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Le petit avion lutte contre la tempête. Avec le vent la terre devient le ciel et le ciel la terre ( seul les instruments de bord permettent au pilote de garder un cap ) mais le sable et ses traîtres grains commencent à s’infiltrer dans les moteurs. Il vas falloir atterrir en évitant de prendre une dune en plein fuselage : d’abord se mettre dans le sens du vent et si possible ne pas s’écraser contre une caravane et ses dromadaires. En évoquant les caravanes le pilote pense immédiatement à la chanson de Raphaél mais l’instant n’est pas aux chansons et l’impact avec le sol le lui rappelle aussitôt. L’avion se bloque dans le sable et pique du nez sous le choc.
Après un temps ou sa vie n’a tenue qu’à un fil le pilote sort de son avion en maudissant cette maudite commémoration décidée par le président de la république ( lui vient à l’esprit une chanson de Damien Saez : Manu ) une habitude qu’il à prise de trouver une chanson pour chaque événements.
Une fois épousseté tant bien que mal et vidé ses bottes et ses poches d’une partie du sable qui s’y trouvé, il retire son casque audio et après avoir levé son visage vers le ciel et son énorme silhouette jaune qui commençait à le chauffer il prend sa veste sur son épaule et la boussole de son père dans la poche de son pantalon.
Il savait que l’oasis qu’il cherchait, au poétique nom de « une source de vie » , se trouvait au nord à quelques kilomètres de l’impact. Il se mit donc en marche sans plus attendre ; il y allait pour mener à bien cette commémoration mais également parce qu’il avait là-bas un rendez-vous particulier et de grande importance.
Il mis son chèche sur le dessus de sa tête, fixé par des nœuds qui lui faisait comme un cerf volant dans le dos. Puis poursuivis son périple. Il vidait les dernière gouttes d’eau de sa gourde quand il aperçut le sommet des palmiers, s’en était presque terminé. Il était d’un naturel optimiste ce qui n’était pas le cas de son meilleurs amis qui se plaisait à écrire sur un site et qui avait pris pour pseudo une partie du nom de son avion « Spirit of St Louis ».
Les palmiers de l’oasis lui apportèrent tout de suite une fraîcheur certaine. Il s’approchât du puits et avisa un seau et pu ainsi boire tout son sou.
Une voix derrière lui se fit entendre : « c’est toi mon père alors ? »
Il se retournât et reconnaissant le petit d’après les photos lui répondit simplement : « oui et je vais t’amener avec moi à la ville et nous irons au stade »
« Au stade répondit le garçonnet ? Et je peux emmener mon hibou ?»
« Oui, bien sur, c’est bien ce que font les pères et leurs fils non ? Aller voir le foot ensemble » répondit-il en prenant le chemin en sens inverse pour attendre les secours. Il ajoutât : mais si tu le désire nous irons voir du rugby ! »
Après un temps ou sa vie n’a tenue qu’à un fil le pilote sort de son avion en maudissant cette maudite commémoration décidée par le président de la république ( lui vient à l’esprit une chanson de Damien Saez : Manu ) une habitude qu’il à prise de trouver une chanson pour chaque événements.
Une fois épousseté tant bien que mal et vidé ses bottes et ses poches d’une partie du sable qui s’y trouvé, il retire son casque audio et après avoir levé son visage vers le ciel et son énorme silhouette jaune qui commençait à le chauffer il prend sa veste sur son épaule et la boussole de son père dans la poche de son pantalon.
Il savait que l’oasis qu’il cherchait, au poétique nom de « une source de vie » , se trouvait au nord à quelques kilomètres de l’impact. Il se mit donc en marche sans plus attendre ; il y allait pour mener à bien cette commémoration mais également parce qu’il avait là-bas un rendez-vous particulier et de grande importance.
Il mis son chèche sur le dessus de sa tête, fixé par des nœuds qui lui faisait comme un cerf volant dans le dos. Puis poursuivis son périple. Il vidait les dernière gouttes d’eau de sa gourde quand il aperçut le sommet des palmiers, s’en était presque terminé. Il était d’un naturel optimiste ce qui n’était pas le cas de son meilleurs amis qui se plaisait à écrire sur un site et qui avait pris pour pseudo une partie du nom de son avion « Spirit of St Louis ».
Les palmiers de l’oasis lui apportèrent tout de suite une fraîcheur certaine. Il s’approchât du puits et avisa un seau et pu ainsi boire tout son sou.
Une voix derrière lui se fit entendre : « c’est toi mon père alors ? »
Il se retournât et reconnaissant le petit d’après les photos lui répondit simplement : « oui et je vais t’amener avec moi à la ville et nous irons au stade »
« Au stade répondit le garçonnet ? Et je peux emmener mon hibou ?»
« Oui, bien sur, c’est bien ce que font les pères et leurs fils non ? Aller voir le foot ensemble » répondit-il en prenant le chemin en sens inverse pour attendre les secours. Il ajoutât : mais si tu le désire nous irons voir du rugby ! »
La chanson française meets St-Exupery meets Star Wars ! On remercie le président de la République d'avoir permis au pilote de retrouver son fils et son hibou... ou bien l'eau du puits de la source de vie ? Et j'imagine qu'il y a encore des clins d'oeil que je loupe (le clin d'oeil à Tistou avec le rugby final, je le vois !). Merci d'avoir participé Spirit, et de nous partager l'histoire (vraie ?) sur le dessous de ton pseudo !
Spirit of Saint Louis ! Ça fait rêver...rendez vous important quand même "c'est toi mon père alors "? En plein désert et direct match de foot ! Il s'en passe des choses dans les exos où l'imagination se débride, et tant mieux pour ceux qui te lisent ! :-)
Ce texte me semble moins sombre que ceux des tiens dont j'ai pu prendre connaissance. Les contraintes sont intégrées avec une belle créativité. Puis il y a cette jolie finale qui, sans nous laisser sur notre faim, laisse entrevoir une histoire familiale toute particulière. Bravo!
En chansons donc ! Des jolies trouvailles d'écriture, comme "les noeuds qui lui faisait comme un cerf-volant".
Je reste sur ma fin du récit qui semble manquer de clé de compréhension, ou mystère voulu?
J'apprécie toutefois les hiboux du désert qui vont au match de foot avec leur humains!
*boire tout son sou* original même si pas volontaire
Je reste sur ma fin du récit qui semble manquer de clé de compréhension, ou mystère voulu?
J'apprécie toutefois les hiboux du désert qui vont au match de foot avec leur humains!
*boire tout son sou* original même si pas volontaire
Très énigmatique cette histoire, avec de jolies références et une facilité à intégrer les contraintes de l'exercice. L'imagination a fusé et rend un texte très cohérent. Et comme le souligne SpaceCadet, pas de côté sombre, tout au plus une certaine nostalgie, ce qui te sied très bien !
SpaceCadet a raison, ton texte est d'une tonalité très différente de ce que tu nous a toujours proposé. Pas grinçant, plus rose que gris (ou noir même parfois !). Un Spirit apaisé ?
Donc veine Petit Prince qui était couru vues les contraintes, sauf qu'au lieu de dessiner un mouton on va plutôt voir un match de foot. O Tempora O Mores, comme ils disaient du côté de Rome. Il y a bien longtemps.
Heureusement, tu as la sagesse, Spirit, de rectifier le tir : proposer du rugby (vrai sport) en lieu et place de foot (vrai business). Pour cela beaucoup de considération te sera accordée !! (au fait, ce soir je serai à FCG - Nice, le premier contre le dernier, avalanche d'essais prévue)
Une bonne idée également de semer des chansons comme on sèmerait des cailloux (si l'on était Petit Poucet, bien sûr). Ce n'est pas moi qui m'en plaindrait.
Non, définitivement je ne vois rien dont je dusse (waouh !) me plaindre. Bon texte juste émaillé encore de quelques fautes évitables.
Donc veine Petit Prince qui était couru vues les contraintes, sauf qu'au lieu de dessiner un mouton on va plutôt voir un match de foot. O Tempora O Mores, comme ils disaient du côté de Rome. Il y a bien longtemps.
Heureusement, tu as la sagesse, Spirit, de rectifier le tir : proposer du rugby (vrai sport) en lieu et place de foot (vrai business). Pour cela beaucoup de considération te sera accordée !! (au fait, ce soir je serai à FCG - Nice, le premier contre le dernier, avalanche d'essais prévue)
Une bonne idée également de semer des chansons comme on sèmerait des cailloux (si l'on était Petit Poucet, bien sûr). Ce n'est pas moi qui m'en plaindrait.
Non, définitivement je ne vois rien dont je dusse (waouh !) me plaindre. Bon texte juste émaillé encore de quelques fautes évitables.
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