute suffi, pour la rattraper, de sortir et de courir un peu dans la rue. A droite. Ou à gauche. Ou en face, bien sûr ! Etait-il bête. Il s’en était pourtant bien rendu compte que c’était tout l’immeuble qui était à cette table. Il savait parfaitement où retrouver ces gens-là. Il y en aurait bien un pour lui dire où était la Belle, l’Incomparable, l’Unique, celle qui… celle qu’il… A nouveau, son esprit s’engourdissait et devenait lent. Il se ressaisit. Bref, il allait parfaitement réussir à la retrouver.
Il se leva d’un bond et traversa toute la salle à grandes enjambées. Il ne courait pas, mais la serveuse inquiète vit bien que si quelqu’un s’était inopportunément trouvé sur son chemin, il l’aurait tout simplement éjecté d’un revers de bras, sans même y prêter davantage d’attention. Il se trouva sur le trottoir et traversa la rue selon la méthode initiée par Nicéphore et, avec la même chance, ne se fit pas tuer.
Il était dans le hall de l’immeuble des fous. Il s’arrêta, regarda autour de lui. Il était beau ce hall. Bien mieux qu’il ne l’aurait cru. Beau carrelage. Vieil ascenseur Modern’ Style, du genre bois et ferraille, qui fait un bruit de quincaillerie mais qui ne peut pas avoir l’air dangereux. Tout ce qu’elle habitait devenait-il beau ? Cet immeuble, comme son esprit, comme la rue, la ville entière… Il s’ébroua. Décidément, son entendement repartait vite en roue libre. Il fallait qu’il fasse plus attention. Il ne l’avait pas encore retrouvée, même si, pour lui, maintenant, il n’y avait plus de doute, il ne vivrait plus sans elle.
Les boîtes à lettres affichaient quelques noms. Certaines n’affichaient rien, correspondant à des appartements vides ou ayant opté pour un strict anonymat. De toute façon, que lui importait les boîtes à lettres? Il ne connaissait aucun nom et elles ne renvoyaient d’ailleurs à aucun logement précis. La seule solution était de s’engager au cœur de cet immeuble, de sonner à la première porte venue et de s’informer; et de recommencer ainsi, toute sa vie s’il le fallait jusqu’à ce que… Oui, bon. Fallait pas dramatiser non plus. Il allait trouver. Allez. En route !
Il allait l’essayer, ce bel ascenseur qui lui tendait les bras de sa grille ouverte et l’invite de son vieux tapis. Voyons, quel étage? Allez, tout en haut, appuya-t-il. L’engin, grinçant et brinqueballant, décolla après comme un moment un peu long d’hésitation. Il montait, mais vraiment lentement. Sélim, tout de suite impatient, changea d’avis. Tout en haut, ce serait trop long. Et inutile d’ailleurs. Il rappuya sur la touche 1er. Dans une secousse assez brutale, accompagnée d’un bruit qui tenait du choc et du déchirement, ainsi que du grelot d’une grille secouée, l’engin stoppa. Et ne bougea plus.
Sélim comprit bien que le mieux était d’attendre, de laisser à l’antique mécanique le temps d’enregistrer le contrordre et d’y obéir. Il entendait comme un tic-tac accéléré, sans doute le mécanisme qui se réglait …
Cependant, comme au bout de plusieurs minutes, toujours rien n’était survenu malgré le tic-tac incessant et de plus en plus fort quoique assez irrégulier, Sélim pensa que le premier étage, il l’avait peut-être déjà dépassé et que c’était sans doute cela qui perturbait la machine. Sans doute serait-il plus raisonnable de demander un étage médian. Il appuya sur 2.
L’ascenseur eut un hoquet violent et comme un ébrouement de bête. Sélim se demandait s’il pouvait se blesser sérieusement si tout l’ensemble décidait de se décrocher. Il n’en savait rien mais il n’avait pas vraiment peur. Rien ne pouvait l’interrompre maintenant qu’il était lancé sur les traces de son Amour. L’ascenseur repartit. Vers le bas. « J’avais bien dépassé » songea son occupant.
L’engin stoppa, ronfla quelques instants, assez fort, en tictaquant de tous ses rouages et redémarra, vers le haut cette fois. « Peu importe » souffla son hôte. « De toute façon, je descends dès que je peux. Je prendrai les escaliers. Au moins, je saurai ce que je fais. » Pourtant, il se sentait étonnamment bien le Sélim. Ces contretemps auraient dû lui mettre les nerfs à vif, mais il n’en était rien. L’amour lui avait semble-t-il apporté une fougue, une bonne humeur et une vigueur qui l’avaient fuit depuis longtemps. Pour tout dire, il se sentait en pleine forme. Et euphorique. Vingt ans de moins ! Enfin, peut-être pas vingt, mais tout de même...
D’ailleurs il était confortable et spacieux cet ascenseur. Bien plus grand qu’il ne lui avait semblé tout d’abord et il finirait bien par s’arrêter quelque part.
Pendant ce temps, l’article Art Déco, devenu tout à fait déraisonnable, montait et descendait sans arrêt, assez brièvement dans chaque sens, entrecoupant ces changements de niveaux de tremblements, de secousses, de tic tacs et de ronflements.
Et Sélim trouvait cela très drôle ! Il riait maintenant comme un gamin. C’était fou, cette histoire, et drôlement amusant ! Il se régalait.
Dans la soirée, La vieille Mademoiselle Noël, sortit pour descendre son sac poubelle. Elle vit que l’ascenseur stationnait à son étage et lui jeta un coup d’œil d'abord distrait, puis plus attentif. Elle aperçut à travers la grille, comme un paquet de chiffons sur le sol dans lequel quelque chose bougeait. Sa vue n’était pas bien meilleure que son ouie. Elle s ‘approcha, ouvrit la porte de l’ascenseur et poussa un petit « Oh ! » de surprise et d’attendrissement. Un magnifique bébé, un petit garçon aux yeux verts, gazouillait au chaud du nid d’un pull, d’une chemise et de quelques autres chiffons indéterminés.
Sib, tu as osé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Et tu as trés bien fait !
Ah je le sentais le coup de l'ascenseur, mais quand même...
ah la la, je me suis régalée, ça restera certainement un de mes préférés, excellent !
Et tu as trés bien fait !
Ah je le sentais le coup de l'ascenseur, mais quand même...
ah la la, je me suis régalée, ça restera certainement un de mes préférés, excellent !
Merci Lyra. Tu as encore le temps de changer d'avis mais, d'ores et déjà, je suis flattée.
"un patron de bistrot, écroulé à une table du fond et contemplant un verre vide d’un œil vide, tout autant.
- L’patron s’est mis à boire ? chuchota le client à la serveuse."
Début de lecture... j'adore!
Et ça continue: "Il était dans le hall de l’immeuble des fous"
Mais alors la suite!!!!
BRAVO SYB! En effet, il fallait y penser, même si aurait pu paraître évident, ça ne l'était pas vraiment et puis mettre tout ça en musique de manière naturelle et rigolote. Tu l'as fait. Un de mes préférés jusqu'à présent, bien ficelé, pas d'erreur de style, de lourdeur ou d'incohérence. Hmmmm cette histoire prend décidément des tournures plaisantes.
Merci à toi!
- L’patron s’est mis à boire ? chuchota le client à la serveuse."
Début de lecture... j'adore!
Et ça continue: "Il était dans le hall de l’immeuble des fous"
Mais alors la suite!!!!
BRAVO SYB! En effet, il fallait y penser, même si aurait pu paraître évident, ça ne l'était pas vraiment et puis mettre tout ça en musique de manière naturelle et rigolote. Tu l'as fait. Un de mes préférés jusqu'à présent, bien ficelé, pas d'erreur de style, de lourdeur ou d'incohérence. Hmmmm cette histoire prend décidément des tournures plaisantes.
Merci à toi!
AAAhh!!!!!!!!! C'est splendide!!!! J'ADORE!!!!!!!!!!!!! (entousiasme débordant de la supportrice en délire!)
Alors là! Les mots me manque pour ne pas faire de répétition de ce que j'ai déjà pu dire.
Ce texte se lit d'une traite, ça coule tout seul, centré sur un seul personnage avec une MAGNIFIQUE évolution de ses sentiments (fort pour un simple échange de regard quand même). Son désarrois... et surtout, le must: son retour en enfance (J'adore!!). (D'accord, la soeur Noël aurait pu paniquer un chouilla en trouvant un bébé seul dans un ascenseur)
Mais on rentre complêtement dans l'histoire, (je n'ose répéter encore "ça coule tout seul") et la fin est idéalement tournée...
Berf berf.. l'entousiasme débordant me fait un peu bafouiller (par écrit ça ne ce voit pas trop, heureusement) et je n'emploie pas forcément tous les jolis mots qu'il faudrait mais ... MERCI SIB!!!!!
Alors là! Les mots me manque pour ne pas faire de répétition de ce que j'ai déjà pu dire.
Ce texte se lit d'une traite, ça coule tout seul, centré sur un seul personnage avec une MAGNIFIQUE évolution de ses sentiments (fort pour un simple échange de regard quand même). Son désarrois... et surtout, le must: son retour en enfance (J'adore!!). (D'accord, la soeur Noël aurait pu paniquer un chouilla en trouvant un bébé seul dans un ascenseur)
Mais on rentre complêtement dans l'histoire, (je n'ose répéter encore "ça coule tout seul") et la fin est idéalement tournée...
Berf berf.. l'entousiasme débordant me fait un peu bafouiller (par écrit ça ne ce voit pas trop, heureusement) et je n'emploie pas forcément tous les jolis mots qu'il faudrait mais ... MERCI SIB!!!!!
Tu as encore le temps de changer d'avis
Aucune raison de changer d'avis, Sib ;0)
Et c'est la même Sibylline qui refile ses idées aux copines? Ouais, tu as raison. Tu ne sais pas les raconter tes histoires. Et ton imagination doit être en berne?
Tu te moques de nous Sibylline! Pas bien ça.
Ton épisode est super mais tout le monde te l'a déja dit. Je me joins à la meute. Et donc voila un joli bébé Selim. C'est-y pas beau ça? Et qui c'est qui va s'occuper de lui? C'est Bluewitch. J'espère qu'elle aime materner!
Allez, encore bravo.
Tu te moques de nous Sibylline! Pas bien ça.
Ton épisode est super mais tout le monde te l'a déja dit. Je me joins à la meute. Et donc voila un joli bébé Selim. C'est-y pas beau ça? Et qui c'est qui va s'occuper de lui? C'est Bluewitch. J'espère qu'elle aime materner!
Allez, encore bravo.
merci Sib , j'ai bien aimé ton texte
Mais bon sang, Bluewitch qui ne s'est pas manifesté depuis des lustres, j'espère qu'elle est au courant que c'est à elle?
Bluewitch! Ouh Ouh! Ne nous laisse pas en manque. Les frissons me gagnent déja ...
Bluewitch! Ouh Ouh! Ne nous laisse pas en manque. Les frissons me gagnent déja ...
C'est décidément de plus en plus marrant ce qui se passe dans l'immeuble des fous, bravo Sib. Quelle imagination !!!
Dis, Saint Jean, s'il y a une autre tour, tu ne pourrais pas faire un épisode avec nous? Ce serait sympa.
Non, non, je fais partie des lecteurs intègres !
;-)
;-)
Bravo Sib!
En plus, tu nous offres le bébé dans la crèche juste un peu avant Noël.
Et un Sélim en petit Jésus, ça c'est un beau conte Noël... à réconcillier l'humanité...
Fallait le faire!... et tu l'as fait.
En plus, tu nous offres le bébé dans la crèche juste un peu avant Noël.
Et un Sélim en petit Jésus, ça c'est un beau conte Noël... à réconcillier l'humanité...
Fallait le faire!... et tu l'as fait.
Non, non, je fais partie des lecteurs intègres !
;-)
Tu pourrais faire partie des écriveurs intégrés?
Suis là! Suis là! Désolée les amis, pas beaucoup le temps ces derniers jours. ;o) Mais pas de panique, je vais pas laisser ce bout de chou en plan...
Nom d'un petit bonhomme, j'ai pas de gosse, moi! Qu'est-ce que je vais bien pouvoir en faire de celui-là!
Bravo, Sib, bravo! ;o)
Nom d'un petit bonhomme, j'ai pas de gosse, moi! Qu'est-ce que je vais bien pouvoir en faire de celui-là!
Bravo, Sib, bravo! ;o)
Il y a encore l'exo, aussi... Bon, tiendrez-vous le coup ou dois-je me préparer à diverses pertes de conscience et crises d'apoplexie si je demande un petit délai jusque samedi??? ;o)
samedi, samedi.... accordé! :)
Que le temps passe vite à l'envers, on crée un personnage et le voilà déjà gamin ;-)
Quleques heurts dans la narration mais : bien vu Sib !
Quleques heurts dans la narration mais : bien vu Sib !
OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
HOURRAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
BRAVOOOOOOOOOOOOOOOOO!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Franchement, j'adore!! Le début, les différentes étapes du rajeunissement, l'amour de Selim... Tout est très bien ficelé!!
Comme Lyra, c'est mon épisode préféré jusqu'à maintenant!!
Ce sera dur de faire mieux car tu as mis la barre très haute!!!
Encore une fois : BRAVOOOOOOOOOOOOOOOOO!!!!!!!!!!!!!!!
HOURRAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
BRAVOOOOOOOOOOOOOOOOO!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Franchement, j'adore!! Le début, les différentes étapes du rajeunissement, l'amour de Selim... Tout est très bien ficelé!!
Comme Lyra, c'est mon épisode préféré jusqu'à maintenant!!
Ce sera dur de faire mieux car tu as mis la barre très haute!!!
Encore une fois : BRAVOOOOOOOOOOOOOOOOO!!!!!!!!!!!!!!!
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